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La bourgeoise et le marabout

Chapitre 46

Avec mes trois hommes ...

Inceste
Aujourd’hui c’est mon anniversaire et ce matin, juste avant de quitter la maison pour se rendre au ministère, François me dit - Trésor, pour ce soir, j’ai commandé au traiteur de la rue Mozart tout ce qu’il faut pour fêter dignement ton anniversaire. Ne te soucie de rien ! Je ne sais pas quoi lui répondre car il ne m’a pas habitué à cela sachant que d’habitude il se contente simplement de m’inviter au restaurant d’à côté. Après quelques secondes d’hésitation, j’arrive à lui dire - Merci chéri, j’y suis très sensible. Je préparerai tout de même les bougies pour un tête à tête romantique. Quelle n’est ma stupéfaction lorsqu’il ajoute avant de disparaître par la porte qu’il referme derrière lui - Nous ne serons pas deux mais quatre ! C’est donc un peu anxieuse que je passe ma journée au travail   Il est 19h00 lorsque je rentre à la maison et je suis surprise de trouver François déjà là puisqu’il ne rentre jamais avant 20h00 en général. Il m’accueille avec un superbe bouquet de roses rouge et m’embrasse sur la bouche. Je suis de plus en plus surprise, voire inquiète ! Une fois que le bouquet est mis dans un vase et posé sur la table basse du salon, François vient vers moi, me colle de près et me dit - Chérie, pour te décontracter avant la belle soirée qui s’annonce, je vais te faire couler un bain. Ensuite, tu n’auras qu’à te faire belle.  Avant que je ne puisse répondre quoi que ce soit, il ajoute - Pour ta tenue de soirée, tu n’auras qu’à porter ce qui est dans les trois paquets cadeaux déposés dans la chambre. Je jette un œil dans la pièce et je découvre qu’il y a effectivement trois jolis paquets sur le lit. Je vais vraiment de surprise en surprise !   Une fois sortie de mon bain, je vais dans la chambre et j’ouvre les paquets. Dans le premier, je trouve une superbe parure, string et soutien-gorge, de la marque Maison Close. Dans le second, c’est un serre taille de la même marque et, comme je m’en doutais, je trouve une paire de bas à couture dans le troisième paquet. Tout cela annonce une soirée un peu particulière. J’enfile donc ma lingerie en veillant à bien mettre mon string de manière à pouvoir le retirer sans enlever mes bas. Oui, il faut penser à tout ! Par-dessus, je mets une robe de soirée très légère. Lorsque je suis prête, je me dirige vers le salon. J’entends des voix, François n’est donc plus seul.   Lorsque j’arrive au salon, je reste muette de surprise en découvrant mes deux fils, Adrien et Antoine, en train de discuter avec leur père. Dès qu’ils m’aperçoivent, mes deux fils viennent m’embrasser et me souhaiter un joyeux anniversaire. François m’annonce alors que nos deux rejetons sont de passage sur Paris pour quelques jours et qu’il a trouvé sympa de les inviter pour cette soirée anniversaire, d’autant plus qu’il est rare que nous les voyons tous les deux ensemble depuis qu’ils sont installés en province. François a déjà dressé la table et les plats du traiteur sont prêts à être dévorés. Une fois que nous sommes assis, notre aîné Adrien ouvre la bouteille de champagne et nous trinquons à moi. Le dîner se passe très bien, les enfants nous parlent de leur petite famille et de leur travail. Au dessert, nous dégustons un délicieux fondant au chocolat et Antoine, le cadet, ouvre une troisième bouteille de champagne. Je commence à être guillerette mais je continue tout de même à savourer le délicieux breuvage.   François nous invite ensuite à passer au salon pour poursuivre la soirée. La pièce n’est éclairée que par une lampe rouge et cela crée une ambiance très intime. Alors que nous sommes tous les quatre bien installés dans le canapé et les fauteuils, François me dit - Eh bien chérie, tu ne nous montres pas tes cadeaux ? Je le regarde avec surprise et, avant que je réponde quoi que ce soit, nos deux fils ajoutent - Oui maman, je t’ai offert un cadeau. - Moi aussi, nous avons fait les achats avec papa dans une boutique très sympa. Je comprends alors que François souhaite reconduire, mais cette fois ci avec ses deux fils, la soirée trio passée avec notre fils Antoine (Cf. chapitre 33 « Maman salope »).
