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La bourgeoise et le marabout

Chapitre 24

Offerte dans un foyer...

Avec plusieurs hommes
François m’a bien baisée hier soir à la maison mais je sais que cela ne lui suffit pas. L’évolution de mon comportement lui permet de révéler ses vraies pulsions de mâle lubrique et de mari pervers. Je sais qu’il prend un plaisir non dissimulé à m’exhiber devant d’autres hommes et à m’offrir dans des endroits publics. Je ne suis donc pas surprise lorsqu’il me dit en cette fin de samedi après-midi— Chérie, il fait un superbe temps. J’ai très envie que nous sortions prendre l’air.Je lui réponds— Tu souhaites que je m’habille comment ? C’est pour aller se promener où ?— Mets quelque chose de léger, nous allons allez du côté de Barbès et peut-être nous ferons nous un film au Louxor.dit-il tranquillement comme si je n’avais pas compris quelle tournure va certainement prendre cette sortie dans un quartier aussi chaud.
Il est environ 19h00 lorsque j’ai fini de me préparer. Compte tenu de la météo, j’ai simplement mis une robe de demie saison avec un petit gilet en laine assorti. Dessous, j’ai choisi de porter un ensemble soutien-gorge et string assorti avec des dim-up. Des chaussures à talons hauts complètent la tenue. J’ai forcé un peu sur le maquillage, au niveau du rouge à lèvres et du mascara sur les yeux. Pour changer, je me suis attaché les cheveux en chignon de matière à mettre ma nuque en valeur. Autour mon cou, j’ai choisi de porter un collier serré en cuir.
François décide que nous y allons en métro pour éviter les problèmes de parking sur place. C’est effectivement une bonne raison mais je sais aussi qu’il a envie de m’exhiber un peu dans les transports en commun. Place de Clichy, nous changeons de ligne pour embarquer dans la 2 qui va nous amener à Barbès-Rochechouart. La voiture est bondée et nous restons debout. Je suis face à François bien collé à lui mais, bien vite, je sens que l’on se colle aussi dans mon dos. Je ne me retourne pas et bien vite la pression se fait un peu plus forte. L’inconnu n’hésite pas à se frotter contre mes fesses et bien vite je devine son sexe en érection. Je pousse un peu le bassin vers l’arrière et une main me caresse les fesses à travers le fin tissu de ma robe. Je me laisse faire car je lis dans les yeux de mon mari que c’est ce qu’il souhaite. La main se glisse discrètement sous ma robe et un doigt vient effleurer la fente de ma chatte. J’écarte un peu les jambes pour favoriser le passage mais nous arrivons déjà à la station où nous devons descendre. Je sors du compartiment au bras de François sans même me retourner. En descendant les escaliers qui permettent de sortir de la station et accéder dans la rue, les vendeurs à la sauvette de cigarettes et autres abonnés du secteur me dévore du regard.
Aussitôt sortis dans la rue, nous voilà devant le Louxor. Pas de chance, les prochaines séances ne débutent que dans plus d’une heure. François me propose alors de nous poser dans un café pour boire quelque chose. A peine sommes nous installés dans un bar que voilà Monsieur Coulibadou qui entre son tour. François ne semble pas surpris en invite mon marabout à s’installer à notre table. Je me demande si, par hasard, ils n’auraient pas convenu du rendez-vous ensemble ! Après un quart d’heure de discussion, Monsieur Coulibadou nous propose de l’accompagner voir quelques amis qui habitent à côté. François accepte et, après une petite dizaine de minutes de marche, nous nous retrouvons devant un immeuble un peu vétuste dans une petite rue. Notre accompagnateur nous explique que c’est un foyer d’hébergement pour travailleurs immigrés et qu’il y vient parfois pour exercer ses talents de rebouteux en tous genres. C’est à ce moment-là que François me dit— Chérie, je t’abandonne une petite heure aux bons soins de Monsieur Coulibadou, j’ai une petite course à faire au magasin Darty qui est tout près.
