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Bonus Malus

Chapitre 7

Trash
Suite :
— Pourquoi pas… Vu ce qui va suivre, cette histoire va paraître très sage au final ! Pour cette réunion, j’avais mis une chemise blanche à manches courtes déjà bien décolletée à la base et sur laquelle j’avais retiré un bouton supplémentaire en prétextant avoir chaud, ce qui était vrai. En bas, j’avais une jupe pas forcément très courte mais légère. Elle était en lin et parfaitement adaptée aux fortes chaleurs que nous subissions à cette époque. Mais, du coup, elle était assez transparente, notamment à contre-jour. En temps normal, j’aurais gardé cette jupe pour un dimanche à la maison mais dans l’idée d’allumer mes agents sans avoir à me mettre toute nue, c’était parfait. Le matin, avant de partir, j’avais testé cette transparence devant mon miroir alors que le soleil donnait dans mon dos et c’est vrai que mes cuisses et mes fesses se dessinaient ostensiblement. Sous ma jupe, je portais un tout petit string blanc qui lui ne se voyait pas et on pouvait facilement croire que je ne portais aucun sous-vêtement.
La matinée c’est passé tout à fait calmement puisque j’ai pu travailler sans avoir à me déshabiller ou à me faire peloter et, après la pause de midi, je me suis rendue à cette réunion de chantier. Là-bas, les gars de l’équipe bâtiment m’attendaient déjà avec l’architecte pour une visite d’une ruine que nous réhabilitions. En m’apercevant, mes agents ont été immédiatement conquis et je savais que l’après-midi allait être particulière, mêlant travail et exhibition, sérieux et excitation. On a commencé par une visite des travaux où je me suis contentée de suivre et d’écouter l’architecte en essayant au maximum de me mettre à contre-jour, de me retourner vivement pour faire voleter ma jupe ou encore de me baisser pour révéler le haut de mes cuisses. Mes agents m’entouraient et ne perdaient pas une miette du spectacle coquin mais très gentil et discret que je leur offrais.
J’étais franchement émoustillée par ce petit jeu, d’autant que l’architecte lui-même, même s’il essayait de rester très pros, se perdait parfois dans mon décolleté. La visite se poursuivait et l’excitation montant en moi. A un moment, j’ai cédé à une petite pulsion et, alors que l’architecte était entré dans une pièce, y cherchant l’interrupteur de la lumière, et que nous attentions dans le couloir, j’ai soulevé ma jupe et ai exposé mes fesses et mon petit string blanc à mon équipe dans mon dos. Je suis restée ainsi les fesses à l’air en les cambrant délicatement vers l’arrière jusqu’à ce que la lumière s’allume enfin dans la pièce et que l’archi nous dise de venir. Cela n’a donc duré que quelques secondes mais c’était très intense et très excitant. Surtout, rien ne m’obligeais à faire cela car je remplissais déjà tout à fait mon contrat.
En entrant dans la pièce, je me suis soudain rendue compte que j’étais entourée d’hommes excités     que je venais d’allumer sans ambiguïté et que rien ne les empêchaient de me prendre en groupe et de me ravager. L’idée de ces hommes se jetant sur moi pour me baiser m’a alors fait frissonner de terreur et m’a fait dire que je jouais vraiment à un jeu dangereux. Pourtant, je devais bien admettre que je restais très excitée et que, désolée de le dire ainsi, je sentais que mon string était trempé !
La visite de chantier c’est terminée avec une partie consacrée à l’étude des plans pour les travaux à venir et avec une discussion entre moi, l’archi et l’équipe. Pour étudier les plans, posés sur une grande table au milieu d’une pièce en travaux, j’étais « obligée » de me pencher en avant pour aller chercher telle partie de plan, pour passer telle autre à un des ouvriers que me la demandait, pour regarder précisément les gaines électriques, etc. Bref, je profitais de la moindre raison pour mettre mon beau décolleté sous le nez de gars qui ne perdaient pas une miette. Dans cette position, penchée en avant, ma chemise ouverte laissée voir sans difficulté une bonne partie de mon soutien-gorge et de ma poitrine et, derrière, ma jupe se relevait presque au niveau de mes fesses. Il y avait donc des agents devant et derrière moi qui changeaient  de place à tour de rôle, en prétextant vouloir étudier tel ou tel coin des travaux. J’étais entourée de prédateurs qui me dévoraient du regard et moi, excitée, je m’en amusais et me livrais. 
Pour la partie discussion concernant le ressenti de l’équipe, ce qui restait à faire, ce qu’on avait fait et qui devrait être modifié, etc., nous nous sommes assis comme on a pu. Certains étaient sur des piles d’agglos, d’autres des pots de peintures, d’autres encore sur des sacs de ciment. L’archi et moi avions droit à des sièges. Pendant que nous échangions, je croisais et décroisais les jambes, montrant brièvement le début de mon entre-jambe. L’architecte, à côté de moi, ne pouvait pas profiter du spectacle autant que mes agents, tous assis en face, mais ne pouvait s’empêcher de reluquer mes cuisses à chaque fois que j’entamais un décroisement de jambes. Et de la même manière que tout à l’heure dans le couloir, j’ai cédé à une nouvelle pulsion alors que rien ne m’y obligeait : pendant que l’archi était penché vers sa mallette pour chercher un document, j’ai décroisé bien haut et bien lentement les jambes pour offrir aux gars une vue imprenable sur mon string. Le mouvement n’a duré que 2 ou 3 secondes, le temps que l’archi relève la tête, mais il m’a parût durer une éternité car j’avais le sentiment de m’offrir complètement à un groupe d’homme en rut alors que j’étais leur directrice.
