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La bouffeuse de sperme du mobile-home 36

Chapitre 3

Avec plusieurs hommes
La bouffeuse de sperme du mobile-home 36 (3)
Ce fut une semaine de débauche sexuelle. Franck a de gros besoin de sexe. Il tire ses quatre à six coups par jour. C’est d’ailleurs pour cela qu’il a divorcé. Sa femme ne suivait plus le rythme et il est allé voir ailleurs.Dès le matin, il se réveillait avec la gaule. Il lui fallait soulager sa crampe immédiatement et, qu’elle fût réveillée ou pas, il attaquait directement la chatte d’Elisa. Au début, celle-ci encaissait sans rien dire, mais au bout de trois jours, elle n’en pouvait plus. Pour peu que nous ne la baisions pas ensemble, elle pouvait en effet connaître une dizaine de saillies par jour, ce qui commençait à faire beaucoup, d’autant plus que cela pouvait durer longtemps. En effet, au contact de Franck, j’avais pris des leçons et je commençais à mieux lui faire l’amour. Je gagnais en endurance. Elle appréciait mais la fatigue la gagnait. On a dû lever le pied et baisser la bite mais on a tiré à fond quand même.
Elle était cependant pleinement épanouie. Elle était magnifique quand Franck la prenait, les seins, lourds, durs, le téton raidi, les muscles bandés, la tête en arrière, les cheveux flottant, féline et jubilant d’orgasme. Dès que Franck la montait et que je la voyais ainsi, j’avais aussitôt envie de les rejoindre.J’étais stupéfait par les prouesses de Franck malgré son âge. Il avait certes une excellente condition physique mais comment pouvait-il jouir autant de fois par jour ? Il l’expliquait par une hygiène irréprochable. Très peu d’alcool, jamais de tabac, boire beaucoup d’eau et manger des fruits et légumes, cela régénérait le sperme d’après lui et lui procurait des éjaculations fréquentes et abondantes. Et de fait, je n’avais jamais rien vu de pareil.
La deuxième ou troisième nuit que nous passions ensemble, nous avions terminé notre partie à trois assez rapidement, la fatigue s’étant malgré tout installée. Vers 23 H 30, nos couilles satisfaites, nous avions éteints tous les feux... sauf peut-être ceux que ma femme avait encore au cul. Nous nous étions endormis et, vers deux heures du matin, je me réveillai. Ma femme, à côté de moi, bougeait et gémissait. A la position de son pied, touchant mon genou, je compris qu’elle avait écarté les jambes. Son coude replié, me fit comprendre qu’elle était en train de se caresser les nibards. Je grommelai : "Putain, faites chier, vous ne pourriez pas dormir un peu quand même " ! Mais j’entendis le souffle assez fort de Franck, de l’autre côté de ma femme. Ce n’était donc pas lui qui baisait. A tâtons, je cherchais à comprendre ce qu’il se passait. Une tête aux cheveux bouclés se démenait allègrement entre les jambes de la belle garce qui en profitait. C’était donc Anthony qui lui mangeait la raie.Au bout de quelques minutes de ce broute-minou, il remonta, mit ses bras de part et d’autre de ma femme, en m’écrasant un biceps au passage. Il se préparait pour la pénétration. Au moment où il allait entrer, Elisa sursauta: "Et, mais tu es qui toi "! Elle le dit tout en se cambrant pour repousser l’homme. Il y avait de l’affolement dans sa voie. Elle avait une queue entre les jambes. Ce n’était pas la mienne, ni celle de Franck, ni celle d’Anthony. Elles les connaissait toutes suffisamment pour savoir que le bout qu’elle avait sur le clitoris n’avait jamais connu ses faveurs. J’allumais la lumière. Sur le corps, elle avait un grand black, nommé Cyprien, le meilleur copain d’Anthony qui, lui, se tenait debout, à poil derrière Cyprien, devant la porte.
Il nous expliqua qu’il avait parlé à son copain de ma femme et que ce dernier, ayant tellement envie de l’essayer, il avait pensé profiter de l’occasion nocturne pour le faire en douce. Il y eut une rapide discussion entre nous et lui pour lui faire comprendre que l’on appréciait pas la démarche qui s’apparentait à du viol. Les deux mecs étaient tout penauds, la queue pendant entre les pattes. Mais Elisa, pas rancunière, regardait le paquet du grand black, de fort belle dimension, même s’il n’atteignait pas les mensurations de Franck. Surtout, le gland était démesuré, très long et très dessiné. Après avoir dû promettre que cela resterait entre nous, elle saisit le gros vit dans ses mains pour le branler. Puis elle le porta à sa bouche. Franck s’était réveillé... nos bites aussi, quatre beaux chibres, la tête bien dressée vers le ciel. Il y eu tournante. Chacun passant dans la bouche puis dans la chatte, ceux qui n’y étaient pas se faisant tripoter le nœud et les couilles.Mais ces adeptes de la baise, accros aux films porno, décidèrent de relever un défi. Une triple! Il fut convenu que le mec à la bite la plus courte, c’est à dire moi, se consolerait dans la bouche. Puis par ordre croissant de la taille des queues, Anthony s’allongerait sur le dos, ma femme lui faisant face s’empalerait la chatte sur son Dard. Cyprien prendrait la rondelle en position du bouledogue et Franck, la plus longue des queues, viendrait s’insérer dans le plus accessible des deux trous. Ce ne lui fut pas chose aisée, malgré la pratique théorique des films X, compte tenu de l’épaisseur des bites. Mais, à force de gel, tout finit par rentrer. Je n’y puis plus tenir. J’abandonnais ma place pour aller prendre mon appareil photo. Il était dans notre mobile-home, et je courus, à poil, le chercher. De retour, la partie s’était animée. Les mecs avaient trouvé leur place et leur rythme et forniquaient en cadence. Si on passait près du mobile-home, on entendait ma femme gémir. Et, en s’approchant, on pouvait risquer un œil derrière les rideaux et deviner une partie de la scène. Je pris toute une série de photos qui inaugurèrent le reportage que j’allais faire pendant les jours restant.

