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La bourgeoise et le marabout

Chapitre 36

Chasse nocturne ...

Zoophilie
Certaines personnes pensent que le hasard fait bien les choses, je suis de celles qui pensent qu’il faut savoir profiter des occasions qui se présentent, et que ce n’est donc pas qu’une question de hasard et de chance.
Ainsi, en cette fin d’après-midi de mercredi, alors que je sors du métro et descends à pied l’avenue Mozart pour rejoindre mon domicile, je croise Grégor qui semble revenir de faire ses courses. Il me salue respectueusement et m’invite à prendre une boisson à la terrasse de l’un des bars ; j’accepte volontiers. Une fois assis devant nos consommations, nous parlons un peu de la météo, puis de sujets divers lorsqu’il me dit :
— Hélène, quel dommage que vous soyez mariée, j’avais une proposition de sortie à vous faire pour samedi soir.
Je réfléchis quelques secondes, puis lui dis
— Mon mari François est assez tolérant et accepte que je sorte seule de temps en temps. Je peux donc m’organiser pour samedi soir.
Il me répond :
— C’est parfait. Je suis certain que vous allez apprécier cette soirée, d’autant plus que Stark sera également de la partie.
Je ferme les yeux et le souvenir de ma découverte de la zoophilie avec le chien de Grégor me revient à l’esprit. Cela réchauffe mon bas-ventre et je serre fort les jambes pour contenir l’envie bestiale qui monte en moi. Je demande :
— Quel est le dress code de la soirée ? Imposé ou libre ?
Grégor me répond :
— Si vous avez une tenue en cuir, ce serait bien, ou alors quelque chose de très animal. Et impérativement un string !
Puis il ajoute :
— Je vous attendrai à 18h30 avec ma voiture près de la station de métro Jasmin.

Quelques instants plus tard, il me quitte en me disant qu’il avait hâte d’être à samedi.
Faire accepter à François que je sorte avec Grégor n’a pas été trop difficile, mais le coquin y a mis des conditions. Tout d’abord, j’ai dû lui faire une belle fellation tous les soirs dans le salon avant qu’il m’honore comme il se doit dans la chambre conjugale. Par ailleurs, j’ai dû m’engager à demander à Grégor de faire quelques belles photos de cette sortie pour qu’il puisse les regarder par la suite. Enfin, il a décidé que c’est lui qui choisirait la tenue que je porterai pour cette soirée, dont nous ignorons tous les deux le contenu. J’ai d’ailleurs volontairement omis de parler du chien Stark à François, car je ne lui ai jamais parlé de ma première expérience zoophile.
Pour éviter tout commentaire de nos voisins, c’est vêtue de mon léger trench-coat en toile de coton que je quitte notre appartement vers 18h20 en ce samedi soir. Je porte un grand sac à main où j’ai fourré quelques accessoires, dont une autre paire de chaussures. Ainsi habillée, très style XVIe, Porte de Passy, nul ne peut imaginer que je suis en route pour une soirée un peu particulière.
Lorsque j’arrive à la station de métro Jasmin, Grégor signale sa présence d’un discret appel de phare. Je rejoins sa voiture, une vieille Jaguar MK II blanche avec tableau de bord en ronce de noyer et sellerie en cuir. En m’asseyant, je veille à bien relever mon trench-coat pour que mes fesses soient en contact avec le cuir. Que c’est excitant !!
Stark est sagement installé sur une couverture jetée sur la banquette arrière. Grégor porte une tenue de gentleman-farmer et, dès que je suis assise près de lui, remonte sa main entre mes jambes pour vérifier que je porte bien un string. Dès qu’il a effectué cette petite vérification, nous prenons la route et, après le périphérique, nous voici en direction de l’A13. Devinant mon appréhension de quitter Paris, Grégor me rassure en me disant que nous nous rendons dans la propriété d’amis dans la vallée de Chevreuse. Après une trentaine de minutes, la voiture ralentit en longeant le mur d’enceinte d’un parc, puis s’arrête devant un grand portail. Grégor sonne à l’interphone, le portail s’ouvre devant nous et se referme aussitôt la voiture entrée. Nous faisons encore trois cents mètres en véhicule puis la voiture se gare à côté de quatre ou cinq autres véhicules. Tout en tenant Stark en laisse d’une main, Grégor me donne le bras et nous entrons dans une vaste demeure.
Aussitôt, un homme vient vers nous :
— Bonjour, Grégor, je suis ravi de te revoir avec Stark ; la dernière chasse à laquelle tu es venu remonte déjà à quelques mois.
Mon chevalier servant lui répond :

