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La bourgeoise et le marabout

Chapitre 28

Canicule et cinéma...

Avec plusieurs hommes
C’est la canicule sur Paris en ce mercredi après-midi. Je suis au travail et je rédige le compte-rendu de ma dernière visite RH chez l’un de nos clients. Je regarde ma montre, il est 16h00. Je regarde par la fenêtre de mon bureau qui donne sur le boulevard Haussmann, il n’y a quasiment personne sur les trottoirs. Je me lève et je vais me mettre debout devant le ventilateur pour me rafraîchir un peu. Je me dis que tout le monde doit rechercher les endroits frais pour attendre tranquillement le début de soirée et une baisse sensible des températures. Je crois que je vais faire pareil et je me dis que la fraîcheur d’une salle de cinéma serait la bienvenue.
Discrètement, je vais sur Internet et me connecte au site lieuxdedrague que j’ai découvert par hasard. Je lis les différents messages affichés pour le département 75 dans la catégorie « Cinéma ». L’un d’eux retient mon attention « Tony, 22 ans, aimerait se faire sucer au ciné. Femme mature particulièrement appréciée. Rendez-vous Pathé Wepler Place de Clichy, séance de 17h00, Parasite, rangée du fond ». Je décide de ne pas répondre à l’annonce, mais je vais tout de même aller sur les lieux. S’il ne se passe rien, au moins je serai dans un endroit climatisé et c’est toujours intéressant de voir le film parasite de Bong Joon Ho qui a obtenu la palme d’or au dernier Festival de Cannes.
Il doit être 17h15 lorsque j’arrive au cinéma, je prends mon billet, achète un cône de glace Miko ainsi qu’une petite bouteille de Vittel et je fonce vers la salle N°3 où est projeté le film. J’entre, ils sont en train de montrer les bandes-annonces des prochains films. Il y a vraiment peu de monde, mais il faut dire que le film est déjà sorti il y a de nombreuses semaines et c’est la version sous-titrée. Je monte les escaliers et je m’installe sur la dernière rangée, mais en restant à une place proche du bord. En m’asseyant, je remarque un jeune homme placé au milieu de la rangée, j’imagine que ce doit être Tony, le rédacteur de la petite annonce. Quelques instants plus tard, l’obscurité se fait dans la salle et le film commence. Au bout de 2 minutes, je me lève, me dirige vers le milieu de la rangée et je me penche vers le jeune homme.
— Bonjour. Excusez-moi de vous déranger, mais puis-je m’asseoir près de vous ? Je suis un peu presbyte et si je reste au bout de la rangée, cela me fatigue les yeux. Il faut que je sois loin de l’écran et bien en face pour ne pas avoir de souci.
Le jeune homme me répond :
— Bien sûr, je n’attends personne et vous pouvez donc vous installer comme vous le souhaitez.
Je remercie l’intéressé et me pose dans le fauteuil juste à sa gauche. Tout en regardant l’écran et sans prêter aucune attention à mon voisin, je bois un peu à ma bouteille d’eau, ouvre l’emballage de ma glace et commence à en profiter. Je fais en sorte de croiser bien haut les jambes pour qu’une partie de mes cuisses soient bien dévoilées à un éventuel voyeur. Je lèche avec application ma glace tout en faisant semblant d’être très concentrée sur les images qui défilent. Du coin de l’œil, je vois que mon voisin jette régulièrement un regard sur mes cuisses et qu’une bosse commence à déformer grandement son pantalon. Il s’agite sur son siège et, le plus discrètement possible, glisse sa main dans l’une des poches et essaye de mettre son sexe dans une position moins contractée.
Histoire de le provoquer un peu plus, je fais exprès de laisser tomber un peu de glace au chocolat sur ma légère robe blanche. Je fais semblant d’être très ennuyée et je demande à mon voisin.
— Si cela ne vous ennuie pas, pouvez-vous finir ma glace qui commence à être fondue ? Il faut absolument que je passe un peu d’eau sur ma robe pour enlever la tache.
Il se penche vers moi et je lui donne ma glace qu’il porte aussitôt à sa bouche en me disant :
— Merci beaucoup, cela fait vraiment du bien.
