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La bourgeoise et le marabout

Chapitre 44

L'initiation du stagiaire ...

Avec plusieurs hommes
Pour éviter tout souci dans la société qui m’emploie, j’ai pour règle de conduite de ne jamais répondre aux propositions ou avances coquines des collègues de travail. Même si je m’habille sexy, je veille donc à ne pas être provocante et à laisser croire que je suis une femme inaccessible. Pour certains, je suis même ce qu’on peut appeler « une coincée » et peut-être même « une mal baisée » pour d’autres. Mais qu’importe ce qu’ils pensent de moi et échangent derrière mon dos, mon comportement est irréprochable au travail. Personne ne peut imaginer qu’une fois hors des murs de la société, je suis une salope, une chienne, …..Mais n’y a-t-il pas un dicton populaire « Il ne faut jamais dire, fontaine je ne boirai pas de ton eau. »   Cette semaine je suis en déplacement professionnel dans les Hauts de France, à Cambrai, où je dois réaliser pendant deux jours un audit RH de l’une de nos sociétés clientes. Alors que d’habitude je réalise seule ces missions, je suis pour l’occasion accompagnée de Stéphane, un jeune étudiant de 23 ans. Il suit un MBA « Ressources humaines et management des talents » dans une grande école de commerce parisienne et effectue un stage de deux mois chez nous. Bien que ce soit un collègue de travail qui soit son maître de stage, il m’a été demandé de le prendre en compte pour deux jours lors de mon audit dans le Nord. Stéphane est en effet dans sa dernière semaine de stage et m’accompagner lors de mon audit doit lui permettre de voir sur le terrain, chez l’un de nos clients, l’application concrète de ce qu’il a vu pendant les semaines précédentes dans les différents services de notre société. Bien que j’étais plutôt réticente au début, je me suis dit que cela allait me faire un peu de compagnie pendant les deux jours.   C’est donc tôt le mardi matin, avec un véhicule de la société, que nous quittons Paris pour éviter le gros des bouchons. Au début c’est moi qui suis au volant et nous papotons tranquillement. Comme d’habitude, je porte un petit tailleur dont la jupe m’arrive légèrement au dessus du genou. Sous la veste ouverte, j’ai un petit chemisier blanc sous lequel pointe ma poitrine. Bien que j’ai l’œil fixé sur la route, je remarque que mon jeune stagiaire me regarde régulièrement les cuisses et le buste. Serait-il en train de me convoiter, de me désirer, de fantasmer ? Il faut dire qu’il n’est pas mal et qu’il y a bien longtemps que je n’ai pas cédé à un jeune étalon. Le problème avec les jeunes mâles, c’est qu’ils manquent d’expérience et sont parfois du style « éjaculateur précoce » ; on reste donc sur sa faim !   Après une heure de circulation vraiment dense sur le périphérique puis l’autoroute A1, je décide qu’il est temps de faire une petite pause et nous nous arrêtons donc sur une aire à la hauteur de Compiègne. Je commence par aller aux toilettes et lorsque je reviens vers la boutique, je vois que Stéphane est en train de regarder les différents magazines dans les présentoirs. Je l’observe de loin et je le vois prendre une revue coquine « Lettres tabous » ainsi que le journal « L’équipe ». Je le rejoins alors qu’il vient de régler ses achats mais il a déjà fait disparaître la revue érotique au milieu du journal. Je lui dis - Alors Stéphane, tu as trouvé ton bonheur dans leur kiosque ? Il hésite un peu puis me répond - Oui, j’ai pris un journal de sport que je lirai ce soir dans ma chambre à l’hôtel. Puis-je vous offrir un café ? J’adore cette distance qui existe entre nous deux, je le tutoie car il est bien jeune et lui me vouvoie car je suis comme une supérieure pour lui. Cela est très excitant ! Je lui fais un grand sourire et j’ajoute - Moi, je ne sais pas si c’est le genre de lecture qui m’aiderait m’endormir. Mais je veux bien un café.   