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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Débordements à l'amphithéatre

Chapitre 1

Divers
Les cours d?histoire se donnaient à l?amphithéâtre depuis environ deux mois tant il y avait d?étudiants inscrits. Cet achalandage nous avait fait réaliser combien il était facile de se cajoler à l?heure des cours. Personne ne portait réellement attention à ce qui se passait autour tant nous étions occupés à tendre l?oreille pour ne rien perdre du discours de l?Enseignante. Elle était vraiment chouette notre Enseignante. Le genre top-model plutôt que chignon serré. La plupart des garçons en bavaient pour elle et sans doute quelques filles aussi. Tout ce que je peux en dire c?est que l?histoire était devenue la matière préférée en cette dernière année de lycée. Moi, cela m?importait peu; j?avais dix-neuf ans, je découvrais ma sexualité et toute nouvelle avance prenait aussitôt les proportions d?une trépidante aventure.
J?avais pris place aux côtés de Samy ce matin là, après avoir convenu, avec au moins le tiers du groupe, d?une participation tapageuse pour ce cours portant sur les débordements de la Rome antique. Après quinze minutes d?écoute attentive, Samy et moi avons donné le signal en nous embrassant tendrement. D?autres ont suivi et la salle s?est remplie de murmures. Mon plan se voulait d?une simplicité efficace : au bout de trente minutes environ, tout le monde devait s?embrasser à la folie, à pleine bouche, histoire de perturber l?Enseignante. Mais voilà, les plans les plus bénins peuvent déraper dangereusement lorsque la passion se mêle à l?enthousiasme; ce que j?ai compris un peu tard.
L?Enseignante en était à nous décrire les somptueuses banquettes du Triclinium sur lesquelles les convives romains s?allongeaient pour déguster mets et vins. Ces banquettes finissaient, bien entendu, par servir à autre chose qu?à des mondanités alimentaires. Pendant ce temps, Samy avait mis les bouchées doubles et il me dévorait goulûment la nuque, une main coquine menaçant les agrafes de mon soutif. Deux filles derrière nous se roulaient des pelles tandis qu?un garçon entreprenant avait relevé la jupe de sa copine sur le siège à côté. Le vilain Samy en profitait largement pour se mirer l?oeil dans l?ouverture de cette jupe délictueuse. La langue de Samy errait comme un chien fou sur ma gorge et ces petits chatouillis me mettaient drôlement en humeur. Je sentais mon sexe s?inonder doucement, surtout à cause de sa main lutine qui cherchait obstinément à vaincre le barrage de ma dentelle pour s?emparer de mes seins dressés. J?étais, de plus, franchement excitée par le spectacle tout autour, ces étudiants complices de ma folle idée qui se caressaient gaiement, sans scrupules et bientôt sans plus de retenue. Samy était sur le point de réussir à me débusquer la poitrine quand le garçon à ma gauche, qui me semblait fort mignon, me prit le menton et me plongea sa langue humide et enfiévrée dans la bouche. Tout mon corps en était électrisé. J?avais un peu perdu le fil de ce que disait l?Enseignante. Ce qu?il y avait de bien avec elle, c?est qu?elle donnait son cours avec un dynamisme inébranlable. Rien ne la déconcentrait, sa matière l?envoûtait à un point tel qu?une bombe ne l?aurait pas même fait sourciller. Elle vivait littéralement une transe.
Samy ne bronchait pas en voyant l?autre type m?embrasser. De toute façon, je ne l?aimais pas pour de bon. On était seulement copains. Comme j?avais la bouche pleine des élans du garçon de gauche et le soutif débordant des folâtreries de Samy, je me suis dis qu?il me fallait participer un minimum. J?ai posé la main sur la cuisse de Samy qui a tressaillit aussitôt. Partout dans la salle les bruits délicats de baisers et de soupirs s?amplifiaient et je me demandais bien à quel moment l?Enseignante allait s?en rendre compte. Mais elle continuait, stoïque, parfaitement entichée par sa narration des Saturnales, les plus importantes des fêtes romaines pendant lesquelles les maîtres servaient les esclaves, et qui se terminaient bien souvent par des orgies impensables. L?Enseignante ne remarquait encore que dalle!