Je sors un mouchoir de mon sac à main, verse un peu de Vittel dessus, défais deux boutons du bas de ma robe de manière à pouvoir relever le pan qui est taché et je commence à le nettoyer. La tache est vraiment petite et je n’ai aucun de mal à la faire disparaître. Toutefois, je fais comme si le chocolat tenait bon et je m’applique à continuer à frotter avec mon mouchoir. Ce faisant, mon petit string rose est bien visible et dessine parfaitement la fente de ma chatte. Mon voisin n’en perd pas une miette tout en finissant ma glace et la déformation de son pantalon s’est encore accentuée.Je me penche de nouveau vers lui et je lui glisse à l’oreille :
— Vous vous appelez Tony, je crois ?
Mon voisin me regarde ahuri et me répond :
— Oui, c’est ça. Mais comment le savez-vous ?
Je pose une main sur sa braguette, appuie sur son sexe pour en éprouver la dureté et lui susurre :
— J’ai lu ta petite annonce et je me suis laissée tenter...
Avant qu’il ne réponde, j’ouvre sa braguette, en extirpe son glaive tendu et le prends en bouche.
Tony se cale bien dans son fauteuil et se laisse aller à la fellation que je lui prodigue. Bien penchée sur son bas-ventre, ma bouche coulisse sur sa hampe et je le prends entièrement en bouche. Je m’applique pour que ce jeune mâle sache ce qu’est une belle pipe faite par une vraie salope accro au sexe. Pour être plus à l’aise, Tony descend son pantalon et son boxer jusqu’aux chevilles. Tout en le suçant, je lui caresse les cuisses et je lui malaxe les bourses. Par moments, mes lèvres enserrent bien son gland et je le branle d’une main. Sa queue juvénile est maintenant parfaitement bandée et j’en apprécie tout particulièrement le volume.Ne souhaitant pas le faire jouir trop vite, j’arrête ma fellation et je lui dis :
— Je vais me rafraîchir aux toilettes. Si tu veux, tu peux m’y rejoindre dans cinq minutes.
Je me lève, les boutons de ma robe sont toujours défaits et cela attire le regard du jeune homme. J’ajoute avant de quitter mon siège :
— Je serai dans les toilettes des hommes, bien sûr !

Une fois aux toilettes, je me rafraîchis le visage au lavabo et je rentre dans l’une des cabines. Je tire la porte, mais sans la fermer en veillant à laisser mon petit string accroché sur la poignée à l’extérieur. Quelques instants plus tard, voici Tony qui pousse la porte et se glisse avec moi dans la cabine. Ma robe est grande ouverte et, comme je ne porte pas de soutien-gorge, il peut admirer ma chatte et mes seins. Il se colle à moi, sa bouche se soude à la mienne et ses mains se posent sur mes fesses. L’étalon me semble fougueux, car il sort aussi sa queue qui vibre contre mon ventre et mon pubis. J’ondule tout contre lui puis je me retourne et prends appui contre la porte pour lui tendre ma croupe. Il s’approche, son glaive se glisse entre mes jambes. D’une main, je le guide vers ma chatte qu’il n’a aucun mal à investir. Je ferme les yeux et me laisse aller aux assauts de ce jeune mâle. Il me tient bien par la taille, prend plaisir à sortir de mon fourreau pour mieux y revenir.
Il me lime avec application et je m’abandonne à lui. Soudain, il se raidit, me donne un dernier grand coup de bassin et se vide en moi en de longs crémeux. Tout à coup, on entend la porte principale des w.c. s’ouvrir et une voix masculine demande :
— Tony, tu es ici avec ta bourgeoise ?
Tony me regarde et me sourit avant de me dire :
— Jolie et gourmande comme vous êtes, j’ai mis un petit message sur le site où vous avez lu mon annonce.
Il sort son portable et me montre l’écran où je peux lire « En ce moment, Ciné Pathé, salle 3, w.c. hommes, jolie bourgeoise offerte par Tony ».
Nous sortons ensemble de la cabine w.c. et quelle n’est pas ma surprise de découvrir deux hommes qui ont déjà le sexe à la main. La situation m’excite et je me dis que je peux encore profiter de la fraîcheur des lieux avant de prendre le chemin pour rentrer chez moi. Je retire ma robe que je confie à Tony puis, me rapprochant des deux hommes, je leur dis :
— Mon jeune amant aime que je sois bien salope. Je suis à votre disposition.
Le premier homme, la cinquantaine environ, 1m80, 85 kilos, me montre sa queue et me dit :
— Suce salope ! Tu as une superbe bouche et je suis sûr que tu aimes ça.
