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Boris soigne par les eaux

Chapitre 2

Trash
La première canule, de petite taille, fut glissée dans le petit orifice du volumineux derrière d’un geste habile de connaisseur, avec la dextérité d’un artiste.
Le liquide froid se répandit en elle et immédiatement, elle frissonna. Sa belle peau laiteuse se couvrit de chair de poule.
— " Ne vous inquiétez pas, ça va passer. C’est aussi le choc thermique qui est recherché ; vous savez comme dans les saunas en Russie d’où je viens, et dans les pays du Nord. Les bienfaits du sauna sont bien connus sur la perte de poids."
Il avait vraiment des arguments en béton, et ça portait ses fruits (même s’il n’avait jamais mis les pieds en Russie et que toute sa famille était native de Bourg-la-Reine !)
Ainsi c’est tout naturellement qu’elle se laissa faire quand il empoigna ses grosses mamelles et commença à les "drainer" du haut vers le bas, d’un geste lent et méthodique.
— "On commence par cette partie du corps… : toujours le haut du corps en premier, le bas en dernier."
Il avait vraiment l’impression de la traire comme une grosse vache laitière. Vraiment, il prenait son pied !
Il pressait les énormes seins de plus en plus fortement, triturant les gros mamelons entre pouce et index, s’y attardant longuement. La grosse femme commençait à avoir le souffle court. Puis il les prenait dans ses paumes, les secouant de haut en bas, énergiquement, comme le masseur des sportifs. La peau commençait à en rougir, à force d’être ainsi vigoureusement frottée.
Le boc à lavement finissait de se vider…
"Oooooh…" gémit-t-elle…"J’ai envie…"
— Déjà ?!", dit Boris qui pressait chaque mamelle dans sa poigne droite alternativement, comme il aurait pressé une orange pour en faire sortir les dernières gouttes de jus… Il va falloir le retenir 5 bonnes minutes une fois qu’il sera entièrement passé… Afin que les vertus purgatives puissent s’exercer.
— Ooooh… 5 minutes ?!!!
— Mais oui ! Allez, il va falloir faire un effort et vous concentrer…"

Boris retira la canule qui fit un petit "floc"… La grosse dame se trémoussait en gémissant, se tortillait… Elle l’excitait terriblement.
Quand il lui dit qu’elle pouvait descendre et aller rendre son lavement elle se rua littéralement à la porte des toilettes, qui donnait heureusement sur son "cabinet" (ce qui faisait qu’elle n’avait pas à en ressortir). Il se régala de la vision obscène de son gros corps rose et adipeux passer devant lui, comme une grosse qu’on aurait déshabillée et qui chercherait à fuir ses agresseurs lubriques.
— "Prenez votre temps, videz-vous bien, car il faut de la place pour le deuxième…" plus copieux, pensa-t-il en jouissant intérieurement.
La grosse dame prit en effet son temps, comme si elle redoutait le traitement annoncé, comme si elle avait trouvé refuge dans les toilettes, dont elle était décidée à ne plus sortir.
Elle finit pourtant par sortir, toute penaude, prenant peut-être tout à coup conscience de l’impudeur de sa situation puisqu’elle était offerte toute nue aux yeux de cet homme qui ne perdait pas une miette de ce savoureux spectacle.
Il la fit se replacer immédiatement, et d’un air piteux, elle monta les trois marches et s’installa à nouveau sur la table. Boris se régalait de la voir peiner à grimper sur la table et du spectacle des chairs gélatineuses qui se balançaient pendant cette difficile manœuvre.
Il avait déjà préparé le second traitement, et il lui fit reprendre la parfaite position, claquant légèrement le gras des cuisses d’une main autoritaire pour les lui faire écarter d’avantage. L’évacuation de l’eau avait évidemment lavé également l’anus, et il reprit donc une copieuse dose de gel qu’il étala consciencieusement sur la rosette brune, et même sur toute la raie des fesses jusqu’à ce que son volumineux cul en soit tout luisant. Il s’amusait à graisser l’intérieur des fesses sur toute la hauteur ; il avait l’impression de beurrer une énorme dinde avant de la mettre au four.
Elle se laissait faire, vaincue, et n’opposa aucune résistance quand il posa la canule en forme de phallus sur la petite rondelle sombre ; il poussa légèrement et elle rentra lentement. "Comme dans du beurre !" dit-il. La place était prise, se rendait sans rébellion. La grosse dame était vaincue. Elle était à lui. Il avait l’impression que son gros corps lui appartenait désormais. La grosse poupée de chair était maintenant son jouet.
Il dût forcer pour que le premier renflement de la grosse canule passe, et elle poussa un petit cri. Je vais bien te dilater, ma grosse poule… !
