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Bouleversée

Chapitre 2

Erotique
Une semaine avait passé depuis le baiser torride que j’avais échangé avec la belle Sandra, et j’essayais de toutes mes forces de ne plus penser à elle… La journée, je croyais la voir partout : dans la rue quand je marchais, à la caisse de notre supermarché ou encore à la sortie de mon travail. Mais non, ce n’était pas Elle, juste une femme bien apprêtée qui passait par là. Parfois dans la vie, on fait le bilan de son propre état. Aujourd’hui, le mien est clair et sans appel : je suis obsédée par une femme mariée.
Mariée… J’avais embrassé une femme mariée.
David n’avait rien remarqué d’anormal depuis. Il pensait simplement que j’étais fatiguée par rapport à mon travail… Il n’avait d’ailleurs fait aucune remarque sur mon manque d’ardeur dans nos ébats ou sur mes moments d’absence.
En me dirigeant vers la salle de repos de mon étage de travail, je croisai notre standardiste. C’était une jeune fille qui devait avoir vingt ans au plus, blonde, petite et un peu ronde. Je n’avais jamais vraiment pris le temps de discuter avec elle depuis qu’elle avait été engagée, mais elle m’avait toujours parue discrète.-Excusez moi Leslie, me dit-elle d’une voix pas très forte, quelqu’un a téléphoné lorsque vous étiez en vidéoconférence avec votre dernier client.-Ah oui ? De qui s’agit il ?-Elle a juste dit qu’elle se prénommait Sandra, et que vous pouviez la rappeler, mais seulement si vous le souhaitiez.Je ne sais si mon cœur s’est arrêté ou si au contraire il s’est mis à battre la chamade. Je sentis de nouveau cette sueur froide perler sur mes tempes aux paroles de ma jeune collègue.-Merci pour le message, répondis-je d’une voix sourde.Une fois dans la salle de repos, je me servis un café, encore sous le choc. Sandra m’avait téléphoné ! Il fallait que je la rappelle, tout de suite.
Le rendez-vous avait été fixé en fin de journée, dans un petit café en retrait du centre de la ville. Sa voix mélodieuse au téléphone m’avait donné des frissons rien qu’à l’entendre dire qu’elle voulait me revoir. C’est donc les jambes tremblantes que je marchais en direction du petit café, la démarche hésitante et le cœur battant à toute allure. Elle était déjà là, assise sur un coin de la terrasse. Elle avait revêtu une robe d’été bleu clair. Je restai un moment là, à la regarder. Ses jambes que j’avais devinées superbes dans son pantalon, étaient encore mieux que cela. Elles étaient parfaitement dessinées, et cette petite robe les mettait très en valeur.Je m’assis à ses côtés, et la discussion débuta par des banalités. Nous discutions comme deux bonnes copines qui s’étaient données rendez-vous pour se raconter les histoires des copines absentes. Pourtant, son regard semblait de plus en plus insistant lorsqu’il croisait le mien, comme lorsqu’elle l’avait fait pendant le dîner de la semaine précédente. Son assurance me troublait, et j’avais de plus en plus de mal à le dissimuler. Ses mains qui passaient de sa tasse à la table, de la table à sa tasse me fascinaient.-Leslie ?Je fus brutalement ramenée à la réalité. Une fois encore, elle avait deviné mon trouble.-Excusez moi, j’ai eu un moment d’égarement. Vous parliez de l’enseignante de votre fils…-Je pense que nous pouvons nous tutoyer, non ?Sueur froide.Sa main se posa sur la mienne avec un mélange de douceur et de fermeté, je ne pus que me figer à son contact.-Et si nous allions ailleurs ? Me murmura-t-elle d’une voix douce.Mon sang se glaça de plus belle. Qu’allait-il se passer ? Que voulait-elle exactement ? Etait-ce vraiment une bonne idée de la suivre ?
Je ne pus me poser des questions pendant trop longtemps, déjà elle m’avait pris par la main et m’entrainait hors du café. Nous marchâmes pendant un moment sans échanger le moindre mot avant qu’elle ne me fasse entrer dans un petit hôtel. Je n’écoutai même pas ce qu’elle dit au réceptionniste, j’étais dans un état second, sans pouvoir détacher mon regard de sa superbe silhouette.Je montai ensuite les escaliers avec elle, avant d’entrer dans une petite chambre simple, mais joliment décorée. Une fois à l’intérieur, je me tournai vers elle, ne sachant quelle attitude adopter.
