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La bourgeoise et le marabout

Chapitre 39

L'initiation de Marie-Madeleine ...

Erotique
En ce mardi après-midi, il fait un temps de chien sur Paris, mais heureusement Marie-Madeleine et moi n’avons pas oublié de prendre nos parapluies. C’est donc sous une fine pluie que nous remontons le boulevard de Clichy pour nous rendre chez Monsieur Coulibadou qui nous attend pour la quatrième consultation de mon amie. A chaque fois, je l’ai accompagnée pour la rassurer, mais je dois bien avouer que c’est très excitant. Les deuxième et troisième séances se sont déroulées quasiment comme la première (Cf. chapitre 34 « La libération de Marie-Madeleine »). Marie-Madeleine se met en sous-vêtements puis ingurgite le médicament préparé par mon marabout. Je sais, depuis que je fréquente l’intéressé, qu’il s’agit en fait d’un mélange de sperme et de produits stimulants et cela a un effet particulièrement rapide sur la libido d’une femme.
Par ailleurs, comme il l’avait recommandé pour que Marie-Madeleine soit fière de son corps, j’ai réussi à entraîner mon amie dans un magasin de lingerie – très respectable dans le XVIème – pour l’aider à choisir des dessous plus sexy que ceux en coton – style Petit Bateau – qu’elle a l’habitude de porter. Même si elle continue à porter par-dessus des vêtements plutôt stricts et aux couleurs pas toujours très fun, elle met maintenant des strings ou des tangas, parfois même des guêpières avec des bas. Mais, m’a-t-elle dit, elle fait en sorte que son mari Ferdinand ne s’aperçoive pas du changement.
Lorsque Monsieur Coulibadou lui demande de retirer ses vêtements pour commencer sa consultation, c’est une Marie-Madeleine particulièrement sexy que nous découvrons. Elle porte un soutien-gorge pigeonnant rouge, un serre-taille noir qui retient des bas noirs très fins et un string rouge complète l’ensemble.Le praticien ne manque pas de lui dire.
— Chère Madame de La Croix Nivet, vous avez un ensemble de lingerie qui vous convient parfaitement. Je vois que mes recommandations de nos précédents rendez-vous portent leurs fruits.
Un peu honteuse et en rougissant, mon amie lui répond.
— Je dois reconnaître que je me sens bien mieux avec de tels dessous. Lorsque je les enfile le matin et que je me regarde dans le miroir, je me trouve encore belle femme.
Le marabout lui répond.
— C’est parfait, car cela prouve que vous reprenez confiance en vous. Vous devez maintenant apprendre à dépasser vos rêves qui vous font croire que vous êtes folle. Votre corps, encore désirable, doit être libéré du carcan que vous lui imposez inconsciemment.
Puis il l’entraîne dans la salle voisine, que je connais bien pour m’y être bien souvent fait prendre par mon médecin et ses amis, et lui demande de s’asseoir sur le bord du lit.
Mon amie s’exécute puis Monsieur Coulibadou lui tend le verre de médicament qu’il a préparé en lui recommandant.
— Buvez tout d’un seul trait. J’en ai mis un peu plus que d’habitude, car nous allons aujourd’hui débuter une nouvelle phase de votre traitement.
Marie-Madeleine me regarde avec un peu de crainte dans ses yeux, mais, devant mon sourire d’encouragement, elle porte le verre à ses lèvres et avale tout le liquide.Puis le marabout poursuit.

— De même aujourd’hui, je ne vais pas vous hypnotiser pour vous faire revivre l’un des rêves que vous faites. Je vais me contenter de vous mettre un bandeau sur les yeux, comme si vous étiez de nuit endormie.
Une fois qu’elle a les yeux bandés, Marie-Madeleine s’allonge sur le dos et Monsieur Coulibadou commence à lui parler d’une voix douce.
— Détendez-vous bien, ne pensez à rien.— Imaginez-vous dans votre lit et laissez votre cerveau vagabonder.— Maintenant, racontez-moi.
Alors Marie-Madeleine commence.
— Oui, je suis dans mon lit et je suis bien. Je ne bouge pas et j’attends que mon mari soit bien endormi dans son lit près du mien.— Il commence à ronfler et je patiente un peu. Au bout d’une petite dizaine de minutes, j’ai l’impression que quelqu’un soulève ma couette et se glisse contre moi. Il est collé contre mon dos et se frotte doucement contre moi.— Puis c’est comme si une main remontait ma chemise de nuit tandis qu’une autre commence à me caresser les seins.— J’ai envie de me lever de mon lit, mais je ne peux pas. Je crois que j’y trouve un certain plaisir.