Il remua un peu l’objet vicieusement, sous prétexte de vérifier son ancrage, et la vue de ce phallus qui lui tordait l’orifice dilaté dans tous les sens était terriblement excitant. Il ne la laissa pas souffler et ouvrit le petit robinet à grande eau ; le liquide chaud se déversa en elle, avec des petits bouillons. Elle soupira profondément. Le ventre s’arrondit à une vitesse impressionnante ; rapidement elle se mit à geindre.
— "Détendez-vous", dit-il, "laissez la solution faire son effet en force, la sensation est normale. Je vais vous masser le ventre afin qu’elle se répande et se répartisse partout…"
Et en fait de massage, il empoigna les chairs généreuses de son ventre, malaxa sans douceur les bourrelets épais, pressa la bedaine arrondie comme une outre ; la panse se dilatait à vue d’œil : elle ressemblait de plus en plus à une vache pleine. Ce spectacle l’excitait comme un dément. Il pressait les gros replis de plus en plus fort, et de façon lubrique, la peau rosissait à vue d’œil…
Mais la peau devint si tendue qu’il n’y eut bientôt plus de plis qu’il put pincer ; on aurait dit une femme enceinte grosse de 7 ou 8 mois, voire plus…Il se mit à lui claquer légèrement ce ventre, tendu comme une peau de tambour, ce qui déclenchait des FLOC FLOC bruyants, et des cris de protestations de la victime…
Elle gémissait, geignait, suppliait, ruait, se débattait…Elle ne "pouvait plus se retenir", c’était "trop dur"…
Boris se fit plus autoritaire, sa voix devint ferme, presque menaçante : elle devrait tenir, "PRENDRE son traitement jusqu’au bout, sous peine de n’avoir aucun soulagement au bout du compte"…
Le débit élevé fit qu’elle fut "pleine" en un rien de temps. Il ne fit pas trop durer son supplice, car il comprit qu’elle ne pourrait plus tout retenir bien longtemps et qu’on courait à la catastrophe.
Il dut néanmoins l’aider à descendre de la table en la tenant par la main, car elle oscillait, comme une outre ambulante, prête à éclater. Il alla jusqu’à la pousser vers les toilettes, une main sur ses fesses ; là, la dame se libéra à grands bruits. Quand elle en ressortit, elle était rouge pivoine, son front perlé de gouttes de sueurs, et elle avait l’air d’avoir pondu un œuf d’autruche…! Il se dit qu’elle devait avoir envie de se sauver, nue, sans demander son reste ! Le fait de l’imaginer comme une grosse dinde de Noël détaler entièrement nue dans la rue l’excitait de plus belle…
En effet elle demanda grâce, demanda si on ne pouvait en rester là pour aujourd’hui. Bien entendu il ne céda pas mais lui accorda une pause. Elle s’effondra (plus que s’assit) sur un des fauteuils destinés aux patients.
— "Vous savez que ces poils ne sont pas sains pour vous… Ça n’est pas hygiénique, et ça ne favorise pas l’élimination de toutes les mauvaises humeurs par le bas…" Et il désignait sa toison pubienne…
— "Mais je l’ai toujours eue…!
— Et c’est peut-être pour ça que vous avez toujours eu ces problèmes de surcharge un peu partout…
— Ah oui, vous croyez… ? Ben c’est p’têt’ pour ça, alors…
— Mais c’est sûr…Nous allons prendre ça en main…"
Et il lui ordonna de remonter sur la table, mais cette fois sur le dos. Elle s’exécuta sans un mot. Il prit de la mousse et un rasoir. La fit s’installer en position gynécologique. Ses larges cuisses grasses s’étalaient de chaque côté. Il réprima son désir de les prendre à pleines mains et de les malaxer.
Le visage de la grosse femme s’était tout complètement empourpré tandis qu’il tartina de mousse le pubis rebondi… En quelques mouvements de maître, il la débarrassa de la toison qui ne l’avait jamais quittée depuis près de quarante ans. Les grandes lèvres furent soigneusement rasées comme le reste. Et désormais un énorme mont de Vénus, lisse, comme une caille rebondie et dodue s’offrait aux regards de l’homme…
Il lui ordonna de se replacer à quatre pattes pour l’administration finale. Elle se retourna lourdement, présenta son énorme fessier à la concupiscence du lubrique Boris. Il lui étala avec toute la main une couche luisante du lubrifiant, lui beurrant copieusement tout l’intérieur des fesses. La moitié de son large joufflu était brillant comme un beau poulet à l’huile d’olive. Pour un peu, on en aurait mangé !
