Sophie était une belle femme blonde qui vivait dans une grande maison d’un quartier huppé d’Atlanta avec Richard, son mari, un homme d’affaires prospère. La jeune femme, qui allait bientôt passer le cap de la trentaine, avait grandi dans une famille très aisée, dont les ancêtres avaient possédé des plantations de coton au sud des États-Unis.Sophie avait rencontré Richard, son aîné de treize ans, lors d’une réception organisée par ses parents dans leur riche propriété de Virginie. Ils s’étaient plus, avaient flirté quelque temps puis avaient fini par se marier quatre ans plus tôt espérant donner naissance rapidement à de beaux enfants. Mais jusqu’alors, leurs étreintes avaient toujours été vaines. Et les nombreuses consultations chez les meilleurs spécialistes du pays n’avaient pas permis d’identifier la cause de leur incapacité à procréer. Lassée d’attendre une maternité qui se refusait à elle, Sophie commença à se poser des questions sur l’histoire de sa famille. Lorsqu’elle comprit que ses riches ancêtres avaient exploité des centaines d’esclaves noirs pour exploiter leurs plantations de coton, elle fut sincèrement choquée de découvrir ce terrible passé. Elle commença alors à entrevoir les conséquences de l’esclavage sur la communauté noire. Bouleversée par sa découverte, l’épouse de Richard estima qu’elle ne pouvait rester indifférente aux inégalités qui ne cessaient de se creuser dans son pays si prospère et elle décida peu après de mettre ses compétences et une partie de ses moyens financiers au service de la communauté afro-américaine défavorisée. Elle créa une association pour aider les minorités noires à évoluer et à trouver leur place dans la société. Cette association offrait des bourses d’études, des formations professionnelles, des aides financières à des personnes noires désireuses de monter leurs propres entreprises. Elle proposait aussi des programmes de soutien scolaire pour leurs enfants. Sophie était animée par une profonde volonté d’équité et de justice, et elle s’investit corps et âme dans cette association. Elle était déterminée à faire la lumière sur l’histoire de sa famille, et à compenser à sa manière les conséquences d’actions impardonnables grâce à son engagement envers une cause juste. Richard décida de soutenir le combat de son épouse dès le début et, même s’il s’impliquait très peu personnellement, il l’aida financièrement à mener à bien son action. Ils devinrent ainsi tous les deux des contributeurs importants dans la lutte pour les droits des minorités noires. Ils firent des dons à des organismes de défense des droits civiques, et en dépit de certaines réticences initiales, leur gratitude fut rapidement reconnue et appréciée par la communauté afro-américaine. Sophie était en train de se réconcilier avec son passé grâce à l’aide qu’elle dispensait pour aider les autres. Elle était décidée à ne pas se laisser écraser par le lourd héritage familial. Elle voulait se tourner vers l’avenir et apporter de l’espoir à ceux qui avaient besoin d’aide.Mais ce n’était pas assez à ses yeux. Elle voulait en faire plus pour les jeunes noirs déshérités. C’est lors d’une fête de charité qu’elle rencontra Cynthia, une quadragénaire sans enfants qui vivait avec son mari dans un quartier aisé de Atlanta. Cynthia était une femme brune plutôt bohème qui tranchait avec l’univers aseptisé de la riche trentenaire blonde. D’un abord ouvert et sympathique, elle vivait de manière libre et décontractée avec Jack, son compagnon, un avocat spécialisé dans la défense des droits des minorités.Cynthia se maquillait peu. Elle portait généralement des robes assez courtes ou des vêtements amples. Elle ne mettait jamais de soutien gorge et se promenait en nu-pieds la plupart du temps. Sophie fut particulièrement impressionnée par l’engagement et l’ouverture d’esprit de Cynthia et de Jack. Elle réalisa alors que la tolérance et le respect des différences sont des valeurs essentielles pour vivre ensemble dans une société libre et égalitaire.Les deux femmes devinrent proches et un jour, Sophie accepta d’accompagner Cynthia à une fête organisée dans un quartier en cours de réhabilitation