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La bourgeoise et le marabout

Chapitre 53

Un étudiant bien docile...

Hétéro
Il est un peu plus de 17h00 lorsque je gare ma voiture avenue Doumer pour faire quelques courses à la supérette G20. Une fois le paiement effectué du parcmètre, je me précipite dans la boutique, me saisis d’un panier et me voilà partie dans les rayons. Ma petite liste dans une main et mon panier dans l’autre, je sillonne les allées du magasin. Du sucre ici, de l’huile là-bas, une salade et des fruits ailleurs ..., mon panier se remplit vite et commence à être un peu lourd.
Me voici au rayon des produits ménagers et il me faut un flacon de savon noir. Malheureusement, je ne peux pas l’atteindre, car ceux qui restent sont tout en haut de l’étalage. J’ai beau tendre le bras vers le haut, me grandir sur mes jambes et profiter de mes hauts talons, impossible d’y arriver. C’est à ce moment-là qu’un jeune s’approche de moi et me dit.
— Bonjour Madame, me permettez-vous de vous aider ?
Je lui fais un grand sourire et lui réponds.
— Avec plaisir jeune homme, je n’arrive pas jusqu’en haut.
Evidemment, bien qu’il soit un peu maigrichon avec ses 70 kilos environ, il fait au moins 1m80 et n’a aucun mal à attraper mon flacon de savon noir. Comme j’ai posé mon panier par terre, je m’accroupis pour déposer le flacon avec mes autres achats. Placé en face de moi, mon aimable serviteur reluque sans vergogne mes jambes et nul doute qu’il doit apercevoir la lisière de mas bas sous ma robe un peu courte. Lorsque je me relève, il me dit.
— Votre panier est bien lourd, je vais vous le porter le temps que vous finissiez vos courses.
Je le remercie pour son offre que j’accepte, car la situation est plutôt cocasse. Je lui dis que je m’appelle Hélène et lui se présente comme Mathieu, 21 ans, étudiant en licence dans une fac parisienne.
Nous voici donc repartis tous les deux dans les rayons, moi avec la liste en main et lui m’escortant avec le panier. Evidemment, je remarque tout de suite qu’il ne me quitte pas des yeux, me reluque la poitrine et la croupe. Histoire de voir sa réaction, je me dirige vers le rayon de lingerie, car, bien qu’il n’y ait pas énormément de choix dans un magasin de ce genre, je suis surprise de voir sa réaction.Je regarde les strings et autres culottes, mais je ne vois rien de terrible. Je dis à Mathieu.
— Il n’y a vraiment pas un choix terrible ! Tout cela n’est pas très sexy !
Il rougit un peu et ne répond rien. Je lui demande alors.
— Pendant que nous sommes là, pourriez-vous voir si vous me trouvez une paire de collants noirs opaques 15 deniers.
Il me répond que oui et me tourne le dos pour chercher dans le rayon derrière celui des dessous.Lorsqu’il revient, il me tend une boîte et me dit.
— Je n’ai pas trouvé de collants, mais je suis sûr que ces bas noirs Dim Up vous conviendront très bien.
Je lui réponds.
— Monsieur semble être un connaisseur en bas !
Il me rétorque.
— C’est beaucoup plus sexy que des collants, ne trouvez-vous pas ?
Il pique un fard lorsque je relève légèrement ma jupe et lui montre le haut de mes bas retenus par les larges jarretières de mon porte-jarretelles.
Mes courses étant terminées, nous nous dirigeons vers la caisse où je règle mes achats et lui paye la canette de Coca Cola qu’il a en main. Il me propose ensuite de porter mes achats jusqu’à la voiture. Là, j’ouvre le coffre de ma petite Smart et je dépose les courses qu’il me passe. Je veille à bien exposer mes fesses en arrière pour qu’il en profite un peu.Une fois le coffre refermé, je lui dis
— Merci Mathieu pour votre gentillesse. Comment pourrais-je vous remercier ?
Il regarde ses pieds, hésite, semble réfléchir puis, me regardant, se lance.
— Voilà, je vais être franc ! Je fantasme beaucoup sur les femmes de votre genre et de votre style. Je rêve d’être soumis corps et âme à une femme telle que vous.

