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La bourgeoise et le marabout

Chapitre 31

Dans un minibus...

Avec plusieurs hommes
En cette fin d’après-midi de dimanche ensoleillé, nous sommes en voiture sur l’autoroute A13, car nous revenons d’un week-end en famille chez les vieux parents de François qui habitent en Normandie. Les deux jours ont donc été particulièrement sages, car il n’aurait pas fallu choquer Monsieur et Madame de Saint Jouy, un vieux couple particulièrement bien implanté dans la vieille et très respectable bourgeoisie rouennaise. Sur le chemin du retour, François a enlevé la capote de notre vieux cabriolet Peugeot 504 Pininfarina de 1971 qu’il aime utiliser quand il fait beau à la place de notre véhicule habituel beaucoup plus récent et performant.
Tout en conduisant, il veille à bien me caresser le haut des cuisses et n’hésite pas à remonter bien haut ma robe lorsque nous doublons des routiers ou des bus. De leur poste de conduite, surplombant la route, ils ont ainsi une vue imprenable sur mon décolleté qui ne cache pas grand-chose de ma poitrine et sur mon petit string blanc presque transparent. Nous avons régulièrement droit à des coups de klaxon et à des appels de phare ; témoignages exubérants de ces professionnels de la route qui doivent certainement souvent se contenter de plaisirs solitaires dans leur cabine le soir sur les aires de repos des autoroutes. A un moment donné, nous doublons un minibus rempli de jeunes blacks qui ont l’air de revenir d’une rencontre sportive. François reste volontairement quelques instants à leur hauteur pour que les jeunes installés sur les sièges de gauche puissent bien me mater pendant que nous dépassons leur véhicule.
La situation semble leur plaire, car deux ou trois n’hésitent pas à se mettre debout devant leur vitre pour me montrer leur sexe tandis que d’autres me font des signes sans équivoque de fellation. Pour les exciter davantage, j’écarte grand les jambes et je glisse ma main dans mon string pour me caresser et les regardant et en passant lentement ma langue sur mes lèvres. Puis, François accélère un peu et nous les laissons derrière nous pour aller en exciter d’autres. Un quart d’heure plus tard, alors qu’il doit être 19h30, François décide de s’arrêter sur une aire de repos, car il a un petit creux. Il se gare un peu à l’écart sous quelques arbres et tandis qu’il se rend à la station pour grignoter quelque chose, je reste dans la voiture, car je n’ai pas faim et je préfère me reposer un peu.
Alors que François n’est toujours pas revenu, voilà que le minibus des jeunes blacks se gare pas très loin de notre véhicule. Ils sont une dizaine à en descendre, quelques-uns s’éloignent vers la station tandis que les autres restent autour de leur véhicule pour fumer une cigarette ou boire une canette sortie de leur sac de sport. Je me fais petite dans notre voiture, mais l’un d’entre eux, certainement adepte des véhicules anciens de collection, s’approche et commence à faire le tour de la 504 en la regardant de près. Lorsqu’il arrive de mon côté, il me dit :
— Bonjour Madame, vous avez vraiment une superbe voiture. On n’en fait plus des comme ça !
Gentiment, je lui réponds
— Oui, c’est une belle voiture, elle date des années 70, tu ne devais pas être encore né.
Il ouvre lentement ma portière et ajoute :
— Lorsque vous nous avez doublés avec votre mari, nous avons vu que vous aussi aviez une superbe carrosserie.
Je lui fais un grand sourire :
— Mon mari est un coquin ! Il est parti dîner, mais va vite revenir.
Le jeune me prend alors par la main, me force à descendre de la voiture et m’entraîne vers le bus. J’essaye de résister, mais il est bien plus fort que moi. Lorsque nous arrivons près du bus, il crie aux copains présents :
— Et les copains, regardez qui est là avec nous. Madame veut visiter notre bus.