Une fois arrivé dans la société, nous avons droit à un petit café-croissant puis je me mets au travail. La première journée de ces audits consiste toujours en une visite du service RH avec de nombreux entretiens avec le personnel en charge de la gestion des ressources humaines de la société. Stéphane est avec moi à chaque instant ; je le vois très attentif à ce que je fais et il prend de nombreuses notes. Il est aux petits soins avec moi, porte les dossiers, me propose du café, me demande si j’ai besoin de quelque chose, …. Lors du déjeuner dans la cantine de l’établissement, il est assis en face de moi et je vois qu’il me quitte rarement des yeux. Par moment, ses pieds effleurent les miens sous la table mais je reste au contact sans le regarder. Son pied se frotte contre le mien quelques secondes puis disparaît. A un moment donné, alors qu’on nous sert le dessert, il fait malencontreusement tombé sa petite cuillère par terre à côté de lui. Il est un peu gêné et il se penche alors vers le sol pour la ramasser. Rapidement, j’écarte les jambes tout en continuant à savourer ma part de tarte aux pommes. Stéphane met un peu de temps à se relever et sa figure est un peu rouge lorsqu’il me regarde avant de plonger dans son assiette à dessert. J’espère qu’il a eu le temps de jeter un œil entre mes jambes pour apercevoir la lisière de mes bas, les larges jarretières qui les retiennent et peut être même la blancheur de mon petit string.   Il doit être 18h00 quand se termine cette première journée d’audit. Nous reprenons la voiture et nous dirigeons vers l’hôtel où nous n’avons pas eu le temps de passer le matin. Je laisse Stéphane conduire puisqu’il a le permis et cela me permet de souffler un peu. De telles journées sont éreintantes et un peu de repos permet de se détendre. Nous arrivons à l’hôtel en plein centre ville. Comme d’habitude, nous avons droit à un hôtel de bon standing, ce qui n’est pas pour me déplaire. Nous voici à la réception où nous sommes accueillis par un bel homme, la petite quarantaine, sportif bien bâti et cheveux châtains. Je lis sur le badge accroché à sa veste qu’il se prénomme Chris. Il me détaille de ses yeux verts, comme s’il était en train de me scanner de haut en bas. On dirait un félin en chasse ! Après avoir répondu à son salut, je lui dis - Vous devez avoir une réservation au nom de la société «  Paris RH Consulting ». Il regarde sur son ordinateur  - Oui en effet. C’est deux chambres n’est-ce pas ? Je fais un petit sourire à Stéphane puis, me retournant vers le réceptionniste, je lui réponds - Oui c’est bien cela, deux chambres. Nous travaillons ensemble mais logeons séparément. Le dénommé Chris émet un petit rire et me regarde d’un air coquin avant de poursuivre - Vos deux chambres sont contiguës et vous avez une porte de communication. Si vous avez besoin de travailler tard, ce sera plus facile. Il prend ma valide et nous accompagne au premier étage pour nous montrer nos chambres. Il commence par celle de Stéphane puis nous passons dans la mienne par la porte de séparation. Avant de me quitter, il me regarde droit dans les yeux et me dit - Je suis de service toute la nuit. N’hésitez pas à me déranger si vous avez besoin de quelque chose, quoi que ce soit !
   Une fois mes affaires rangées dans ma chambre, je frappe à celle de Stéphane et lui dis que nous sortons pour grignoter quelque chose dans un restaurant proche de l’hôtel. Le dîner passe vite, il faut dire que nous parlons encore travail car Stéphane me raconte ce qu’il retient de cette première journée. Au moment du dessert, nous parlons de ses études et c’est ainsi que j’apprends qu’il habite en province du côté d’Angers, qu’il loge dans une petite chambre de la cité universitaire pour ses études et qu’il a peu d’occasions de sortie car trop pris par ces études. Il m’avoue qu’il n’a plus de petite amie depuis deux ans et n’en recherchera une autre qu’à l’issue de son cursus de quatre ans dans son école de commerce. Je pense qu’il doit certainement être en manque de fille car il n’arrête pas de me regarder. Le dîner terminé, il est 21h30 et nous rentrons à l’hôtel. En passant devant la réception, je demande à Chris de bien vouloir me monter une verveine vers 22h30 car je pense que j’en aurai alors fini avec la rédaction du compte rendu de la journée et qu’il sera temps de se reposer. Dans l’ascenseur, prévu pour quatre personnes, Stéphane se tient près de moi et je sens son souffle chaud sur mon visage. Je lis dans ses yeux qu’il me désire, cela m’excite ! Devant sa porte, je lui souhaite une bonne nuit et je lui précise que nous prendrons notre petit-déjeuner le lendemain matin à 7h00 pour être à 8h00 à pied d’œuvre pour notre deuxième et dernière journée d’audit.   