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Bonus Malus

Chapitre 9

Trash
Suite :
— Bien. En fait, je me suis rendue chez eux un soir en me faisant passer pour une Escort girl que le couple se serait offert. Lui savait très bien que j’étais la patronne de sa femme car nous nous étions déjà vu lors de fêtes données dans les collectivités ou lors d’événements sur le territoire. Mais ils préféraient procéder ainsi, j’imagine pour se rassurer… J’ai donc bien joué mon rôle et j’ai fait comme si je découvrais la cliente alors qu’une grande complicité c’était créé entre nous depuis des semaines. J’étais habillée comme une pute de luxe, c’est-à-dire assez classe en apparence mais en fait terriblement sexy : je portais une robe très moulante et très courte, avec des bas dont on voyait facilement la dentelle, un string et un soutien-gorge sexy. Rajoutez à cela un maquillage un peu vulgaire et une coiffure de pétasse, je peux vous dire que le chemin entre ma voiture et leur porte d’entrée, au milieu des maisons voisines, a été long !
Mais une fois à l’intérieur, tout s’est déroulé magnifiquement. Nous avons bu un verre puis un autre afin de nous donner un peu de courage et j’ai commencé à draguer puis à embrasser la jeune femme, comme si c’était la première fois pour elle, c’est-à-dire sans brusquer les choses. Après l’avoir gentiment caressée et lui avoir dénudé la poitrine, nous sommes allez dans leur chambre et nous nous sommes toutes les deux déshabillées. Le mari est allé s’installer sur une chaise pour nous observer. Dans le lit, nous nous sommes alors longuement embrassées, caressées et doigtées en regardant de temps en temps le mari qui, sur sa chaise, prenait un grand plaisir à nous mater et se masturbait doucement.
Puis les choses sont encore devenir plus chaudes puisque alors que je léchais sa femme, l’homme c’est levé et est allé présenter son sexe devant sa bouche. Elle n’a même pas réfléchit une seconde et a avalé ce beau sexe pour le sucer comme une furie. Il faut dire qu’elle était très excitée et, comme moi, mouillait abondement. L’homme malaxait les seins de sa femme pendant que titillait son clitoris avec ma langue. Il ne manquait pas non plus d’observer avec envie ma croupe offerte et mes seins ballants mais n’osait me toucher.
Ma collègue a joui une première fois sous l’effet de ma langue et a lâché le sexe de son mari pour me rendre la pareille. Je me suis donc allongée sur le lit et c’est elle qui a glissé entre mes jambes pour me lécher. Son mari était à coté de nous, nous regardant avec envie puis est passé derrière sa femme et la baisé avec fougue. Elle gémissait de plaisir et était secouée par les coups de boutoirs de son homme si bien qu’elle ne pouvait guère se concentrer sur moi.
Du coup, je me malaxais moi-même les seins et une certaine frustration montait en moi en voyant se couple prendre autant de plaisir et se désintéresser de moi. Du coup, excitée et en manque d’action, je me suis saisie de la main de la femme et je l’ai portée à ma bouche pour sucer ces doigts, comme si je réalisais une fellation. Je voulais évidemment attirer l’attention sur ma situation et cela a fonctionné puisque la femme c’est excusée et m’a demandé si je souhaitais sucer son homme plutôt que son doigt. J’ai évidemment accepté et le mec est donc sorti de sa femme pour venir me présenter son sexe luisant de cyprine. Je l’ai sucé comme une sauvage pendant que ma collègue reprenait enfin les choses sérieuses entre mes jambes.