Tandis que Marie-Madeleine continue à raconter ses étreintes et ses émois avec son amant invisible, Monsieur Coulibadou commence à lui caresser les genoux par-dessus ses bas, remonte lentement vers le haut, s’attarde au niveau des jarretières puis la force à bien écarter les jambes. Mon amie, qui continue à parler, se laisse faire et la voilà les jambes bien ouvertes. On distingue parfaitement la fente de son sexe sous le léger tissu rouge de son string. D’un doigt délicat, Monsieur Coulibadou caresse le sexe ainsi offert puis il écarte le fin tissu et glisse son doigt dans le fruit déjà ruisselant et ouvert. Ce sont maintenant deux puis trois doigts qui coulissent dans la chatte de mon amie et lui font émettre de longs gémissements de plaisir. Délicatement, le marabout retire le string puis me souffle que je dois retirer le soutien-gorge de mon amie. Là voilà maintenant simplement revêtue de son serre-taille et de ses bas.
Elle ne dit plus rien tandis que Monsieur Coulibadou retire sa djellaba et s’allonge entre les jambes de sa patiente pour lui prodiguer un savant cunnilingus dont il a le secret. Marie-Madeline gémit, pose ses deux mains sur la tête du marabout l’obligeant à enfouir son visage encore plus profondément entre ses jambes et donc sa langue dans sa chatte. Monsieur Coulibadou me fait comprendre du regard que je dois maintenant retirer le bandeau des yeux de mon amie.
Je m’exécute et, une fois le bandeau retiré, je croise le regard de Marie-Madeleine qui me regarde les yeux grands ouverts. Je lui fais un grand sourire, me penche vers elle et lui dis à l’oreille.
— Ne sois pas inquiète, je suis là. Et je dois t’avouer que je suis passée par là moi aussi et je ne le regrette nullement.
Elle répond à mon sourire en me disant.
— C’est bien mieux que dans mes rêves. J’avais oublié que c’est aussi bon !
et elle ajoute pour maître Coulibadou
— Oui, encore ! Prenez-moi !
Le marabout remonte un peu plus haut sur le corps de Marie-Madeleine, sa bite se colle à la chatte trempée de mon amie et, tandis qu’il commence à lui dévorer les seins, je vois son énorme gland qui se fraye lentement un chemin vers le 7ème ciel.Mon amie gémit de plus en plus, écarte encore plus les jambes et donne des coups de bas-ventre vers l’avant pour que le glaive d’ébène la pénètre entièrement.Le marabout est maintenant bien planté dans sa patiente et lui assène de violents coups de queue. Marie-Madeleine offre sa bouche au vieil homme qui y glisse sa langue pour jouer avec la sienne.
La situation est des plus excitantes et, assise dans l’un des fauteuils placés au bord du lit, j’ai relevé la jupe de mon tailleur, écarté le tissu de mon string et je caresse mon bourgeon d’un doigt expert. C’est ce moment que choisit Ahmed, l’assistant de Monsieur Coulibadou, pour entrer dans la pièce. Il vient vers moi, me fait mettre à genoux le buste appuyé sur le lit. Il trousse ma jupe, baisse légèrement mon string et enfile d’un coup sec son pieu noir au fond de la chatte. Ma tête est tout près de celle de Marie-Madeleine qui me regarde droit dans les yeux. Je vois le plaisir dans son regard et je savoure ma victoire ; je l’ai libérée de son carcan éducatif et de l’emprise de son mari, la salope qui sommeillait en elle s’est réveillée.
Les deux hommes nous baisent sans ménagement, mais ils doivent savoir que c’est ce que nous souhaitons. Etre saillie bestialement, comme de vulgaires chiennes offertes pour qu’ils se soulagent autant qu’ils ont envie.
Nous sommes maintenant toutes les deux en levrette sur le lit, face à face, et je me mets à embrasser Marie-Madeleine sur la bouche. Elle répond à mon baiser et je sais que cela va exciter encore plus nos deux amants. Ils redoublent en effet d’efforts pour mieux nous ouvrir. Les deux hommes se parlent dans un dialecte que ni l’une ni l’autre ne comprenons. Mais à leurs sourires et au timbre de leurs voix, j’imagine que cela doit ressembler à quelque chose comme ça.
— Voilà deux belles salopes qui semblent apprécier les grosses queues.— La nouvelle semble encore un peu timide, mais elle a du talent.— Avec l’exemple d’Hélène, nul doute que nous la reverrons régulièrement.— Oui, et nous en ferons profiter nos amis du quartier de Pigalle.
C’est à l’unisson qu’ils se vident en nous puis, après quelques ultimes allers-retours, se retirent. Je prends en bouche la queue d’Ahmed, montrant ainsi à Marie-Madeleine qu’elle doit faire de même pour recueillir les dernières gouttes de foutre de Monsieur Coulibadou. Elle s’exécute de bonne grâce et semble même y trouver un certain plaisir, car je la vois se caresser le clito pendant qu’elle s’applique sur le sexe encore bien bandé.
Je réajuste ma tenue tandis que Marie-Madeleine remet ses vêtements. Le marabout explique à mon amie combien cette séance est riche d’enseignements et prometteuse de beaux lendemains. Il lui dit.
— Vous verrez, dans quelque temps, vous serez aussi radieuse que votre amie Madame de Saint Jouy. Et vous pourrez venir seule à mon cabinet même si la présence de votre amie ne me gêne nullement.
Une fois dans la rue, nous ouvrons nos parapluies et nous dirigeons vers la station de métro. En passant devant la boutique de lingerie de Monsieur Maurice, je glisse à Marie-Madeleine.
— Je viens parfois dans cette boutique pour choisir ma lingerie. Il faudra que je t’y amène, c’est plein de surprises...
Elle me répond.
— Je viens de découvrir que ma meilleure amie est bien plus coquine que je ne pensais. Ce n’est pas pour me déplaire et, grâce à toi, je souhaite rattraper le temps perdu.
Je lui fais un grand sourire, je m’imagine déjà en train de l’exhiber chez Maurice et je me dis qu’il va falloir que je pense à la manière de nous venger de son mari Ferdinand...
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