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Au bord de l' eau

Chapitre 1

Prise sur le fait

Voyeur / Exhibition
Le soleil se couche, il illumine l’océan reflétant sur les vagues presque silencieuses qui s’échouent sur le sable blond. Une silhouette marche sans se presser, elle a noué à sa taille un foulard presque transparent laissant entrevoir son maillot couleur sombre. Son ventre est plat, d’une couleur miel dû à ces heures passées à se prélasser au soleil. Son haut de maillot enferme sa belle poitrine, qui désire s’exhiber devant la descente de l’astre du jour. Ses longs cheveux noirs volent au long rythme du vent qui souffle de l’océan. La silhouette approche alors d’une maison en bois, non loin de la plage. Elle peut enlever ses lunettes, deux yeux noisette pétillants de malice apparaissent. Au rythme de son déhanché qui faisait fureur, elle s’approche du bar où un homme lui serre un verre hypnotisé par cette nymphe, ou plutôt sirène qui ferait tourner n’importe quelle tête. Cette jeune femme devait avoir une vingtaine d’années, un visage encore enfantin. La jeune femme boit le contenu du verre d’une traite et fait demi-tour tout en devinant les regards sur elle. Elle monte les escaliers, offrant une magnifique vue sur ses fesses. Une fois dans sa chambre, une pièce contenant un lit, une table de nuit et un bureau devant une belle baie vitrée qui donnait sur la mer, elle finit le jus de fruit et s’étire. Sans se presser elle ouvre son ordinateur et regarde ses mails, tout en retirant sensuellement son maillot de bain. Du coin de l’œil elle regarde un mur, tout le monde le trouverait normal mais la jeune femme savait (intuition féminine sans doute), qu’il contenait une petite caméra dissimulée. Elle ignorait qui était derrière l’écran mais le fait de se sentir observée excitait la jeune femme. Les morceaux de tissu tombent sans bruit sur le sol, une fois ses mails vus et revus la jeune femme s’installe dans son lit, elle prend bien soin d’être visible car au plus profond d’elle, elle adore cela.
Le matin suivant en ouvrant les yeux, la jeune femme observe le lever du soleil. Secrètement elle espère que la personne qui se trouve derrière la caméra est déjà devant. Cette jeune femme porte le joli nom de Caroline, elle file sous la douche laissant l’eau chaude la recouvrir. Une fois propre Caroline choisit ses vêtements pour la journée. Un maillot de bain rose bonbon, sans oublier un t-shirt blanc presque transparent et une serviette autour de sa taille. Elle met une pointe de maquillage et sort. Elle marche quelques minutes sur le sable respirant à pleins poumons l’air marin. Puis sans hâte, elle rejoint le restaurant qui doit servir le petit-déjeuner à cette heure-ci. La jeune femme entre, et va vers une table. Le serveur vient lui apporter un plateau où un bol, du café et des croissants au beurre y reposent. La jeune femme sourit et mord dans les croissants, petit à petit plusieurs femmes et hommes entrent. Caroline les observe avec malice, d’un rapide geste elle dénoue la ficelle qui retient le bas de son maillot. Elle mord dans son croissant, personne ne l’a remarquée. Caroline finit tranquillement son petit-déjeuner en voyant que le petit restaurant se remplit de plus en plus. Alors qu’elle vient de finir de manger Caroline se lève et là... les nœuds pas attachés tombent, son bas de maillot se retrouve à terre dévoilant ses jolies fesses fermes, bien rondes. Il faut dire de Caroline est fière de son corps.
« Je... Je suis désolée. » Lance-t-elle assez fort pour que tout le monde l’entende. Il y a quelques sifflets, des rires mais surtout beaucoup de paires d’yeux sur elle. Caroline ramasse vite ses affaires et sort pour trottiner jusqu’à son lieu de couchage. Une fois à l’intérieur la jeune femme sourit et s’observe dans la glace.
« Tu es belle ma chérie. »
Elle se tourne, s’admire... Elle se sent libre et belle. Des coups forts se font entendre sur sa porte.Caroline va ouvrir et un homme dans un uniforme bleu lui dit d’un air militaire.
« - Mademoiselle, c’est vous qui étiez au bar il y a quelques minutes ?— Eu... Oui. Dit Caroline. Elle fit semblant de ne pas comprendre.— Je vous ai vu en plein délit d’exhibition sur un lieu public, je vais vous demander de vous habiller et de me suivre.-... Bien Monsieur... Une seconde. »
Caroline est mitigée à la fois heureuse qu’on l’ait vue mais aussi inquiète par cet homme à l’allure sévère. Elle enfile un minishort et un t-shirt trop petit, quand Caroline passe devant le policier celui-ci lève les yeux au ciel, mais la jeune femme sent le regard du jeune homme sur ses fesses quand elle est de dos. Caroline se dirige vers la voiture sans se presser et continue à chauffer le policier.
« Allez la chaudasse, je t’emmène au poste. » Le policier lui prend le bras fermement et la plaque contre sa voiture. Caroline gémit quand elle heurte la voiture brûlante, le policier tire une paire de menottes de sa ceinture et les passe aux poignets de la jeune femme. Caroline se cambre et arrive à toucher le policier, ses fesses frôlent son pantalon. Une bosse s’est formée...
Durant le trajet, Caroline observe le paysage. Elle n’est ni inquiète ni effrayée, sans le voir directement la jeune femme sait que le policier jette quelques coups d’œil pour voir si « tout va bien. »
Une fois arrivés au poste, un grand bâtiment blanc avec plusieurs voitures de police autour, l’homme prend Caroline par le bras et entre avec elle dans le poste. Il s’approche de la femme à l’accueil et dit :
— Sandrine, j’amène ici une jeune personne prise en plein délit d’exhibition, tu me la mets sur le fichier.— Très bien Monsieur l’inspecteur... Nom, prénom, âge.— Durant Caroline, 18 ans.— Vous êtes jeune pour être ici toute seule. Lui dit la secrétaire d’un ton de reproche— Je fais ce que je veux... J’ai l’âge...— Mais pas pour ces choses Mademoiselle... Vous n’êtes pas à l’abri d’un... Pervers sexuel ou quelque chose du genre. Faites attention.— Bien Madame.— Mademoiselle, c’est à vous. Dit l’inspecteur en ouvrant une porte.
Caroline se lève et entre dans la pièce sans rien dire, l’inspecteur la referme avant de l’inviter à s’asseoir. La jeune femme prend place devant le bureau et prend une grande inspiration...
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