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Bonus Malus

Chapitre 6

Trash
Suite :
— Sa directrice cuisses écartées en gros plan, ça ne lui suffisait pas ?
— Disons que moi-même je trouvais cela un peu maigre, compte tenu que je m’étais foutu à poil devant un gamin pour pas beaucoup plus de points… Je lui ai donc répondu que j’étais un peu sévère, il est vrai et j’ai déboutonné mon chemisier pour lui exposer mon soutien-gorge. Là, j’ai senti que ça prenait car son regard était perdu dans ma poitrine. Puis j’ai refermé les cuisses et remis mon chemisier en lui demandant de valider tout ça sur sa tablette et de me laisser.  
— Il a accepté ?
— Plus ou moins. Il m’a dit « Madame la directrice, le rôle d’un représentant du personnel est de représenter… le personnel. Dois-je donc considérer que ce nouveau mode de récompense sera généralisé à tous vos agents ? » J’ai dit oui.
— Comme ça, sans plus de réflexion ? Vous saviez que cela allait dégénérer, pourtant.
— Oui, je n’avais guère le choix, de toute façon.  Mais pour être honnête, j’étais… plutôt excitée à ce moment-là et encore plus à l’idée de m’exposer devant plusieurs hommes. Franchement, si ce gars avait posé sa main sur ma culotte et plus encore alors que j’étais jambes écartées devant lui, je l’aurais laissé faire !
— Je comprends… Vos agents ce sont donc mis à défiler dans votre bureau pour profiter de vos charmes ?
— Oui et non, c’était plus subtil et diversifié qu’une simple liste de mecs voulant me voir nue. Ils étaient imaginatifs ! Déjà, l’ensemble de mes agents n’est pas venu me voir avec ce genre de demandes. J’ai beaucoup de femmes dans l’équipe dont la plupart sont âgées et, j’imagine, n’ont même pas été informées de cette possibilité.
— Vous n’avez eu que des hommes ?
— Pas que. J’ai eu 2 collègues féminines, manifestement lesbiennes ou bisexuelles mais plus tard, quand cette pratique est devenue moins soft et surtout moins confidentielle.
— Racontez-vous les débuts, pour commencer.
— Et bien, donc, cela n’a pas été la file d’attente comme je le craignais. Seuls quelques agents se sont présentés les premières semaines avec des petites sommes de points bonus. Au début, les demandes étaient individuelles. L’un voulait me voir en sous-vêtements, un autre voulait me peloter, un autre encore avait de quoi me voir nue.

— Certains vous touchaient donc… Vous avez accepté sans souci ?
— Il ne faut pas croire que ça a été facile. Mais ça allait doucement et assez progressivement. A chaque fois, je n’acceptais que de petites choses en plus même si au final, je devenais de plus en plus une femme facile. Par exemple, je me souviens la première fois que l’un de mes agents m’a touché, et plus encore, alors que j’étais complètement nue. Il s’agissait de mon comptable, un homme bien mais discret, d’âge mur et pas vraiment très attirant. Le genre d’homme pas méchant mais qui passe inaperçu. J’ai été surprise de ne pas le voir venir au début car il est vieux garçon et j’ai supposé qu’il se jetterait sur l’occasion. Mais il a simplement accumulé des points pendant 2-3 semaines et est venu ensuite me demander de régler la note !  Il est donc arrivé dans mon bureau en fin de journée et m’a annoncé qu’il voulait récupérer ses points. J’ai souri, passant savoir ce qui m’attendait, puis j’ai déchanté lorsqu’il a transféré ses points sur le compte de la collectivité. Il y en avait un paquet, plus que pour le jeune service civique.
