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La boulangère boulotte

Chapitre 2

Hétéro
Je pris donc tout l’attirail et versai l’eau chaude dans le récipient. Elle me conduisit dans sa chambre.— "Allez installez-vous." Très rouge mais sans hésiter elle fit tomber sa jupe et sa culotte tandis que j’affectai de ne pas regarder, tout à mon affaire d’agiter l’eau dans laquelle je venais de verser la cuillère de Mercryl et quelques gouttes d’huile d’amande douce.Quand je me retournai, c’était un fabuleux spectacle qui s’offrait à moi : un large fessier exposé comme en offrande, d’un blanc laiteux, les mappemondes bien déployées, ses cuisses grasses et ses jambes rondes nues ; le spectacle d’une telle soumission ne pouvait laisser personne indifférent… Je pris un malin plaisir à effectuer une critique du matériel, comme un professionnel de la chose, doté d’une grande expérience en la matière :— "Hum… Cette canule est un peu petite… J’espère que ça va aller…— Pourquoi ? C’est embêtant… ?— Disons que… j’espère qu’elle ne va pas glisser et s’enlever toute seule… Enfin, elle a quand- même des crans pour la retenir, mais ils sont un peu petits ; si j’avais su, j’aurais amené deux ou trois grosses canules d’une taille suffisante, et qui ont une forme plus adaptée, plus sure…"Je distillai ces mots bien mesurés, la laissant imaginer, devinant le trouble que ça faisait naître dans sa tête. Comment on pouvait innocemment parler de la sodomie par des instruments dans un but curatif, à une femme que je connaissais si peu et qui m’offrait son postérieur et sa plus étroite intimité. Je me régalais…" Mais bon, je vais rester là pendant toute l’opération, et surveiller que ça ne parte pas. Mais vous, veillez surtout à ne pas pousser, et à bien retenir le lavement ; surtout quand il y en aura beaucoup.— "Oui, oui, d’accord…"J’installai le récipient sur une commode, en le rehaussant en le plaçant sur une pile de livres, puis je m’assis sur le bord du lit, juste à côté de la belle. Je la fis reculer un peu, prétextant que ce serait plus commode, les genoux tout près du bord.— "Ecartez un peu les jambes" dis-je en lui tapotant du dos de la main le gras de chaque cuisse, excité comme un fou par ce contact charnel, "il faut que vous soyez bien stable, bien confortablement installée."Là encore, elle ne protesta pas, obligatoirement consciente pourtant de la mauvaise foi de ma demande, et de la façon indécente dont elle allait s’exposer encore d’avantage à ma vue. Mollement, et lentement, elle écarta les cuisses l’une après l’autre, dévoilant son abricot bien fendu et allongé comme une amande, et son petit trou ; je m’emparai de la partie interne de ses fesses que j’écartai doucement, constatant que son œillet froncé avait fait l’objet d’une toilette impeccable.— "Bon, je vais vous lubrifier l’anus, " dis-je tout en prenant quelques gouttes d’huile d’amande douce, et je commençai à lui masser la petite cupule que je sentis ferme et nerveuse sous la pulpe de mes doigts… elle frissonna.Je pris mon temps, sans néanmoins y passer 10 min, mais je donnais quand même l’impression de préparer une jeune pucelle pour sa première sodomie. Je me saisis enfin de la canule, et d’une main, écartant doucement l’intérieur des fesses pour exposer la rosette maintenant toute luisante, j’introduisis de l’autre la canule dans le sanctuaire, regrettant à ce moment-là qu’elle ne soit pas d’une taille plus conséquente, auquel cas j’aurai pu savourer le plaisir de forcer une résistance plus sensible.— "Voilà, c’est en place. Je vais ouvrir maintenant le petit robinet, d’abord tout grand, puis quand vous commencerez à ressentir des crampes dans le ventre, vous me direz et que je ralentirai le débit…— Oh, vous êtes un expert…" Je ne m’attendais pas à ce qu’elle eut osé ce compliment.Puis après un silence : "Je me sens en confiance avec vous." …L’eau devait commencer à la remplir.— "Ca va ? C’est bon ?"— Oui, oui…"L’adverbe était volontairement ambigu, mais n’appela pas d’autre commentaire.Son ventre se remplit rapidement, et elle commença à gémir.— "Ca commence à se remplir. Vous avez des coliques ?— Oui, un peu…
