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De bons soins paternels

Chapitre 1

Histoire entre père et fille en one shot, un moment de vie.

Inceste
— Papa, je te jure que j’ai vraiment mal.
C’est comme ça qu’on peut résumer le dernier soir des vacances que je passais avec ma fille.Nous étions installés depuis une dizaine de jours dans le sud de la France afin de profiter de l’été avant que Charlie, mon unique enfant, ne parte à l’Université. C’était aussi, pour nous, l’occasion de renouer notre relation père-fille, un peu perdue pendant son adolescence qu’elle a passée dans une pension. Charlie avait très mal réagi lors de mon divorce avec sa mère et avait préféré poursuivre sa scolarité dans un pensionnat plutôt que de vivre la garde partagée. Choix que nous avons respecté, mais je dois avouer qu’elle m’a terriblement manqué. Ainsi, lorsqu’elle m’a appelé, il y a un mois, en me proposant de partir tous les deux en vacances, je n’ai pas hésité une seule seconde.
Lorsqu’elle m’a rejoint la veille de notre départ, j’ai failli ne pas la reconnaître. J’avais laissé derrière moi une adolescente un peu timide, mal à l’aise dans son corps en développement avec un style vestimentaire un peu en dehors de la mode de l’époque. A la sortie de son train, j’ai été subjugué par la jeune femme devant moi. Elle respirait la joie de vivre et la confiance en soi. Sa robe d’été voletait au rythme de sa démarche et ses formes n’avaient plus rien d’adolescentes. De par l’épaisseur de son tissu, tout le monde pouvait deviner ses seins naturellement fermes qui attiraient tous les regards.
J’ai rapidement remis mes idées en place : je ne pouvais pas penser comme un homme face à ma fille même si elle était terriblement désirable. Nous nous sommes donc étreints avant de prendre la route pour nos vacances. Le programme n’avait pas grand-chose de très excitant pour une jeune femme, mais elle m’avait assuré qu’une maison tranquille lui convenait parfaitement, à condition d’avoir du soleil et une piscine.
Et c’est ce qu’on a fait durant notre séjour : restaurants, siestes, virées, shopping... Je faisais tout ce qu’elle souhaitait. Je voulais juste qu’elle profite à fond de notre moment avant de reprendre ses études. Et son bonheur faisait le mien, en outre elle n’était pas du tout le genre de fille à abuser avec ses demandes. Tout se passait sans encombre jusqu’à notre dernier soir. Nous sortions d’un restaurant qui nous avait servi quelques digestifs avec beaucoup de générosité. En sortant, je sentais la chaleur de l’alcool dans mes veines. En voyant ma fille tituber sur ses semelles compensées, j’eus une pointe de culpabilisation.
— Charlie, je n’aurais pas dû te laisser boire autant.
Ma fille fut prise d’un grand rire :
— Halala papa, on a à peine bu quelques verres.
Sur ces dires, elle s’élança dans la rue en tournant sur elle-même.
— Charlie !
Mais elle ne m’écoutait déjà plus, je ne pouvais que la regarder faire la folle en sautillant un peu partout. Je m’amusais de sa bonne humeur, jusqu’à ce que je la vis glisser et tomber en poussant un petit cri.J’accourus vers elle :
— Charlie ! Ça va ?
Elle était à moitié allongée sur le sol, la main autour de sa cheville avec quelques larmes qui pointaient aux bords de ses yeux.
— Je pense que je me suis foulé la cheville, répondit-elle toute déconfite.
Je la pris dans mes bras, elle était si légère de sorte qu’elle n’eut pas besoin de poser un pied à terre.
— Allons rentrons, on va aller mettre de la glace dessus.— Je suis désolée papa.— Ne t’en fais pas ma puce, ce n’est pas ta faute. On en rigolera demain.