Elle s’approcha de moi d’un pas lent, toujours en me regardant droit dans les yeux. Elle était belle, excessivement belle. Qu’étais-je à côté d’une telle créature ? Tout n’était qu’harmonie dans la forme de ses traits, et son corps dégageait une sensualité inouïe.Elle passa ses mains sur mes épaules et me retira ma veste, sans me lâcher des yeux. J’avais l’impression de ne plus avoir le droit de respirer tant la tension était forte. Si je voulais partir, c’était maintenant.
-Si tu ne veux pas, dis le moi.Sa voix n’avait qu’un murmure.Bien sûr que j’en avais envie, qui n’en aurait pas eu envie à ma place ?Je me sentais néanmoins extrêmement intimidée… Je n’avais jamais fait l’amour avec une femme… Je n’avais donc aucune idée de la tournure qu’allaient prendre les événements.
Son souffle près de mon visage eut raison de moi. Je l’attrapai par la nuque et collai ma bouche contre la sienne. Notre baiser se fit intense, impatient, le désir impérieux de rattraper ce temps d’attente entre nous…Ses mains parcouraient mon dos tandis que les miennes se perdaient dans ses cheveux. Sans que je sache comment, je me retrouvai allongée sur le lit avec Sandra assise à califourchon sur moi. J’avais l’impression d’être dans un rêve tant cela était irréaliste.
Je descendis mes mains le long de son dos et atteignis ses fesses que je caressai lentement au travers de sa robe. Pendant ce temps, ma bouche se hasarda à embrasser son cou puis la naissance de sa poitrine. Sandra rejeta la tête en arrière et poussa un soupir d’aise qui fit monter une chaleur bien connue dans mon ventre.Je lui retirai alors sa robe avec lenteur, pour découvrir les formes de ce corps que j’adorais déjà. Elle était menue sans être maigre, dotée de petits seins et de petites hanches. Folle de désir pour elle, je me mis à embrasser tout ce qui passait sous ma bouche et à caresser tout ce que mes mains trouvaient.
C’est alors qu’elle m’attrapa les deux mains, et me repoussa pour m’allonger sur le lit, m’immobilisant complètement.-Tu as déjà fait l’amour avec une femme ? Me demanda-t-elle avec un sourire.Mon absence de réponse fut apparemment synonyme d’acquiescement pour elle car son sourire s’élargit de plus belle.-Tu vas voir, c’est délicieux.Sandra entreprit alors de me déshabiller entièrement tandis que je me laissais faire. Une fois nue, elle joua un peu avec ma poitrine en me regardant. Je ne pus retenir mes premiers gémissements. Elle descendit ensuite rapidement vers mon entre-jambe, et là, tout s’arrêta.
Sa langue sur mon sexe était divine, sachant exactement où il fallait se poser, appuyer ou titiller. Elle jouait avec mon clitoris d’une manière qui me rendait folle. A ce rythme, je n’allais pas tenir longtemps… Mon bassin s’avançait de lui même vers sa bouche pour encore mieux la sentir, sans même que je ne puisse le contrôler. Je sentais le plaisir monter dans mon ventre, puissant, impressionnant. Je me saisis des draps pour tenter de mieux supporter cette montée de plaisir incontrôlable.-Continue, soupirai-je entre deux gémissements, c’est tellement bon…Elle le fit sans se faire prier, ne m’accordant aucun répit. Sa langue léchait, suçait, aspirait, titillait, se faufilait… je la sentais partout à la fois.
Puis, ce fut la délivrance.
Les murs autour de moi tombèrent, le temps s’arrêta, la Terre cessa de tourner pendant que je criais l’orgasme le plus extraordinaire de ma vie. Je me cambrai, mes muscles se contractèrent, et mes poumons se soulevèrent à un rythme soutenu pour chercher de l’air.Je retombai sur le matelas, secouée par les dernières vagues de mon orgasme tandis que Sandra s’étendait sur moi et m’embrassait tendrement.
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