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La bourgeoise et le marabout

Chapitre 26

Serveuse et serviable...

Avec plusieurs hommes
Ces derniers jours, je suis restée sage, car ma première expérience de zoophilie avec Stark m’a vraiment épuisée. La jouissance a tellement été violente que mon corps en a gardé des traces pendant toute une semaine et du point de vue psychique, cela m’a également exténuée. Je serais tentée de dire que cette saillie animale m’a calmé les sens pour plusieurs jours. Cependant, une fois la semaine écoulée, j’ai ressenti de nouveau l’envie du plaisir. L’appel du sexe s’est de nouveau fait entendre !
Heureusement, François et son complice Monsieur Coulibadou avaient décidé de ne pas me laisser trop longtemps inactive. Ce vendredi en fin d’après-midi, dès qu’il arrive à la maison, François me dit :
— Chérie, fais-toi belle et désirable, nous sortons prendre un verre ce soir. Monsieur Coulibadou nous invite près de chez lui.
Même si cela m’excite et que j’ai hâte d’y être, je réponds par principe à mon mari
— François, la prochaine fois, essaye de me prévenir un peu à l’avance. Là, j’ai un peu l’impression d’être mise devant le fait accompli et je déteste cela.
Avant qu’il ne réponde quoi que ce soit, je lui tourne le dos et je vais dans la chambre me préparer. Comme il fait beau en cette fin d’après-midi, je décide de jouer le grand jeu et de me faire très sexy.
Il est 20h00 lorsque nous prenons place dans le taxi qui nous transporte de chez nous jusqu’au boulevard Barbès-Rochechouart dans le XVIIIème. La circulation est fluide et il ne nous faut pas plus de quinze minutes pour accéder à l’Etoile, rejoindre la Place de Clichy et nous faire déposer à proximité du Louxor. Son complice a dû lui donner l’adresse, car François m’entraîne dans quelques petites rues que je ne connais nullement et nous voilà devant un petit café qui ne paye vraiment pas de mine. A peine sommes-nous entrés que nous apercevons maître Coulibadou déjà installé à une table au milieu de l’établissement. Bien que ce ne soit pas très grand, l’endroit est assez sympa, car deux murs sont en fait constitués de petites alcôves, se fermant avec un rideau de velours rouge, avec chacune un petit canapé et un petit guéridon. Je m’assois entre François et mon marabout, ce dernier s’adresse en arabe au patron et quelques minutes plus tard, on nous sert un excellent thé à la menthe.
C’est alors que je remarque que je suis la seule femme dans l’établissement parmi une dizaine d’hommes. Tout en discutant de choses et d’autres, maître Coulibadou pose sa main sur mon genou et remonte doucement jusqu’en haut de mes cuisses. Ce que je porte lui convient parfaitement puisqu’il dit à François tout en plaquant sa main sur ma chatte sous ma jupe.
— Hélène est ravissante et a choisi les dessous appropriés à la situation. C’est parfait !
François lui répond :
— Je ne lui ai rien précisé sur la soirée, mais elle devait se douter de ce qui l’attendait. Elle s’est donc habillée en conséquence comme il se doit !