Je fis rapidement le chemin de retour en la serrant plus que nécessaire dans mes bras, son corps était chaud, une de mes mains avait pris position sur ses fesses et j’avais une vue fantastique sur sa poitrine. Dieu qu’elle était belle ma fille, un vrai morceau de tentation. Avec l’alcool dans le sang, l’adrénaline de sa chute et notre contact rapproché, je sentais une petite érection poindre. Heureusement, Charlie était trop concentré pour s’en rendre compte.
— Papa, je te jure, j’ai vraiment mal, me dit Charlie au moment où nous passons le pas de la porte.— Je sais chérie, attends.
Je la dépose doucement sur le canapé en calant sa cheville sur un coussin, ce qui lui fait lâcher un petit gémissement qui n’arrangea rien à mon érection. Je me dirigeai dans la cuisine afin de prendre un paquet de légumes congelés, un essuie et une bière pour moi avant de retourner auprès d’elle. Elle me regarda en faisant une adorable petite moue :
— Tu vas jouer au médecin ?
Je m’installai auprès d’elle, retirai le coussin et posa sa cheville sur mes genoux, cachant mon érection du mieux possible.
— Ce n’est ni rouge, ni gonflé, je pense que c’est dans mes compétences. Peut-être même qu’un bisou magique serait suffisant. Plaisantais-je à moitié.
Elle rit et se laissa aller sur le canapé en soupirant d’aise. Pendant ce temps, j’enroulai le paquet de petits pois dans l’essuie avant de l’appliquer sur le pied de ma petite. Je savais que je ne devais pas le laisser trop longtemps, j’entrepris donc de regarder les messages sur mon GSM en buvant ma bière.
Un quart d’heure plus tard, je lui retirai la poche de glace, profitant de ce mouvement pour lui caresser sa jambe au passage. Je lui jetai un coup d’œil et remarquai qu’elle s’était endormie, la tête calée dans les coussins du canapé. La voir comme ça me rassura un peu, c’est qu’elle ne devait pas avoir très mal pour réussir à s’endormir aussi facilement. Je continuai de caresser sa jambe, profitant de sa douceur et de sentir sa peau qui se hérissait à mon contact. En bougeant un peu, j’arrivai à positionner mon érection contre elle afin de me frotter de manière agréable. Je ne réfléchissais plus vraiment avec l’alcool qui coulait dans mes veines, mais je me rassurai en me disant que de toute façon, c’était juste un petit frottement qui ne faisait de mal à personne. Mes pensées continuaient de divaguer pendant que je continuais mes caresses qui s’étalaient de plus en plus le long de sa jambe, j’approchais doucement du bord de sa robe sans même vraiment m’en rendre compte.
Quand mes doigts jouèrent avec l’ourlet de sa tenue, je lui lançai un regard attentif pour m’assurer qu’elle ne se réveillait pas. Sans réaction de sa part, j’osai remonter son bout de tissu jusqu’à la taille, dévoilant un petit string blanc qui ne cachait pas grand-chose. Je l’ai vue régulièrement en maillot de bain pendant nos moments piscine, mais rien d’aussi sexy que ce petit sous-vêtement. D’aussi près, je pouvais voir qu’elle était parfaitement épilée et qu’elle avait un petit abricot adorable qui n’appelait qu’une langue pour s’ouvrir. Je poussais un peu plus loin et posais ma main comme une coquille autour de son sexe avant d’exercer quelques pressions. Mon geste a eu pour effet de lui faire ouvrir un peu plus les jambes, j’arrivais maintenant à glisser deux doigts sous le tissu afin de le dégager un peu.
J’avais maintenant une vision directe sur sa chatte qui semblait un peu humide, je lui touchais un peu le clitoris, mais mon geste resta en suspens alors qu’elle lâcha un petit râle dans son sommeil. J’attendis, la peur au ventre pendant quelques secondes, mais voyant qu’elle n’ouvrait pas les yeux, je continuai mon mouvement avant de lui mettre directement un doigt dans son trou. Je ne savais pas pourquoi elle mouillait autant, mais je n’eus aucun mal à entrer ni à y faire quelques aller-retour. J’avais maintenant la bite trop serrée dans mon pantalon, de ma main libre j’ouvris les boutons de mon jeans et libérera ma tige avec soulagement. J’entrepris de me branler tout en continuant à faire glisser mon doigt dans ma fille.
