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Boucle d'Or

Chapitre 2

Trash
Cela fait une demi heure que j’attends dans la petite chambre lorsque je les entends rentrer. J’ai laissé la porte entrouverte pour tout voir. Ils s’embrassent à pleine bouche. Lui sait que je suis là et que je regarde. Il la déshabille lentement. Je bande déjà comme un fou. Mon souffle s’accélère lorsqu’il dévoile ses magnifiques petits seins. Il suce un téton. Cela la fait rire. Un rire juvénile, gai, sans complexe qui me va droit au cœur. La jupe glisse le long des jambes. La vue de ce petit corps féminin me fait haleter. Quelle beauté! Il lui fait écarter les cuisses en la caressant. Elle vacille rapidement et s’assoit sur le canapé en ouvrant ses cuisses. Petite salope! Il la lèche d’abord doucement puis de plus en plus fort. Il la broute goulûment maintenant. Je l’entends aspirer bruyamment. Au début, la petite se cambre et pousse des soupirs, puis ce sont des petits cris. Il sait y faire le salaud. Il la chauffe encore et encore jusqu’à ce qu’elle lui saisisse la tête en poussant un râle de plaisir. Alors, il quitte l’entrejambe, remonte et lui prend la bouche. Elle répond à son baiser avec un entrain qui fait plaisir à voir.
« Attends. » Il se lève et se déshabille complètement. Sa bite se dresse bien droite. Je constate avec satisfaction qu’elle est assez moyenne par rapport à la mienne.
— T’es sure? Je ne veux pas que tu regrettes après.— Oui, faites le moi! Je vous aime et vous, vous m’aimez?— Bien sûr que je t’aime. Tu vas faire tout ce que je te dirais?— Oui! Vous savez, c’est la première fois. Vous ne me ferez pas mal, hein?— Tu me fais confiance oui ou non? — Oui!— Je veux que tu te souviennes de cet instant toute ta vie, alors on va le rendre spécial. Allonge-toi sur le lit et laisse moi faire.
Il commence par lui attacher les mains et lui bander les yeux puis pose les écouteurs sur ses oreilles. Il avait tout préparé à l’avance suivant mes instructions.
— Qu’est ce que vous faites?
Elle ne peut plus rien entendre. J’attends qu’il ait fini de l’attacher pour entrer. Le spectacle me ravi. Boucle d’or est totalement nue, les jambes serrées. Son pubis est couvert d’un duvet blond et bouclé. Ses yeux bandés et les écouteurs la rendent aveugle et sourde. Cette merveilleuse beauté juvénile m’est livrée prête à être consommée et j’ai grand appétit. Mes mains fébriles caressent ses mamelons, mes lèvres sucent les tétons. Ma langue savoure chaque centimètre de sa peau douce jusqu’à son ventre. J’ouvre doucement ses jambes pour découvrir la fente de son petit coquillage. Je le respire et savoure les effluves marines caractéristiques des jeunes filles. Je l’ouvre délicatement avec le bout de ma langue. Puis je le lèche tout le long et pénétrant les petites lèvres. Patrick l’a bien chauffée et son trou est juteux. Elle se tortille comme pour m’échapper. Alors j’embrasse son sexe goulûment, saisis son petit bouton gonflé entre mes lèvres. Elle gémit et se tortille de plus belle. Sa mouille coule sur mon menton. Boucle d’or, chauffée à blanc, réclame l’homme. Je me positionne à genoux entre ses cuisses que j’écarte en lui remontant les jambes. Mon sexe me fait mal tellement je bande. Son petit corps se fige lorsque mon gland brûlant pénètre lentement dans sa rose. Surprise par la grosseur de mon sexe, elle tente de refermer ses cuisses mais c’est trop tard.
J’apprécie de voir son idiot de séducteur me regarder l’air ahuri cueillir la fleur de cette petite salope. La sensation de puissance que je ressens à ce moment est un excellent stimulant. Mon gland disparaît petit à petit dans sa vulve juteuse jusqu’à rencontrer l’hymen. Je m’arrête un instant puis la déflore d’un coup de rein. Elle pousse un cri de douleur. Je profite de sa réaction pour m’enfoncer jusqu’au fond. Elle se tortille comme une truite dans la main du pêcheur. Son con est étroit et chaud, un véritable régal pour ma queue. J’en prends possession. Je bouge doucement pour laisser ses chairs s’adapter à l’envahisseur. « Tu t’en rappelleras toute ta vie de ma grosse bite » lui dis-je. Elle finit par accepter ma présence, persuadée qu’elle se fait dépuceler par le gentil Patrick.
Le miroir de l’armoire me renvoie l’image du « gros ours » en rut défonçant Boucle d’or. Mon gros corps trapu et poilu sur le ventre de la jeune fille renforce l’illusion. Patrick, tétanisé par le spectacle de la bête s’accouplant avec la belle, se masturbe doucement.
Je vais et je viens doucement, savourant chaque seconde du viol de cette petite princesse. J’ai une pensée pour son père si arrogant. S’il savait que je fourre son petit ange, il me briserait méchamment. Je m’enfonce jusqu’au fond et je me retire, cognant contre son utérus. Au début, la petite gémissait de douleur ce qui me plaisait bien. Elle gémit toujours mais le registre à changer. Il me semble qu’elle commence à apprécier. A chaque coup de reins, elle pousse de petits râles typiques. Elle est passée du subit à l’acceptation du mâle. Sa petite chatte s’ouvre davantage et elle écarte les cuisses tant qu’elle peut pour mieux sentir mon membre au fond d’elle. Alors, je l’écrase de tout mon poids et me laisse emporter par l’ivresse de la possession totale. Je me déchaîne en la bourrant méchamment. La petite femelle se cambre soudain et pousse un cri de jouissance qui résonne à mes oreilles comme un signal de victoire. J’arrête de la bourrer et me redresse. Je reste en elle jusqu’à ce qu’elle reprenne son souffle. A cinquante ans, j’ai acquis assez d’expérience pour profiter pleinement de cette mignonne.
Je saisis son clito et le fais rouler doucement entre mes doigts en la limant doucement jusqu’au fond. Cela lui fait de l’effet, son corps semble secouer de décharges électriques. Elle connaît un nouvel orgasme qui cambre tout son corps. Je la laisse se calmer. Il est temps de me vider les couilles. Sans plus me soucier de son plaisir, je m’enfonce dans son ventre et me laisse aller à ma nature sauvage jusqu’à ce que je sente le plaisir m’envahir. Je lui envoie de grands jets de foutre au plus profond de ses chairs. Sans vergogne, j’ensemence son ventre fertile et délicat de vestale. Je n’avais jamais joui avec une telle intensité. Je m’effondre lourdement sur le petit corps secoué de spasmes.
« Putain que c’est bon ».
Mon sexe gluant glisse hors de son trou d’amour. Le sperme blanchâtre mêlé de sang s’écoule de sa fente et mouille la raie de ses fesses. Je me tourne vers Patrick.
— Je me garde sa chatte et son cul pour l’instant. Tu peux prendre sa bouche.— Merci monsieur.— Tu t’occupes d’elle jusqu’à ce que je sois parti. Après seulement, tu la détaches.— Oui monsieur.
Une toilette rapide avant de rentrer. Je jette un dernier coup d’œil dans la chambre. Patrick se vide les couilles dans la bouche de boucles d’or en la tirant sans ménagement par les cheveux. Son ventre écrase le visage de la jeune fille en grognant de plaisir. Pour la douceur, elle repassera mais je crois qu’elle a dépassé ce stade.
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