Une fois seule dans ma chambre, je m’installe devant la petite table, allume mon ordinateur et me mets au travail tout en écoutant un reportage à la télé sur les Iles Marquises. Comme j’ai pris des notes et que j’ai encore toutes les données de la journée en tête, mon travail avance vite et vers 22h15 j’en ai presque terminé. C’est alors que je m’aperçois que je ne retrouve plus les chiffres sur l’effectif de l’entreprise visitée, la répartition des salariés par tranches d’âges et les départs à la retraite sur les 5 prochaines années. Je me lève, me dirige vers la porte de communication, frappe et entre sans vraiment attendre la réponse. Stéphane est au lit et est un peu surpris de me voir surgir ainsi dans sa chambre. Je lui explique et lui demande s’il peut regarder dans ses notes pour voir s’il a les chiffres que je cherche. Il sort de son lit, il est en boxer et je vois que sa queue bien raide déforme le tissu. Je m’assoie sur le bord de son lit tandis qu’il fouille dans ses affaires. Il y a bien « L’équipe » pliée sur la table de chevet mais c’est la revue « Lettres tabous » qui est ouverte et posée par-dessus le journal sportif. Alors que Stéphane revient vers moi avec son carnet de notes en me disant qu’il a les chiffres, je prends la revue et lui dis - Cette revue me semble bien plus intéressante que les dossiers que je suis en train de feuilleter dans ma chambre. Il rougit, est particulièrement gêné, réfléchit puis me répond - Oui Hélène, je lis parfois ce genre de revues. Cela permet de combler d’une certaine manière l’absence de petite amie. Je lui rétorque - Vous avez raison d’assumer vos lectures. Tenez, allongez-vous sur lit, ouvrez la revue au hasard et lisez moi l’histoire. Il est un peu surpris par ma demande mais il s’exécute. Il est maintenant allongé sur son lit, le boxer toujours autant déformé. Il prend le livre, l’ouvre et commence à lire «  Nous sommes un couple de provinciaux à la retraite et avons décidé de faire chambres d’hôte pour arrondir nos fins de mois. Habitant dans le Lot dans une zone très touristique, nous avons de nombreuses demandes d’hébergement surtout l’été. C’est par hasard que j’ai découvert que ma femme me trompe avec certains des hommes que nous logeons. Un jour, revenant à vélo du village voisin où je suis allé faire quelques courses, j’entends des bruits étranges venant du jardin. Je m’approche discrètement et, caché derrière un bosquet, je vois ma femme en train de sucer un jeune homme arrivé la veille. …. ». Tandis que Stéphane poursuit sa lecture, je pose ma main sur ses cuisses et remonte jusqu’à son boxer. Mes doigts se glissent sous le tissu et je lui effleure les bourses. Après un temps d’arrêt dans sa lecture, il poursuit « …… la salope semble apprécier la queue du jeune car elle l’avale entièrement. Cela m’excite de la voir ainsi, surtout qu’elle ne me suce plus depuis longtemps… ». J’ai maintenant retiré le boxer de mon lecteur et je caresse sa hampe qui se dresse encore plus raide qu’avant. « ……. Le mec doit apprécier la fellation de ma femme car, de ses mains, il l’oblige à la prendre en fond de gorge. Je bande et je commence à me branler devant ce spectacle… ». Moi aussi, je commence à bien faire coulisser la tige de Stéphane entre mes doigts. Puis, n’y tenant plus, je me penche vers son bas-ventre et prend sa queue en bouche. Il lit encore quelques lignes « …..à l’air réjoui du mec, je comprends qu’il vient de se vider dans la bouche de ma femme. Cette dernière réussit à tout avaler et se dégage de la queue qui bande encore…. » puis jette la revue par terre en me disant  - Oh Hélène, c’est si bon ce que vous me faites. Je vous désire depuis ce matin et j’avais bien l’intention de me branler en pensant à vous après avoir lu toute la revue.   Je me relève et, lentement, je retire la veste de mon tailleur, enlève mon chemisier, dégrafe mon soutien-gorge, fais glisser ma jupe jusqu’à mes pieds et je m’approche de lui - Maintenant, retire moi mon string avec tes dents ! Il colle son visage contre mon bas-ventre, réussit à glisser sa langue sous le tissu puis tire vers le bas. Le string commence à glisser le long de mes cuisses et Stéphane a maintenant le visage entre mes jambes. Je plaque mes mains derrière sa tête, l’oblige à se rapprocher tout contre mon sexe et l’exhorte à me dévorer la chatte. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, il enlève mon string, m’allonge sur le lit et sa langue se glisse dans mon intimité. Quel délice d’être butinée par ce jeune mâle fougueux dont la langue me visite dans tous les coins. Je m’abandonne, je mouille, je succombe, je fonds sous sa langue si agile. Je jouis et il me serre fort contre sa bouche pour s’enivrer de mon nectar intime. Il m’a mis le feu au corps et j’ai besoin que l’on éteigne l’incendie.   