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La bourgeoise et le marabout

Chapitre 54

Confinée ... et livrée à la maison.

Hétéro
Cela fait maintenant deux semaines que les mesures de confinement ont été édictées et le temps est parfois bien long même si je suis en télétravail comme mon mari François. Ainsi cloîtrée comme une religieuse dans un couvent, je suis donc privée de sortie et donc de rencontres extra-conjugales. Ce n’est pas en sortant faire quelques courses le matin à la supérette du coin que je risque de faire une rencontre.
Au début, j’arrivais à supporter la privation, car François m’honore régulièrement le soir ou parfois même en journée. Ce ne sont pas de longues saillies comme j’aime, ni de fougueuses joutes érotiques, mais cela apaise tout de même mes besoins de bourgeoise lubrique. Mais voilà que François a été contraint de s’absenter pour trois jours afin de relayer son frère auprès de leur mère âgée de 95 ans et qui vit seule en banlieue. Depuis qu’il est absent, je dois avouer que je ne m’endors jamais sans regarder un DVD érotique et sans bien me faire jouir avec l’un de mes sex-toys. Mais au bout de trois nuits, je dois reconnaître que je suis tout de même en manque, car je reste toujours sur ma faim. J’apprécie être soumise à un mâle fougueux et là ce n’est pas vraiment le cas. Il faut absolument que je trouve une solution sinon je vais devenir folle.
En cette fin d’après-midi, je décide de tenter le tout pour le tout sans sortir de chez moi. Je téléphone à une supérette que je ne fréquente pas, car un peu plus loin de chez moi que l’autre où je vais. Je demande s’ils livrent à domicile et ils me répondent que oui. Je leur demande s’ils peuvent me livrer seulement vers 21h30, car je leur dis travailler à la clinique du quartier - ce qui est un pur mensonge – et rentrer tard chez moi compte tenu de la situation. Là aussi, ils me répondent que ce n’est pas un souci pour eux. Je leur commande donc toutes les provisions dont j’ai besoin pour la semaine à venir.
Vers 20h30, après avoir dîné, je prends un bon bain et je me fais bien sexy en espérant que mon plan se déroulera comme je l’imagine. Puis, je vais dans mon salon, ferme bien les volets pour la nuit et par discrétion et baisse les lumières pour créer une ambiance feutrée. Je vais sélectionner un DVD dans la collection « privée » de François et je prépare le magnétoscope de manière qu’il n’y ait plus qu’à appuyer sur le bouton « Play » pour lancer le film.
Un peu après 21h3, on sonne à l’interphone. Je décroche et j’entends une voix masculine relativement jeune me dire.
— C’est votre livraison de chez Auchan.
Je réponds.
— C’est parfait, je vous ouvre. C’est au 5ème étage, droite ».
Et je me précipite dans le salon pour lancer le film tout en veillant à ce que le son soit très faible.On sonne à la porte et je vais ouvrir. Le jeune black devant moi me dit.
— Bonsoir Madame. Je vous les laisse là sans entrer si vous avez peur du virus ?
Je lui fais un grand sourire et je lui dis.
— A mon âge, on n’a plus peur de rien. Suivez-moi, je vais vous montrer où les déposer à la cuisine.
Tout en marchant devant lui, je veille à bien onduler de la croupe pour mettre mes fesses et mes jambes en valeur. Je devine ses yeux fixés sur moi tandis qu’il me suit avec les paquets.Je lui fais déposer sur la table de la cuisine puis je lui dis.
— Venez jusqu’au salon, je vais vous régler. Mon sac à main est là-bas.
Une fois dans cette pièce, je me dirige vers le bureau sur lequel est posé mon sac et je l’ouvre tout en restant le dos tourné.Lorsque je me retourne, le jeune black est en train de regarder la scène qui se passe sur l’écran de la télévision. C’est une superbe blonde mature qui est en boîte de nuit et qui est en train de danser lascivement avec deux jeunes.Tout en me dirigeant vers le jeune black avec mon porte-monnaie, je lui dis.
— Je viens juste de rentrer de mon travail à la clinique où j’ai eu une journée harassante. J’ai besoin de me changer un peu les idées d’autant plus que mon mari est absent pour quelques jours et que je suis seule à la main.
Le livreur me répond.
— Moi ma journée est finie, ma dernière livraison était pour vous.
Je paye ce que je dois et je propose.
— Ca vous dit de prendre un petit verre avec moi, j’allais me servir un petit apéro.
Il accepte tout de suite et me dit s’appeler Seydou. Je l’invite à s’installer dans le canapé tandis que je prépare un petit plateau.
Au bout de quelques instants, je reviens avec le plateau et quelques biscuits d’apéro. A la télévision, le trio est passé aux choses sérieuses et les deux jeunes danseurs sont maintenant collés à leur partenaire pour lui caresser le corps.Je dis à mon invité.
— Si la télé te gêne, je peux l’éteindre.
Tout en me fixant longuement comme un lion regardant sa future proie, il me répond.
— Surtout pas, la suite m’intéresse.
A l’écran, la bourgeoise est en train de se faire déshabiller. Je me lève et lentement je commence à défaire les boutons de ma robe. Seydou arrête de regarder l’écran et me fixe. Je fais glisser ma robe à mes yeux puis ondule devant mon livreur en me caressant les seins et les épaules. Il a compris le message et le voilà qui défait son pantalon et ouvre sa braguette. Je suis déjà à genoux devant lui et je sors son sexe. Quel superbe serpent qui ne demande qu’à être caressé pour se dresser. Au bout de quelques caresses, j’ai devant les yeux une grosse queue d’ébène qui ne demande qu’à être prise en bouche. Je me penche et l’avale.
Je me délecte de cet engin qui me remplit la bouche et vient cogner au fond de ma gorge. Seydou en profite pour dégrafer mon soutien-gorge et le retirer. Puis le voilà qui me caresse les seins tandis que je le pompe comme une gourmande. Je salive et je bave pour que son glaive coulisse parfaitement dans ma bouche.
Mon mâle est maintenant bien excité, je me retourne et, tout en restant à genoux, je tourne le dos à Seydou et prends appui de mes bras sur l’assise du fauteuil. Le mâle change de position et bien vite je sens son gland qui joue avec le fin tissu de mon string. Ses mains me caressent le dos, jouent avec mes tétons qui se durcissent, descendent sur mes flans puis mes cuisses et jouent avec les larges jarretelles de mon serre-taille. J’ai la tête enfoncée dans les coussins de velours et j’écarte encore plus grand le compas de mes jambes pour que sa queue puis remonter loin vers mon pubis et son gland presque atteindre mon nombril.
Au son de la télé, je comprends que la bourgeoise doit être en train de se faire prendre. C’est le signal que mon jeune amant d’un soir devait attendre. D’un doigt agile, il écarte le fin tissu et son gland vient au contact de ma chatte. Trop impatiente ou trop en manque, je donne un coup de bassin vers l’arrière et son gros gourdin me pénètre. Mais il reprend vite l’initiative en me saisissant bien aux hanches et en m’interdisant tous mouvements.
Tout en me besognant avec force, il me dit.
— Au premier regard, j’ai vu que vous étiez une salope et aviez besoin d’une bonne queue.
Je lui réponds avec une voix de chatte.
— Oui je suis une salope, une vraie pute en chaleur. Mon mari ne me baise plus et là j’avais besoin d’être bien baisée.
Il poursuit.
— Tu sembles aimer les grosses queues, vous êtes toutes les mêmes vous les bourgeoises du XVIème.
Je lui confirme.
— Oui, sous nos airs de bourgeoise et de grenouilles de bénitier, nous sommes toutes en manque. Nos hommes ne sont pas vraiment des étalons et avec l’âge, ils fatiguent vite.
Seydou accélère la cadence, me besogne de plus en plus fort, se retire entièrement de ma chatte pour mieux s’y réintroduire ensuite. Ses bourses cognent contre mes fesses, ils me pincent les tétons, et me mordille dans le cou. Je ne suis plus qu’une pouliche qui se fait saillir et j’en redemande.
Soudain Youssef se retire et pointe son gland vers mon petit cul. Il me demande.
— Et ton mari, il t’encule de temps en temps ?
Pour l’exciter encore plus, je lui dissimule la vérité en mentant.
— Non, pas par là, je suis trop serrée et ta queue est bien trop grosse. !
Il rigole et me répond.
— T’inquiète pas ! Je vais y aller doucement et je suis sûr que tu vas apprécier.
Je joue à bien serrer les fesses comme si je voulais lui interdire l’entrée, mais il est plus fort que moi. Lentement, son gland se fraye un chemin dans ma raie que je cherche à interdire. Il me serre plus fort à la taille et commence de légers mouvements de va et vient.Voulant jouer mon rôle du mieux possible, je crie.
— Non, tu vas m’éventrer. Je t’en supplie, arrête.
Il me répond.
— Montre-moi que tu es une vraie salope. Tu vas voir, bientôt tu vas en redemander.
Je continue à gémir comme s’il me faisait mal.
— Non, aie, tu me fais mal !
Il fait comme s’il ne m’entendait pas et continue sa lente progression. Le voilà maintenant tout en moi, il se niche bien au fond, s’immobilise et me dit.
— Tu vois, ton petit cul a tout pris ! Maintenant, je vais bien t’ouvrir.

