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Bourgeoise délaissée se fait piéger

Chapitre 1

Trash
Chap. 1 : internet : le début de la fin
Femme au foyer de 33 ans j’étais délaissée par mon mari perpétuellement en voyage d’affaires. Lors de ses retours, souvent le weekend, il me faisait l’amour rapidement sans prendre le soin de s’inquiéter de mon propre plaisir.
Désabusée par son comportement, mes semaines se passaient lentement à la maison.
Pour passer mon ennui, je fantasmais sur internet, en discutant avec des hommes et des femmes sur les sites de rencontre. Je compris rapidement que mes fantasmes me poussaient à discuter avec des hommes directifs.
Un certain Robert m’excitait particulièrement. Il semblait, de part son descriptif, être gros et poilu. Il était plutôt vulgaire et aimait m’insulter. Tout le contraire de mon mari et justement je pense que c’est ce qui m’excitait chez lui. Il m’avait indiqué qu’il était de la même région que moi mais je ne m’étais pas attardée sur les lieux où l’on habitait, ne voulant pas lui donner d’indices sur ma personne ou mon adresse (il n’insista d’ailleurs pas sur ce point ce qui me mit en confiance). Je le retrouvais plusieurs jours dans des scénarios de plus en plus hard.
Avec beaucoup de retenue au début, je finis par me lâcher un peu plus et par accepter de le retrouver sur MSN, pour échanger plus convivialement disait-il… puis acceptant de me montrer, je passais sur la webcam.
Me dévoilant devant l’écran, suivant ses consignes, d’abord pour montrer ma poitrine opulente, puis ma toison brune et enfin à jouir devant lui sous ses insultes en me caressant d’abord seulement mon sexe, en passant ma main dans la culotte, puis ôtant ma culotte. Il m’incitait à me rabaisser et à parler vulgairement.
Ce que je ne savais pas, c’est qu’il enregistrait tous nos échanges, et chaque jour en apprenait un peu plus sur ma personne en me posant des tas de questions. Au début je faisais attention à ne jamais montrer mon visage, mais en jouissant, en me caressant, en me pénétrant même avec des objets du bureau ou, à sa demande en léchant l’écran pour virtuellement lui lécher le gland qui venait d’éjaculer, il enregistra mon visage, et de nombreuses données personnelles.
Nos scénarios portaient souvent sur des histoires de chantages où une bourgeoise était totalement abusée par un homme dégoutant qui faisait de cette femme un simple objet de plaisir, humiliée quotidiennement, prêtée a ses amis, à des inconnus, devant se prostituer pour lui. Je me laissais porter par ses fantasmes de plus en plus rabaissant pour cette pauvre femme que je m’imaginais être.
Robert me disait apprécier les femmes négligées qui n’étaient pas épilées. Il me persuada de ne plus m’entretenir la toison, et me félicitait chaque jours des progrès que je faisais dans mes insultes, et dans le débordement de mes poils pubien des culottes que je portais.
Au bout d’un mois, notre relation virtuelle avançait plus loin. Lorsqu’il n’était pas connecté, il m’envoyait des mails pour me donner des consignes telles que porter la même culotte que la vieille et me masturber au travers pour jouir dix fois dans la journée en pensant à sa « bite » et l’attendre sagement le soir, habillée seulement de mes dessous odorants devant l’écran… ce que je faisais avec ravissement. Il me fit faire cela trois jours d’affilée avec la même culotte, un string blanc en dentelle transparente qui ne cachait rien de ma vulve velue et laissait désormais dépasser ma toison de chaque coté ainsi qu’au dessus de mon pubis.
Le soir venu, je lui racontais fièrement ma journée, combien de fois j’avais jouis, dans quelle pièce de la maison je m’étais masturbée, ce que je m’imaginais faire avec sa bite. Lui m’écoutait et me félicitait en se branlant devant l’écran me montrant sa bite qu’il disait ne pas avoir lavée depuis trois jours, portant le même caleçon.
Il me proposa alors, après que nous aillions tous les deux jouis une nouvelle fois de nous envoyer par la poste nos dessous. Ne voulant pas donner mon adresse je refusais poliment mais fermement.

