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La bourgeoise et le marabout

Chapitre 17

Dans la peau d'une kahba ...

Avec plusieurs hommes
Suivie d’une main de maître par Monsieur Coulibadou et de temps en temps partagée par mon mari François, je commence vraiment à m’émanciper sexuellement et j’avoue que j’y prends un plaisir certain. Lorsque je suis avec mon marabout, je me laisse aller car je sais qu’il va obtenir le meilleur de moi. Lorsque je suis avec François, je le laisse me diriger car je sais qu’il y prend plaisir. Mais plus je deviens salope sous leur direction, plus je me rends compte que c’est également excitant de prendre les choses en main de temps en temps. Il est donc bon que, régulièrement, je m’affranchisse de mes deux mâles – mon thérapeute et mon mari – pour oser être une bourgeoise libérée qui assume totalement son envie de sexe, de lubricité et de perversion.
Cet après-midi, j’ai un rendez-vous professionnel chez un de nos clients installé dans la banlieue parisienne sur la commune de Saint-Ouen. Après la réunion de travail, qui avait pour but de proposer des questionnaires d’évaluation RH pour des entretiens d’embauche, je décide de m’arrêter au centre ville pour faire quelques courses alimentaires. Ainsi, je n’aurai pas à ressortir de chez moi une fois rentrée à la maison après le travail. Je rentre donc dans une petite supérette et je fais finalement plus de courses que j’envisageais. J’ai les bras chargés en sortant du magasin lorsqu’un jeune beur d’une vingtaine d’année m’aborde et me propose de porter mes sacs jusqu’à ma voiture. J’accepte bien volontiers et, une fois les affaires dans le coffre, je lui demande comment je pourrais le remercier. Il me répond— Pour épater mes copains qui seraient raides dingues de me voir avec une femme aussi classe, ce serait cool si vous pouviez m’offrir une boisson au café d’à côté. C’est le lieu de rassemblement de toute notre bande.Je lui fais un grand sourire et je lui dis que j’accepte car j’ai encore une heure de libre. En effet, je ne vais pas repasser au travail pour juste une heure qu’il me reste à faire.
Nous entrons donc dans le bar et nous installons à une table. Il n’y a que des hommes, de tous les âges, et pas une seule femme exceptée moi. Mon accompagnateur, qui s’est présenté comme étant Karim, m’explique que les filles du coin n’ont pas vraiment le droit de fréquenter les bars. Je comprends vite que la plupart des clients sont de confession musulmane et que, pour eux, les femmes restent à la maison. Une fois que nous avons commandé deux thés à la menthe, Karim me laisse quelques instants pour aller saluer quatre ou cinq de ces copains assis dans un coin de la salle et occupés à fumer la chicha. Une fois qu’il revient près de moi, il se penche à mon oreille et me dit tout bas— Les potes vous trouvent très séduisante ! Enfin, ils l’ont dit autrement mais je ne voudrais pas vous choquer.Je regarde en direction du groupe de copains, leur fait un petit bonjour de la main accompagné d’un grand sourire, puis je fixe de nouveau Karim — Allez, dis moi ce qu’ils ont dit. A mon âge, j’en ai entendu d’autre.Un peu gêné, il me répond— Ils ont dit que bandante comme vous êtes, vous devez être une sacrée kahba.Ouvrant de grands yeux, je lui rétorque— Et une kahba c’est quoi ?— En arabe, c’est une pute, une salope !me répond-il discrètement.Je me penche vers lui et lui tends mes lèvres— Montre à tes copains que tu sais y faire avec les kahbas.
Quelques instants plus tard, Karim a une main de posée sur ma cuisse et me caresse tout en m’embrassant à pleine bouche. Je me laisse faire car j’ai envie que ce jeune mâle puisse profiter de moi autant que je vais profiter de lui. Cela ne doit pas lui arriver tous les jours d’avoir une bourgeoise du XVIème arrondissement de Paris à portée de main. Sa main remonte un peu plus haut et il atteint maintenant la lisière de mes bas. J’écarte un peu plus les jambes et il peut glisser son index sous la fine dentelle de mon string. Où ils sont placés, ses copains peuvent parfaitement voir ce qu’il me fait et la situation m’excite. Se sentir désirée par ce jeune mâle qui me découvre du bout de ses doigts, voir ses copains le regarder avec envie, quel régal pour moi. Pour leur montrer que je sais aussi prendre les affaires en main, je pose ma main sur l’entrejambe de Karim et je caresse sa queue par-dessus le tissu de son jean. Bien vite, je devine son sexe qui grossit et, le regardant droit dans les yeux, je m’humecte lentement les lèvres du bout de ma langue. Je lis dans ses yeux qu’il est sur le point d’exploser alors j’arrête mon cinéma. Je lui demande s’il a un numéro de portable, il me répond que oui et le note sur un bout de papier qu’il me tend. Quelques minutes plus tard, je lui demande de me recommander un thé à la menthe tandis que je vais aux toilettes. Devant tous les hommes qui ne me quittent pas du regard, je me dirige lentement vers les toilettes en ondulant de la croupe. Au sous-sol, derrière la porte portant la mention « Toilettes », je découvre deux cabines WC à droite et un lavabo avec miroir sur le mur d’en face. Je retire mon string et le glisse dans mon sac à main, je prends mon portable et j’envoie un SMS à Karim « Viens vite, ta kahba t’attends ». Puis je trousse légèrement ma jupe de manière à montrer le haut de mes bas, me tourne vers le miroir et je commence à arranger mon maquillage.
