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La bourgeoise et le marabout

Chapitre 40

Plaisirs à l'aloé véra.....

Avec plusieurs hommes
Très certainement comme de nombreuses femmes, me faire prendre trop longuement par un sexe encapuchonné dans un préservatif me provoque parfois des échauffements et des irritations ; surtout lorsqu’il s’agit d’un « long à jouir » ! J’avoue que, même si j’aime le sexe, je déteste me faire limer et besogner pendant une éternité. J’aime les assauts fougueux, mais j’aime aussi qu’ils ne soient pas trop longs. Le plaisir n’est pas pour moi dans la durée de l’acte, mais dans la parade érotique qui le précède puis dans la fulgurance de la jouissance.
C’est ainsi que ce midi, en déambulant dans les rues autour de La Madeleine pour faire quelques courses, j’ai découvert, rue de Sèze, un sex-shop que je ne connaissais nullement bien que souvent dans ce secteur de Paris pour des raisons professionnelles. Je me décide donc d’y entrer pour y jeter un œil. Une fois le rideau rouge franchi, je me dirige vers la caisse et demande au jeune homme qui s’y tient.
— Bonjour, pourriez-vous me renseigner ? J’ai récemment lu dans la revue « Femme actuelle » qu’il existe maintenant des préservatifs à l’aloe vera qui sont particulièrement doux et beaucoup moins irritants que les préservatifs classiques.
Le jeune homme est un peu surpris par ma question, mais se reprend vite et me répond très professionnellement :
— Tout à fait, madame, ce sont de nouveaux produits. Les hommes qui ont des difficultés à avoir une érection avec les préservatifs classiques en semblent très satisfaits. Quelques clientes nous ont également dit que leur lubrification est excellente et certaines ont même précisé que le goût en bouche n’est pas désagréable.
Puis il m’accompagne sur les rayons pour me montrer où sont les préservatifs, notamment les nouvelles tendances. Je le remercie en pensant qu’il va en rester là, mais, il ajoute :
— Si vous le souhaitez, nous en avons quelques-uns en démonstration.
Je le regarde un peu surprise puis je lui réponds :
— Cela me semble difficile à tester sans rien sur lequel l’enfiler.
Il me tend deux sachets de préservatifs estampillés « à l’aloe vera » puis, me montrant l’escalier qui mène au premier étage, il me dit avec un grand sourire
— Peut-être trouverez-vous ce qu’il faut à l’étage...

Tandis que je monte à l’étage, je remarque que le jeune vendeur ne me quitte pas des yeux. Il faut dire que la jupe de mon tailleur pied-de-poule m’arrive largement au-dessus du genou et, à chaque marche que je monte, je ne doute pas que l’on doit voir les jarretières de ma guêpière. Arrivée sur le palier, je me retourne vers le jeune homme et lui fais un large sourire en passant ma langue sur mes lèvres. Je ne doute pas, malgré son jeune âge, qu’il ait bien compris le message.Une légère pénombre règne à l’étage et je me retrouve devant deux salles fermées par un rideau rouge. J’entre à droite et me retrouve au rayon de la lingerie et des chaussures. C’est calme, il y a juste un couple qui déambule parmi les rayons, mais ils semblent plus être là pour le fun que pour faire des achats. Ayant besoin d’une nouvelle paire de bas, car les caresses masculines un peu trop viriles sur mes jambes ont souvent tendance à faire quelques dégâts, je prends ce qu’il me faut puis sors de la pièce.