Me voilà maintenant dans le minibus et, quelques secondes plus tard, je suis assise au milieu de la banquette de fond avec quatre ou cinq jeunes autour de moi. Les commentaires vont bon train.
— Elle est vraiment canon la meuf !— C’est encore mieux de près !— Tu as vu les nichons, de vrais obus !— Et ce cul, quel pétard !
Quelques mains se posent déjà sur moi et je comprends vite que ce n’est pas la peine que je résiste. Autant jouer le jeu et profiter de la situation ; je leur lance donc :
— Asseyez-vous, je vais vous faire un petit numéro.
Devant les jeunes médusés et qui n’en espéraient peut-être pas temps, j’ouvre un à un les boutons de ma robe. Ils me regardent benoîtement sans parler, les yeux fixes et la bouche béante. J’ouvre les deux pans de ma robe pour leur dévoiler mes seins nus et mon string, puis je les referme. Je leur tourne ensuite le dos et je fais lentement descendre ma robe le long de mon corps jusqu’à mes pieds. Puis je me retourne et me voici offerte à leurs regards et leur envie dans le plus simple appareil, en string et talons hauts.
Je m’assieds de nouveau et bien vite, des mains se mettent à parcourir mon corps. On me caresse le dos, le ventre, les seins, les cuisses, les mollets ... et je frissonne. Me voyant consentante, certains commencent à être plus entreprenants. On me force à bien écarter les jambes, une bouche s’empare de la mienne, on me mordille les seins, on me flatte la croupe et je commence à fondre. L’un d’entre eux se met à genoux devant moi, la tête entre mes jambes, et annonce à ses copains :
— Elle sent la salope, je vais la préparer de ma bouche.
Deux queues d’ébène juvéniles se présentent devant moi, je les prends en bouche l’une après l’autre. D’autres queues se dressent et je les prends en main. Je ferme les yeux et la chienne qui sommeille en moi se réveille et brise son collier. Ma chatte fond sous la langue de celui qui est à mes genoux, ma bouche se délecte de ces deux bites bien raides, mes tétons durcissent sous les mordillements et pincements, mes fesses se détendent sous ses caresses appliquées, je m’offre à ces jeunes ados blacks et j’espère bien qu’ils vont en profiter.
Souhaitant passer aux choses sérieuses, je me mets à quatre pattes sur la banquette et mes admirateurs comprennent aussitôt qu’ils peuvent user et abuser de mes orifices. Une queue se plante dans ma chatte, une autre se glisse dans ma bouche. Deux mains me tiennent fermement par les hanches, une autre me maintient la tête bien penchée sur la bite que je suce et d’autres mains me caressent partout. Pendant le quart d’heure qui suit, on me besogne, on me lime, on me baise, on me sodomise, on éjacule dans ma chatte, on se répand dans mon cul, on se déverse dans ma bouche et cela n’arrête pas. Je ne compte pas mes orgasmes, car là n’est pas l’essentiel. L’important, c’est que ces jeunes mâles prennent du plaisir, se vident de tout leur foutre, fassent quelques photos pour leurs copains et soient ravis de ce bon moment que je leur offre.
A un moment donné, relevant les yeux, je vois que François est là, assis sur l’un des sièges et me regarde. Il me dit :
— Le reste de l’équipe qui a manqué le début de l’orgie vient d’arriver. Ils vont en profiter eux aussi !
Puis, s’adressant à la dizaine de jeunes blacks présents dans le minibus, il ajoute :
— Ma femme adore faire l’éducation sexuelle des jeunes, sachez en profiter. Et si en plus ce sont de belles queues, elle en redemande.
Je ne compte plus les queues que je suce, les bites qui me pénètrent la chatte et les zobs qui m’enculent. Je ne doute pas que certains en ont profité deux ou trois fois ; cela n’est pas pour me déplaire. A la fin, ce sont le chauffeur et l’entraîneur de l’équipe, deux superbes blacks d’une trentaine d’années, qui vont clore cette mémorable séance de sexe. Ils sont bigrement bien montés, mais, tous mes orifices ayant été déjà bien visités et donc bien ouverts, ils n’ont aucun mal à prendre part au festin de quéquettes que je m’offre. Chacun des deux va se faire sucer, me baiser et m’enculer, mais c’est sur mon corps qu’ils ont envie de jouir. Quelques jeunes qui ont rechargé les batteries se joignent à eux et c’est entourée de six ou sept queues que se termine ma débauche. Ils m’arrosent de longs jets de foutre et c’est recouverte de sperme et simplement chaussée de mes chaussures que je retourne avec François à notre voiture pour rajuster ma tenue.
Lorsque nous arrivons à Paris et que je retire ma robe, de longues traînées blanchâtres recouvrent mon corps et mes jambes. Je sens le sperme et la queue, je sens la femelle apaisée, je sens la chienne comblée. François me dit :
— J’ai pris le numéro de téléphone de l’entraîneur. Peut-être que je vais lui proposer que tu sois la marraine de l’équipe.
Je m’allonge sur le lit les cuisses grandes écartées et je lui dis :
— Chéri, vient mélanger ton foutre à celui de tous ces jeunes mâles.
Tandis que François me baise à son tour, je pense déjà à la troisième mi-temps du prochain match de mes jeunes blacks.....
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