Mon sourire s’est transformé en grimace et je lui ai demandé, au cas où, s’il ne voulait pas plutôt une belle prime pour tout ça, car j’avais retrouvé un peu de marge financière ces dernières semaines. Mais non, il me voulait moi.  Un peu stressée par ce qu’il allait me demander, j’ai joué la femme sûre d’elle et j’ai demandé « bien, Henry, qu’est-ce qui vous ferait plaisir ? ». Il a d’abord demandé à me peloter, tout simplement et toute habillée. Je savais qu’en bon comptable, il allait être méthodique et dépenserait pertinemment chacun de ses points. Je me suis donc levée pour m’approcher de lui et je l’ai laissé me toucher. Il a commencé par poser ses mains sur ma poitrine et à doucement masser mes seins à travers mon chemisier. Puis il m’a peloté les fesses, d’abord en me faisant face puis en me retournant pour palper à deux mains mon postérieur. Il a ensuite soulevé doucement ma mini-jupe, révélant progressivement le haut de mes cuisses que j’avais embellies de bas sexy ce jour-là, comme on m’y « invitait » maintenant régulièrement, puis mes fesses et mon string. Il me les pelotant encore généreusement, en les écartant parfois pour contempler l’étroite bande de tissu qui couvrait mon sexe. 
Puis il m’a retournée vers lui pour observer mon string de face et ma remis en place la jupe. J’étais surprise qu’il ne veuille que ça de moi mais ça ne faisait que commencer… Du coup, je ne sais pas si je dois continuer de raconter, ça devient plus chaud après…
— Allez-y, ce reportage est clairement destiné à un public averti et il sera de toute façon fait mention du caractère « pornographique » de certains propos. Je vous en prie, racontez-nous exactement ce qu’il vous a fait, avec vos mots.
— Très bien. Il a donc demandé que je me déshabille lentement et intégralement, estimant de lui-même que la quantité de points que la collectivité lui devait était largement suffisante pour cela, ce qui n’était pas faux. A sa demande, j’ai donc retiré ma veste, déboutonné mon chemisier et fais tomber ma minijupe. J’étais donc en soutien-gorge, string et bas devant mon comptable. Il me demanda de continuer mais en gardant les bas. A leur tour, mon soutif et mon string se sont retrouvés au sol, me laissant nue devant lui. J’aurais dû être affreusement gênée mais j’étais excitée, comme la première fois devant le jeune service civique. Bizarrement, alors que je pensais que cette excitation venait du fait que le jeune homme était vraiment très mignon, je me suis rendue compte à ce moment qu’en fait, elle était liée à l’exhibition en elle-même. Je réalisais que me déshabiller devant un homme, peu importe qu’il soit beau ou pas, jeune ou vieux, intime ou stricte inconnu, me faisait mouiller, excusez-moi l’expression.
Bref, je me suis retrouvée à poil et excitée devant lui alors qu’il mettait sa main devant sa bouche en soupirant un « bon dieu… » admiratif. Il a ajouté « Madame la directrice, vous êtes une femme absolument superbe… ». J’étais debout au milieu de mon bureau et ce compliment sincère n’arrangeait en rien mon état d’excitation. Je maintenais évidement les jambes serrées pour ne pas m’exposer plus que nécessaire mais aussi, j’ai un peu honte de l’avouer, pour éviter qu’il voit mon état d’excitation. Il s’est ensuite levé de son fauteuil, a fait le tour de mon corps puis s’est placé en face de moi et à lentement approché sa main de ma poitrine. Alors que ces doigts allaient entrer en contact avec mon sein, il a marqué une pause et à chuchoté « si cela ne vous dérange pas… ». J’ai simplement fait non de la tête et il a alors posé sa main sur mon sein et la peloter dans la foulée. Son autre main est ensuite venue caresser mon autre sein et il s’est mis à me les malaxer doucement. J’étais troublée par mon excitation et j’essayais de masquer cela. Mais ma respiration était forte et il s’en rendait compte.
— Pourquoi étiez-vous si troublée ? Le jeune service civique vous avait également touché les seins, si je me souviens bien.
— C’est vrai mais à ce moment-là, avec le jeune, je ne mettais pas encore exhibée devant tous ces hommes. Ma volonté de rester fidèle était alors inébranlable et il était inexpérimenté. Il m’avait touché les seins une minute et basta ! Là, mon comptable me les massait, malaxait, jouait avec mes tétons très dures. Et j’étais trempée. De plus, toutes ces exhibitions me plaisaient finalement plus que prévu et je devenais volage. Je devinais que, tôt ou tard, un de mes agents voudrait que je le suce, ou plus encore. Je ne voyais pas comment je pouvais encore me considérer comme une femme fidèle en ayant accepté tout ce que j’avais accepté. Donc là, clairement, je me voyais me transformer en objet sexuel pour mes agents et, le pire : ça ne me dérangeait pas.