Les deux mecs qui se partageaient la rondelle changèrent de place. J’en profitais pour demander à Anthony de me céder la sienne. Ma femme se ficha sur mon sexe durci à mort, et les deux autres types se ruèrent dans le cul. Anthony se fit tailler une pipe. Il fut le premier à éjaculer. Je reçus des larmes de sperme sur mon visage. Peu après, Cyprien découilla à son tour, se retira et vint se faire décrasser dans la bouche encore toute graisseuse du foutre d’Anthony. Le black avait dû lâcher une sacrée dose car mes couilles étaient humides du sperme qui s’échappait du fion que Franck ramonait allègrement. A mon tour, je ne puis plus tenir et je déchargeais tout au fond du vagin. Enfin, Franck finit par s’extraire pour couronner le tout d’une longue et majestueuse faciale. Tout le monde se congratula. Les deux jeunes prirent congé en demandant la permission de revenir qui leur fut, bien évidemment, accordée. La piaule puait le jus d’homme, remugle de sueur et de sexe dans lequel nous baignons depuis plusieurs jours désormais. Personne ne se doucha... Le sommeil vint nous prendre. Les nichons luisirent une dernière fois sous la lumière, un grumeau de jute s’accrochant désespérément à un téton, promesse d’un autre dosage dès que le réveil nous prendrait, Franck ou moi, la quéquette raidie, prête à une nouvelle jouissance.
Les autres jours furent à l’avenant, du sexe, du sexe et encore du sexe. Le matin, le midi, le soir. Plus fort, plus hard... Par exemple, deux jours après cette nuit mémorable, alors que nous étions en train de déjeuner tous les trois, Cyprien vint nous voir. Il demandait l’aumône d’un coup de bite avant de partir au travail. Il était pressé. Elisa s’allongea sur la table, à moitié débarrassée à la va-vite et, entre les verres, les bouteilles et le plat de charcuterie, elle se fit prendre à la hussarde. Nous avions déjà niqué avant et aucun de nous ne fut capable de relever le défi d’une érection complémentaire. Mais Franck, jamais en veine d’une idée obscène et ne voulant pas renoncer à son repas, en profita pour étendre de la mayonnaise sur le nichons et les lécher, puis il demanda à Cyprien de se retirer pour enfiler un saucisson dans la chatte ruisselante, avant de s’en payer des tranches. Je trouvais la chose dégueulasse au premier abord mais, voir Cyprien aller et venir violemment me prit au dépourvu et bien que ne bandasse pas je fus saisi de désir. Je finis par plonger mon sexe dans le pot de mayonnaise pour le faire sucer ainsi enduit dans la bouche de ma femme. Cyprien après d’ultimes coups de reins frénétiques se retira et envoya une purée fournie, crémeuse et odorante sur le ventre d’Elisa.

