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La bourgeoise et le marabout

Chapitre 18

Au restaurant libertin...

Avec plusieurs hommes
Maintenant que j’ai décidé d’assumer pleinement mon statut de bourgeoise dévergondée, je dois impérativement trouver un juste équilibre entre mes consultations chez maître Coulibadou, mes sorties sous la direction de François mon mari et mes rencontres en solitaire au gré de mes fantaisies. Comme notre soirée pluralité à la maison avec ses trois copains de régiment remonte déjà à quelques semaines, il est temps que je fasse plaisir en François en lui suggérant une sortie coquine. Le plus difficile, c’est de ne pas montrer que je suis impatiente et de lui laisser croire que c’est lui qui a l’initiative. Aussi, ce soir dans notre chambre, tandis qu’il est en train de me prendre en levrette devant le grand miroir de notre armoire, je lui glisse à l’oreille
— Je sais que tu aimes parfois m’exhiber dans des endroits publics comme nous l’avons fait deux fois au Bois de Boulogne. Même si je dois forcer un peu ma nature pour m’exécuter, n’oublie pas que je souhaite avant tout te faire plaisir et répondre à tes attentes.
Tout en continuant de bien me besogner, il me répond
— Je reconnais que ces deux sorties au bois et cette soirée avec les copains ont été très sympathiques. J’ai adoré ta spontanéité à jouer la salope. Mais je crois que c’est plus excitant avec des inconnus !
Il s’allonge maintenant sur le dos et m’attire à lui pour que je vienne m’empaler sur sa queue. Une fois sur lui, tandis qu’il me tient par les hanches, j’ondule sur sa tige en me caressant le clitoris.François reprend alors le fil de la conversation
— Oui, je pense que c’est vraiment plus excitant avec des inconnus. Je vais y réfléchir !
Et il se vide en moi en poussant de longs feulements de bête sauvage et très certainement en pensant déjà à une future sortie.C’est le vendredi suivant en début d’après-midi, alors que je suis encore au travail, qu’il m’envoie un SMS « Chérie, fais toi bien sexy quand tu rentres à la maison. Je t’invite à dîner dans un restaurant un peu particulier en plein cœur de Paris ». Une fois chez nous, je prends un bon bain, me parfume et me maquille avant de choisir ma lingerie, mes chaussures et ma tenue pour le dîner. François arrive quant à lui vers 20h00 et me dit qu’il a eu une journée harassante et que cette sortie va lui faire le plus grand bien. Il me regarde, me fait tourner devant lui pour me voir sous tous les angles et semble satisfait. Il se change à son tour pour mettre une tenue plus appropriée et à 20h30 nous embarquons dans le uber qu’il a commandé. Une petite dizaine de minutes plus tard, nous arrivons devant un restaurant et nous entrons. Dans la salle, il n’y a qu’une dizaine de table - pour deux, trois ou quatre personnes - disposées autour une petite piste de danse et la quasi-totalité des places est déjà occupée.
Heureusement, mon mari en a réservé une pour nous. Une fois mon trench-coat confié au garçon, j’apparais dans une tenue très osée et de nombreux hommes portent leur regard vers moi. Je porte en effet une robe noire très près du corps, avec un profond décolleté devant qui interdit de mettre un soutien-gorge. La robe est également largement fendue des deux côtés, de la taille jusqu’en bas. J’ai donc été obligé de mettre un petit string retenu très haut et j’ai mis des bas autofixants dont on voit les larges jarretières à chaque fois que je fais un pas. Enfin, je suis chaussée d’escarpins à très hauts talons qui m’allongent les jambes et me font paraître bien plus grande que je ne suis.Au début l’ambiance est comme dans tous les restaurants et je ne vois pas ce qui pourrait être particulier dans cet établissement plutôt cosy. Après un petit kir royal en apéritif, nous profitons en entrée de noix de Saint Jacques accompagnées d’un verre de Chablis blanc. Mais soudain, François me fait remarquer qu’il semble se passer quelque chose à l’une des tables de trois. Je regarde dans la direction qu’il m’indique et je vois une femme d’environ soixante ans, accompagnée d’un homme de son âge qui semble être son mari et d’un jeune homme d’une vingtaine d’années, se lever et se glisser sous la table. Tout le monde comprend bien vite qu’elle est en train de faire une fellation au plus jeune des deux hommes qui continuent à dîner et à discuter. Quelques minutes plus tard, elle réapparaît de dessous la table et se remet à sa place pour poursuivre son repas après avoir bu un verre de vin. Devant ma surprise, François m’explique que nous sommes dans l’un des rares restaurants libertins de Paris et que tout est permis dès lors que les personnes sont consentantes.
