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La bourgeoise et le marabout

Chapitre 35

Les vieux amis du marabout...

Avec plusieurs hommes
Assister à la consultation de Marie Madeleine chez maître Coulibadou m’a excitée au plus haut point, et je dois bien l’avouer, j’ai été jalouse de mon amie lorsqu’elle a joui sous l’action du sex-toy au cours de son hypnose. De plus, compte tenu d’un emploi du temps plutôt chargé au ministère, François rentre tard et me délaisse un peu. Une envie de sexe et de baise me taraude donc depuis quelques jours et j’ai beau me masturber le soir au lit, cela n’y change rien. Je ne connais qu’un seul remède à ce mal qui me brûle le bas-ventre, mon maître Coulibadou. Une fois au lit, je me saisis donc de mon portable et lui adresse un cours message « J’ai de grosses envies, mais François me délaisse. SOS, SEXE OH SEXE ». Vers minuit, sa réponse accentue le feu qui me consume « rendez-vous demain 17h30, métro Pigalle. Tenue sexy de rigueur ».
Le lendemain, il est exactement 17h25 lorsque je monte les escaliers du métro pour sortir de la station Pigalle que je connais bien. Je suis obligée de faire de petits pas, car compte tenu de la météo clémente, j’ai opté ce matin en m’habillant pour un petit tailleur noir et blanc style Coco Chanel. La jupe étroite m’arrive au niveau du genou et l’ensemble est élégant, mais pas provocant. Monsieur Coulibadou m’attend en haut des marches, il porte une longue djellaba blanche et est coiffé d’un kufi blanc. Il a tout à fait l’image que l’on se fait du vieux sage africain assis à l’ombre d’un arbre et racontant de vieilles légendes à une nuée d’enfants regroupés autour de lui. Dès que je suis près de lui, il affiche cependant un tout autre visage. Il me plaque contre lui, m’embrasse à pleine bouche et me passe ostensiblement les mains dans le dos et sur les fesses.
Quelques passants nous regardent un peu surpris, par provocation peut-être, mais surtout pas envie de lui montrer que je suis déjà toute à lui, je me frotte à lui et ma langue se mêle à la sienne. Il me dit :
— Suivez-moi Hélène, nous n’allons pas à mon cabinet, mais juste à côté.
Je marche à côté de lui sur le boulevard, puis au lieu de tourner à droite dans la rue Germain Pilon où se situe son cabinet, nous poursuivons notre chemin pour emprunter, juste avant le musée de l’érotisme, la rue Coustou qui monte vers la rue Lepic. Sur le trottoir de gauche, nous entrons dans un vieil immeuble, et faute d’ascenseur, nous prenons l’escalier pour accéder au 5ème étage. Monsieur Coulibadou pousse une porte sans frapper et j’entre derrière lui un peu intimidée. Il m’entraîne vers un grand salon où cinq ou six hommes sont assis sur des poufs autour d’une table basse et partagent un thé à la menthe. Une jeune femme semble assurer le service et mon marabout, se tournant vers elle, lui dit :
— Merci Malika d’avoir servi le thé. Tu peux maintenant rentrer chez toi et t’occuper de tes enfants. Mon amie va prendre ta suite et servir les gâteaux.
Malika m’entraîne dans la cuisine pour me montrer où sont les plateaux puis quitte les lieux. Mon marabout vient aussitôt me rejoindre avec un sac noir et me dit :
— Hélène, je vais aller m’asseoir avec mes amis. Avant de nous apporter la suite, retirez votre tailleur et enfilez la robe qui est dans ce sac.
Je m’exécute, retire mon tailleur et enfile la tenue souhaitée. Il s’agit d’une robe de danseuse orientale, rouge, mais quasiment transparente et largement fendue jusqu’à la taille. Je décide de retirer mes bas et mon soutien-gorge pour ne garder que mon petit string ficelle noire. Une fois ainsi apprêtée, je m’empare d’un plateau et me dirige vers le salon où j’entends déjà une musique des mille et une nuits.
Une fois dans le salon, je me mets à genoux devant chaque homme pour lui permettre de choisir le gâteau qu’il préfère. Il faut dire qu’il y a du choix : cornes de gazelles, roses des sables, makrouds, chebakias ...
Tout en prenant son gâteau, chaque homme me fixe du regard et ses yeux me parcourent de la tête aux pieds. Ils doivent tous avoir soixante ou soixante-dix ans, mais leurs pupilles brillent d’envie. Au bout d’une dizaine de minutes où ils semblent parler entre eux de tout et de rien, Monsieur Coulibadou prend la parole, et même si je ne comprends pas ce qu’il leur dit, je devine que je suis le sujet de conversation. Enfin, je vois mon marabout distribuer à chacun une petite gélule et tous l’ingurgitent avec une gorgée de thé à la menthe. Lorsque je vois mon maître relever sa djellaba, je comprends que c’est maintenant à moi de me régaler. Je viens devant lui, me mets à genoux et je le prends en bouche. J’aime son sexe d’ébène qui, après seulement quatre ou cinq va-et-vient, me remplit la bouche. Mon maître me fait comprendre que je ne dois pas m’occuper seulement de lui, car tous les autres hommes sont déjà en train de se masturber.
Je vais donc de l’un à l’autre pour m’acquitter de ma tâche. Tout en suçant l’un, j’arrive à branler ses deux voisins et je vais ainsi de pouf en pouf. Bien vite, je comprends que mon marabout a dû leur donner un produit aphrodisiaque, car ils bandent tous comme des taureaux et semblent tenir la distance.