Avant que j’ai eu le temps de répondre, le voilà parti. Avec mon marabout, nous montons les marches de l’escalier en bois pour accéder dans une sorte de salle commune au second étage. Quelques hommes sont installés là et semblent attendre le marabout comme s’il s’agissait d’une salle d’attente. Maître Coulibadou me fait entrer avec lui dans la petite pièce qui lui sert de cabinet provisoire de consultation. Il me fait asseoir sur une chaise dans un coin et fait entrer le premier patient. Ils échangent tous les deux dans un dialecte que je ne comprends pas. Son interlocuteur, un black d’une bonne cinquantaine d’années, soulève sa djellaba pour que le marabout lui ausculte le sexe. Puis se tournant vers moi, maître Coulibadou me dit— Cet homme n’a pas fait l’amour depuis longtemps et cela lui provoque des problèmes testiculaires. Vous ne voudriez pas le soulager un peu ?Le piège tendu par François et mon marabout est en train de se refermer sur moi. Mais je vais jouer mon rôle !Je viens devant le patient, me met à genoux à ses pieds et je commence à lui caresser les bourses. Bien vite, sa queue se raidit et atteint des proportions très intéressantes. Je penche mon visage vers ce glaive d’ébène et le prends en bouche. Cela doit le changer des masturbations solitaires car il gémit de plaisir dès que je commence ma fellation. Au bout de cinq minutes, il met les deux mains derrière ma nuque, m’oblige à le prendre en fond de gorge et déverse en moi de longs jets crémeux et brûlants.
Mon marabout me félicite pour ma coopération et m’entraîne dans la salle d’attente. Il dit quelques mots aux hommes qui patientent puis il ouvre une autre petite porte qui donne sur une pièce où il y a un lit. Il me fait retirer mon petit gilet et ma robe puis me dit— C’est gentil à vous Hélène d’accorder un peu de temps à ces messieurs. Ils ne baisent quasiment jamais et cela va apaiser leurs pulsions. Soyez tranquille, je leur ai dit que ce serait avec préservatif.Il quitte la pièce et me voilà seule. Pas longtemps car, quelques secondes plus tard, un homme entre. Il semble un peu intimidé et je viens près de lui pour l’aider à retirer ses vêtements. Il ne porte rien dessous et sa queue est déjà fièrement dressée. Je l’attire sur le lit, le fait allonger et, après l’avoir bien sucer, je viens m’empaler sur lui. Je le chevauche en ondulant bien de la croupe. Il m’attire contre son buste, m’embrasse à pleine bouche et me caresse les fesses tout en me donnant de grands coups de bas-ventre. J’adore sa queue qui me remplit la chatte et je jouis en même temps que lui lorsqu’il décharge dans la capote.Pendant l’heure qui va suivre, je vais satisfaire tous les inconnus qui vont se présenter. Ce ne sont que des blacks et je fais une cure de belles queues bien grosses et bien dure. Certains me dévorent la chatte, d’autres me caressent longuement le corps, quelques uns privilégient une position en 69. Quand ils sont bien excités, ils choisissent la position qui leur convient et je leur offre ma chatte ou mon petit cul en fonction de leurs envies. Comme il y a longtemps qu’ils n’ont pas pris leur pied, ils jouissent assez rapidement mais j’y trouve cependant du plaisir. Deux ou trois, qui doivent certainement se branler tous les soirs, ont été plus endurants que les autres. Ils m’ont bien baisée puis m’ont enculée avec passion. En levrette, bien tenue aux hanches, je suis leur jouet sexuel pour quelques minutes et ils en profitent. Quel bonheur de soulager tous ces mâles !
Lorsque François revient, la salle d’attente est vide et il me surprend dans la petite chambre avec Monsieur Coulibadou en train de me prendre. Cela ne le gêne pas, bien au contraire. Il se débraguette et vient se positionner de telle manière que je puisse le sucer pendant que mon maître me baise. Ce dernier n’a bien sûr pas mis de capote car il a le rare privilège de pouvoir me saillir nature. Les deux mâles jouissent en même temps. J’ai la chatte remplie par les jets bien denses de mon maître et la bouche par le jus de mon mari. Je suis comblée après un tel traitement !
Une fois rentrée à la maison, François m’avoue enfin que tout cela a été organisé grâce à Monsieur Coulibadou. Ils sont devenus de véritables complices et il n’est pas exclu qu’il me mette parfois à la disposition du marabout. Je lui réponds que si c’est ce qu’il souhaite, je ne refuserai pas. Je n’en dis pas plus car je ne vais tout de même pas lui avouer que je ne demande que cela ...
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