par un groupe de jeunes noirs résidant dans une banlieue proche d’Atlanta. Les deux amies se rendirent à la fête ensemble dans la voiture de Cynthia. Si celle-ci avait l’habitude d’assister à ce type d’événements, c’était une première pour la riche femme blonde. La belle trentenaire fut surprise de voir l’ambiance chaleureuse et amicale qui règnait entre les jeunes et les adultes présents. La musique était entraînante, les gens dansaient et s’amusaient tous ensemble sans distinction de race ou de classe sociale. Sophie remarqua aussi que son amie ne refusait pas les joints que lui faisaient passer certains des jeunes présents.Elle découvrit plus tard Cynthia en train d’embrasser à pleine bouche un jeune black grand et bien bâti. Le comportement de Cynthia la mettait mal à l’aise. Mais son amie semblait assumer parfaitement ses actes.Elle lui fit d’ailleurs un grand d’oeil lorsque le jeune homme avec lequel elle avait flirté lui prit la main pour l’aider à se lever avant de la conduire vers une petite maison située non loin. Les personnes présentes semblaient totalement indifférentes à ce qui venait de se passer.
Cette soirée changea profondément la vision de Sophie sur le monde qui l’entourait. Alors que Cynthia la raccompagnait chez elle, elle eut une discussion animée avec elle à propos de son comportement lors de la fête. Cynthia lui révéla alors que Jack et elle formaient un couple libre et qu’elle disposait de son corps à sa guise. Après avoir écouté son amie, la riche bourgeoise se sentit un peu désemparée. Malgré sa prise de conscience et son engagement récents, certains préjugés concernant les hommes noirs restaient toujours ancrés dans sa tête.Cynthia s’était gentiment moquée d’elle.— Tu sais, tous les noirs ne sont pas des amants extraordinaires dotés de sexes énormes. Même si je dois avouer que cette description correspond assez bien à Jackson, mon cavalier de ce soir. Ce que je vais te dire va peut être te choquer. Mais j’ai une vie sexuelle très active et les jeunes mâles noirs avec lesquels je couche me procurent beaucoup de plaisir.— Je ne souhaite pas te juger mais je n’approuve pas ce qui s’est passé ce soir.— As-tu déjà couché avec un noir?— Je ne pourrais jamais faire ça ! S’écria Sophie en proie à un grand trouble.— Tu te rends compte que ce que tu dis va à l’encontre des principes égalitaires que tu mets en avant dans ton engagement. — Mais je n’ai ni l’envie ni l’intention de tromper Richard, s’insurgea la belle femme blonde.— Rassure-toi! Je ne te reproche pas ta fidélité. Je pense juste que tu dois t’interroger sur la valeur de ton engagement. En ce qui me concerne, peu importe la couleur de peau de mes amants, je les considère tous de la même façon.— Ah bon! Tu as aussi des relations extra-conjugales avec des hommes blancs? Cynthia avait émis un petit rire avant de répondre.— De moins en moins, je l’avoue. En fait, j’adore le contraste entre ma peau claire et celle des hommes à la peau très foncée. Et puis je suis une vraie vaginale. Mes orgasmes sont bien meilleurs lorsque je suis remplie par une longue queue très épaisse. La crudité des propos de Cynthia choqua Sophie qui préféra s’abstenir de tout commentaire.Face au silence de son amie, Cynthia voulut se justifier.— J’espère que ce que je viens de te raconter ne nuira pas à notre relation et que tu continueras à t’investir pour la cause que nous défendons toutes les deux. Peu importe la façon dont nous vivons, ce qui compte c’est ce que nous voulons faire de notre monde. Chaque citoyen doit disposer des mêmes droits quelque soit son origine et ses capacités. Avec Jack, mon mari, nous faisons en sorte de défendre ces droits. Cynthia déposa son amie devant l’entrée de sa luxueuse propriété.— Bonne nuit Cynthia. Merci pour cette soirée, déclara sobrement Sophie avant de refermer la portière.