— Bonjour, Stanislas, oui, cela fait bien longtemps. Mais comme tu le sais, je suis célibataire et il n’est pas facile de trouver d’élégantes partenaires pour participer à tes soirées. Mais comme tu le vois, Hélène est particulièrement ravissante et elle est très joueuse.
Stanislas s’incline devant moi et me fait le baisemain en me disant :
— Ravi de vous rencontrer Hélène. Nul doute que vous serez un gibier de choix au cours de la soirée.
Ses propos me surprennent un peu, mais autant jouer le jeu, même si je n’en connais pas les règles pour l’instant. Je lui réponds donc :
— Très cher Stanislas, le gibier n’est peut-être pas si facile que ça à attraper. Et attention à ne pas lâcher la proie pour l’ombre.....
Notre conversation est soudain coupée net par le retentissement d’une sonnette nous appelant à passer à table.
Nous nous retrouvons à une bonne vingtaine de convives autour la table, dont seulement cinq femmes. Je remarque également que cinq chiens, dont Stark, sont attachés dans un coin de la salle. Tous les hommes sont habillés comme Stanislas et Grégor, certains avec des pantalons de golf, mais tous ressemblent plus ou moins à des chasseurs. Les femmes sont d’âge divers, des plus ou moins jeunes, mais toutes sont habillées très sexy. Comme le dress code l’exigeait, trois sont en cuir avec minijupe et chaussures montantes. La quatrième est habillée d’un ensemble haut et jupe zébrée et est chaussée de baskets assorties. En ce qui me concerne, j’ai enfilé une robe léopard très près du corps qui dessine particulièrement mes formes et je suis chaussée de petites bottines en daim. Alors que l’on nous sert le dessert accompagné de champagne, Stanislas demande que l’on libère les chiens.
Aussitôt, cinq hommes – dont Grégor – se lèvent de table, détachent les chiens et reviennent à leur place pour finir le dîner. Au début, les chiens font quelques tours de la pièce puis disparaissent sous la longue table. Mes deux voisins de table posent une main sur mes genoux et me forcent à écarter les jambes, puis me les maintiennent bien ouvertes. Je remarque que les voisins des quatre autres femmes semblent agir de même, car ils ont tous une main sous la table. Bien vite, une truffe fraîche et humide se glisse entre mes jambes et remonte à ma chatte. Je ne peux rien faire, car mes deux voisins m’obligent à rester bien ouverte. La truffe remonte plus haut et une langue râpeuse effleure mon string, réussit à se glisser derrière le tissu et se glisse dans ma chatte. Cela ne dure que quelques secondes puis le chien repart. Mais, il est aussitôt remplacé par un autre, puis les trois autres se succèdent. J’imagine que les cinq chiens ont dû agir de même avec les quatre autres femmes.

Mais ce petit intermède animal n’empêche personne de finir son dessert et son champagne.
C’est alors que Stanislas, le maître de cérémonie se lève, fait tinter son verre pour obtenir le silence puis annonce :
— Mesdames, bien que vous soyez minoritaires autour cette table, c’est tout de même vous cinq qui êtes les reines de la soirée. D’ici quelques instants, vous pourrez sortir de table, et vous avez trente minutes pour vous disperser dans le parc et vous dissimuler dans l’une des nombreuses caches réparties dans le domaine.
Je trouvais que la soirée avait été bien sage jusqu’à présent, mais je comprends maintenant que cela va changer. Stanislas poursuit :
— La nuit n’est pas encore tombée et vous n’aurez donc aucun mal à vous déplacer dans le parc. Soyez tranquille, il est entouré d’un mur d’enceinte et vous ne risquez donc pas d’en dépasser les limites. Dans trente minutes, lorsque vous serez cachées, vous entendrez sonner un cor de chasse qui signifiera que nous partons à votre recherche. Nous serons répartis en cinq groupes de cinq chasseurs et chaque groupe disposera d’un chien pour vous pister. Lorsqu’un groupe trouve son gibier, il peut en disposer comme il le souhaite !
J’échange un petit regard avec les quatre autres femmes qui me répondent par un petit sourire. Comme moi, elles doivent être joueuses et apprécier la pluralité. Stanislas reprend la parole :
— Pour savoir quel gibier est attribué à quel groupe, le principe est simple.
Avant de poursuivre, Stanislas se déplace d’une femme à l’autre, la fait mettre debout, se met à genoux devant elle et lui retire son string. Je suis la dernière et, en se relevant avec mon string à la main, il me fixe longuement sans rien dire. Revenu à sa place, il ajoute :
— Mesdames, vous pouvez maintenant fuir pour aller vous cacher. Vos cinq strings vont être répartis au hasard entre les cinq groupes de chasse et ce n’est qu’au moment de l’hallali que les chasseurs découvriront quel gibier ils chassent. Pendant le dessert, les cinq chiens ont largement eu l’occasion de se familiariser avec votre odeur de femelle, nul doute qu’ils sauront vous retrouver maintenant dans la nuit.