Soudain, la porte de communication s’ouvre et voici Chris qui entre avec un plateau à la main - J’ai bien frappé à votre porte mais personne ne m’a répondu. Alors je me suis permis d’entrer. Et comme la porte de communication était ouverte, j’ai pensé que vous étiez encore à travailler ensemble. Sans bouger de la position dans laquelle je suis, je lui réponds - Vous avez bien fait Chris. Mettez-vous à l’aide si vous le souhaitez et venez m’infuser. Il est rapidement à poil et je peux voir qu’il est bien foutu et porte quelques beaux tatouages. J’adore ! Tandis que je change de position pour sucer Chris, Stéphane en profite pour se coller à mon dos. Sa queue bat contre mes fesses et, dès que j’entrouvre les jambes, il en profite pour glisser sa tige dans ma chatte. Je suis à quatre pattes sur le lit, mon stagiaire me baise tandis que je suce le réceptionniste qui n’en attendait sans doute pas tant. Quel bonheur d’être ainsi prise !    Tel un jeune puceau, Stéphane me défonce à un rythme soutenu et me tient fermement par les hanches comme s’il avait peur que je m’enfuie avant qu’il ait déchargé tout son foutre. S’il savait que j’aime sentir le sperme se répandre en moi, il prendrait son temps. Plus expérimenté, Chris se laisse aller à ma fellation tout en accompagnant mes mouvements de quelques ondulations de son bas-ventre. Stéphane se raidit et se vide en moi en longs jets brûlants. Nul doute que c’est bien meilleur que de se branler sur son livre ! Je m’allonge maintenant à plat ventre et Chris dit à Stéphane - Dévore lui un peu le trou du cul, je suis sûr qu’elle adore.  Le jeune homme s’allonge derrière moi et voilà déjà sa langue qui me titille le derrière. Je soulève un peu la croupe pour lui faciliter la tache. Bien que novice, il affiche déjà de belles dispositions gustatives. J’ondule du cul et il me malaxe les fesses tout en me dégustant avec application. Chris doit en avoir un peu marre de se branler en nous regardant car il dit - C’est parfait, je suis certain qu’elle est maintenant prête à me recevoir.  Je me remets à quatre pattes et le réceptionniste est vite derrière moi, la queue bien enfoncée entre mes fesses. Je fais comprendre à Stéphane que j’ai encore envie de le sucer et il vient devant moi. Me voici de nouveau embrochée par deux queues, l’une bien enfoncée dans ma bouche et l’autre bien plantée dans le cul. Je peux ainsi assouvir mes instincts de salope et m’abandonner à ces deux hommes. Je ne souhaite être qu’un objet sexuel pour eux, un jouet dont ils peuvent user comme ils veulent.   C’est maintenant au tour de Chris de se vider en moi et je jouis en servant de réceptacle à tout son jus. Je recueille en même temps quelques gouttes de sperme que j’ai pu extraire de la queue de Stéphane. C’est un régal ! Une fois le réceptionniste parti, je prends mes affaires sous le bras et je rejoins ma chambre non sans conseiller à Stéphane de ne pas lire trop tard car il doit être en forme pour le lendemain. Au réveil, avant d’aller prendre le petit déjeuner, je me glisse dans la chambre de Stéphane, me glisse sous la couette et prends sa queue en bouche. Il bande vite et je viens sur lui. Bien empalée sur sa queue, j’ondule du bassin tout en l’embrassant à pleine bouche. Il me donne de grands coups de bas-ventre et se vide en moi. Toute la journée, je vais avoir la chatte moite et le string trempé de sperme. Qu’importe !   Notre seconde journée d’audit se passe normalement et, même pendant le retour en voiture, aucun de nous deux ne parle de cette nuit débridée à l’hôtel. De retour en fin d’après-midi à notre société à Paris, Stéphane me dit - Hélène, je suis ravi de ces deux jours d’audit à Cambrai avec vous. J’ai appris beaucoup de choses et je vous en remercie. Je lui fais un grand sourire et je lui réponds - La théorie c’est bien mais c’est important de l’appliquer sur le terrain. C’est vrai en RH comme dans tous les autres domaines. Puis, avant de tourner les talons pour rejoindre mon bureau, j’ajoute - Gardez précieusement mon numéro de téléphone. Même lorsque votre stage sera terminé et que vous aurez regagné votre école, je serai ravie de vous apporter de nouveau mon expérience……
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