Un puissant orgasme est alors monté en moi et m’a submergé. Sous l’effet enivrant du plaisir, j’ai alors redoublé de vigueur sur le sexe du mari qui a, lui aussi, craqué rapidement. C’était sans doute l’effet combiné de la vision de sa femme en train lécher une autre et la fellation que je lui faisait qui l’a fait venir aussi vite, mais en tout cas, il n’a pas eu le temps de me prévenir et m’a remplis la bouche. Surprise par cette éjaculation et surtout la quantité de sperme dans ma bouche, j’ai commencé à recracher mais la belle blonde est immédiatement venue m’embrasser pour récupérer la semence de son mari et l’avaler tout en me roulant une pelle. Elle semblait très habituée à avaler le sperme de son mari et surtout, elle avait l’air d’aimer cela. Elle m’a alors proposé d’y goûter et j’avoue que le goût était très plaisant.
Nous étions donc toutes les deux en train de nous embrasser et de jouer avec le reste de sperme de l’homme tandis que celui-ci était allé se rasseoir sur la chaise en nous observant, apparemment satisfait de la tournure des événements.
— Et donc la soirée s’est terminée ainsi ?
— Non, elle s’est terminée 2 heures plus tard, après que nous l’ayons fait rebandé pour qu’il nous baise encore et encore et nous fasse encore jouir. Je ne suis rentrée que tard chez moi, vidée en terme de fatigue mais comblée en terme de plaisir !
— Je n’ose imaginer la somme de bonus que votre collègue a dû redonner à l’entreprise après une soirée comme celle-ci !
— Elle n’a rien donné du tout… Cela faisait longtemps que le bonus ne rentrait plus en jeu dans notre relation et j’ai passé cette soirée, et d’autres qui ont suivi, simplement parce que j’en avais terriblement envie.
— Aucun bonus récupéré ? Cela voulait donc dire que vous étiez cette fois-ci totalement et consciemment infidèle envers votre mari ?

— Oh alors là, en terme de fidélité, cela faisait longtemps que j’avais fait une croix dessus. Je vous rappelle que nous avons entretenu cette relation qui allait crescendo durant des semaines voire des mois avant de réaliser leur fantasme. Vous n’imaginez quand même pas que pendant cette longue période, mes autres agents m’ont laissés tranquille ?? Non seulement j’ai dû continuer à réaliser leurs petits caprices exhibitionnistes ou me prêter à quelques strip-tease ou branlettes, mais je me suis également fait sautée de manière de plus en plus régulière, par un nombre de plus en plus important d’agents qui redoublaient de zèle pour accumuler du bonus. Et le pire la dedans, c’est que plus ils m’en demandaient, plus j’en réclamais !
— Comment ça vous en réclamiez ?
— Et bien, c’est simple. Je devenais un accro au sexe et mes partenaires qui venait me voir pour une pipe ou une branlette m’excitaient et me frustraient tellement qu’en général ils repartaient en m’ayant baisé dans tous les sens  et pour 0 point bonus de plus.
— Et c’est donc cet emballement de la situation qui a fait exploser votre système et vous a amenée à quitter votre emploi, votre région et, aujourd’hui, à témoigner.  Pouvez-vous, pour finir votre récit, nous décrire à quel point la situation devenait intenable et comment vous vous en êtes sorti ?
— Si vous le voulez, et en effet nous terminerons avec ça car cette partie de ma vie n’est pas la plus heureuse, loin de là, et il m’est encore pénible de l’évoquer.
— Je comprends. Je vous écoute…
— Bon, je vais essayer d’être assez brève. Pour commencer, c’est évidemment ma première aventure sexuelle avec cet ouvrier portugais qui a entraîné la suite des événements. Déjà parce que j’ai adoré cela, que cela faisait bien longtemps qu’on ne m’avait pas baisée de la sorte, et ensuite parce que le fait que je couche « facilement » a fait le tour de mes collègues habitués. Ils se sont alors organisés pour me passer dessus régulièrement en se rendant des services mutuels afin de gagner en efficacité dans leur travail pour accumuler du bonus. Ce système de bonus/malus est bien foutu et je ne pouvais pas limiter ce gain de productivité. Je voyais donc les bonus s’accumuler à nouveau alors que j’avais réussi ces derniers mois à les faire considérablement régresser.