Il me répondit alors, d’un ton totalement différent :« Tu sais salope, puisque tu refuses de m’envoyer ta culotte, je vais venir la chercher chez toi ».— « Comment cela ? vous ne savez pas qui je suis et je vous ai dit que je ne voulais pas vous donner mon adresse » dis-je un peu énervée.— « Mais je n’ai pas besoin que tu me donnes ton adresse. Figures toi qu’avec toutes les informations que tu m’as données, ton adresse IP et tes vidéos que j’ai enregistrées je sais tout de toi. Il se trouve que tu es de la même ville que moi, c’est pour cela que je t’ai choisie. Et je sais que tu t’appelles Béatrice Marson, que tu habites 6 avenue du Bastion. ».À ces mots, je devins blême, refermant mes cuisses sur mon string trempé, le regardant avec son sourire vicieux qui m’avait tant excitée jusqu’à présent et qui maintenant m’affolait : « Comment… ? Comment savez-vous tout cela ? »— « Je sais que tu es mariée à Francis Marson, un commercial international et numéro 3 de la plus grosse industrie locale. Je sais également quand il est en ville et quand il est en voyage. Tu vois, dit-il avec cynisme, je sais tout de toi et je pense que tu aurais intérêt à être bien sage avec moi… il ne serait pas bien vu que la femme d’un homme aussi important se retrouve affichée en pleine action sur internet ou sur des mails adressés aux membres de la compagnie de ton mari tu ne crois pas ?! »
Je devins tout d’un coup livide, mes épaules abaissées par le poids de ces menaces, je le regardais par écrans interposés d’un air hébété. Je le voyais ricaner et se branler doucement en train d’observer mon visage apeuré.
— « Alors petite conne, tu ne dis plus rien ? je t’ai posé une question. Quelle est ta réponse ? Tu veux que j’envoie des mails avec des photos de toi en train de te doigter à tous les collègues de ton mari ? »— -« Non non bien sûr que non je vous en prie ne faites pas cela ! » dis-je horrifiée.— « bien ! tu ne veux pas de scandale n’est-ce pas ? »— Non pas de scandale je vous en supplie »— « bon donc désormais je veux que tu sois bien sage, comme tu l’étais avant et bien plus encore est-ce que c’est compris ?— « oui »— Oui qui ? et oui quoi ? dit-il sèchement tout en continuant à se branler lentement devant la webcam.— Oui monsieur c’est compris je… je vais être bien sage comme je l’étais avant.— Je préfère, te voilà redevenue raisonnable. Alors, pour être sûr que nous nous comprenons bien, je vais te fixer quelques règles de conduite. Tu es d’accord ?— Euh… est-ce que j’ai le choix… monsieur ?— Cette réponse n’est pas satisfaisante répond pétasse !!!— Oui je suis d’accord monsieur— Tu es d’accord pour quoi ?— Pour que vous me fixiez des règles de conduite— Bien voilà qui est mieux. Règle numéro 1 : je ne veux plus entendre de non à mes ordres. Règle numéro 2 : je veux que tu répètes les règles que je te fixe.— Hésitante devant son silence pesant, fixant sur l’écran que sa bite branlée et ses couilles poilues je finis par dire « oui monsieur règle numéro 1 je n’ai plus le droit de dire non. Règle numéro 2 : je dois répéter les règles que vous me fixez ».— C’est bien, tu es lente à comprendre mais ça va s’améliorer avec de l’exercice. Règle numéro 3 : ma bite… (il zoome alors sa webcam sur son entrejambes écarté) doit devenir ton obsession. Tu dois toujours penser à elle et toujours vouloir la satisfaire ».— Règle numéro 3… votre… bite est mon obsession. Je dois… je dois toujours penser à elle et toujours vouloir la satisfaire ! dis-je d’un souffle en pensant à l’horreur que ces paroles signifient.— Règle numéro 4 : Quand tu la vois, tu dois immédiatement te fourrer d’une main la chatte et de l’autre te doigter le cul, peu importe où tu es ou avec qui tu es.— Règle numéro 4 quand je vois votre bite je dois… oh mon dieu je dois immédiatement me fourrer la chatte d’une main et de l’autre je dois me doigter le cul quel que soit l’endroit ou avec qui je suis ». Dis-je en sentant une larme couler le long de ma joue.