— Alors on va ralentir le débit. Je vais vous masser un peu le ventre, ça va aller…"Sur ce, je remontai son léger tricot au-dessus de son ventre qui commençait à s’arrondir. Je me mis à le masser doucement avec des mouvements circulaires de la main, d’une façon qui tenait plus d’une caresse que du massage. Mes mouvements se faisaient de plus en plus larges, et à chaque fois j’effleurais son mont de Vénus renflé. Une fois de plus, elle ne protesta pas.De temps en temps, sous prétexte de vérifier qu’elle n’était pas en train de se sauver, je titillai un peu la canule, la faisant appuyer sur les bords de l’anus.Le récipient fut bientôt vide, mais je proclamai qu’elle devait en recevoir un deuxième immédiatement, car les récipients qu’on vendait de nos jours étaient tout petits, et comme j’avais décrété dès le début qu’il lui fallait un copieux lavement…— "Oh mais jamais, je ne pourrai le retenir… !— Mais si, je vais vous aider s’il le faut. Je vais retirer la canule et vous allez serrer les fesses et les cuisses de toutes vos forces pendant que je vais aller chercher encore de l’eau." Heureusement il en restait encore dans la casserole ; elle avait vu grand, la grosse poule. Si elle avait préparé tout ça, il fallait qu’elle se le prenne ! Punie par là où elle avait péché… (Péché de gourmandise ?) Tant pis pour elle, si elle avait eu les yeux plus gros que le ventre : j’avais envie de la voir se gonfler, se dilater, son ventre s’arrondir comme si elle était enceinte de 8 mois !Je revins bien vite. Elle gémissait, se lamentait. Il allait falloir que je l’aide, la soutienne. Je me dépêchai d’ajouter sur sa rosette un peu d’huile d’amande douce seulement (surtout pour mon plaisir !), et cette fois-ci, je lui introduisis fermement la canule dans son oeillet qui palpitait nerveusement. J’ouvris le robinet lentement, et repris le massage de son ventre, qui, déjà replet du fait de l’embonpoint, se tendait et devenait énorme. Les bourrelets disparaissaient sous la tension intense.Elle se plaignit de plus en plus. De l’autre main, je tenais fermement la canule en place, non sans appuyer du majeur resté libre sur les rebords de l’anus qui se bombait de façon inquiétante.Elle supplia. Je la tançai cette fois, de façon un peu plus autoritaire. Elle devait tenir.— "Et puis vous êtes une fille courageuse." J’utilisai volontairement ce mot, lui faisant sentir qu’elle n’était pas une grosse mémère, mais une bonne grosse fille désirable, digne d’être mon objet sexuel, soumise à mes caprices, à mes doux supplices.— "Allez, pour vous soulager un peu, on va déjà dégrafer ce soutien-gorge qui vous oppresse ; vous respirerez mieux, et ce sera plus facile à supporter." Sans attendre un acquiescement ou une protestation, je joignis immédiatement le geste à la parole, décrochai les agrafes et libérai les grosses sphères blanches qui jaillirent et pendirent comme des obus. Je me retins pour ne pas m’en saisir et les malaxer.Elle continuait à se remplir comme une outre.— "Oh, je n’en peux plus… Jamais je ne vais pouvoir... Je ne peux plus en recevoir."— Allez, allez, c’est presque fini…— Pitié…"Elle me suppliait, demandait grâce, suppliait son maître. Tout en maintenant la canule je posai le reste de la main sur sa vulve, sous prétexte de prendre appui. C’était doux et chaud.Le récipient était vide.— " Tout est passé. Mais maintenant il va falloir être encore courageuse. Je vais retirer la canule et vous allez devoir vous retenir : il va falloir garder le lavement quelques minutes et faire circuler l’eau bien partout.— Ooooh… Jamais je ne pourrai. J’en peux plus…! Jamais je ne pourrai le retenir encore. S’il vous plaît…— Je vais vous aider. Je vais faire bouchon."Et sur ce, je retirai doucement la canule de la main gauche, puis lui enfilai mon index droit jusqu’à la garde, qui glissa sans difficulté dans le canal serré bien huilé.— "Allez, vous allez vous mettre sur le côté, lentement… puis vous tourner sur le dos. Après vous mettrez les jambes bien en l’air."Elle s’exécuta lentement et lourdement, bien soumise, m’obéissant au doigt et à l’œil …surtout au doigt : mon index planté jusqu’au fond de son cul !Elle était très rouge, le visage en sueur, mais désormais ça n’était plus dû au trouble mais à la chaleur de l’eau qui la remplissait, et aux difficultés qu’elle avait pour contenir les contractions de son ventre.Quand elle fut sur le dos, on eut dit une femme sur le point d’accoucher, et je caressai de la main gauche son ventre tendu à craquer, par des caresses larges, mon