Je sortis mes doigts de son fourreau pour me diriger vers sa poitrine, en quelques gestes rapides, j’arrivai à libérer ses seins qui pointaient directement dans ma direction. Mon érection devint douloureuse face à cette vision. Ils étaient tellement parfaits et me donnaient une terriblement envie de les prendre dans ma bouche afin de les sucer. Je repris, toutefois, le chemin de son entrejambe et dans mon excitation, lui enfournai deux doigts sans ressentir aucune résistance. Elle semblait vraiment ouverte et trempée, mais je dus résister à l’envie d’y mettre ma queue. J’accélérai mon mouvement de masturbation sur ma verge, au même rythme que le clapotis de mes doigts en elle. J’arrivai presque au bord de la jouissance et je lâchai un gémissement un peu bruyant sans m’en rendre compte.
Soudain, le vagin de Charlie se contracta, enfermant mes doigts au fond d’elle. En levant les yeux, je croisai son regard rempli d’étonnement.
Merde.
Je devins confus, comme une pivoine. J’essayais de retirer mes doigts, mais de ses jambes, me bloquaient tout mouvement.
— Papa ? Sa voix portait encore les traces de son sommeil et de nos verres de la soirée.— Mon Dieu Charlie. Je bredouillais, ne trouvant aucune excuse pour expliquer la situation.— Je suis vraiment désolé ma puce, tu étais là, la robe relevée, et la bière...
Je lui sortis tout ce qu’il me passait par la tête, essayant de trouver la bonne excuse qui m’éviterait de passer pour un père incestueux.Charlie soutint mon regard avec un air que je ne lui reconnaissais pas. Étonnamment, elle ne s’était pas recouverte, de sorte qu’elle était toujours étendue devant moi, le sexe ouvert et la poitrine dressée. Elle eut juste un petit mouvement pour se relever et se caler de manière plus confortable sur les coussins. Exposée de cette manière, on aurait dit la peinture d’une déesse pleinement confiante de ses attributs.
Ma fille ne me lâcha pas des yeux, mais resta silencieuse, comme si elle était en train de réfléchir à toute vitesse. Je me serais attendu à ce qu’elle fasse un bond hors du canapé, m’insulte de vieux pervers et demande à partir directement. A contrario, elle leva sa main et entreprit elle-même de titiller ses tétons qui devinrent plus durs que jamais. Elle était follement érotique en se touchant la poitrine avec un regard rempli de coquinerie.
— Elle te plaît ma poitrine papa ? — Heu... Oui bien sûr. Elle est parfaite.
J’étais perdu par la situation, mais ça faisait déjà plusieurs minutes que je me laissais guider par mon sexe plutôt que par ma raison.
— Alors pourquoi tu ne viens pas la toucher ?
Je n’en revenais pas d’avoir Charlie, ma petite fille, qui me donnait l’autorisation de lui toucher les seins. Je ne réfléchis pas deux fois avant de m’avancer vers elle. Dans notre position sur le canapé, j’étais entre ses jambes, mon sexe dénudé presque au contact de son abricot trempé. Dès que j’étais près pour atteindre ses seins, je commençai à les caresser. Dieu qu’ils étaient doux et fermes. Je pinçais un peu ses tétons, ce qui eut pour effet de lui arracher quelques gémissements exquis. J’en profitais pour le prendre un sein en bouche et faire tourner ma langue sur son téton, alternant aspirations plus fortes et douceur.
— Mmm oui papa, continue.
Je pris sa phrase comme un feu vert et me cala encore plus proche encore d’elle, je pouvais sentir sa cyprine mouiller mon sexe qui commençait à glisser dangereusement le long de sa chatte. Je relevais la tête, les mains toujours occupées sur ses seins afin de lui offrir un baiser langoureux qu’elle ne me refusa pas. Elle prit ma tête entre des mains et m’attira vers elle comme si elle voulait que nous ne formions plus qu’une personne. Ses yeux brillaient, de malice ou de reste d’alcool.