Je franchis le second rideau, en velours rouge comme le précédent, et me retrouve dans une petite salle de cinéma équipée de trois rangées de cinq fauteuils. Assis juste devant l’écran, un couple s’embrasse fougueusement. Juste derrière, sur la rangée du milieu, un homme se masturbe en fixant l’écran. A la dernière rangée sont assis deux hommes, séparés par un fauteuil vide. Une fois arrivée à la hauteur de la première rangée, je constate que l’homme est en train de caresser l’entrejambes de sa voisine assise à sa gauche. Je me relève vite, car cela est flagrant, que la voisine s’avère être en fait un travesti. La situation est nouvelle pour moi et je me dis que cela peut être intéressant. Je m’assois de l’autre côté du travesti et, tout en regardant l’écran, je commence moi aussi à lui caresser les cuisses. Je remonte un peu et bien vite ma main effleure une queue déjà bien tendue. Je dis à l’oreille de la belle :
— Puis-je vous mettre un préservatif ? C’est pour en tester le goût.
Je comprends à son regard que c’est possible et j’enfile délicatement la capote sur la queue du travesti. Pour être plus à l’aide, je me mets à genoux devant la bite que j’embouche rapidement. Effectivement, la saveur n’est pas désagréable et je m’applique donc à bien sucer le travesti qui réagit en véritable mec. Son gland cogne au fond de ma gorge et je commence à mouiller mon petit string. La femelle qui est en moi commence à se réveiller et je me dis que cela va devenir chaud.
Une fois que ma fellation a produit l’effet escompté, je me lève, relève bien haut ma jupe, écarte mon string et viens m’empaler sur la queue du travesti en lui faisant face. Il est maquillé, porte une perruque et est donc très crédible en femme. Mais il me baise pourtant comme un vrai mâle en m’embrassant fougueusement. Son voisin n’est pas en reste et il a déjà une main de glissée dans mon chemisier et l’autre posée sur mes fesses. Tandis que je fais des va-et-vient, ou plutôt des hauts et bas, sur la bite du premier, le second me pince un téton et me titille l’anus. Au comportement du travesti qui se raidit et se cale bien contre le dossier de son fauteuil, je comprends qu’il va jouir. Je l’embrasse à pleine bouche, langue contre langue et colle mon buste contre le sien. Il crie et jouit comme un animal, remplissant de foutre la capote.
A peine me suis-je remise de cet assaut, que le second m’aide à me lever; me fait mettre à genoux sur le fauteuil, le dos à l’écran. Aussitôt, celui qui se branlait au second rang se lève et me présente sa queue. Celui qui me titillait la rondelle m’encule d’un coup sec, et propulsée vers l’avant, j’embouche la queue qui se présentait à moi. Je ne peux pas voir l’écran, mais, aux dialogues que je peux entendre, je comprends que c’est chaud entre les acteurs et actrices. Pour moi, c’est également brûlant et je gémis de plaisir sous les coups de boutoir réguliers des deux mâles qui se partagent mes faveurs. D’une main agile, je malaxe les bourses de celui que je suce tandis que de l’autre, je me caresse le clito. Bien que je ne sois pas entrée dans la boutique pour cela, force est de constater que cette séance de débauche n’est pas pour me déplaire. Je serre un peu plus les lèvres autour de la hampe que je suce et je contracte un peu plus les fesses autour de la queue qui me prend.
Les deux hommes semblent apprécier, car leurs commentaires vont bon train :
— Quelle bouche divine ! Voilà une superbe suceuse.— Et son cul ! On a envie de ne plus en sortir.— C’est bien meilleur que de se branler devant l’écran.— Elle a la croupe aussi accueillante que mon ami travesti.— Oh, je vais décharger ! Oui, je viens !— Moi aussi, je vais la remplir de foutre.
Et les deux mâles se vident en moi, me gavant de leur précieux jus par les deux extrémités.
Dans un tel état d’excitation, je ne contrôle plus mes envies de salope et je décide donc d’aller m’asseoir entre les deux messieurs installés au dernier rang. Je ne sais pas si c’est le film à l’écran ou le spectacle de mes ébats qui les a excités, mais ils ont déjà la queue à l’air et se branlent frénétiquement. Une fois assise entre eux deux, je relève ma jupe, écarte de nouveau mon string et je commence à me titiller le bourgeon pour m’en occuper de mes deux voisins. Tout en continuant à se branler énergiquement, ils posent leur autre main sur mes cuisses et remontent jusqu’à ma chatte. Je retire mes doigts pour leur laisser la place ; c’est bien plus excitant d’être masturbée par deux inconnus !! A l’écran, une femme est le jouet de quatre ou cinq mâles ; je m’imagine à sa place. Lorsque mes deux voisins jouissent à l’unisson, leurs doigts se glissent un peu plus loin dans ma chatte et je fonds de plaisir dans leurs mains.
Avant de quitter leur place, leurs envies apaisées, ils essuient leur foutre de leurs doigts et viennent m’enduire le haut des jambes de leur chaude semence.
Alors que je suis seule dans la salle et que je m’apprête à réajuster ma tenue, on se colle dans mon dos et on me serre par la taille, m’interdisant ainsi tout mouvement. On me dit à l’oreille :
— Passe-moi un préservatif à l’aloe vera, je vais le tester moi aussi.
Je m’exécute et, quelques secondes plus tard, on m’oblige à me pencher vers l’avant et une queue se colle à mes fesses.La voix reprend :
— Je t’ai vue sur les écrans de contrôle, tu es une sacrée salope.— Tu as vidé tous ces mecs en un rien de temps, tu aimes vraiment la queue !— Tu m’as bien excité et tu ne vas pas me laisser dans cet état.
Comprenant les intentions du jeune vendeur, dont je viens de reconnaître la voix, je passe ma main sur le foutre qui commence à sécher entre mes jambes et je m’en enduis la raie des fesses. Aussitôt, d’un bon coup de bas-ventre, la queue se glisse en moi et commence à me ramoner avec fougue. L’animal est si excité qu’il ne pense qu’à son plaisir, se vider dans mon cul de bourgeoise. Qu’importe, j’adore ces saillies improvisées qui ne s’éternisent pas. Le jeune homme se raidit, pousse un long feulement bestial, se colle encore plus près de moi en me serrant fort les hanches et se décharge longuement. Il se retire et me laisse enfin réajuster ma tenue qui commence à faire très pute. Je me remaquille devant mon miroir de poche puis redescends au rez-de-chaussée. Alors que je passe devant la caisse et m’apprête à quitter les lieux, le jeune homme me tend un paquet en souriant :
— Tenez Madame, la maison vous offre un paquet de préservatifs à l’aloe vera. Vous semblez les apprécier tout particulièrement.
Je saisis le paquet, l’ouvre devant lui et prends l’une des pochettes qu’il contient. Je soulève ma jupe et glisse le petit étui de préservatif à la lisière, de manière qu’il soit bien retenu à l’extérieur de ma cuisse par la large jarretière de mon bas. Puis je lui dis :
— Voilà, ainsi j’en aurai toujours un sur moi ! On ne sait jamais...

Je quitte le magasin en ondulant de la croupe et en lançant une dernière œillade au vendeur. Je suis certaine qu’il va attendre impatiemment que je revienne ici......
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