Monsieur Coulibadou m’aide à me relever et fait glisser la robe jusqu’à mes pieds. Aussitôt, tous les yeux se braquent sur moi et les queues se dressent fièrement. Maître Coulibadou me fait remettre à genoux devant un pouf vide sur lequel je m’incline religieusement. D’un coup de canif, il coupe les ficelles de mon string et me voilà maintenant offerte à qui veut. L’attente n’est pas longue, car mon marabout investit rapidement ma chatte de son glaive d’acier. Tandis qu’il me besogne, les autres s’attroupent autour de nous et je me retrouve vite avec un énorme gland dans la bouche et une bite dans chaque main. Mon marabout se retire de ma chatte, frotte son gland à mes fesses, et d’un coup sec, m’encule. La bouche pleine, il m’est impossible de crier ma douleur qui s’estompe au bout de quelques allers-retours. Puis mon marabout se retire, fait comprendre à celui que je suce qu’il veut échanger de place.
A peine l’autre a-t-il investi à son tour ma chatte que mon marabout se répand en longs jets crémeux dans ma bouche. Il se retire et me dit :
— Hélène, je repars à mon cabinet, mais je vous laisse en bonne compagnie. Profitez-en bien.
Puis, avant de sortir, il lance quelques mots à ses amis qui lui expriment tous leurs remerciements par de nombreux « Choukran bezef ».
Le ventre bien calé sur mon pouf, j’écarte bien les jambes et je tends le cou pour que mes amants du jour puissent bien en profiter. J’ai l’impression d’être une offrande posée sur l’autel du plaisir pour honorer de vieux disciples du Dieu Eros. Les queues se succèdent dans mes orifices et je gémis sous les coups de boutoir de ces papis en rut. Ils n’ont bien sûr pas la fougue de jeunes amants, mais ils savent y faire. Certains me prennent avec lenteur, d’autres forniquent comme des lapins. J’ai parfois deux ou trois queues devant le visage et ma bouche passe de l’une à l’autre. Je tète goulûment un gland, je lèche délicatement une hampe, je mordille vicieusement des bourses, j’avale presque entièrement les sexes de ces hommes mûrs qui ont retrouvé pour mon plus grand plaisir une seconde jeunesse grâce au produit miracle de Monsieur Coulibadou. Tandis que je m’occupe attentivement de ceux qui sont devant moi, ceux qui sont dans mon dos ne perdent pas leur temps pour autant.
On me ramone la chatte et on me démonte le cul sans vergogne. Ils jouent avec moi, car j’ai l’impression que je passe de queue en queue. Une bite me baise la chatte pendant 2 ou 3 minutes puis on se retire et c’est une autre qui investit mon cul pour quelques minutes. Je ne suis qu’un jouet entre leurs mains et c’est bien ce que je veux. Mes orifices sont à leur disposition et ils peuvent en disposer comme ils le souhaitent.
Cela fait maintenant une heure que mon marabout m’a abandonnée à ses amis et je suis ouverte de partout. Je souhaite maintenant que l’on en arrive au bouquet final et je décide donc qu’il faut faire couler le sperme à flots. Je demande à celui qui me semble avoir la plus grosse queue de s’allonger sur le tapis. Il s’exécute et je viens m’empaler sur lui. De mes deux mains, j’écarte bien mes fesses et les autres comprennent aussitôt que je veux être prise par tous les trous en même temps. Celui qui se positionne derrière moi n’a aucune peine à m’enculer, et bien vite, j’en ai une troisième en fond de gorge. Ces vieux chibanis se régalent de tous mes charmes et j’ai des mains partout sur le corps. On me caresse les fesses, on me malaxe les seins, on me flatte la croupe, on me pince les tétons, c’est un régal. Les premiers signes de l’extase apparaissent enfin. Celui que je suce me force à avaler sa bite pour bien déverser tout son foutre au fond de ma gorge.
Celui qui m’encule me serre la taille, et après un ultime coup de boutoir, se répand dans mon fondement. De ses mains calleuses, celui qui me baise me colle bien contre son bas-ventre et ouvre grand ses vannes pour m’inonder de semence. Puis je passe en d’autres mains et on continue à se vider dans mes orifices. L’un après l’autre, mes six vieux Africains rendent les armes et finissent avachis dans les grands canapés qui entourent la pièce. Une fois que je suis remise de mes émotions, je m’essuie la chatte et le cul avec mon string que je glisse ensuite dans mon sac à main. Je remets mon tailleur et me refais un petit maquillage ; je peux rentrer chez moi.
Dans la rue, l’air frais me rafraîchit l’entrejambe et c’est le cœur léger que je rejoins la station de métro. Comme d’habitude, la ligne 13 est bondée et je suis coincée entre quatre ou cinq jeunes. Je les laisse se frotter discrètement à moi, le moins téméraire va même jusqu’à me caresser ostensiblement les fesses. Arrivée à Place de Clichy, je dois changer de ligne, mais auparavant, je prends mon string dans mon sac et le glisse dans la main de celui qui m’a peloté le cul. Je descends et je souris à la tête qu’il fera en découvrant que mon string est gorgé de foutre. Je prends mon portable et mets un SMS à mon marabout « Merci pour cette rencontre. Je suis comblée ». Arrivée à la maison, je prends une bonne douche et me voilà prête, en épouse dévouée, à attendre sagement le retour de mon mari...
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