Cette baise décida Franck à nous faire part de tous les fantasmes qu’il n’avait pas encore assouvis. L’un d’eux consistait à baiser en public. Nous nous y opposâmes résolument.Cependant, la dernière nuit arrivait. Nous décidâmes de baiser une dernière fois. Il fallait partir le lendemain, pas trop fatigué pour la route. Cependant, Elisa se réveilla vers deux heures du matin. Elle se leva pour aller prendre un verre d’eau. Réveillé à mon tour, je la rejoignis et nous discutâmes. On se demandait comment on retomberait sur terre après cette folle semaine. Franck se leva à son tour. Il nous demanda si nous ne voulions pas profiter de la nuit pour réaliser son fantasme de baise dans un endroit public. A cette heure, nous ne risquions presque pas de nous faire surprendre. Et comme nous partions le lendemain, au pire même si c’était le cas, on ne courrait pas grand chose. Nous lui demandâmes de préciser son plan. Il était simple. Nous partirions, lui et moi, vers le bloc des sanitaires le plus éloigné. On irait dans les pissotières toujours éclairées la nuit. Elisa viendrait nous rejoindre et nous la prendrions là. Aussitôt dit, aussitôt fait. Nous traversâmes le camping où tout dormait ou presque. C’est juste si, ça et là, une lumière pâle brillait dans une caravane ou une lueur orangée éclairait une toile de tente. Il faisait lourd. Juste vêtu d’un short, nous pissâmes de conserve dans les urinoirs. Elisa vint tout de suite après. Elle enleva son T-shirt moulant et se mit à genoux devant le chibre de Franck. Elle nous suçait alternativement. Puis Franck la souleva comme si elle n’avait pas pesé plus d’un kilo et la fit asseoir dans un urinoir. Il fléchit légèrement les jambes pour la pénétrer. A côté, je me masturbais. Franck faisait coulisser son sexe avec lenteur, comme pour profiter au mieux de cette ultime fois, retirant la bite presque totalement pour la refoutre le plus profondément possible. Nous en étions là quand un jeune homme de dix-huit ans environ entra. Il resta interdit devant la scène. Puis il porta la main à son pyjama et, se rendant compte de ce qu’il faisait, il s’excusa et allait partir quand Elisa, après s’être fait confirmer qu’il était majeur, lui dit de rester. "Je reviens" dit-il. Et il disparut une petite minute. Il était aller chercher son portable. "Et qu’est-ce que tu fais" ? lui dis-je. "Je prends une photo, sinon personne ne va me croire". "Non pas de photo". Mais Elisa lui précisa : "Sauf si on ne voit pas les visages". Il prit donc une photo qu’il me fit voir. On reconnaissait bien les lieux mais, effectivement, on ne pouvait pas reconnaître le personnes. "Aller petit, fais-toi plaisir" dit Franck en se retirant. Mais Elisa qui commençait à fatiguer dans ce siège inconfortable qui sentait l’urine, se mit debout, et lui présenta les fesses. Le gamin sortit sa petite quéquette toute dure et très touffue et trouva la raie sans trop de difficultés au moment où deux autres garçons rentraient. C’étaient ses potes à qui il avait envoyé la photo. Bien qu’âgés de 19 à 20 ans, ils avaient l’air d’adolescents, de minets, peu musclés. Ils passèrent tour à tour sur ma femme qui les vida jusqu’à la moindre goutte en quelques minutes chacun. Ils repartirent aussitôt sauf le plus grand d’entre-eux qui resta jusqu’à la fin. Il venait de perdre son pucelage et s’émerveillait de nous voir prendre ma femme dans toutes les positions. Il continua pendant tout ce temps à se tirer sur la nouille et à se masser les testicules. Pour finir, nous prîmes ma femme en sandwich, Franck la soulevant, la plantant par le cul alors que je l’enconnais. Cette dernière position venant plus d’une demie-heure après qu’il eût tiré son coup, sa verge avait repris de l’ardeur, aussi, quand nous eûmes éjaculé chacun dans notre trou, vint-il se mettre derrière la femme qui lui tendit sa croupe juteuse. Il y plongea son vit jusqu’aux boules et l’encula pendant vingt minutes pendant que nous lui prodiguions nos conseils.

Nous rentrâmes nous coucher. Le réveil nous prit profondément endormis tous les trois et comme d’habitude nos deux gaules saluèrent le jour nouveau par une solide érection. Elisa ne voulut pas que Franck la prît. Elle exigea de se mettre à quatre pattes et pendant que je la sodomisais, elle demanda à Franck de se masturber au dessus de son visage jusqu’à la giclée libératrice.
Nous nous quittâmes, ayant échangé nos adresses et la promesse de nous revoir très régulièrement. Promesse qui fut scrupuleusement tenue.
Fin.
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