Donc, pour en revenir à la situation, mon comptable me tripotait les seins et cela m’excitait. J’arrivais à me retenir de gémir, mais mon excitation était tout de même visible. Puis Henry a descendu un de ses mains vers mes hanches et un frisson m’a alors parcouru à l’idée qu’il veuille me toucher le sexe. Mais, heureusement, il a posé sa main sur ma fesse droite et me la peloté pendant qu’il continuait de jouer avec mon téton. J’avais de plus en plus de mal à me contrôler et je me mordais la lèvre pour ne pas gémir. Sans le vouloir, j’ai passé la langue sur mes lèvres de plaisir et j’ai alors entendu Henry me dire « bonne idée… ». Et sans me prévenir, il a approché sa bouche de mon sein libre et  a commencé à le lécher, en insistant évidemment sur le téton.
Déjà que je suis assez sensible de cette zone en temps normal et que mon mari pouvait me rendre folle rien qu’en me mordillant les tétons, alors là, dans l’état d’excitation où j’étais, j’ai craqué et j’ai gémi de plaisir. Content de lui, il a continué à me lécher les tétons comme un affamé et je me suis alors surprise à lui passé la main dans les cheveux, non pas pour qu’il arrête mais pour qu’il continue. Totalement en confiance sur mon consentement, il a alors déplacé sa main de mes fesses vers mes hanches puis, doucement sur mon sexe. Son majeur est ensuite délicatement descendu vers mes lèvres et là, il a découvert un sexe bouillant, totalement trempé et largement ouvert. Henry a immédiatement enfoncé son doigt en moi, je faisant à nouveau gémir de plaisir puis a commencé à me masturber alternant doigtage et caresses sur mon clitoris.
— Vous décrivez cela avec beaucoup de passion et de détail, comme si c’était arrivé hier.
— Oui car chaque seconde de ce qui s’est passé dans mon bureau de soir-là est gravé en moi à jamais. C’est ce jour que mes petits arrangements exhibitionnistes sont devenus réellement sexuels. C’est à partir de ce jour où je me suis totalement laissé aller à la luxure, sans que je ne puisse plus rien contrôler.
— Je vois. Dois-je donc comprendre que votre comptable n’en ai pas resté là.
— Lui, si... C’est moi qui n’en suis pas resté là ! En effet, alors qu’il me masturbait et le dévorait les seins, ma main droite est allé palper son entrejambe, sans vraiment que je le décide… J’ai alors constaté une érection terrible et d’une taille qui m’a interpellé ! J’ai commencé à le caresser au travers de son pantalon et lui a intensifié son mouvement en moi et a ajouté un deuxième doigt. Hors de contrôle, j’ai déboutonné son pantalon et j’ai extrait son sexe pour le masturber franchement. Le membre était effectivement très gros, bien plus que celui de mon mari. La taille du sexe masculin n’a jamais eu un effet excitant sur moi lorsque mes amies me parlaient des mensurations de leurs amants ou maris. J’ai toujours considéré et je le pense encore que la taille ne fait pas la qualité d’un rapport. Mais là, tenir cet énorme membre dans mes mains, un sexe qui n’est pas celui de mon mari, cela m’a rendu folle. Je l’ai branlé comme une folle pendant qu’il me doigtait et j’ai eu très rapidement un orgasme délicieux. Je me suis mordu la lèvre aussi fort que je pouvais afin de retenir des cris de jouissance et ainsi ne pas alerter les collègues qui travaillaient dans les bureaux voisins.
Lui-même a craqué très vite, surpris de me voir m’abandonner à ses caresses. Comme il était en face de moi lorsqu’il a éjaculé, il m’en a mis sur la main, l’avant-bras et le bas du ventre. La quantité de semence était impressionnante et je voyais à sa tête que cela devait faire des jours voire des semaines qu’il n’avait pas jouis.