Cette fois il saisit ce qui n’avait de canule que de nom, mais tenait plutôt du gode extravagant - enfin de ceux qu’on trouve en général dans les sex shops et les catalogues d’articles "spécialisés", endroits que cette grosse campagnarde ne fréquentait pas, ni n’avait jamais vus, et n’aurait même pas imaginé qu’ils existassent. D’un ton encore plus grave et plus autoritaire, il lui enjoignit de bien écarter les cuisses, de cambrer ses reins le plus possible pour lui faciliter la tâche. En effet, l’affaire était sérieuse. Il allait faire rentrer l’objet. Et cela semblait mal se présenter tant les dimensions des deux parties paraissaient disproportionnées Il jugea - en posant la ronde extrémité de la monstrueuse canule et en appuyant légèrement dessus - la zone périnéale plutôt ferme, et foi de trouducuteur expérimenté, il ne voyait pas la rosette s’élargir et l’engloutir aussi facilement. Aussi, il déclara :
— "Quand je vous le dirai, vous pousserez… sur la canule. Vous verrez, ça ira tout seul."
Il dut naturellement expliquer plusieurs fois la consigne car cette femme de peu de jugeote eut bien du mal à comprendre ce qu’on attendait d’elle.
Finalement, Boris sentit le sphincter se détendre et vit le miracle se produire : l’anneau culier se dilata et engloutit – avec grand peine – l’objet arrondi, centimètre par centimètre, tandis que la grosse dinde poussait des râles affreux.
Victorieux, le guérisseur exulta intérieurement, terriblement excité par les cris de sa victime, dont il était en train d’immoler le cul !
L’engin prenait place dans l’orifice atrocement dilaté, ses efforts étaient récompensés.
Après un tel traitement, elle pourra subir les assauts de n’importe quel athlète d’Afrique noire. Et à cette pensée, sa tête était en ébullition, et son vit palpitait dans son slip, en proie à de fiévreuses pulsations.
Pourvu qu’elle n’aille pas porter plainte pour mauvais traitements en sortant d’ici, se dit-il en riant sous cape. Car il savait la femme crédule et convaincue, et que, même si elle saisissait tout à coup qu’il avait abusé de la situation, elle serait trop piteuse et aurait trop honte de raconter une telle scène aux autorités compétentes.
Il lui laissa l’énorme canule, retenue par la crénelure, plantée dans son fondement, offrant un spectacle obscène et outrancier.
La grosse dame avait fini de beugler et soufflait très fort. Il prépara le premier litre de sa décoction avec de l’eau très chaude et ses herbes médicinales, brancha le bock, et lui expédia sans sommation le liquide qui glouglouta dans le récipient. Tout à son affaire, il enchaîna litre après litre, sans lui laisser le temps d’une pause, mais dès le troisième litre, elle se mit à geindre plaintivement.
Elle était déjà enflée comme une outre, le ventre à nouveau tendu touchant presque le plan de la table d’examen, la sueur commençait à perler sur sa peau laiteuse et luisante, ses intestins malmenés et endoloris après le troisième remplissage du même acabit. Sa voix était faible, moulue, et ses cuisses commençaient à flageoler, à fléchir légèrement, la croupe en l’air s’abaisser insensiblement.
Boris s’en aperçut et lui asséna des claques sonores et bien sèches sur ses volumineuses fesses lui enjoignant de reprendre la position, sans quoi elle risquait d’empêcher le liquide dépuratif de se répandre et de pénétrer partout où il devait agir, et il déclara "je vais vous aider" tout en enchaînant et en gratifiant, à un rythme lent et soutenu, son large postérieur, ses hanches et le haut de ses gros jambons bien blancs, de claques bien appuyées données de toute la largeur de la paume et des doigts, des claques qui se caractérisaient par un long temps de contact avec les belles chairs, les pressant comme s’il voulait pousser tout le corps vers l’avant.
La grosse femme prenait ses claques sans broncher, vaincue, comme s’il s’agissait encore d’une sorte de massage ou de manipulation énergétique dont le guérisseur connaissait le secret.
Quand le lavement fut entièrement passé, elle était épouvantablement dilatée, l’abdomen doublé de volume, et retenait des nausées. Il jouit encore un peu du spectacle du gode en place, ainsi enfoncé entre ses larges fesses, puis doucement le retira ; il fit un PLOP sonore en quittant l’orifice et la grosse poussa un petit cri, tant par la sensation qui la surprit que par la crainte de ne pas retenir toute son eau.
C’est avec grand peine qu’elle arriva à se bouger et à descendre de la table, Boris la soutint, en profitant pour passer une main autour de sa large taille, et poser l’autre sur la hanche grasse et replète, et l’emmena aux toilettes.