— Bonne nuit ma belle. J’espère que tu accepteras de m’accompagner prochainement à une autre fête organisée par mes amis. J’y assiste deux à trois fois par mois. Bien sûr, lorsque Richard l’avait interrogée le lendemain sur les circonstances de sa soirée, sa femme avait omis de lui raconter certains détails. Elle s’était contentée de dire que l’ambiance était festive et décontractée et que les personnes présentes, noires pour la plupart, avaient été sympathiques et cordiales avec elle. Un mois plus tard, Sophie avait plus ou moins digéré les évènements survenus lors de sa première sortie nocturne avec Cynthia et elle avait accepté de l’accompagner une nouvelle fois. Son amie avait insisté pour la faire venir car elle tenait à lui présenter LeBron, un militant noir de vingt-huit ans, très engagé politiquement dans la défense des causes des minorités.— Tu verras, LeBron est un peu un cas à part. Ce n’est pas un révolutionnaire. Il n’a pas dans l’idée de renverser le système. Il est en revanche persuadé que les valeurs d’égalité pourront s’imposer s’il y a parmi la population suffisamment d’individus charismatiques aptes à convaincre l’ensemble des citoyens des bienfaits de la diversité. Sophie, d’ordinaire assez réservée avec les inconnus, fut immédiatement séduite par LeBron. Il émanait de cet homme grand et séduisant une force de caractère peu commune qui subjugua littéralement la belle femme blonde. Elle l’écouta une grande partie de la soirée évoquer ses convictions et sa passion pour la justice sociale. Le jeune politicien n’avait d’ailleurs pas manqué de rappeler à l’assistance présente les circonstances qui avaient conduit à marginaliser et à opprimer la communauté noire pendant plusieurs siècles. La riche bourgeoise s’était sentie émue et quelque part mal à l’aise en écoutant le discours de LeBron, car elle avait pu réaliser à quel point elle avait été privilégiée dans la vie simplement à cause de sa couleur de peau, et bien sûr aussi grâce à la fortune de sa famille. LeBron avait remarqué le trouble de la femme élégante dont l’aspect tranchait avec les participants présents. Il s’était donc rapproché d’elle pour se présenter et lui faire comprendre qu’il n’en voulait pas personnellement aux descendants des riches familles blanches du Sud, mais que chaque personne a la responsabilité de reconnaître les injustices dans la société et de travailler à les corriger. Sophie, éclairée par sa discussion avec LeBron, lui déclara qu’elle était prête à s’investir de manière plus concrète pour soutenir la cause des noirs. En réponse à sa bonne volonté évidente, LeBron lui suggèra de commencer par lire les œuvres de ceux qui avaient consacré leur vie à la cause des minorités et de s’informer sur les mouvements et organisations oeuvrant pour la défense des droits des noirs à travers le pays. L’épouse de Richard suivit le conseil de LeBron. Son statut de grande bourgeoise blanche lui apparaissait de plus en plus anachronique, voire anormal. Elle se persuada peu à peu que le gouvernement devait faire beaucoup plus pour contribuer à la justice sociale et à l’égalité raciale. Elle avait compris que les plus pauvres sont souvent issus des minorités et que ceux qui se trouvent dans cette situation ont dû subir une double peine. Au fil de leurs rencontres, Sophie se sentait de plus en plus attirée par LeBron. Elle n’était plus du tout sûre que l’admiration qu’elle éprouvait pour lui était uniquement liée à son combat et à la force de ses convictions. Elle le trouvait en outre charmant, cultivé et non dénué d’humour, des qualités qui contribuaient sans aucun doute à ce qu’elle se sentît bien avec lui.Pour sa part, LeBron conservait la distance adéquate lors de ses échanges avec elle. C’était naturellement un garçon très respectueux et même s’il se sentait en confiance lorsqu’il s’entretenait avec la belle femme blonde, il ne voulait pas laisser ses sentiments interférer dans son discours. Sophie se demandait si elle n’était pas en train de tomber amoureuse d’un autre homme. Elle n’avait pas oublié qu’elle était une femme mariée à Richard, un homme d’affaires dont les revenus lui offraient une vie très confortable. Certes, Richard était très occupé et il voyageait énormément. Il avait peu de temps à accorder à son épouse à tel point que le couple pouvait rester des semaines sans faire l’amour.Mais Sophie avait des principes. Elle ne pouvait concevoir de se lancer dans une aventure avec LeBron malgré la vive attirance qu’elle éprouvait pour le jeune homme noir charismatique. Avoir des principes est une chose. Désirer fortement un être en est une autre. La riche femme blanche ne pouvait s’empêcher de penser à LeBron. Elle s’interrogeait de plus en plus sur sa situation et avait du mal à identifier la teneur de ses sentiments. Elle se disait aussi que si elle ne prenait pas quelques risques, elle ne découvrirait jamais si le jeune et brillant politicien était aussi impliqué sentimentalement qu’elle dans leur relation.