Soudainement, je sentis que ma bite trouvait naturellement l’entrée de son fourreau, en une petite poussée j’aurais pu être en elle, mais un relent de conscience me fit reculer. Charlie sentit ma réticente et prit les devants en enroulant ses jambes autour de moi afin de m’attirer en un coup sec en elle. Je lâchai un râle de soulagement en entrant dans sa chatte serrée, chaude et dégoulinante d’envie pour moi. Je commençais à faire quelques allers-retours en douceur, mais elle me coupa une nouvelle fois.
— Baise-moi papa. Je veux te sentir entièrement en moi.
J’avais du mal à reconnaître ma petite fille. Je ne voyais devant moi qu’une jeune femme terriblement désirable qui avait envie de se faire défoncer.
— A tes ordres ma chérie, lui répondais-je avant de prendre une position plus confortable.
Je lui écartai les jambes avec mes mains, ce qui me donna une vue magnifique sur sa chatte et son corps entier. Je commençais à la pilonner aussi fort que je le pouvais en alternant mouvement profond et rapidité. J’étais hypnotisé par ses seins qui rebondissaient au rythme de ma bite. Elle criait sans retenue, ce qui ne me posait aucun problème, n’ayant aucun voisin près de la maison. Au contraire, la sentir prendre du plaisir sous mes assauts ne fit qu’augmenter mon envie pour elle.
Je la pris de la sorte pendant de longues minutes avant de me lever et me poster devant elle. J’enlevai rapidement mes vêtements pendant qu’elle faisait de même avec son bout de robe. Elle n’avait plus grand-chose à cacher, mais la vision de son corps totalement nue termina de me rendre dingue. J’étais fier que cette beauté soit ma fille et d’avoir le droit d’abuser d’elle.
Elle s’approcha du bord du canapé et m’attira vers elle afin de prendre mon pénis dans sa bouche. Sans hésiter, elle se l’enfonça jusqu’au fond de la gorge. Je ne pus m’empêcher de penser que ce n’était pas la première fois qu’elle se livrait à ce type d’exercice.
— Tu l’aimes la bite de papa ?
Elle ouvrit la bouche quelques secondes, laissant couler un filet de bave sur sa poitrine.
— C’est vraiment la meilleure que j’ai sucée mon papounet. — Je le savais, c’est pas ta première queue hein.
Elle me regarda en souriant, de la bave luisant autour de ses lèvres, les yeux larmoyants de s’enfoncer un si gros morceau au fond de la gorge. Elle me parla en continuant de me branler frénétiquement.
— J’adore me faire défoncer la bouche. Tous les mecs du lycée le savaient. — Mais quelle pute, ma fille !
Je lui pris la tête et entrepris de lui baiser la bouche. Elle se laissa faire, ne lâchant que quelques grognements, mais sans jamais faire de geste de recul. Putain, c’est vrai qu’elle adorait ça. Elle souriait et laissait couler sa bave le long de son cou et de ses seins qui finirent trempés. Je commençais à sentir que je n’étais pas loin de jouir, mais je ne voulais pas en finir là.
— Mets-toi à quatre pattes sur le canapé.
Sans réfléchir, elle se mit dans une position obscène, le cul bien tendu avec les mains sur les fesses pour mieux les écarter, ce qui me donnait une vision de rêve. Je pointais ma bite sur le bord de sa chatte, mais m’amusais à n’y entrer que le bout de mon gland avant d’aller titiller son clitoris. Elle lançait des grognements d’impatience face à ce traitement.
— S’il te plaît, papa, baise-moi.