 François ajoute - Hélène, ce soir, nous ne te regardons pas avec des yeux de mari ou de fils mais avec des yeux de mâles en rut. Laissons nos liens familiaux au vestiaire et savourons entre adultes consentants cette belle soirée anniversaire. Adrien enchaîne - Oui, Antoine m’a raconté cette soirée où il t’a baisée quand tu avais les yeux bandés. Depuis, je n’arrête pas d’y penser. Et voilà Antoine qui poursuit - Nous devons tenir de papa car nous aimons nous aussi les belles bourgeoises dévergondées. Nous allons en profiter avec toi ce soir ! Je comprends alors que mon destin est scellé et que je vais devoir être la salope de mes trois hommes. Une fois que l’on oublie les liens qui nous unissent, on peut laisser parler les corps !   Je me mets debout, me dirige vers la chaîne hi fi et je choisi un disque de slows. Au rythme langoureux de la chanson « My heart will go on » de Céline Dion, je commence à onduler devant mes trois mâles qui écarquillent grands les yeux. Je me caresse lentement tout le corps en me trémoussant comme une chatte puis, lentement, j’ouvre un à un les boutons qui ferment le devant de ma robe. Une fois qu’ils sont tous défaits, je prends un pan de ma robe dans chaque main et je les écarte. Les trois voyeurs peuvent enfin apercevoir la lingerie que je porte.  Tandis que je fais lentement glisser la robe à mes pieds, François sort son sexe et commence à se masturber. Aussitôt ses deux fils font de même. Je suis maintenant en lingerie, haut perchée sur mes escarpins qui me font de jolies jambes et des fesses de rêve. Je continue à évoluer devant eux sur le rythme de la musique. Je me rapproche de François et j’ai le bas-ventre à la hauteur de son visage. D’une main je caresse le tissu de mon string et de l’autre les bonnets de mon soutien-gorge. Mon mari rapproche son visage comme s’il cherchait à sentir le doux parfum de ma chatte. Mais bien vite je m’éloigne de lui et je vais vers mon fils aîné. J’ondule à 10 centimètres de ses yeux et il me dévore du regard. Puis c’est au tour du cadet d’avoir droit à une vision de près. Je me retourne et mes fesses sont à portée de langue. Je sens son souffle chaud et cela m’excite.    Il est temps de passer aux choses sérieuses et je leur demande de se mettre tous les trois sur le canapé pour que leurs sexes soient à ma disposition. Je pose un coussin par terre, me mets à genoux dessus devant le canapé et je commence par sucer mon mari. Il faut les faire patienter, susciter leurs envies, faire monter leur désir pour qu’ils aient ensuite vraiment envie de s’occuper de moi. Je passe donc d’une queue à l’autre, donnant quelques coups de langue, faisant trois ou quatre va et vient sur la hampe, mordillant les bourses, tétant le gland et leur faisant tout de même quelques secondes de gorge profonde pour les maintenir sous tension. Alors que je suis en train de m’occuper de François, Adrien se glisse derrière moi et, tout en retirant mon string, dit - Permettez moi de commencer, je n’ai jamais eu ce privilège contrairement à mon frère. François lui répond - Vas-y fils, profite de cette belle salope tant qu’elle est encore un peu serrée de la chatte.  Antoine ajout - Oui frérot, à toi l’honneur. Tu vas voir combien c’est bon. Une fois mon string retiré, Adrien frotte son gland contre ma chatte puis, par petits coups de queue, parvient à investir la place. Il exprime haut et fort son contentement - Oh la là, quel pied ! Quel étroit fourreau et quelle croupe !  Puis le voici qui me lutine pendant que je m’applique à bien sucer le sexe de son frère.   Au bout d’un petit quart d’heure, Adrien se retire et cède la place à son frère. Pour changer de position, François jette un épais plaid par terre et Antoine s’allonge sur le dos. Je viens au-dessus de lui et je m’empale sur sa queue, plus longue mais moins épaisse que celle de son frère. J’ondule sur lui pour que son gland titille bien mon point G, il en profite pour bien me caresser les fesses et me dévorer les seins. Tout en faisant des photos ou filmant avec son portable, François fait les commentaires - Vas-y fiston, vois comme elle aime ça ! Une vraie bourgeoise accro à la queue. - Ouvre la bien, fais la couiner comme une truie en chaleur. - Vas-y Adrien, tu peux l’enculer en même temps. Elle est habituée ! - Mon ami Coulibadou en a fait une vraie salope ! Je devine Adrien qui s’allonge derrière moi, écarte bien mes fesses de ses deux mains et me prépare de sa langue agile et gourmande. C’est un régal pour moi ! Puis le voilà qui pose son gland sur ma rosette et, d’un coup sec, me perfore le fondement pour investir mon petit cul.    