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La bourgeoise et le marabout

Chapitre 8

Au cinéma...

Avec plusieurs hommes
François m’a envoyé un SMS me disant qu’il rentrait de Bordeaux comme convenu en milieu d’après-midi et serait à la maison vers 19h00 car ces deux jours lui ont paru extrêmement longs. Je culpabilise énormément car j’ai reçu deux hommes pendant son absence alors que je ne l’avais jamais trompé jusque-là en 27 ans de mariage. Je ne sais pas pourquoi je me suis conduite ainsi avec ces deux hommes ; c’est comme si une autre femme avait pris possession de moi et s’était livrée à ces deux mâles sans aucune retenue. Mais je dois avouer, au fond de moi, que cela m’a fait du bien de m’abandonner ainsi à leurs assauts. Je ne vais bien sûr rien dire à mon mari mais, pour me faire pardonner, je vais me laisser aller à ses envies ce soir. Pour lui montrer que je suis impatiente de le retrouver et prête à me donner, je lui mets à mon tour un SMS :— Chéri, je t’attendrai avec impatience. Je vais me faire belle pour toi et nous sortirons si tu le souhaites.
A 19h00, lorsque François arrive, je suis déjà apprêtée pour lui. Il me raconte son audit au musée des Beaux-Arts de Bordeaux et, comme à chaque fois, c’est un long monologue sur les œuvres qui y sont conservées. Il faut dire que mon mari est haut fonctionnaire à la direction des patrimoines au ministère de la Culture où il s’occupe plus particulièrement du service des musées de France et c’est donc un passionné ! Il remarque enfin que j’ai mis un ravissant petit tailleur gris Chanel et me suis maquillée avec attention, peut-être même ai-je forcé sur le fond de teint et le rouge à lèvres. Il vient près de moi et m’enlace tout en soudant sa bouche à la mienne. Ses mains se plaquent sur mes fesses et m’attirent tout contre lui, je devine son sexe déjà bandé. Il me dit — Ces deux jours ont été harassants, j’ai vraiment besoin de me changer les idées en ta compagnie. Nous allons dîner au restaurant puis nous irons au cinéma.
Au cours du dîner, François m’a avoué avoir montré de nouveau les photos du bois de Boulogne aux deux jeunes collègues qui l’accompagnaient et que lui s’était donné du plaisir le soir à son hôtel en repensant à cette délicieuse sortie. Je lui dis qu’il m’a manqué, que j’ai revu ma sexologue qui m’a conseillé d’oser répondre aux attentes de mon mari pour rebooster ma libido. Cela n’est bien sûr pas très conforme à la réalité de ces derniers jours mais, dans l’esprit, ce n’est pas si différent que cela ! En sortant du restaurant, François me dit qu’il a repéré un ciné d’art et d’essais où l’on repasse de vieux films très intéressants. Nous voici donc en route pour le ciné « Le Mac-Mahon » où est projeté un drame érotique japonais de Masaru Konuma « La vie secrète de Madame Yoshino » datant de 1976. Une fois nos billets en poche, nous entrons dans une toute petite salle et François m’entraîne au fond pour que nous nous installions au milieu de la dernière rangée. Il y a peu de monde dans la salle et cela change vraiment des salles modernes pleines à craquer. Le film commence et, même si c’est en version originale sous-titrée, on se laisse vite emporter par l’histoire de cette veuve et de sa fille toutes deux amoureuses du même jeune homme.
Alors que l’écran nous renvoie l’image de Madame Yoshino s’offrant à son jeune amant, François, assis à ma gauche, pose une main sur mon genou et commence à remonter vers le haut de mes cuisses. Ma main se tend vers son pantalon et je devine son sexe déjà bien bandé. Tandis qu’il me fait écarter les cuisses pour que sa main puisse effleurer la dentelle de mon string, j’ouvre sa braguette, y glisse ma main et j’entreprends de le masturber avec délicatesse. Rapidement, sa queue bien raide jaillit de son boxer et le gland pointe par la braguette. Dans le même temps, il remonte bien haut ma jupe qui ne ressemble plus maintenant qu’à une large ceinture au niveau de ma taille. François me dit — J’adore quand tu es en string et en bas, un peu comme si tu étais prête à satisfaire mes moindres envies.Je lui réponds — Chéri, j’ai mis cette lingerie pour toi, pour te changer les idées après ton pénible déplacement en province.Il attire mon visage vers le sien, m’embrasse à pleine bouche puis, appuyant d’une main sur mon crâne, me fait comprendre que je dois me pencher vers son bas-ventre. Mes lèvres coulissent lentement le long de sa tige, la pointe de ma langue excite délicatement son gland tandis que je lui malaxe les bourses avec application. Il se laisse aller et son bas-ventre se soulève régulièrement de son fauteuil pour bien s’engouffrer dans le fourreau brûlant de ma bouche. Il me dit — Tu es une superbe geisha et on dirait que tu as récemment pris des cours de fellation car je ne te connaissais pas de tels talents.Je ne vais évidemment pas lui avouer que, depuis ma première consultation avec mon marabout, ma pratique de la fellation a eu de nombreuses occasions de s’améliorer !