Sur le coup, je ne réponds rien, car, malgré une expérience excitante, je n’ai nullement le tempérament d’une dominatrice. Cependant, je me dis qu’un bon étalon se cache peut-être derrière ce jeune étudiant docile. Discrètement, cachée par la portière de ma voiture, je fais descendre mon string à mes pieds, le retire et le dépose dans la main de mon presque déjà soumis attitré. Je lui dis.
— Voici un petit cadeau pour vous. Je te le donne, mais il est interdit de vous masturber dedans. Donnez-moi maintenant votre numéro de téléphone.
Je note son numéro dans mon portable au contact Mathieu SOUMIS et je lui dis qu’il aura bientôt de mes nouvelles. Puis je démarre et je rentre chez moi, le laissant seul sur le trottoir avec toujours mon string en main.
Quelques jours plus tard, alors que François est déjà parti et que je suis en train de m’habiller dans la chambre, je me décide à mettre Mathieu à l’épreuve. Je prends une photo de moi en lingerie dans le miroir de la glace, visage caché par un loup, et je l’envoie avec le texte suivant « Cher Mathieu, j’espère que vous allez penser à moi pendant vos cours. Interdiction de vous masturber et de baiser sans mon autorisation. »Sa réponse est rapide et brève « Oui maîtresse Hélène ! »Le soir, tandis que François me besogne au lit, je pense à mon jeune étudiant et je m’imagine profitant de lui après de longues semaines d’abstinence.
Trois jours plus tard, en plein milieu d’après-midi, je lui adresse un nouveau message, car je souhaite le mettre un peu à l’épreuve « Mon cher soumis, bien que vous soyez en cours, j’attends immédiatement une photo de votre sexe ». Cinq minutes plus tard, je reçois la photo demandée. Je lui réponds « Maintenant, je vous veux nu dans la bibliothèque de la fac ». Dix minutes plus tard, je reçois la photo prise entre deux grands rayons de livres. La photo me fait sourire, car il fait effectivement un peu maigrichon mon étudiant soumis. Mais son sexe, bien qu’au repos, me laisse imaginer mille choses...
Le lendemain, nous sommes vendredi, et le soir, je me décide à lui mettre un nouveau message « Ce WE, interdiction de baiser les petites salopes de la fac et interdiction de vous donner du plaisir. Moi je penserai fort à vous en sortant en club et en m’offrant à tous ceux qui le souhaitent ».J’imagine que cela va le mettre en rogne que je le traite ainsi, mais n’est-ce pas ce qu’il attend.
Le lundi en fin milieu d’après-midi, sachant que François doit rentrer tard, je mets un SMS à Mathieu « rendez-vous chez moi à 17h30 » et je lui donne mon adresse. Lorsqu’il sonne à la porte de l’appartement, je viens lui ouvrir et l’entraîne directement dans la chambre. Je lui ordonne de se mettre nu et de s’allonger sur le lit. Il s’exécute et, une fois qu’il est installé, je lui attache les poignets et les chevilles aux quatre coins du lit. Je fais ensuite glisser lentement ma robe à mes pieds et j’apparais les seins nus, les jambes gainées de bas noirs retenus par un porte-jarretelles blanc. Je retire mon string et lui en fais respirer les effluves. Son sexe se tend et se cabre comme un serpent. Il est finalement pas mal monté mon jeune soumis. Je lui dis.
— Tu n’es qu’un sexe-toy pour moi, je veux que tu me fasses jouir de ta bouche.
Je monte sur le lit et je m’accroupis au-dessus de son visage. Lentement, ma chatte vient se coller à sa bouche.Je lui ordonne.
— Vas-y, lèche-moi bien !
Et le voici qui durcit sa langue et commence à jouer avec ma fente. J’ondule au-dessus de son visage tandis que la pointe de sa langue se glisse au plus profond de moi et s’agite activement. Un vrai régal !Pour l’exciter, je me caresse les seins d’une main et le clito de l’autre tout en accentuant les mouvements de mon bas-ventre.
Une fois bien lubrifiée, j’ai envie de plus. Je saisis un ruban dans le tiroir de ma table de chevet et le passe à la base de ses bourses de manière à lui entourer tout son service trois-pièces. Je serre bien et je fais un nœud. Ses bourses sont bien gonflées et sa queue raide comme un pieu. Je lui dis.
— Ainsi je vais pouvoir me servir de ta queue comme un sexe-toy sans que tu puisses jouir.
Je viens cette fois-ci chevaucher son bas-ventre et je m’empale sur sa queue. Pendant un bon quart d’heure, j’ondule sur lui et je prends du plaisir à jouer de ce gode plus vrai que nature. Une onde de plaisir me parcourt et je gémis comme une chienne. Mathieu me regarde et me supplie.
— Maîtresse, j’ai besoin de jouir. Laissez-moi me vider.
Je me retire, m’allonge pour prendre sa queue en bouche et défais le nœud. Aussitôt, de longs jets de foutre bien chauds se répandent dans ma bouche. J’avale tout, libère le jeune homme et le congédie une fois qu’il est rhabillé.
Avant de m’endormir, j’envoie un SMS à Mathieu « Tu es un parfait soumis. Tu es bien plus doué que mes sexe-toys inertes ! »...
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