Alors j?ai cessé de m?intéresser aux effets que provoquerait mon petit sabotage et je me suis offerte aux plaisirs que chacun s?ingéniait à me faire ressentir. Ma main glissa donc de la cuisse de Samy au chibre de Samy. Holà! Le gros calibre! Je le tripotais avec curiosité ce membre d?étalon, un véritable Rocco à en juger les centimètres de rigidité sous mes doigts. J?ai alors réalisé que le garçon de gauche qui me ruinait la bouche de salive et de cascades linguales était l?heureux bénéficiaire d?une fellation moite et bruyante. J?ai souri parce que je ne croyais pas que certains iraient si loin. En fait, je n?avais encore rien vu... Je me suis débarrassé du garçon de gauche pour enfin me consacrer à Samy. Aussi bien y aller carrément, me disais-je. J?ai donc ouvert sa braguette et plongé mes doigts dans sa toison noire et fournie. Là, j?ai déniché de quoi m?occuper un moment. Lorsque j?ai finalement arraché la chose à sa tanière de coton, j?avoue que j?ai été impressionnée. Une belle grosse verge enflée par le désir et prête à l?escapade. Aussi, je l?ai doucement prise entre les dents et mordillée gentiment. Samy, le bel algérien, avait fermé les yeux pour mieux savourer les modulations de mes lèvres autour de son sexe majestueux. Il avait quelque chose de gracieux, de féminin. Ses lèvres, délicatement ourlées, appelaient l?urgence. Le goût de lui ravager cette bouche si raffinée me mettait hors de moi. Alors que je le suçais avec d?infinies précautions, il donnait à ses lèvres pulpeuses et pourpres des airs divins, des mimiques d?extases angéliques et je me retenais pour ne pas le déchirer de mes dents avides tant cette petite scène affolante me bouleversait.
Je sentais ma culotte complètement mouillée. Le ventre me tremblotait d?émois tant le besoin de m?asseoir sur cette verge énorme ne me lâchait plus. Je la voulais cette belle queue, je la désirais en moi, me remplissant de part en part, au fond de ma chatte brûlante, au fond de mon joli petit cul étroit. Ah! Comme je la voulais soudain la queue de Samy, frémissante dans mon ventre désordonné. Samy, lui, était aux anges, un sourire béat sur ses lèvres obscènes, attendant j?imagine que je me hisse sur son pavillon magnifique. Puis, un éclair! Je me suis soustraite à ma besogne pour constater qu?autour de moi, tout n?était que gémissements et halètements, une multitude de corps enlacés traînaient ici et là, bien des sièges avaient été désertés et l?Enseignante ne gesticulait plus au centre de sa tribune. Mon dieu! L?Enseignante, pensais-je. Mais où est-t-elle? Alors j?ai compris combien mon plan avait dévié de son objectif initial.
L?Enseignante se livrait, au pied de sa chaire, à un cunnilinctus sauvage sur l?une de ses étudiantes alors qu?un beau garçon châtain la trifouillait allègrement de son élégant glaive de chair. Je me demandais bien quelles conséquences auraient ces désordres mais quoi qu?il en soit, aussi bien profiter pleinement de cette fête locale. Je me suis donc précipitée sur l?engin de mon fantasme immédiat, au grand bonheur de Samy impatient. Comme tous nos camarades baisaient avec un sans-gêne évident, j?ai retiré mon pantalon avec assurance, découvrant ma jeune chatte bien rasée aux lèvres provocantes. Samy voulait me prendre tout de suite mais je l?ai convaincu de m?agacer un peu. Il a docilement enfouit son gland entre mes lèvres et frotté le seuil de mon vagin excité avec une patience louable. J?ai fait sauter mon pull et mon soutif pour lui enfourner dans la bouche mes seins à tour de rôle, mes deux délicieuses petites prunes fermes qu?il a savamment mangées avec appétit. Ah! Ses succulentes morsures, assez aiguës pour ériger les sens, suffisamment douces pour ramollir les résistances... Samy pouvait désormais me faire n?importe quoi, je n?étais plus qu?une offrande tendue dans une foule de nécessiteux. Il m?a fait asseoir sur son pieu avec circonspection et j?ai pu sentir ma chair s?ouvrir et se fendre presque afin de livrer passage à cet engin étonnamment robuste. Je crois même que je pouvais sentir les veines gonflées de ce pénis à l?intérieur de mon ventre tant il occupait le moindre atome d?espace en moi. J?ai pris quelques instants avant de trouver l?exercice agréable puis l?idée d?être parfaitement dévastée par ce chibre viril et envahissant m?a électrisé des pieds à la tête. De violentes secousses se sont emparées de moi et je me suis mise à contracter les muscles de mon vagin sur ce géant plein de foutre. Je pouvais m?imaginer le geyser qui exploserait de ce chibre monumental et je prenais un plaisir malicieux à essayer d?en précipiter la venue. Puis... À travers des dizaines de plaintes sensuelles, embaumée par les dizaines de parfums de sueur et sexe emmêlés, affolée par les dizaines de scènes paillardes se déroulant autour de moi, mon corps sentant l?orgasme monter, se crispa sur le membre de Samy. Il avait beau résister, gueuler qu?il allait tenir le coup, se débattre entre mes bras, refuser de ressentir les agaceries de mes dents sur ses mamelons, je savais qu?il craquait, que sa lave grimpait comme une flèche tirer à bout portant et que la vague de son foutre allait bientôt m?en mettre plein le con. Au moment même où il a poussé son cri de bonheur, une brûlante liqueur s?est répandue en moi, j?étais dégoulinante de ce jus onctueux, secouée de plaisir. Partout des cris d?orgasme, des éclats de rire, des soupirs de satisfaction et l?Enseignante, déboussolée d?avoir joui, l?Enseignante, hagarde et resplendissante après l?amour qui semblait néanmoins chercher au milieu des estrades le responsable de ce putsch odieux.
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