Elle se vida à grands bruits, tant qu’on aurait dit un robinet ouvert sous pression ou un jet d’eau. Son visage rubéfié et couvert de sueurs exprimait à la fois un soulagement intense et une grande lassitude. La chaleur de l’eau qui avait séjourné dans ses entrailles avait eu sur elle l’effet d’un hammam.
Quand elle ressortit du petit coin, il lui demanda de remonter sur la table et de s’y allonger pour lui faire constater déjà l’effet déjà immédiat du traitement.
— "Ressentez-vous toujours vos douleurs à présent ?" demanda-t-il avec un sourire enjoué.
— Ben… J’sens pas l’mal de dos en tout cas, oui…
— Vous voyez… ?"
Tout ceci pendant qu’il l’aidait comme par galanterie à s’installer sur la table. Il lui demanda de mettre ses jambes en l’air et de les tenir bien relevées. Le spectacle était saisissant d’érotisme :
les petites mains potelées et fermes de paysanne maintenaient fermement et tant bien que mal ses grosses cuisses pleines de cellulite qui écrasaient bien les bourrelets de son ventre, accolés et comprimés comme les soufflets d’un accordéon.
Il constata que l’anus malmené restait encore entrouvert, et tardait à reprendre sa dimension initiale (évoquant plus la tulipe bien ouverte plutôt que le petit œillet de poète rouge) ; il admira l’attendrissant mont de Vénus lisse et large comme le Mont Lozère, et il se lança dans un pelotage méthodique en palpant zone après zone la chair graisseuse des cuisses, des hanches, des flancs, des bras, et même, sans hésitation les seins étalés et mous tout en gratifiant sa "patiente" d’un commentaire professoral :
— "Ah oui, on sent bien déjà le résultat qui commence à s’opérer : la peau est déjà moins tendue, les toxines, les œdèmes et même la mauvaise graisse sont en train de suivre la voie de l’eau. Leur excédent va finir de s’éliminer dans les jours prochains et ça vous libérer. Vos articulations et votre dos vont s’en ressentir soulagés de toute cette tension que vous aviez accumulée et vous ressentirez un mieux spectaculaire au niveau de vos douleurs."
En attendant, pensait-il, tout le spectaculaire était pour lui ; il s’était régalé de la vue impudique de cette femme qui avait étalé devant lui de bonne grâce la lascivité de son corps débordant d’embonpoint, et dont il avait trituré, malaxé et pétri avec volupté ses chairs plantureuses débordant du large corps.
Elle se rhabilla lourdement, et avec lenteur, exténuée par l’exercice qu’elle n’avait pas l’habitude de pratiquer, finit par s’asseoir devant le bureau, en soufflant, puis régla sans protestation les 80 € qu’il lui demanda.
— "Vous verrez, vous allez quasiment dormir deux jours pour vous en remettre, mais le troisième jour, vous serez régénérée : vous vous réveillez fraîche comme une rose, revigorée, purifiée, et en pleine forme comme jamais. Vous verrez, vous aurez été totalement libérée de toute cette surcharge, de ces œdèmes nocifs."
Car Boris savait bien qu’après les nausées initiales, la fatigue, l’abattement de quelques jours durant lesquelles elle allait passer son temps à dormir, effondrée, elle mangerait très peu, et perdrait - ô miracle – 2 à 3 kilos ! (Qu’elle reprendrait bien vite, mais qu’importe… le résultat immédiat finirait de la convaincre de l’excellence du traitement et donc, de l’efficacité du charlatan.)
— "Et puis, mangez léger ces deux prochains jours, juste quelques bouillons, que des choses naturelles et saines : cela améliorera l’efficacité du traitement."
Et sûr de lui il savait qu’il la reverrait au bout d’un moment, c’est à dire dès que ses douleurs reviendraient parce qu’elle aurait gardée le souvenir de cette amélioration spectaculaire qui aurait emporté chez elle la conviction que cet homme, malgré ses traitements un peu rudes et éprouvants, avait un réel don. Et reconnaissante envers lui, elle reviendrait le revoir pour qu’il la soulage encore, prête à subir pire, même, si nécessaire.

Excité par son succès, Boris commença à administrer son "traitement" à de plus en plus de femmes du village et même de tout le canton. Néanmoins, un jour, un mari sans doute, trouva que cette thérapeutique était assez peu orthodoxe et eut des vilains soupçons. Une plainte fut portée. Les gendarmes vinrent lui rendre visite et le convoquèrent pour le lendemain.Mais le lendemain le miraculeux guérisseur - spécialisé es intestins et cellulite des dames - avait disparu, son cabinet vidé et on ne le revit pas.
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