Me voici donc maintenant courbée vers l’avant en train de pratiquer une nouvelle fellation. Pendant ce temps, le second qui est black et plus jeune continue à se branler en nous regardant. Tony semble ravi du spectacle et fait quelques photos ou une vidéo avec son portable. Celui que je suce se retire de ma bouche, passe derrière moi et s’introduit facilement dans ma chatte déjà bien lubrifiée par Tony. Le black vient enfin se positionner devant moi et je me jette sur cette superbe queue d’ébène qui me rappelle celle de mon maître le marabout Coulibadou.
Coincée entre ces deux queues qui me font pousser des râles de plaisir, je ne suis plus qu’un objet sexuel. J’adore ce genre de situation dans lequel je perds toute dignité et ne suis plus qu’une vulgaire petite pute dédiée au plaisir des mâles. Secouée par un nouvel orgasme, je crie :
— Oui, c’est bon. Je suis une salope, profitez de moi.— Allez-y, tous mes orifices sont à vous. Je vous veux partout.— Oh, Tony, regarde ce que tu as fait de moi.— Ouiiiiii, plus fort, je jouiiiiiiis !
Celui qui me baise se vide en moi en me traitant de tous les noms puis disparaît à peine a-t-il rengainé sa queue.Je retire le sexe du black de ma bouche, me redresse puis me colle à lui pour lui donner mes lèvres. Il se plaque tout contre moi, je devine son corps musclé tout contre la pointe érigée des seins.Tandis que sa bouche descend pour bien me mordiller les tétons, l’une de ses mains se glisse entre mes jambes et vient me caresser la chatte. Il recueille le foutre qui s’en échappe sur ses doigts puis m’en enduit le cul. Son index se glisse dans mon fondement et il commence un léger va-et-vient. Je comprends vite de quoi il a envie.
Je me retourne et lui dis d’une voix suave de femelle bien docile :
— Oui, viens me prendre ! Encule-moi bien avec ta belle queue de black !
Il se colle contre mon dos et prend un malin plaisir à me faire languir. Ses deux mains malaxent mes seins tandis que son gland bat entre mes fesses. Il me dit :
— Tu es comme toutes les bourgeoises, tu aimes les belles queues blacks. Quand je vais t’avoir bien baisée, tu ne voudras pas d’autres queues que la mienne et celles de mes copains.
Je lui dis dans un gémissement de chienne en chaleur :
— Oui, je serai ta petite salope. Mais prends-moi vite, je veux ta queue !
Avec lenteur, il introduit son gland dans mon petit cul bien serré. Son grand champignon violacé me distend les chairs, mais, petit à petit, son énorme pieu de chair pénètre en moi. Lorsqu’il est bien calé au fond de moi, il fait une petite pause pour que je m’habitue à cette intrusion bestiale.
Dès qu’il commence à me besogner, la douleur initiale fait petit à petit place à une douce chaleur. Lorsqu’il accélère la cadence, j’ai le cul en feu et je lui tends mes fesses pour qu’il les investisse pleinement. Ces instants d’extase sexuelle me rappellent quelques séances bien torrides avec mon marabout et son assistant. Je me rends compte que, même si j’ai souvent tendance par confort à privilégier les queues longues et fines, j’ai régulièrement besoin d’être prise de partout par de grosses et épaisses queues qui m’ouvrent en deux, me fendent le corps et me font souvent crier de douleur au début de l’accouplement. Mais une fois bien ouverte, quel bonheur d’être ainsi possédée, quel plaisir d’être ainsi remplie, quel orgasme d’être ainsi fécondée.
Mais voici que mon étalon black se retire de mon cul et que son sperme se répand partout sur mes fesses. Il disparaît aussi vite que le premier et c’est au bras de Tony que je sors du ciné une fois que je me suis arrangée un peu pour rentrer chez moi. Dans la rue, la température a largement baissé et c’est supportable. En moi, la température a également baissé de quelques degrés après cette pause cinéma.
Après un dernier baiser à Tony, je fonce vers chez moi. J’espère que François mon mari sera un peu fatigué par cette canicule, car je suis repue de sexe. Mais s’il le faut, comme pour mes trois amants de l’après-midi, je ferai de nouveau don de mon corps pour qu’il apaise ses envies...
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