— Et alors grosse conne qu’est-ce que tu vois là ?! tu ne respectes même pas tes premières règles de vie ! me crie-t-il en faisant bouger son gland visqueux et ses couilles poilues devant la caméra toujours en gros plan !Je sursaute à ces cris et tremblante passe ma main droite dans le string porté depuis trois jours pour me doigter la chatte et, de ma main gauche, la passant derrière entre mes fesses, j’écarte le tissu du string pour me doigter l’anus cuisses écartées, perdant tout plaisir que j’avais à faire ce que je faisais auparavant devant la même personne.— C’est mieux dit-il d’une voix un peu moins dure. « Tu vas enregistrer l’image de ma bite souillée que tu vois à l’écran et voilà ta règle numéro 5 : tu vas mettre cette image de ma bite en fond d’écran de ton ordinateur et tu vas en imprimer une en petit format pour la mettre en photo dans ton portemonnaie. »Tout en continuant de me doigter mes orifices, inquiète de ce que cela entraînera je répète malgré tout ma 5ème règle de vie : « oui monsieur je vais enregistrer l’image de votre bite et la mettre en fond d’écran de mon ordinateur. Je mettrai cette image également dans mon portemonnaie. » tout en disant cela j’obéis et de ma main droite je fais la manipulation pour enregistrer l’image de sa bite et la positionner en fond d’écran puis je reprends ma masturbation du pubis.— Bien voilà une sage greluche. Maintenant je vais venir te rejoindre chez toi puisque tu ne veux pas que l’on s’échange nos dessous par la poste. Tu vas rester devant ton nouveau fond d’écran en m’attendant bien sagement. Donc tu vas appliquer la règle numéro 5 jusqu’à ce que j’arrive sonner chez toi. Laisse ta web Cam branchée car j’enregistre tout, je vérifierai que tu m’as bien obéis. Et tu appliqueras la règle numéro 6 : tu as interdiction de jouir en te masturbant, sauf si je t’y autorise. Si tu as de trop fortes envies tu arrêtes de te branler, tu sors tes doigts de tes trous à bite et tu les nettoies avec la langue puis tu les suces. Une fois tes doigts propres tu les remets dans tes trous sans te branler, les laissant fichés dans ta chatte et ton cul le temps de retrouver tes esprits. Dès que tu peux, tu reprends tes branlages jusqu’à sentir le plaisir arriver et tu arrêtes de nouveau. Et ainsi de suite ! Tu dois devenir une salope surexcitée en permanence »— La règle numéro 6 est que j’ai interdiction de jouir en me masturbant, sauf si vous m’y autorisez. Je dois arrêter de me branler quand l’envie est trop forte, les nettoyer avec ma langue et ma bouche puis me redoigter et je dois garder les doigts dans mes orifices le temps de me calmer puis je peux reprendre mes caresses et ainsi de suite car… je dois… oh non mon dieu je dois devenir une salope surexcitée en permanence »À ces dernières paroles sorties je ne sais comment de ma bouche il disparaît de l’écran et je me retrouve honteuse, voyant mon image se refléter sur l’écran en surimpression devant ce fond d’écran de sa bite rougie, suintante de sperme, ses couilles lourdes et poilues débordant d’un caleçon qui était blanc il y a quelques jours.Ma web Cam toujours allumée, je continue, dans une attente angoissée, à me doigter la chatte et l’anus. Mille questions me viennent en tête en même temps.Que va-t-il me faire subir ? Combien de temps vais-je devoir l’attendre dans cette position ? Pourquoi me suis-je inscrite sur ce site de chat ? Comment vais-je cacher à mon mari tout ça ? Et cette image obscène sur l’ordinateur !? La femme de ménage va forcément la découvrir ! Mes amies, que vont-elles penser de tout ça ? Personne ne doit être au courant ! Surtout pas !!! Quand cet homme sera là je vais le raisonner… je le paierai s’il le faut pour qu’il me laisse tranquille… dans combien de temps arrivera-t-il ? Oh mon dieu je n’en peux plus je vais bientôt jouir ! Non je ne dois pas !!! Quand mais quand arrivera-t-il?...
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