Quelques couples esquissent des pas de danse sur la piste. Le serveur nous apporte les magrets de canard sauce au miel servis avec des légumes primeurs et des figues rôties. Le sommelier nous sert quant à lui un excellent Pomerol rouge. Tout en savourant son plat, François me dit qu’il a trouvé particulièrement intéressante la séance de fellation et qu’il espère voir d’autres surprises au cours de la soirée. Puis, posant sa main sur la mienne, il ajoute
— Chérie, tu es vraiment en beauté ce soir. Je vois que tu n’es pas trop intimidée par les lieux et j’espère que tu vas ravir toute l’assistance au moment du dessert.
Je lui fais un grand sourire et je lui réponds
— Tu es mon mari et donc le maître de cérémonie. Je ferai tout mon possible pour te faire honneur dans ce temple de la luxure et de la débauche. Mais n’as-tu pas peur que la situation t’échappe ?— Je t’ai amenée ici en toute connaissance de cause. Rien ne peut me surprendre !
Sur la piste, on se déhanche maintenant au rythme d’une lambada et les corps sont de plus en plus serrés. L’une des femmes évolue entre deux hommes qui l’enserrent de près ; celui qui est devant elle l’embrasse à pleine bouche tandis que celui qui est derrière lui caresse ostensiblement les seins. La situation devient plus torride lorsque l’un des deux hommes parvient à lui trousser sa jupe jusqu’à la taille alors que l’autre défait tous les boutons de son chemiser et l’ouvre en grand. Toute la salle peut alors voir que la danseuse n’a que ses bas pour dessous. Bien vite, elle est entraînée vers un petit escalier qui mène au sous-sol. Nous n’en saurons pas plus pour l’instant et chacun est libre d’imaginer la suite qu’il veut.Avec François, nous décidons de ne prendre ni salade ni fromage et commandons notre dessert. Gourmand, François choisit une mousse au chocolat meringuée ; plus raisonnable et soucieuse de ma ligne, j’opte pour une crème brûlée vanille. Lorsque le serveur nous apporte nos desserts, ils sont accompagnés d’une bouteille de champagne.
— Pour votre première soirée chez nous, la maison vous offre le champagne.
nous annonce le garçon avant d’ajouter à destination de François
— Et c’est aussi pour vous remercier d’être accompagné d’une femme aussi séduisante. Les autres convives sont impatients de mieux la découvrir.
François demande au serveur de transmettre tous nos remerciements au gérant et ajoute que le champagne va certainement m’aider à me détendre pour la suite de la soirée. Joignant le geste à la parole, il remplit ma coupe puis la sienne et nous dégustons nos desserts alors que des couples continuent à danser sur la piste en s’embrassant, se caressant puis disparaissant vers le sous-sol.J’ai terminé ma crème brûlée et bu ma troisième coupe de champagne. Je me sens l’esprit guilleret en écoutant le refrain d’une musique entraînante « J’aime cette fille Sur talons aiguilles Qui se déhanche Ça met un peu de chaleur Au fond de mon cœur » et je dis à François qui n’a pas encore fini sa mousse au chocolat
— Si cela ne t’ennuie pas, je vais danser un peu de disco pour me mettre en jambes.
Après avoir bu un peu de sa coupe, il me répond
— Oui tu as raison chérie. Laisse toi aller aux démons de minuit.
A peine suis-je sur la piste qu’une jeune femme, la trentaine environ, vient danser tout près de moi. Bien que je ne sois pas portée sur les plaisirs saphiques, très certainement par manque d’expérience dans ce domaine, je la laisse se coller à moi car je pense que cela va exciter François. Au bout de quelques minutes, Eva – qui a réussi à me dire son prénom malgré la musique – m’embrasse sur la bouche et me glisse à l’oreille
— J’aimerais bien te préparer avant que les mecs s’occupent de toi.