J’ai maintenant accéléré mes mouvements et la queue de mon mari est bien gonflée ; sa satisfaction se mesure aux petits gémissements de plaisir qu’il essaye de rendre le plus discret possible. Alors que je ferme les yeux pour bien profiter des ultimes instants avant le bouquet final, une main se glisse entre mes jambes, écarte la dentelle de mon string et se glisse doucement en moi. J’écarte un peu plus les jambes pour être plus accessible et aussitôt la caresse se fait plus appuyée. Je suis soudain surprise de constater que j’ai une main qui appuie sur ma tête, une qui me caresse la nuque, une autre entre les cuisses et une quatrième qui vient d’accéder à la pointe de mes seins. Il m’est toutefois impossible de relever la tête pour voir à qui appartiennent les deux mains en trop car la main sur la nuque veille à me maintenir à l’ouvrage. Qu’importe, la situation est excitante et je suis certaine que François s’est aperçu de la présence de ce complice ; peut-être même l’a-t-il invité à se joindre à lui. Par ailleurs, ne me suis-je pas engagée à être bien docile pour me faire pardonner mon infidélité inavouée ?
Mes cuisses sont écartées au maximum et les doigts inconnus ont maintenant pleinement pris possession des lieux. Ma chatte est trempée et une douce chaleur m’envahit le bas-ventre. Mes tétons sont bien durs et réagissent parfaitement à la main qui a dégrafé mon soutien-gorge pour mieux profiter de mes seins. François est de plus en plus tendu et sa main vient d’accentuer la pression sur ma nuque. Son gland est au fond de ma gorge lorsqu’il décharge sa chaude semence. Les jets sont moins puissants et moins fournis que ceux de Monsieur Coulibadou mais j’apprécie tout de même cet élixir de jouvence. Une fois que j’ai bien nettoyé la queue de ma langue, l’étau sur ma nuque se desserre et je peux enfin relever la tête. Me tournant sur ma droite, je peux voir que le complice est un homme d’une cinquantaine d’années, costard-cravate, cheveux grisonnants. François se penche vers moi et me dit — Ce monsieur nous regardait avec insistance et semblait m’envier. Je lui ai fait comprendre que tu étais là pour le plaisir !Sans répondre, je l’embrasse avec passion puis me tourne vers l’inconnu et lui dis :— Vous permettez ?Avant qu’il ne me réponde, je me penche et embouche sa queue qu’il commençait à caresser. Son sexe est court mais très épais, il me remplit toute la bouche. A l’instar de mon mari, il réagit vite et le voilà qui bande bien. Sa queue ne s’est pas allongée mais elle a encore grossi. A ce moment, François glisse un petit sachet dans ma main et je vois que c’est un préservatif. Le coquin, il a envie que cet inconnu en profite jusqu’au bout. J’ai du mal à enfiler la protection sur la queue mais j’y arrive tout de même. Mon époux me dit — Tu vois chérie, ce n’est pas si compliqué que cela de donner du plaisir aux hommes. J’aime quand tu agis ainsi, j’adore !Pour bien répondre à ses attentes, et peut-être aussi pour le mettre devant les conséquences de ses choix, j’accentue ma fellation tout en malaxant bien les bourses. J’entends l’inconnu dire à mon mari — Vous avez une épouse divine, je vous envie d’avoir une femme aussi dévouée à vos envies les plus coquines.Mon mari lui répond — J’ai commencé tout récemment son éducation mais elle apprend vite.Si François savait que c’est en fait Monsieur Coulibadou qui se charge de mon éducation, peut-être ferait-il moins le fanfaron devant cet homme. Mais finalement, peut-être se consolerait-il en se disant que c’est lui qui peut en profiter le plus souvent et quand il le souhaite. Soudain, voilà l’homme qui se tend, émet un râle de bête sauvage et décharge de longs jets qui remplissent le préservatif. Je me tourne de nouveau vers François et lui dis d’une voix sensuelle et un peu soumise :— Chéri, es-tu satisfait de mon comportement ? Monsieur semble quant à lui avoir apprécié !
François me fait lever de mon siège et me prend par la main pour m’entraîner hors de la salle. Nous rentrons à la maison et montons aussitôt dans la chambre. Tandis qu’il est aux toilettes, je prends mon médicament en buvant directement à la bouteille. Je retire mes vêtements et m’installe à genoux sur le prie-Dieu face au miroir de l’armoire. En revenant dans la pièce, François me découvre ainsi dans la pénombre. Il vient se positionner derrière moi, son gland pointe déjà vers ma chatte. Je suis trempée depuis le ciné et il n’a aucun mal à me prendre. Il me serre la taille et ahane en me besognant à grands coups. Je croise son regard dans le miroir et je joue de ma langue sur mes lèvres pour l’exciter encore plus. Il ne quitte plus mon regard et, avec un petit rictus, me dit— Ce soir au cinéma, je crois que tu as révélé ta vraie nature. Dorénavant, nous pimenterons régulièrement notre vie sexuelle de petites escapades libertines. Cela ne peut que renforcer notre amour et nous maintenir en forme. Nous sommes à l’âge où il ne faut pas sombrer dans la routine sous peine de devenir un vieux couple.Je lui réponds — Oui, chéri, tu as raison. Ce n’est pas dans ma nature de me comporter ainsi mais je suis certaine que tu sauras me guider.
Je ferme les yeux et je me mets à penser à Monsieur Coulibadou et à son assistant Ahmed. Alors que j’imagine leurs deux sexes plantés en moi, François se colle encore plus fort contre moi et jouit en me traitant de bourgeoise débauchée et de petite salope. Est-ce lui qui me pousse dans cette voie ou bien est-ce moi qui ai délibérément choisi de m’y engager ?
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