Quelques instants plus tard, nous sommes cinq femmes à sortir par la grande porte et à nous précipiter dans le parc pour partir dans des directions différentes. Comme je suis sportive, je décide de couper à travers les bois en espérant trouver l’une des cachettes où attendre la suite des événements. Bien que la nuit commence à tomber, j’y vois suffisamment clair pour marcher d’un pas alerte sans prendre le risque de tomber. Au bout d’une vingtaine de minutes, j’arrive au bord d’un étang au milieu duquel, il y a une petite île avec ce qui semble être une cabane de pêcheur. Je saute dans une barque accrochée au bord, donne quelques coups de rames, saute à terre sur l’île et me précipite dans le refuge. Ouf, la porte n’est pas fermée à clé et il y a un tas de couvertures et de fourrures jetées dans un coin. Je m’allonge dessus et je me dis que je n’ai plus qu’à attendre.
Quelques minutes plus tard, le son du cor de chasse retentit dans la nuit et les nombreux aboiements qui brisent le silence des lieux me confirment que la chasse vient de commencer.
J’ai dû m’endormir, car j’entends soudain des jappements et des voix pas très loin. J’essaye de regarder dehors par les interstices entre les planches de la cabane, mais la nuit est trop noire. J’imagine que le chien a guidé le groupe jusqu’à la berge où la piste s’arrête, et que les chasseurs ont compris que leur gibier s’est caché sur l’île. Il doit y avoir une seconde barque, car j’entends des clapotis sur l’eau. Les voix sont de plus en plus proches, et maintenant un chien aboie et gratte à la porte. Ils m’ont trouvée !
La porte s’ouvre brutalement, et voici Grégor qui entre avec Stark, suivis de Stanislas et de trois autres hommes. Stanislas s’écrit :
— Alors Hélène, nous vous avons enfin trouvée ! Stark a eu du mal à vous débusquer, mais c’est chose faite. En retirant les strings des cinq femmes, j’ai compris que c’est vous que je voulais. J’ai donc triché un peu pour répartir les strings entre les cinq groupes et avec Grégor je me suis assuré le concours de Stark qui vous connaît très bien, d’après ce que mon ami m’a raconté.
Puis s’adressant aux autres hommes, il leur dit :
— Cette belle salope est maintenant à nous, mais, auparavant, nous allons tout de même donner une petite récompense à Stark ; il le mérite bien !
Tandis que Grégor retient son chien, deux hommes s’approchent et se saisissent de moi, puis me retirent ma robe léopard ; je ne suis plus qu’avec mes bottines. On jette une couverture sur une caisse et on me fait mettre à genoux, le ventre sur la couverture. Stanislas me couvre le dos d’une épaisse fourrure puis, s’adressant à Grégor, lui dit :
— Stark peut profiter de son cul, nous nous réservons ses autres orifices.