Le premier agent qui s’est pointé pour me baiser était un collègue de Miguel et m’a clairement demandé ce que je lui avais fait. La somme de bonus dont il disposait n’était pas très importante mais, d’une part j’avais laissé Miguel me sauter et jouir en moi pour autant que ça et, d’autre part, l’agent était un super beau gosse, jeune et musclé. Bref, j’ai temporisé en lui proposant d’abord une fellation qu’il a acceptée. Il s’agissait surtout pour moi d’essayer de le faire jouir rapidement pour ne pas à avoir à y passer tout en profitant un peu de ses charmes. Mais c’est l’inverse qui s’est produit !
— C’est-à-dire ?
— Eh bien, je l’ai sucé du mieux que j’ai pu, j’y ai mis tout mon talent et il adorait mais ne jouissait pas. Et plus je m’activais sur lui, plus cela m’excitait. Du coup, j’ai commencé à me caresser au travers de mon string pour me soulager mais lui en a profité pour ouvrir ma chemise, me titiller les seins et surtout, prendre le contrôle de la fellation. Il m’a baisé la bouche avec sa grosse queue et plus je me caressais, excitée par cette domination, plus il en rajoutait.
Puis il m’a soulevée, m’a allongée sur mon bureau et m’a fait un cunnilingus magnifique. Puis, alors que j’allais jouir, il a arrêté, s’est redressé et a enfoncé son sexe en moi d’un seul coup.  Ce n’était pas prévu et j’aurais dû contester, mais la seule chose que j’ai faite c’est de gémir… J’aurais dû aussi lui demander de mettre une capote, comme je m’étais promis d’exiger à mes amants, mais il me baisait si bien que je n’ai rien fait pour qu’il se retire. Comme mon orgasme avait commencé à monter durant le cunni, j’ai rapidement joui sous ses coups de boutoirs.
Mais lui n’en avait pas fini et il a continué de me défoncer dans toutes les positions. Il a déchiré mon string que je portais encore et m’a pris en levrette sur le bureau, debout contre la porte, par terre en missionnaire. J’aurais souhaité qu’il s’agisse d’un viol, d’un acte contraint mais ce n’était pas le cas : je gémissais, j’ai jouis une seconde fois et, en missionnaire, nous nous embrassions langoureusement comme deux amoureux… Puis, enfin, il a annoncé qu’il était proche de l’orgasme. Dans un élan de lucidité, je lui ai demandé qu’il se retire mais au lieu de venir sur mon ventre, il s’est avancé et recouvert mon visage d’une impressionnante éjaculation. C’était ma première faciale !
— Vous deviez vous sentir affreusement humiliée et furieuse ?
— Je me sentais surtout pétrie de plaisir et en phase avec mon nouveau statut de salope… J’aurais dû savoir que la situation allait s’empirer mais, à cet instant, je récupérais le sperme sur mon nez pour y goutter en me disant que si tous ceux qui avaient du bonus avaient aussi bon goût, je n’avais pas à me plaindre ! Aujourd’hui j’ai honte d’avoir pensé cela mais sur le moment, j’étais impatiente que le suivant arrive…
— Vous avez dû attendre longtemps ?
— Deux jours… 2 jours plus tard on frappait à nouveau à mon bureau en fin de journée et on me demandait la totale. Cette fois, l’homme était plus vieux, beaucoup moins séduisant mais avait une importante quantité de bonus à solder. Je n’ai donc même pas essayé d’y couper et j’ai suivi ses demandes en exigeant tout de même en amont qu’il mette un préservatif. Il a voulu que je me déshabille, que je me masturbe devant lui puis que je le suce. Lui ne s’est pas donné la peine de me lécher et m’a sauté tout de suite après la pipe. Alors qu’il me prenait en levrette au sol, il m’a demandé ce que je pouvais lui proposer pour le bonus qu’il venait de donner à la collectivité sachant que, pour l’instant, je n’avais rien fait de plus que pour Miguel et l’autre jeune. J’ai essayé de bluffer et lui ai proposé de venir sur mon visage mais il m’a répondu que le jeune y avait eu droit aussi et qu’il comptait bien me le faire de toute façon. Puis il m’a redemandé en me donnant une fessée ce que je pouvais lui offrir en plus…
— D’accord mais que peut-on offrir en plus de ce faire baiser et jouir au visage ?
