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La bourgeoise et le marabout

Chapitre 43

La vengeance de Marie-Madeleine ...

Orgie / Partouze
Cela fait déjà, près de deux mois, que Marie-Madeleine suit sa thérapie chez maître Coulibadou et force est de constater que depuis son premier rendez-vous (Cf. Chapitre 34 « La libération de Marie-Madeleine ») et grâce à l’attention du praticien lors de chacune des séances (Cf. chapitre 39 « L’initiation de Marie-Madeleine »), mon amie est maintenant une bourgeoise libérée qui sait l’importance qu’il convient d’accorder au plaisir sexuel et à la satisfaction de ses envies. De plus, depuis que je l’ai accompagnée à la boutique de Maurice, elle n’hésite plus à porter de la lingerie sexy, voire provocante, même si elle veille à ne rien montrer à son mari Ferdinand. L’heure me semble donc venue d’envisager comment se venger de ce mari qui ne s’intéresse pas à elle et ne l’honore que de manière très occasionnelle alors qu’il va régulièrement baiser à droite et à gauche. Mais pour mener à bien mon plan, je vais avoir besoin de François sans qu’il sache la finalité de l’affaire.
C’est au dîner que j’aborde le sujet :
— J’ai rencontré ce matin mon amie Marie-Madeleine de la Croix Nivet. Comme cela faisait longtemps que nous ne nous étions pas vues, nous avons pris un café ensemble près du bureau.
Puis, poursuivant :
— Savais-tu que son mari Ferdinand n’est pas en grande forme actuellement ?
François me répond :
— Oui, je le croise parfois au tennis et nous prenons un verre ensemble au club house. Il y a quelques années, il nous arrivait de nous retrouver ensemble avec d’autres copains pour faire la fête.
J’enchaîne :
— Oui, c’était un chaud lapin ! Il a souvent tenté de me draguer.
François me répond :
— Même s’il n’a plus la grande forme, je sais qu’il aime encore ça. Mais ce qu’il adore surtout, c’est participer à de belles partouzes. Nous en parlons régulièrement.
Je décide alors de me lancer :
— Pourquoi ne lui proposes-tu pas d’aller un samedi dans l’un des lieux chauds de Pigalle, au Star City par exemple. Ce serait excellent pour vous deux après un match de tennis et il pourrait satisfaire ses envies de voyeurisme et plus, si affinités.

Il me regarde d’un drôle d’air, et me dit :
— Toi, tu as une idée derrière la tête !
Avec un grand sourire, je lui rétorque :
— Oui, tu sais bien que je suis une exhibitionniste et une gourmande. Tu adoreras !
Un soir, au cours de la semaine suivante, François commence à m’entreprendre au lit dès que la lumière est éteinte. Il me caresse de partout, se colle à moi, me dévore la bouche et je sens son sexe bandé comme un arc. Il me dit :
— J’ai eu Ferdinand au téléphone, et nous allons faire un match de tennis samedi après-midi. Il m’a longuement parlé de sa Marie-Madeleine qui est une vraie frigide, même s’il a observé depuis quelque temps qu’elle se met à porter de la lingerie très sexy. Nous avons convenu d’aller tous les deux faire un sauna au Star City après notre match, histoire de nous détendre et profiter des lieux.
Je viens sur lui, m’empale sur sa queue et lui réponds :
— Tu es un amour chéri. Profite bien de moi ce soir, car peut-être que je serais moins disponible pour toi là-bas samedi...
Il me donne de grands coups de queue et, avant de se répandre en moi en criant son plaisir, il a tout de même le temps d’ajouter :
— Tu es une adorable salope ! Je suis pressé de voir ce que tu nous réserves.
Le lendemain, profitant de la pause du midi au travail, je m’empresse de téléphoner à mon amie pour mettre en place la suite :
— Bonjour, Marie-Madeleine, tu vas bien ?
Après quelques banalités échangées, je lui dis :
— Nos maris sont pris samedi après-midi par le tennis, que dirais-tu d’en profiter un peu avec moi ?
Elle hésite quelques instants, puis me répond :
— Oui, pourquoi pas ! Ferdinand ne veut jamais sortir, mais je ne vais tout de même pas rester cloîtrée tout le temps. Que proposes-tu ?