Grégor lâche son chien qui se rue sur moi et sa langue se promène dans mon sillon fessier. Deux hommes me tiennent bien, le chien se met sur ses pattes arrière et se colle à ma croupe. Il est si excité que sa queue trouve directement l’accès à mon petit cul. L’animal s’agite frénétiquement et parvient à s’introduire entièrement. Son sexe gonfle dans mon fondement et il commence à se répandre. C’est la première fois qu’un chien m’encule, et j’ai un peu peur qu’il me fende en deux. Mais j’ai beau serrer les fesses pour l’empêcher d’aller trop loin, il pousse vers l’avant et m’embroche tant qu’il peut. La scène doit exciter les cinq hommes qui ont tous sorti leurs queues. Stanislas, le maître de cérémonie, s’approche plus près, se met à genoux devant moi et me plante sa bite dans la bouche. Le chien me baise, je suce Stanislas, Grégor a glissé sa main entre mes jambes et me titille le clito, les trois autres me caressent et se branlent.
Stark s’immobilise et, en un ultime coup de queue, se vide en moi de tout son foutre. On l’attache dans un coin puis on m’étend sur les fourrures que l’on étale sur le sol. Pendant une bonne partie de la nuit, je vais être le jouet de ces cinq chasseurs qui peuvent enfin profiter du gibier qu’ils ont attrapé. En tant que maître de cérémonie, Stanislas a le privilège d’être le premier à investir ma chatte. Il est sur moi, me pénètre à grands coups tout en me dévorant la bouche et les seins. Je vois que Grégor fait quelques photos ou filme avec son portable ; il complète ainsi son tableau de chasse ! Il fait ensuite un clin d’œil à Stanislas, qui doit certainement comprendre ce que cela signifie, car c’est maintenant lui qui s’allonge sur les fourrures et me fait venir au-dessus de lui pour que je m’empale sur sa queue. A peine sommes-nous dans cette nouvelle position que Grégor vient derrière moi, me tient fermement aux hanches et m’encule d’un bon coup de bassin.
Il annonce triomphant à ses copains :
— Je vais mélanger mon foutre à celui de mon chien, je suis sûr que cette belle chienne bourgeoise va apprécier.
Il a raison, j’apprécie grandement la situation. Quel régal d’être ainsi le jouet de cinq mâles en rut, de n’être qu’une proie pour eux et de servir d’exutoire à leurs pulsions sexuelles. Au bout de longues minutes, Stanislas et Grégor se vident en moi et j’ai déjà l’impression d’être pleine de foutre. Mais je n’ai pas le temps d’y réfléchir, car un autre chasseur s’allonge à terre et m’attire à lui. Un autre se positionne derrière et frotte son gland à mes fesses. En moins de temps qu’il faut pour le dire, les deux bites m’investissent et les voilà qui commencent à s’extasier :
— Je ne regrette pas d’avoir affronté la nuit pour la retrouver. Il y a longtemps Stanislas, que nous n’avions pas eu droit à un tel gibier de choix.
— Et quelle croupe ! Même si le chien est passé avant moi, cela en vaut le coup.
— Ses seins sont magnifiques, de véritables poires !
— Quel bonheur de profiter d’un tel cul !

Leurs mots crus décuplent mon plaisir et je fais comprendre au cinquième que j’ai envie de le sucer avant qu’il ne me baise. Grégor continue à faire des photos, François sera ravi !
On se vidange de nouveau en moi, ma chatte et mon cul dégoulinent de jus. Le cinquième, bandé comme un arc, s’allonge et je viens de nouveau dessus. Trempée comme je suis, il n’a aucun mal à s’introduire dans la place. Le passage est déjà bien ouvert et je contracte mes muscles vaginaux pour bien serrer sa queue. Il semble apprécier, car il se met à me dévorer les seins.
Soudain, on me remet une couverture sur le dos, et Grégor libère Stark. Très certainement excité par l’odeur de foutre qui se dégage de moi, l’animal me lèche le cul et recueille toute la semence qui s’en échappe. Puis il se remet sur les pattes arrière et ce diable de Grégor guide son chien pour qu’il glisse sa tige dans ma chatte. C’est maintenant avec deux queues plantées dans mon corps que je gémis comme une salope. C’est une première pour moi, car une double pénétration, par un homme et un chien, n’est pas chose courante. Mais leurs coups de boutoir m’irradient le bas-ventre et je jouis comme une folle les yeux fermés. Puis, c’est de nouveau un déferlement de foutre dans la chatte et je suis emportée par un énième orgasme. Lorsque l’animal et le chasseur se retirent, mes deux orifices restent grands ouverts, et des filets de semence coulent le long de mes jambes. Je suis exténuée, mais oh combien comblée !
Lorsque Grégor me dépose devant chez moi au petit matin, je suis encore sur mon petit nuage. Stanislas a gardé mon string, en trophée, et je serre les jambes pour ne pas mettre du foutre partout dans les escaliers. Je prends une bonne douche puis rejoins la chambre conjugale. Je m’endors aussitôt ; s’il le souhaite, François peut me prendre dans mon sommeil, comme mes orifices, la chasse est toujours ouverte...
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