À deux occasions postérieures à sa première rencontre avec LeBron, Sophie avait profité des déplacements de son mari pour se caresser dans le lit conjugal. La première fois avant de s’endormir, pour évacuer l’excitation ressentie après une réunion animée passée aux côtés de LeBron. La seconde fois à son réveil, à la sortie d’un rêve où elle s’était vue échanger des baisers brûlants avec le politicien noir. Quelques jours plus tard, alors que LeBron venait de rentrer d’un voyage dans la région des grands lacs, il décida d’inviter Sophie à l’accompagner dans un meeting organisé dans une bourgade située à une cinquantaine de miles d’Atlanta.La jeune femme hésita avant de donner son accord mais elle finit par accepter l’invitation. Tout au long du trajet, Sophie se montra nerveuse et embarrassée malgré la conversation agréable de LeBron dont la voix chaude et virile la berçait. La belle femme blonde de demandait si l’attirance qu’elle éprouvait pour LeBron était réciproque. Voyait-il en elle plus qu’une ambassadrice argentée prête à investir pour sa cause?Sophie avait opté pour une robe élégante qui mettait discrètement en valeur sa plastique racée et son corps aux formes délicates entretenu avec soin. Après le meeting, une petite fête eut lieu. LeBron invita son amie à danser à plusieurs reprises. Puis ils s’éclipsèrent pour se rafraîchir dans le petit parc jouxtant le Hall de réunion.Sophie avait difficilement maîtrisé son émotion lorsque LeBron avait saisi sa main pour la conduire à l’écart du groupe. Elle avait frissonné mais elle ne l’avait pas repoussé.Le cœur battant, elle s’était laissée faire lorsqu’il l’avait attirée contre lui. Et elle n’avait pas résisté non plus lorsque la langue agile de LeBron avait forcé la barrière de ses lèvres.Leur baiser avait été long et intense. La belle blonde avait ressenti de délicieux picotements dans le bassin. Elle ne se posait plus la question de savoir si ce qu’elle était en train de faire était bien ou mal.Seul lui importait à ce moment le bonheur d’être enlacé par son chevalier servant. Sophie venait de franchir un pas décisif dans sa vie sentimentale. Elle avait pris la décision d’ignorer les scrupules qui l’avaient empêchée jusque là de vivre selon sa véritable nature. Maintenant qu’elle avait accepté de suivre LeBron à son domicile, elle était bien décidée à consommer le fruit défendu. Et lorsque le séduisant politicien noir la porta jusqu’à sa chambre afin de la dévêtir, elle prit aussitôt l’initiative d’en faire de même avec lui, trop impatiente d’explorer de ses mains fébriles le corps musclé de LeBron tout en s’énivrant de l’odeur musquée de sa peau d’ébène. La belle femme blonde, en proie à une excitation incontrôlable, poussa un soupir d’aise lorsqu’elle découvrit le sexe fièrement dressé de son hôte. Les proportions du membre la ravirent littéralement. Outre sa longueur que Sophie estima brièvement entre huit et neuf pouces, c’est l’épaisseur du membre qui la fit se pâmer davantage. Le fait qu’elle ne puisse joindre ses droits manucurés autour de la base du dard d’ébène provoqua immédiatement la lubrification abondante de son vagin. Nul doute, pensa-t-elle, que le membre magnifique de son ami allait la combler au-delà de ses espérances. Sophie se mordit les lèvres lorsque LeBron commença à la pénétrer. Le frottement du membre rugueux contre les parois lubrifiées de son vagin lui procurait une sensation inconnue et délicieuse. Tandis que LeBron accélérait le rythme de ses va et vient entre ses cuisses brûlantes, elle poussait de petits cris stridents entrecoupés de supplications béates.