Sans trop rentrer dans les détails, et surtout sans lui parler de nos maris, je lui dis que nous irons dans un établissement à Pigalle où il est possible de se détendre tranquillement et plus, si le cœur nous en dit.
Je l’entends rire dans son téléphone avant qu’elle me dise :
— Tu m’as habituée à tellement de surprises ces dernières semaines que je m’attends à tout avec toi. Mais je te fais confiance.
Je conclus en lui disant :
— Je te mettrai un SMS vendredi soir. Grosses bises et à samedi.
Deux jours plus tard, après avoir appris de François que lui et Ferdinand arriveraient sur les lieux vers 17h30 après leur après-midi tennis, j’envoie comme convenu au téléphone un petit SMS à Marie-Madeleine « rendez-vous métro Pigalle demain 17h00. Fais comme moi, apporte un loup pour te cacher le visage. Ce sera plus excitant ! Bises ».
Le lendemain, nous voici toutes les deux sortant du métro Pigalle. Je propose à mon amie de prendre un café au Mac Do pour que je lui dise quelques mots sur notre sortie. Lorsque nous quittons le café, elle sait que nous allons dans un lieu coquin où nous pourrons nous détendre dans le jacuzzi avant de profiter éventuellement des plaisirs du lieu. Nous tenant par le bras, nous traversons le boulevard, passons devant le Sexodrome non sans jeter un œil aux tenues coquines des mannequins dans la vitrine, puis nous entrons juste après au Star City, et nous nous dirigeons vers le vestiaire. Nous en ressortons le visage caché par un loup noir et le buste ceint d’une serviette de bain. Tenant toujours Marie-Madeleine par le bras, je l’invite à me suivre pour visiter les lieux.
Je devine qu’elle est un peu inquiète, mais au fur et à mesure de notre visite des deux étages de l’établissement, elle se décontracte et c’est avec un visage radieux que nous nous installons au sous-sol dans le jacuzzi bouillonnant. Avec nos masques sur le visage, nous avons l’air de deux bourgeoises en goguette cherchant à ne pas être reconnues dans un tel lieu. Les hommes présents nous matent et la situation est des plus excitantes. Je remarque que le regard de mon amie s’attarde avec envie sur ces sexes à l’horizontale qui nous prennent dans leurs lignes de mire. J’ai moi aussi une douce chaleur qui envahit mon bas-ventre, mais je décide que ce n’est pas encore l’heure. Je souhaite que Marie-Madeleine soit vraiment excitée et prête à tout avant de libérer la salope qui patiente en elle.
Soudain, alors que nous nous dirigeons vers le bar pour prendre une boisson, je vois que François et Ferdinand sont là en train de se changer dans le vestiaire. Mon amie ne s’en est pas aperçue et je l’entraîne rapidement vers les escaliers qui mènent aux étages supérieurs. Un jeune homme nous suit alors que nous nous dirigeons vers l’un des petits salons du premier étage. Vite, je pousse Marie-Madeleine à l’intérieur et referme à clé la porte derrière nous. La cloison qui nous sépare du couloir est percée de trous à environ 1 mètre du sol et je me mets à genoux devant l’un des orifices. A peine suis-je en place qu’une belle queue se présente dans l’orifice puis se glisse dans ma bouche. Mon amie comprend vite le fonctionnement de cette salle aux glory holes; et la voici, elle aussi à genoux, en train de sucer une belle queue. Nous sommes si appliquées dans notre ouvrage que les deux mâles ne tardent pas à remplir la capote qui recouvre leur sexe.
A peine les deux queues ont-elles disparu qu’elles sont remplacées par deux autres qui vont connaître rapidement le même sort que les deux précédentes.
Après avoir jeté un coup d’œil à l’extérieur par l’un des trous, je décide qu’il est temps de changer de petit salon. J’en connais un au second étage qui va être parfait pour mon plan, mais, avant, nous faisons un tour complet du premier niveau pour appâter de nouveaux mâles. C’est à ce moment que je prends le bras de Marie-Madeleine, l’arrête soudainement et lui dis à l’oreille :
— Ne fais semblant de rien, je crois bien que nos maris sont là aussi !
Elle me répond anxieuse :
— Tu en es sûre ? Nous sommes coincées !
Je la rassure vite :
— Mais non, avec nos masques ils ne peuvent pas nous reconnaître. Ne t’inquiète pas, nous allons nous amuser à leurs dépens ! Fais-moi confiance.