Je lui rends son baiser passionné en lui disant
— Peux-tu en parler à mon mari qui est assis là-bas ? C’est lui le maître de ma soirée.
Elle quitte la piste, va s’asseoir à ma place en face de François et je les vois discuter quelques minutes. Lorsqu’elle revient, elle est toute joyeuse et m’annonce
— Ton mari est charmant. Nous avons trouvé un accord !
Elle se colle outrageusement à moi et tout, en entamant un slow langoureux, continue à m’embrasser à pleine bouche et me caresser ouvertement les fesses. Sans que je m’en rende compte, elle m’entraîne vers l’un des poufs en cuir installés en bord de piste. Elle me fait asseoir dessus, se met à genoux devant moi, glisse ses mains sous ma robe, écarte mon string et me force à ouvrir grand les jambes. Elle engouffre son visage entre mes cuisses et sa langue se glisse dans mon intimité. Rapidement, quelques hommes nous entourent et commencent à se masturber en nous regardant. Peut-être parce qu’elle est une femme et sait ce qu’aime une femme, Eva me fait un superbe cunnilingus qui m’excite au plus haut point. Je vois alors que François s’est rapproché de notre groupe, se glisse derrière moi, défait la fermeture éclair dans le dos de ma robe et me libère les seins. Aussitôt quelques hommes en profitent pour me les caresser et, comprenant que mon mari me met à leur disposition, d’autres approchent leur sexe de ma bouche.
Tandis qu’Eva continue à me déguster la chatte et à bien me faire mouiller, ma bouche ne reste pas inactive et passe d’une queue à l’autre. Je m’applique comme me l’a appris mon marabout. Je tète le gland avec gloutonnerie, j’enroule ma langue autour la hampe, j’embouche à fond la tige, je la garde au fond de ma gorge quelques secondes puis je recommence avec une autre queue.Eva semble avoir rempli son œuvre et elle m’a bien fait jouir. Elle me fait relever et descend la robe jusqu’à mes pieds. Un serveur vient la récupérer et l’emporte au vestiaire, je suis donc condamnée à rester en bas, string et escarpins jusqu’à la fin de la soirée. Heureusement, l’ambiance s’est réchauffée et je suis bien. François apporte une autre coupe de champagne, la présente à un homme qui trempe son sexe dans le précieux liquide avant de me le mettre en bouche. Je comprends que la soirée va doucement dégénérée et cela n’est pas pour me déplaire. Je prodigue donc quelques fellations au champagne qui semblent ravir ces messieurs et contribuent à me désinhiber un peu plus. Je remarque alors que Eva est en train de danser bien collée avec mon mari, cela aiguise un peu ma jalousie car c’est la première fois que je le vois ainsi avec une autre femme. Deux hommes m’entraînent alors dans une danse des plus érotiques et, bien coincée entre les deux, je me fais dévorer la bouche, caresser les seins, flatter la croupe.
Il faut dire que dans la tenue où je suis, ils n’ont pas de mal à accéder aux parties les plus intimes de mon corps. Sans que je m’en rende compte, ils m’entraînent vers un coin de la piste de danse et, quelques secondes plus tard, ils m’aident à descendre les escaliers qui mènent au sous-sol.L’ambiance y est feutrée et les lieux ne sont éclairés que par quelques lumières rouges. Un couloir s’étend devant nous, il dessert de chaque côté des petits salons où l’on entend des gémissements et des cris de plaisir. Dans l’un de ces salons, on découvre la femme qui avait fait la fellation sous la table. Elle est attachée à une croix de saint André, son mari lui flagelle le dos tandis que je jeune homme semble la sodomiser avec fougue. Dans un autre, on découvre le trio qui dansait sur la piste et qui avait disparu en cours de dîner. L’un des hommes est allongée sur le lit, la femme est empalée sur lui et le troisième est bien calé entre ses fesses. Mais nous voici arrivés dans la dernière pièce au bout du couloir, il y a de grands miroirs sur tous les murs et au plafond. Au centre, il y a comme une table de salon rehaussée et capitonnée de velours rouge. Les deux hommes me soulèvent et me déposent sur cet autel, la tête posée sur un petit coussin. Ils se placent de chaque côté de moi et me dévorent la bouche et les seins à tour de rôle.