La réunion s’est terminée tout de suite après et nous sommes rentrés au bureau. J’ai raccompagné l’archi qui était venu sur le chantier dans le fourgon de l’équipe bâtiment mais qui, bizarrement, a préféré rentrer dans ma voiture. A l’intérieur, j’ai évidemment fais en sorte que ma jupe remonte le plus possible pendant que je conduisais pour lui rincer l’œil. Là encore, rien ne m’obligeait à faire cela, aucun point bonus n’était à récupérer. Je n’avais aucun intérêt à allumer mon archi, au contraire, ma réputation pouvait en pâtir. Mais j’étais surexcitée et n’étais plus capable de raisonner à ce point.
En rentrant à mon bureau, la première chose que j’ai fait, et pour la première fois de toute ma carrière, je me suis masturbée sur mon fauteuil en imaginant que mes agents me prenaient ensemble entre les sacs de ciment. J’ai jouis en moins d’une minute !
— Et bien ! Pour une histoire que vous disiez sage, je l’ai trouvée au contraire très chaude ! Et surtout, je suis étonnée de voir à quel point vous avez été volontaire et même complice dans cette séance d’exhibition… Dois-je comprendre que vous commenciez à vous prendre au jeu, voire même à prendre plaisir à satisfaire de la sorte vos employés ?
— Je me prenais au jeu, c’est évident. Et je prenais plaisir aussi, en tout cas au début. Et pendant longtemps, ce jeu est resté plaisant, excitant, jouissif, même. Mais comme la plupart des jeux sexuels, les choses sont progressivement devenue sérieuses, très sérieuses à mesure que mes agents me considéraient, non plus comme une directrice qui accorde des faveurs, mais comme une pute que l’on peut utiliser dès qu’on en a les moyens !
— Cela faisait maintenant plusieurs mois que vous aviez accepté ce système de bonus et jusque-là, vous aviez maîtrisé la situation. Qu’est-ce qui a changé ?
— Et bien, déjà, il y a eu tout simplement le fait que les agents qui m’avaient déjà vu à poil une paire de fois voulaient d’autres choses, plus hard, quitte à attendre d’accumuler plus de points. Autre raison, plus de gens se sont mis à profiter de cette « offre » : des hommes mariés que je n’avais pas vu au début ont finalement cédés, des gars avec de grosses ardoises qui ont pris leurs temps avant de venir, des femmes qui, avant, n’osaient pas franchir le pas. Et puis une ambiance de plus en plus chaude s’installait dans les bureau, ambiance entretenue par les demandes collectives qui m’obligeaient à me montrer provocante en public et qui me rendaient moi-même coquine. J’en venais à tolérer et à rechercher des abus qui j’aurais dû limiter.
— Concrètement, comment était l’ambiance de travail de tous les jours avec ces demandes ?
— Et bien, déjà, j’avais quasiment une demande collective par semaine, émanent souvent d’un service en entier ou d’une équipe qui s’était mis en commun. Je devais par exemple m’habiller sexy et passer dans le service en question plusieurs fois par jour pour des raisons souvent bidons et jouer les allumeuses, que les agents « allumés » soient au courant au pas. Pour vous faire comprendre, une fois, j’ai dû mettre une jupe hyper courte et des bas dont la dentelle se voyait à chaque pas et une chemise très décolletée. Je me suis rendue ainsi habillée en pute, pardonnez-moi le terme, au service RH pour faire signer des documents, dicter des courriers ou parler à des collègues. Ainsi, en dictant un courrier à une secrétaire de 58 ans qui n’avait rien demandé à personne, je me pavanais en minijupe au milieu de ceux qui, eux, avaient fait la demande et je les allumais. Quand la secrétaire me demandais un avis sur une formulation, je me penchais en avant, montrant mon cul à ceux de derrière et ma poitrine à ceux de devant. Lorsque j’étais assise, je croisais et décroisais les jambes si souvent que personne dans le bureau n’ignorait le moindre détail de mes sous-vêtements.
Ces petits jeux me plaisaient de plus en plus et m’excitaient, si bien que m’habiller sexy devenait une habitude. Ma garde-robe et mon comportement ont évolués et je devenais franchement charmeuse avec tout le monde. Parfois, en privé, je faisais remarquer à un agent qu’il avait beaucoup de bonus et qu’il serait peut-être temps de venir dans mon bureau. Et si celui-ci me répondait qu’il préférait des congés, pour changer, j’en était déçue et presque vexée !
De la même manière, excitée comme je l’étais de plus en plus souvent, je laissais passer des écarts de conduite envers moi qui sont progressivement montés en puissance. Au début, c’était une main aux fesses discrète, à la machine à café, que je ne relevais pas. Puis c’était des attouchements dans l’ascenseur que je ne pensais même pas à déduire du compte bonus du mec qui venait de me toucher le sexe. Plus j’en acceptais, plus ils en demandaient.
Et du coup, ce qui devait arriver arriva : un agent c’est pointé avec une grosse quantité de bonus et a demandé la totale.
— Vous voulez dire du sexe ? Car, si j’ai bien compris, jusqu’ici personne n’avait obtenu de relation sexuelle avec vous.
— Tout à fait. J’étais le jouet sexuel que tout le monde tripotait mais personne ne m’était encore passé dessus.
— Racontez-vous la première fois.
A suivre...
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