Les deux frères calent leurs mouvements et me voici maintenant baiser et enculer en cadence par mes deux fils. Mais pour moi, ce ne sont que deux mâles en rut qui vont combler mon appétit sexuel. Je gémis, je couine, je crie, je jouis, je me donne entièrement à ces deux sauvageons qui me besognent sans retenue. François se met debout devant moi, les jambes écartées et les pieds posés de chaque côté du buste d’Antoine allongé sur le sol. Il me présente sa queue que j’embouche avidement. Je contracte ma chatte pour mieux satisfaire Antoine, j’ondule de la croupe pour mieux apaiser Adrien et j’aspire à fond pour mieux combler François. Ce sont mes trois hommes qui profitent de moi, mon mari et mes deux fils, mais pour moi ce ne sont que trois belles bites qui honorent mes trois orifices. La salope que je suis jubile de plaisir, la chienne que je suis aboie sa jouissance, l’épouse et la mère ont cédé place à la plus lubrique des femelles.   Mes trois mâles ne sont pas insensibles à mes charmes et eux aussi témoignent à haute voix de leur plaisir - Quel superbe cul ! Je ne connais pas plus doux fourreau pour ma queue ! - Quelle bouche exquise ! Il n’y a pas de gorge plus profonde pour ma bite ! - Et quelle chatte ! Il n’y a pas de réceptacle plus soyeux pour recueillir tout mon foutre ! - Vas-y papa ! Profitons ensemble de cette bourgeoise dévergondée ! - Allez Antoine, ouvre lui bien la chatte. Elle en a connu des plus grosses ! - Oui Adrien, défonce la bien ! Elle adore ça, c’est son péché mignon ! Les trois mâles arrivent à bien coordonner leurs efforts et soudain, en même temps que leur père, les deux fils se vident en moi. Soit ils n’avaient pas baisé depuis longtemps, soit c’est la situation qui les a particulièrement motivés, toujours est-il qu’ils se répandent en moi en longs jets et inondent en même temps ma chatte, mon cul et ma bouche. Je savoure cet instant, cela faisait si longtemps que je n’avais pas eu droit à un tel arrosage de foutre. Lorsqu’ils se retirent de moi, je suis ouverte de partout !   Après une bonne douche, je me mets au lit tandis que François continue à papoter avec ses fils dans le salon. Parle-t-il de mes exploits ? Parle-t-il de tout autre chose ? Qu’importe, je m’endors comblée par ces belles joutes érotiques familiales. Plus tard dans la nuit, j’ouvre à peine un œil quand François se glisse dans le lit à côté de moi sous la couette. Ma nuit est agitée et mes rêves sont remplis de belles et longues saillies. Je rêve que l’on se glisse sous la couette près de moi tandis que François ronfle tout à côté. On s’allonge sur moi, on trousse ma nuisette et une queue bien raide se plante dans mon intimité. On me ramone en silence, on me remplit de sperme et mon amant inconnu s’éclipse comme il est venu. Alors qu’il va bientôt faire jour mais qu’il fait toujours sombre dans la chambre, je rêve qu’un nouveau visiteur me rejoint dans la couche conjugale alors que mon mari respire doucement tout près de moi. On me fait allonger sur le ventre, on relève de nouveau ma nuisette haut au dessus de mes fesses, on me force à bien écarter les jambes et me voilà enculer d’un coup sec. On me lutine, toujours en silence pour ne pas réveiller mon mari. On me mordille dans la nuque et soudain, dans une ultime crispation, l’inconnu m’inonde le fondement avant de disparaître dans l’obscurité. J’ai dû de nouveau rêver !   Au petit matin, lorsque je me réveille alors que François est déjà en train de se raser dans la salle de bain, je constate que je suis trempée. Ma main se porte à ma chatte puis à mes fesses et constate qu’il s’agit d’un liquide gluant. Je porte la main à mes narines et, experte comme je suis, je reconnais tout de suite l’odeur du sperme. Je n’ai donc pas rêvé ! Mes deux fils ont profité de mon sommeil, et de celui e leur père, pour venir me baiser chacun à tour de rôle. J’imagine que cette fois ci, ils ont échangé les rôles, Adrien m’a baisée et Antoine m’a enculée, ainsi les orifices de leur mère n’ont plus de secrets pour eux deux.   Lorsque je me lève à mon tour et rejoins François à la cuisine pour le petit déjeuner, il me dit que nos deux fils sont déjà repartis. Nul doute qu’ils ont emporté avec eux les souvenirs de cette nuit mémorable……
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