Je ferme les yeux et m’abandonne à leurs envies. Soudain, je sens que l’on me soulève les fesses et on retire mon string. Sans ouvrir les yeux, je devine qu’ils sont maintenant plus nombreux autour de moi. Un homme se positionne debout entre mes jambes, j’ai la chatte à la hauteur de sa braguette et il n’a donc aucune difficulté, une fois sa queue sortie, à me prendre. Il faut dire qu’Eva m’a rendue bien ouverte ! On me besogne, on me caresse les seins, on dévore ma bouche, on me pince les tétons, on se masturbe, on me mate, je suis le centre d’attraction de nombreux mâles. Celui qui me baise se vide en moi et est aussitôt remplacé entre mes jambes. Quelques queues déjà bien bandées se présentent à ma bouche et je les gobe à tour de rôle. Certains doivent être particulièrement excités car deux ou trois mâles déchargent dans ma bouche et je me délecte de leur nectar. Une fois que ma chatte et ma bouche ont été bien arrosées, François qui nous a rejoint accompagné d’Eva m’entraîne derrière lui.
Ceux qui n’ont pas encore eu l’occasion de profiter de moi sont déçus mais mon mari les rassure vite
— Suivez-nous, nous changeons simplement de salon pour varier les plaisirs. Ma femme est là pour apprendre !
Nous entrons dans le salon où trône la croix de saint André, la pièce a été désertée par le trio que j’avais vu en arrivant au sous-sol. François me fait avancer tout contre le bois de sorte que le milieu de la croix est au niveau de mon ventre. Avec des liens en velours, il m’attache les poignets et les chevilles aux quatre coins de la croix puis actionne une poulie qui permet d’incliner légèrement l’ensemble vers l’avant. Me voici maintenant inclinée à quarante-cinq degrés vers l’avant, les bras écartés, les jambes grandes ouvertes et les fesses ainsi offertes à tous les regards. Eva vient près de moi et me dit
— Je vais de préparer de nouveau mais tu imagines bien que cela va être un peu différent de tout à l’heure sur la piste de danse.
Je ne peux pas voir ce qui se passe derrière moi puisque, ainsi attachée, je ne peux pas me retourner ni même jeter un œil vers l’arrière. Deux mains douces se posent sur mes fesses, les écartent bien et une langue commence à me titiller l’anus avec délicatesse. Ce rôle de soumise est des plus excitants et bien vite la langue agile s’insinue largement dans mon fondement. C’est ensuite un doigt, puis deux et même peut-être trois qui agrandissent ma rondelle ; je comprends alors que François a délibérément choisi de me faire prendre par tous les orifices. Eva a fini son œuvre et, pendant la demi-heure qui va suivre, je vais être sodomisée par de nombreux mâles qui vont se répandre en moi. Je ne compte pas les queues qui se succèdent mais du foutre coule sans cesses le long de mes jambes. Je ne pense à rien, je ne suis qu’une bourgeoise dédiée aux plaisirs de ces hommes en rut, une vraie salope qui se donne sans compter, une épouse délurée offerte par son mari.Il doit être près de trois heures du matin lorsque nous regagnons notre appartement. Je suis fatiguée mais François n’en a pas fini avec moi. Il me dit
— Tu t’es parfaitement comportée ce soir. J’espère que tu as pris du plaisir à satisfaire tous ces hommes.
Puis il glisse sa queue dans ma bouche et se masturbe quelques minutes entre mes lèvres. Il s’allonge ensuite sur moi et n’a aucun mal à me pénétrer. Après m’avoir besogner la chatte quelques instants, il me fait allonger sur le ventre et glisse son sexe entre mes fesses. Ses commentaires m’excitent
— Tu as le cul vraiment bien ouvert.— Tu es encore pleine du foutre de tous ces mâles.— Tu as un doux parfum de chienne.
Et ses longs jets de sperme se répandent enfin dans mon conduit déjà bien lubrifié.Oui, je deviens une vraie salope et j’aime cela.....
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