Poursuivant notre chemin dans le couloir, comme si de rien n’était, nous croisons François et Ferdinand qui déambulent en regardant à droite et à gauche pour voir ce qui se passe dans les différents salons de l’étage. Je sais que François m’a reconnue derrière mon loup noir, mais il n’en fait rien paraître et ne sait nullement qui est l’autre femme avec moi. Je l’entends dire à son ami :
— Voilà deux belles bourgeoises qui viennent ici incognito pour satisfaire leurs envies.
Ferdinand lui répond :
— Oui, elles ne sont plus de première jeunesse, mais elles doivent être bien salopes si j’en crois la façon dont elles ondulent de la croupe.
J’entraîne mon amie vers le second étage pour passer à la partie essentielle de mon plan ; mêlés à un petit groupe de mâles déjà bien excités, François et Ferdinand nous suivent à distance le regard lubrique. Il y a là un petit salon télé avec quatre ou cinq canapés de deux ou trois places chacun. Une demi-douzaine d’hommes est avachie dans les coussins, et se masturbe en regardant l’écran où une belle blonde est aux prises avec deux beaux étalons. Nous nous glissons entre les canapés et nous voici de nouveau à genoux devant deux hommes choisis au hasard. Alors que je regarde François et son ami en faisant passer ma langue sur mes lèvres, Marie-Madeleine est déjà prosternée devant la queue qui se dresse devant elle. Nous voici donc de nouveau à l’ouvrage pour apaiser ces deux inconnus qui n’en attendaient certainement pas tant. Une fois qu’ils se sont vidés, Marie-Madeleine passe au canapé suivant où elle embouche la grosse queue d’un black.
Faisant semblant de choisir ma proie, je me dirige vers le canapé où sont installés mon mari et Ferdinand. Je me mets à genoux devant ce dernier et je commence à le masturber d’une main et à lui caresser les bourses de l’autre. Il bande rapidement et mes lèvres se referment autour sa tige. Il rejette le corps en arrière et se laisse aller. C’est bien, je veux le vider de tout son foutre pour qu’il ne puisse plus rebander ensuite pendant un long moment. Je m’applique, je tète son gland, avale en entier sa tige, lui mordille les bourses et j’aspire longuement tout son jus lorsqu’il se répand dans ma bouche. Il ne bouge plus et me laisse lui essorer les bourses jusqu’à la dernière goutte. Alors que je me relève, il reprend ses esprits, et dit à François:
— Quelle salope ! Elle m’a complètement vidé !
François lui répond :
— C’est dommage, tu ne vas pas pouvoir honorer ta femme en rentrant ce soir.
L’autre lui rétorque :
— Ce n’est pas grave ! Elle est aussi froide qu’un pain de glace !
Une fois relevée, j’attends que Marie-Madeleine en ait terminé avec la queue du black puis je l’entraîne avec moi vers l’un des salons de l’étage. Aussitôt, la plupart des hommes se lèvent à leur tour et nous emboîtent le pas. Je pousse mon amie dans un salon aux couleurs vives, je fais entrer sept ou huit mâles avec nous, mais je veille à ce que François et Ferdinand restent à l’extérieur. Je ferme à clé derrière nous, mais j’ouvre le rideau de la fenêtre donnant sur le couloir. Pour avoir déjà fréquenté les lieux, je sais que c’est une vitre sans tain qui permet à ceux restés dehors, puisque le salon est très éclairé et le couloir est dans la pénombre, de jouer les voyeurs et de profiter pleinement des joutes érotiques qui se déroulent dans le salon. Je joue un peu la timorée et les mâles présents dans la pièce comprennent vite qu’ils ont intérêt à se concentrer sur Marie-Madeleine qui semble beaucoup plus coopérative.
La voici déjà allongée sur le lit et entourée des hommes qui la caressent de partout. Mon amie gémit sous les caresses, branle les queues qu’elle peut saisir et même sucer celles qui passent à portée de sa bouche gourmande.
Deux hommes la soulèvent, la retournent comme une crêpe pour la mettre à quatre pattes sur le lit. Un quadragénaire sportif se glisse sous elle et Marie-Madeleine s’empale aussitôt sur ce pal qui pointe vers le 7e ciel. Un jeune beur réussit à être plus rapide que les autres et frotte déjà son gland violacé entre les fesses de la belle. Cette dernière remue la croupe et la voilà enculée d’un coup sec. Deux blacks sont positionnés devant mon amie qui les suce alternativement. Les autres se branlent d’une main, lui caressent les tétons de l’autre en espérant sans nul doute que leurs copains vont vite céder la place. Dans ce salon se joue en quelque sorte une variante érotique du jeu des chaises musicales.