Je suis en train de me remettre du rouge à lèvres lorsque la porte s’ouvre et, dans le miroir, je vois Karim marquer un temps d’arrêt en me voyant ainsi la croupe offerte. Il se rapproche, se colle à moi après avoir ouvert sa braguette et se frotte à mes fesses. Je lui tends une capote qu’il enfile et me dit— Tu vas voir, tu vas apprécier mon gros zob ! En guise de réponse, je me penche légèrement en avant les mains posés sur le lavabo et je tends mes fesses vers l’arrière. Son gland trouve facilement le chemin de ma chatte et le voilà qui commence à me donner de grands coups de queue en me tenant fermement par les hanches. Il a vraiment une belle queue et ma chatte a un peu de mal au début à l’engloutir entièrement. Mais dès qu’il glisse ses mains sous mon chemisier, me caresse les seins et me pince doucement les tétons, je mouille abondamment et il peut enfin investir totalement la place offerte. Après une bonne dizaine de minutes à me faire baiser ainsi, je lui dis— Tu devrais peut-être proposer au patron du bar d’en profiter aussi ??? Ainsi, il t’aura à la bonne quand tu reviendras chez lui.Karim me répond— Tu es vraiment une sacrée kahba ! Mes copains avaient vu juste.Puis il se saisit de son portable et dit quelques mots en arabe que je ne comprends pas.
Moins de deux minutes après, le patron nous rejoint dans les WC. Il doit avoir une cinquantaine d’années, a un peu de bedaine mais je lis dans ses yeux que c’est un pervers. Je fais en sorte que Karim s’appuie maintenant contre le lavabo et je viens face à lui pour qu’il me reprenne la chatte. Je suis certaine que la patron va apprécier s’occuper de mes fesses. Je donne ma bouche à Karim après lui avoir demandé de bien m’écarter les fesses de ses deux mains. Il s’empare aussitôt de mes deux globes fessiers et les ouvre du mieux possible. Une fois qu’il a enfilé son préservatif, le patron crache dans l’une de ses mains et me prépare à la sodomie. Bien prise par Karim, je jouis au simple contact de ses doigts sur mon cul. Une fois qu’il m’a bien lubrifiée, il pose son gland sur ma rosette et, d’un coup sec, me sodomise. Je pousse un cri atténué par la langue de Karim qui joue avec la mienne. Tandis que le jeune me malaxe les fesses, le vieux me tripote les seins. Rapidement, ils accordent leurs coups de boutoir pour être ensemble au fond de moi. Quel bonheur de sentir ces deux queues qui me possèdent à l’unisson ; j’ai l’impression qu’elles vont me transpercer de part en part et que les deux glands vont se toucher au fond de mon intimité. Tout en me baisant avec frénésie, les deux hommes se parlent mais je ne comprends rien à ce qu’ils disent. Qu’importe, j’apprécie cette position en sandwich et je suis certaine que maître Coulibadou serait fier de me voir ainsi baiser dans les toilettes d’un café de banlieue. Je ne sais plus combien d’orgasmes j’ai eu lorsque les deux hommes jouissent à leur tour. Lorsqu’ils se retirent, j’ai la chatte et le cul béants mais que cela est bon d’être ainsi apaisée par ces étreintes bestiales.
Le patron remonte le premier puis nous remontons ensuite après nous avoir embrassés encore un peu. Avant de rejoindre notre table pour finir notre thé a la menthe qui a refroidi, je fais un petit crochet en passant près de la table des copains de Karim. Je sors le string de mon sac et je le pose devant eux avant de retourner m’asseoir. Je les vois renifler mon string pour apprécier mon doux parfum de kahba ; j’écarte grand les jambes pour leur montrer que je suis la chatte à l’air. Je pose un billet sur la table, embrasse de nouveau Karim et le quitte en lui disant que je garde son numéro de téléphone si cela ne l’ennuie pas.
En voiture sur le chemin du retour, mon esprit vagabonde. Je glisse la main entre mes jambes et la moiteur de ma chatte me confirme que je n’ai pas rêvé. Je me suis vraiment comportée comme la dernière des salopes dans ce petit café mais cela a été très bon. Il est fort probable que je revienne faire un tour par ici dans quelque temps. Karim a certainement tout raconté à ses copains et a fait des envieux qu’il ne faudrait pas décevoir......
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