Monsieur Coulibadou se lève, me prend par la main et m’entraîne vers le bar. Il échange quelques mots toujours aussi incompréhensibles avec le patron, puis m’entraîne de nouveau vers une petite pièce portant un écriteau « Privé ». Une fois la porte refermée derrière nous, mon marabout me fait retirer mon chemisier, mon soutien-gorge, ma jupe et mon string. Je suis devant lui en porte-jarretelles, bas gris et cuissardes. Il me donne un petit haut transparent que j’enfile ; le fin tissu s’arrête juste sous mes seins, ne cache rien de ma poitrine et de mes tétons déjà tendus, et me laisse le ventre à l’air. Comme je suis sportive et pratique du cardio-training, je n’ai évidemment pas la moindre graisse et mon ventre est parfaitement plat. Il me donne ensuite un petit tablier blanc de serveuse ultra-court que je noue autour ma taille. Puis il me dit :
— Vous avez maintenant la tenue idéale pour assurer le service en salle. Nous avons fêté hier la fin du ramadan et quelques hommes auront certainement envie d’un service de qualité. Je sais pouvoir compter sur vous.
Lorsque nous revenons dans la salle, maître Coulibadou retourne s’asseoir près de François tandis que je me dirige derrière le comptoir pour retrouver le patron qui doit bien avoir cinquante ans. Celui-ci se penche à mon oreille et tout en me caressant ostensiblement les fesses, me dit :
— Mon ami Coulibadou m’avait dit que vous étiez une belle femme, il ne m’a pas menti ! Il m’a également dit que vous étiez une belle salope, j’espère que c’est également vrai !
Et en prononçant ces derniers mots, il me force à écarter davantage les jambes. Sa main s’insinue entre mes cuisses et il glisse doucement l’extrémité de ses doigts dans ma chatte. Je me laisse aller, mes yeux se ferment à moitié et je savoure le léger va-et-vient dans mon intimité. Au bout de quelques instants, il retire sa main, la porte à la hauteur de son visage, respire les effluves qui s’en dégagent et me dit de nouveau à voix basse.
— Oui, vous l’êtes ! Et pour la soirée, vous allez être la bonne petite kahba de mon établissement.