Marie-Madeleine vient d’être bien remplie par les deux premiers mâles qui cèdent la place, enfin ! dirons certains, aux suivants. Mon amie gémit les yeux fermés, certainement pour mieux apprécier les vagues de jouissance qui parcourent son corps. On dirait vraiment une salope qui n’a pas eu sa dose de sexe depuis plusieurs semaines. Les mouvements de son corps accompagnent les coups de boutoir de ceux qui se font sucer et de ceux qui lui défoncent la chatte et le cul.
Je sais que François et Ferdinand sont en train de nous mater de l’autre côté de la vitre avec les quelques autres voyeurs. Il est temps de tomber le masque !
Je décide donc de me jeter dans la mêlée. A peine suis-je à quatre pattes sur le lit, qu’un homme me prend. Son sexe est bien tendu et je peux enfin me laisser aller. J’arrive à rapprocher mon visage de Marie-Madeleine et je me mets à sucer avec elle les bites offertes. Par moments, mes lèvres effleurent celles de mon amie qui ne semble nullement gênée. Elle est dans un état second et c’est sans difficulté que j’arrive à lui retirer son masque. Je jouis entièrement en imaginant la surprise de Ferdinand découvrant les traits de sa femme sous le masque de cette salope qui se livre à cette dizaine de mâles en rut. Mon amie semble ne s’être aperçue de rien et elle continue à se faire prendre par toutes les queues qui le souhaitent. Ce sont maintenant deux blacks qui profitent de sa chatte, et j’imagine que Ferdinand ne doit pas en revenir de voir sa femme supposée frigide se faire fendre en deux par deux belles bites d’ébène.
Marie-Madeleine doit particulièrement apprécier cette double pénétration vaginale, car sa bouche est grande ouverte, ses yeux sont révulsés et ses cris de jouissance résonnent dans la pièce.
Je me demande ce que peut ressentir Ferdinand en voyant sa femme ainsi saillie par des inconnus. Nul doute que cela doit être un mélange d’excitation et d’humiliation. J’imagine son dilemme : sortir sa femme de ce salon pour la retirer des griffes de ces mâles lubriques ou bien entrer dans ce salon pour participer à la débauche de sa femme. Mais, quelle que soit son envie, la porte est bien fermée à clé et il ne peut qu’assister, impuissant, à cette séance de fornication dont sa femme est l’objet.
Pendant une bonne heure, Marie-Madeleine va ainsi être baisée par la petite dizaine d’hommes présents avec nous dans le salon. Je vais également être bien honorée, mais je souhaite vraiment que Marie-Madeleine soit le réceptacle de l’envie de tous ces mâles. Certains, notamment les blacks, vont montrer de belles capacités de récupération et vont baiser ou enculer deux ou trois fois mon amie qui va montrer une endurance que je ne soupçonnais pas.
Lorsque nous sortons enfin de la pièce, François et Ferdinand ont disparu, ce dernier ne souhaitait certainement pas lire dans les yeux de sa femme combien elle avait joui sous les multiples assauts de ses amants et combien elle prenait maintenant encore du plaisir à découvrir qu’il était là à la regarder pendant ses fougueux ébats.
Une fois rentrée chez moi, François m’a décrit la surprise de Ferdinand lorsqu’il a découvert sa femme et il s’est demandé pendant toute la séance qui était l’autre salope avec elle. Avec moult détails, il m’a dit combien son ami avait été outré de découvrir que sa femme était aussi chienne, comment il avait voulu entrer dans le salon pour repartir avec elle puis comment il avait souhaité ensuite se mêler aux hommes pour la baiser à son tour. Il m’a bien fait rire quand il m’a dit que Ferdinand avait bien essayé de se branler devant le spectacle que lui offrait sa salope de femme, mais il n’avait pas réussi à bander puisque je l’avais complètement vidé.
Lorsque François a ensuite profité de mes différents orifices déjà bien ouverts, j’ai joui longuement et savouré pleinement cette belle vengeance de Marie-Madelaine, vengeance dont j’avais été la grande prêtresse...
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