index droit profondément maintenu en elle. Ses gros seins blancs s’étalaient sur sa poitrine, mais elle ne se préoccupait plus du spectacle indécent qu’elle me livrait… il est vrai que je la tenais d’un doigt dans son cul et que c’était bien plus humiliant !Elle était offerte, quasiment nue…Finalement, je décidai de mettre fin au supplice et je la suivis jusqu’aux toilettes, mon doigt toujours planté entre ses fesses, puis je le retirai et la laissai se libérer sur la cuvette, ce qu’elle fit avec un air de soulagement, presque de plaisir. Je restai debout devant elle, pendant toute cette opération, histoire de lui montrer, que désormais, symboliquement, elle m’appartenait.— "Normalement, il vous faudrait en prendre un deuxième, juste dans la foulée…— Oh non… !!!— Bon, d’accord… mais quand même, il va falloir vérifier que vous êtes bien "lavée"…Une fois qu’elle se fut bien vidée, je la fis revenir et s’installer à quatre pattes dans la même posture. Elle s’exécuta docilement. Sa croupe majestueuse était offerte, les fesses larges et étalées, d’un blanc de nacre, luisantes, les cuisses grasses, tout cela était bien tentant, et je me retenais pour ne pas me mettre à pétrir ces belles chairs.Je pris entre les doigts délicatement l’intérieur de ses fesses, les écartant doucement, ce qui exposa son anus rose à ma vue, prenant le temps de l’inspection ; elle se laissait faire sans broncher, comme une poupée pantelante. Je pris de l’huile et lentement j’enduisis la rosette en effectuant des petits cercles concentriques, en appuyant légèrement, lui massant son œillet tendre, faisant durer l’opération, bien-sûr bien plus qu’il n’était nécessaire. Puis mon index autoritaire s’arrêta sur le centre du petit cratère et je l’enfonçai avec délectation, le plus lentement possible, savourant les palpitations que je sentais sur mon doigt. Une fois de plus elle était conquise, la place forte était prise, toute résistance abandonnée.Je fis tourner mon doigt dans toutes les directions, comme pour un toucher rectal consciencieux, appuyant sur toutes parois avec insistance. Tout ceci n’était bien entendu pas nécessaire pour vérifier que le rectum était nickel, surtout qu’avec le nombre de litres qu’elle s’était prises, il ne pouvait rester la moindre parcelle sale.Elle ne protesta néanmoins pas, et me laissa faire, se prêtant en connaissance de cause à ce jeu qui devait la troubler elle aussi, par conséquence.Cependant, malgré mes envies, et en l’absence d’invitation de sa part à pousser plus loin le jeu, je préférai en finir là, la mort dans l’âme (et un bâton raide dans le pantalon) en espérant vivement qu’elle me laisserait une deuxième fois jouer avec son ventre et son anus, à des petits jeux d’eau.Je retirai mon doigt, que j’inspectai… "Là, parfait. Vous êtes propre comme un sou neuf."Je me levai pour partir. " Bon, eh bien je vais vous laisser… "J’avais néanmoins la ferme intention de lui laisser une porte grande ouverte pour qu’elle m’invite à recommencer à m’occuper de son corps :— " …mais vos petits problèmes peuvent recommencer. Quand on a tendance a être gonflée…Alors dès que ça recommence, vous m’appelez et je me ferai un plaisir de venir m’occuper de vos intestins ! "Je lui serrai la main ; elle était très rouge, confuse, les yeux troubles, osant à peine me regarder. Je partais en la laissant sur sa faim. Qu’allait faire ? Me sauter dessus ou me laisser partir et jouer le jeu quelques jours plus tard en me rappelant à l’aide ?Et si ça n’est pas ça qu’elle avait espéré ?Et si elle était déçue que nous ayons fait ces jeux d’eau au lieu d’une relation sexuelle plus habituelle ?Elle pouvait alors me le faire comprendre dans l’instant, ou bien, en proie à la déception, à la frustration, me laisser partir et ne jamais plus me rappeler.Tant pis, je prenais le risque. J’avais envie de continuer lors d’une prochaine fois de cette façon, en poussant le jeu plus loin cette fois, mais je n’avais pas envie d’une relation sexuelle banale, d’un morne adultère. Je préférais encore tout perdre.J’en remis une couche en partant, déjà dehors, alors qu’elle m’avait accompagné sur le pas de la porte : " Et surtout n’hésitez pas ! "La suite montra qu’elle n’était pas dénuée de curiosité, qui, comme chacun le sait, est un vilain défaut.
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