Elle aussi semblait au bord de l’orgasme. Pour abréger ses souffrances, je m’enfonçai en entier dans sa chatte jusqu’à ce que ma queue lui tape dans le fond. Sous la surprise, elle se retrouva la tête dans les coussins et le cul encore plus cambré. Avec un pied posé sur le canapé, j’arrivais à entrer et sortir entièrement de sa chatte, lui enfonçant chaque centimètre de mon pieu à chaque mouvement. Je commençais à sentir qu’elle allait jouir. Son corps tremblait et ses cris devenaient de plus en plus haletants. C’était pour moi le signe de passer à l’autre étape que j’avais en tête. Je retirais ma bite en lui assénant une petite fessée au passage. Elle se retourna furieuse :
— Pourquoi tu t’arrêtes ?— Reste dans cette position, j’ai envie de t’exploser le cul.
Elle me regarda avec une légère lueur de crainte dans les yeux.
— C’est que je n’ai jamais eu d’aussi grosses bites dans mon cul. Et si j’avais mal ?
Je baissais ma tête et entrepris de lui lécher son petit trou. Elle se tortillait sous les assauts de ma langue et j’en profitais pour lui cracher le plus de bave possible dans son anus. L’affaire n’était pas aisée avec Charlie qui se dandinait de plaisir.
— Avec ma bave et toute ta mouille, tu vas voir, ça va rentrer comme dans du beurre.
Charlie se cambra à nouveau dans le canapé, me donnant un accès total à son fondement.
— Alors vas-y, je veux te sentir me remplir tous les trous.
J’approchais ma bite de son trou, il était très lubrifié, j’étais quasiment sûr qu’elle mouillait du cul. Ma petite salope de fille, elle avait un peu peur, mais ça se voyait qu’elle était impatiente de faire prendre. J’introduisis mon gland sans effort sentant qu’elle poussait un peu pour me libérer le passage. Quand je l’entendis prendre une grande respiration, je m’enfonçai en elle d’un coup sec jusqu’à ce que mes couilles vinrent toucher ses fesses.
Elle émit un grand cri, en partie à cause de la douleur, mais aussi d’étonnement. Elle ne devait pas s’attendre à ce que je la prenne sans ménagement. Je restais en place quelques secondes en faisant des petits mouvements de hanches. Je pouvais sentir à quel point elle était serrée. Elle avait dit vrai en disant qu’elle n’avait jamais reçu un aussi gros morceau dans son cul. J’étais fier de pouvoir être le premier à la défoncer et lui montrer de quoi un homme était capable. Une fois que je la sentis plus détendue, j’entrepris de faire des va-et-vient de plus en plus puissants. Charlie émit quelques râles, mais tendait son cul comme une invitation à aller de plus en plus loin, de plus en plus fort. Je fusionnais avec ma fille comme jamais un père ne fut aussi proche de cette relation.
Je la sentis se contracter, signe annonciateur d’un orgasme imminent. Je me concentrais pour ne pas jouir avant elle, tout ce que je voulais c’était lui donner le meilleur plaisir qu’elle n’ait jamais eu. Pendant que mes couilles claquaient sur ses fesses, elle hurla de toutes ses forces, prise de convulsions dans une jouissance qu’elle ne pouvait contenir dans son petit corps. Son anus se contractait tellement autour de la queue que je ne pus que la suivre et jouir à mon tour. Libérant ma semence dans ses entrailles en longs jets libérateurs. Pendant plusieurs secondes, je la maintins contre moi, bercée par nos respirations saccadées.
Charlie se laissa aller sur le canapé, retirant dans son mouvement mon pénis de son cul dans lequel je pouvais voir mon sperme s’écouler doucement. Elle se retourna pour le lancer un regard de femme comblée et un petit sourire coquin. Elle passa sa main sur son entrejambe récoltant un peu de mon sperme et de sa mouille avant de le porter à bouche et d’y goûter en fermant les yeux comme si c’était l’une des meilleures friandises du monde.
Je m’installai à ses côtés, mes mains la caressant doucement, lui embrassant son visage et retirant quelques mèches rebelles qui lui collaient à la peau.
Elle planta son regard de braise dans les yeux et me dit ces mots que je n’oublierai jamais :— Dommage que l’on ait attendu le dernier soir.
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