— Oh, il n’y avait pas à chercher bien loin mais je me refusait à le lui proposer… C’est lui qui a pris l’initiative en me mettant un doigt dans l’anus et en me disant que mon petit trou ferait bien l’affaire !
— Et vous ne l’avez quand pas laisser faire ?? Vous disiez que vous n’acceptiez que ce que vous vouliez !
— Oui, je sais… Et justement, ce doigt dans mon cul ne me déplaisait pas et allait me permettre, en acceptant, de me faire sodomiser pour la première fois avec quelqu’un qui ne soit pas trop brutal et surtout pas très bien monté. Car si Miguel ou d’autres du même calibre voulaient aussi mon cul, et ils allaient le vouloir, je préférais commencer doucement.  Je l’ai donc laissé me doigter l’anus en disant simplement « ok ». Mais il était joueur et voulais m’entendre lui demander. J’ai donc dû lui demander : « est-ce que vous voulez bien m’enculer ? ». Et il a répondu « oui si c’est vous qui le demander ».
— Comment cette première c’est passé ?
— Pas trop mal, je pense. Il a été soft, m’a laissé le temps de m’habituer à cette intromission inédite. Mais du coup, il a mis du temps pour venir et à bien profiter de mon cul. Il me pénétrait parfois lentement mais bien à fond puis plus vite en me défonçant jusqu’à je lui demande un break. Pendant ces pauses, il s‘amusait à m’écarter les fesses pour mater mon trou de balle bien ouvert et s’y renfonçait quand je lui disais que c’était bon. Cette sodomie a bien duré 20 minutes et enfin il a jouis dans mon cul et non sur mon visage comme prévus.
En se rhabillant il m’a dit qu’il ne fallait pas que je m’inquiète, que j’aurais droit à ma faciale la prochaine fois et que j’aurais alors l’occasion de nettoyer sa queue après qu’il m’a bien enculé. Je n’ai pas relevé cette perspective peu réjouissante en me disant que ce n’étaient que des mots de mâle se croyant fort. Malheureusement, lors de sa visite suivante j’ai effectivement dû le sucer après qu’il soit sorti de mon cul pour me jouir au visage.
— Quelle horreur ! Comment avez-vous pu accepter cela ??
— Le truc c’est qu’il c’était passé deux mois entre ses deux visites et que durant ce laps de temps, j’avais fait des choses tout autant voire plus dégradantes et perverses avec pleins d’hommes différents. Du coup, la perspective de sucer un sexe fraîchement sortit de mon anus ne m’impressionnait pas du tout. Malheureusement, car cela signifiait que j’étais devenue une chienne sans nom…
— Cela a dû être une terrible révélation pour vous. Quand avez-vous su que vous aviez franchi une limite du point de vue sexuelle ?
— Que voulez-vous dire ?
— Je veux dire que jusqu’à présent, les choses que vous faisiez, votre mari aurait également pu vous les demander, vous les faire. Même quand cet homme vous a sodomisé, cela aurait pu constituer une relation sexuelle tout à fait normale. Mais vous venez de dire que vous étiez devenue une « chienne sans nom ». Je suppose donc qu’il y a eu un cap de franchi à un moment ?
— Et bien si on exclut le fait de se faire enculer et de se faire jouir au visage par des collègues, oui il y a eu un cap. Et il s’agit de la première fois où j’ai été prise par plusieurs hommes en même temps.
— Vous voulez dire que deux hommes vous ont demandé des faveurs ensemble ?
— Non je veux parler de mon premier gangbang ! Deux hommes ensemble, j’en ai reçu un paquet sans pour autant me dire que je devenais une salope. D’ailleurs, a posteriori, c’est étrange…
A suivre...
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