De leurs tables, les consommateurs installés dans la salle voient mon tablier blanc, mais ne peuvent pas deviner que j’ai les fesses à l’air. Ils s’en rendent tous comptent dès que je vais servir du thé à la menthe à trois d’entre eux installés dans le coin le plus éloigné. Tandis que je m’applique à bien servir le thé dans les verres, à l’oriental en le faisant couler de haut, celui à ma droite pose sa main sur mes fesses. Je ne comprends pas ce qu’il dit à ses deux compères, mais il doit être satisfait de mon anatomie, car il s’aventure un peu plus haut jusqu’à mon sillon fessier. Celui qui est à gauche pose sa main sur mon genou et remonte jusqu’à ma chatte. Je fais attention à ne pas renverser de thé, mais ce n’est pas facile, tellement la situation m’excite. Enfin, une fois les trois verres remplis, je peux retourner derrière le comptoir.
Le patron me demande alors d’apporter quelques gâteaux à un homme qui est installé dans l’une des alcôves. Je prépare mon plateau puis me dirige vers mon nouveau client. A peine suis-je près de lui qu’il me dit :
— Voulez-vous tirer le rideau ma belle ? Nous serons plus tranquilles.
Je pose mon plateau devant lui puis me retourne pour fermer le rideau de velours et ainsi nous isoler du reste de la salle. La petite lumière tamisée rouge rend l’endroit intime.L’homme me dit :
— Ne vous retournez pas que je puisse admirer vos superbes fesses.
Je m’exécute et il en profite pour m’attirer à lui afin de bien me malaxer les fesses. Pour l’exciter, je remue les hanches et mime la danse du ventre. J’écarte un peu plus les jambes pour que l’homme puisse deviner par derrière les poils de mon pubis.
Soudain, il me prend par un poignet et m’oblige à me retourner. Je constate alors qu’il s’est débraguetté et se masturbe lentement. Il a une superbe queue et un gland circoncis. Je me mets à genoux devant lui et embouche son membre. Lentement, je commence à le pomper et sa bite grossit rapidement sous ma langue. J’accentue mes mouvements, obligeant son gland à venir buter au fond de mon palais. Le client doit apprécier ma technique, car il avance un peu plus son bassin sur le canapé et son buste s’avachit vers l’arrière. Maintenant, je le suce en lui malaxant les bourses et en lui titillant l’anus d’un doigt inquisiteur. Il faut dire que je dois faire vite pour m’occuper des autres clients. Heureusement, le voici qui se tend, gémit, plaque ses deux mains sur ma main pour m’obliger à l’engloutir en entier et se vide enfin en longs jets crémeux.
Je me redresse, regarde l’homme droit dans les yeux, avale tout son jus, m’essuie les lèvres avec ma langue, ouvre le rideau et repars vers le comptoir.
Pendant les deux heures qui vont suivre, je vais servir tous les hommes présents dans le bar. Certains se contentent d’une belle fellation qui les soulage après de longues semaines de jeûne et d’abstinence. L’abondance et la consistance des nombreux jets de foutre que j’absorbe témoignent de l’intensité de leur plaisir à se faire ainsi sucer. Par jeux, certains m’obligent à me glisser sous la table pour les sucer. D’autres préfèrent que ce soit aux vues de tous tandis que les plus timides préfèrent que l’on s’isole dans une alcôve.
Les plus pervers, souvent les plus âgés, privilégient la saillie plutôt que la pipe ; cela n’est pas pour me déplaire. Un vieux vicieux m’oblige à m’asseoir sur ses genoux après s’être bien branlé pendant que je suçais son copain de table. Je lui tourne le dos, ses deux mains me saisissent à la taille et lentement, en me guidant, il m’oblige à m’empaler sur sa queue. Tandis que je monte et descends sur sa tige, il me caresse les seins d’une main tout en s’aventurant parfois vers mon pubis pour exciter mon clito. Soudain, il me pince fort la pointe des seins et se vide en moi. Mon orgasme est foudroyant !
Les deux derniers clients à satisfaire, deux jeunes d’une trentaine d’années, m’entraînent dans une alcôve où j’ai droit à une double saillie. Bien allongé par terre, moi au-dessus de lui, le premier me besogne la chatte à grands coups de boutoir. L’autre, bien calé à genoux derrière moi, m’encule en veillant à conserver le même rythme que son copain. J’ai l’impression que leurs deux glands se télescopent au fond de ma matrice et je gémis comme une salope tellement cela est bon. Le rideau n’est pas tiré et c’est alors que François arrive, sort sa queue et m’oblige à le sucer. En fait, il se branle dans ma bouche tandis que les deux autres me baisent. Il ne tarde pas à jouir puis ce sont les deux autres qui se vident. Lorsque je rejoins le patron derrière le comptoir, le foutre glisse le long de mes jambes. Sans rien me dire, alors que je suis en train de laver quelques verres dans l’évier, le patron vient derrière moi et se colle à moi en me disant doucement :
— Vous êtes vraiment une belle salope. Tous mes clients ont apprécié la qualité du service.
En même temps, il me fait pencher le buste vers l’avant, colle son gros gland contre mes fesses et m’encule d’un coup sec. Me tenant fermement par les hanches pour m’interdire tout mouvement, il retire entièrement sa queue puis la replonge au fond de moi. Pendant dix bonnes minutes, il prend plaisir à me prendre ainsi et cela me fait un bien énorme. Chaque fois qu’il me reprend, son énorme gland me détend l’anus puis vient cogner tout au fond de moi. Il me mordille la nuque tel un étalon en train de saillir sa jument. Soudain, il me fait pencher un peu plus en avant et me donne un ultime coup de queue avec force. Son foutre se répand en moi pendant de longues secondes. Lorsqu’il se retire, le foutre coule tellement il m’en a mis. Il me dit :
— Je suis veuf et il y a bien deux mois que je n’avais pas baisé. Quel plaisir de se vider dans un aussi joli réceptacle ! Revenez un jour me voir !!

Il est plus de minuit lorsque nous rentrons à la maison. François a demandé à Monsieur Coulibadou de nous accompagner jusque chez nous. Une fois arrivé, mon mari dit à mon marabout :
— Je suis certaine que mon épouse a encore de l’appétit ! Installez-vous avec elle pour la nuit dans la chambre d’ami.
Mon marabout lui répond :
— Merci François. Hélène m’a excité toute la soirée et je vais lui faire honneur.
La nuit fut courte, car mon maître a souhaité me posséder dans de nombreuses positions. Fellation, cunnilingus, saillie, sodomie ... il s’est révélé inépuisable et j’ai joui de nombreuses fois.Au petit matin, lorsque je viens retrouver François dans la chambre conjugale, Monsieur Coulibadou vient juste de partir. François me demande de me mettre à genoux sur le prie-Dieu et me dit :
— Tu n’es qu’une bourgeoise délurée qui a commis le péché de chair. Je vais te donner la punition que tu mérites.
Et à son tour, il me baise et m’encule longuement, me conduisant ainsi tout droit au paradis...
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