Il s’est tout de suite reculé pour rangé le matériel, comme si après l’orgasme, il venait de se rende compte qu’il était allé bien plus loin qu’il n’avait prévu et s’en voulait. Moi, j’observais mon ventre et ma main. J’étais recouverte de sperme et celui-ci coulait le long de mon ventre en direction de mon sexe. Encore sous le coup de mon orgasme, j’étais subjuguée par cette éjaculation et observait le liquide venir ruisseler entre mes lèvres sans que cela ne me choque. Mais Henry déjà était rhabillé et il me tira de mes rêveries en me donnant des mouchoirs pour que je me nettoie. J’ai donc effacé toute trace de cette première vraie infidélité et je suis rhabillée rapidement pour enfin laisser sortir mon comptable.
— Qu’avez-vous ressenti en vous remettant au travail après cette incroyable expérience ?
— Au début, de la honte. J’étais devenue une femme infidèle pour faire plus facilement mon travail et pour conserver mes chances de monter en grade. J’étais une salope. Mais j’ai aussitôt essayé de me déculpabiliser en me disant que je n’avais jamais ressenti une telle excitation avec mon mari et que celui-ci, finalement, me délaissait depuis des années, ce dont je ne m’étais pas vraiment rendue compte. Je me suis aussi dit que ce petit jeu n’allait pas durer éternellement car j’épongeais les bonus rapidement et que ce genre de demandes allaient vite se calmer. 
— Mais c’était un mauvais calcul, n’est-ce pas ?
— Exact ! Vu que le système d’exo-tablettes est automatisé, le bonus se  crédite de lui-même lorsque l’employé se comporte bien au travail. C’est le principe du SECE (service d’évaluation des comportements en entreprise, ndlr). Et comme la comcom à de nombreuses compétences, avec de multiples services et énormément d’agents, il y a avait toujours quelqu’un pour avoir du bonus à me demander. Dans les faits, l’objectif de Macron était rempli : les agents bossaient plus, prenaient des initiatives, n’étaient jamais en retard. La qualité du service public de notre collectivité n’a jamais été aussi bonne. Sauf qu’en coulisses, c’est moi qui épongeais les dettes de bonus avec mon corps…
— Si vous le voulez bien, et avant de nous raconter la suite des événements, je voudrais revenir sur quelque chose que vous avez dit plus tôt. Vous avez dit que les demandes étaient au début  « individuelles » et qu’on vous « invitait » à porter des bas sexy. Dois-je comprendre que certaines demandes étaient collectives ?
— Tout à fait. Dans les premières semaines de cet arrangement, j’ai eu toute sorte de demande par mes agents, plus ou moins « chaudes », dont celle que je viens de vous raconter en détail. Mais j’avais aussi des demandes de groupes, notamment quand des agents n’avaient que peu de points bonus chacun.
— Du coup, ils venaient à plusieurs dans votre bureau et vous demandaient de vous déshabiller devant un groupe ? 
— Pas de tout, j’étais devenue de femme facile mais pas débile ! Non, pour demander ce genre de cadeau, il fallait avoir les points suffisants et c’est tout. Ils me demandaient plutôt des choses plus soft, plus discrètes mais dont l’intérêt était d’être faite en groupe, profitant à tout le monde.— Par exemple ?
— Et bien la première fois qu’on m’a fait ce genre de demande, c’était les gars de l’équipe bâtiment. La plupart avait déjà admiré mon corps dans mon bureau et là, ils voulaient solder leur bonus avant les congés d’été mais n’avaient plus grand-chose comme points. Donc ils se sont regroupé et m’ont demandé de venir me pavaner lors d’une réunion de chantier, habillée sexy. Je devais les allumer pendant qu’un architecte allait visiter des travaux qu’ils menaient.
— Ils vous ont ni plus ni moins demandé de vous exhiber en public !
— Exhiber est un grand mot. J’allais rester habillée, relativement convenablement. J’avais déjà assisté à des réunions où des femmes étaient habillées bien plus sexy que je ne le faisais, sans que cela ne choque personne. Du coup, j’ai accepté, d’autant qu’à eux tous, cela représentait beaucoup de point récupéré pour, finalement, pas grand-chose à faire.
— Vous pouvez nous décrire votre tenue et votre comportement ce jour-là ?
A suivre...
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