Lentement puis en accélérant, il commence à me baiser le cul comme il m’a baisé la chatte. Au bout d’une dizaine de minutes, je gémis, mais cette fois-ci de plaisir.
— Oui, vas-y. Encore, plus fort !
Il rit et commente.
— Mais voilà que la petite pute y prend du plaisir. Tu vois, je te l’avais bien dit !
Pour l’exciter encore plus, je lui rétorque.
— Oh oui, c’est bon ! Je suis toute à toi, profites-en bien.
Il accélère le rythme sans me lâcher et peut maintenant bien m’enculer comme il le souhaite.Soudain, il se raidit, me donne un puissant coup de queue et se soude à ma croupe.
— Oh putain, je jouis ! Je vais te remplir !
Je ne bouge plus, la tête enfouie dans un coussin et je le laisse se répandre longuement en moi. Lorsqu’il se relève, le foutre coule le long de mes jambes. Je me relève avec lenteur et je lui dis.
— Tu m’as explosé la chatte et le cul. Je crois que je vais bien dormir !

Il termine son verre et je le raccompagne jusqu’à la porte. Je ne suis vêtue que de mon serre-taille, de mes bas et de mon string qui colle à ma chatte et à la fente de mes fesses. Il me remercie pour mon accueil, je le remercie pour la livraison à domicile.Avant de refermer la porte derrière lui, je lui demande.
— Il vous arrive de faire des livraisons à deux ?
Il me répond avec un sourire.
— Je peux m’arranger avec un copain.

Plus tard, alors que je suis au lit en train de lire un roman avant de m’endormir, François me téléphone et me dit.
— Alors chérie, pas trop triste d’être seule ?
Je lui réponds.
— Si, je m’ennuie et les soirées sont bien longues. J’espère que tu rentres bientôt.
Il me répond.
— Je vais certainement être obligé de rester 2 ou 3 jours de plus et ne rentrerai certainement que mercredi prochain. Mon frère ne peut pas revenir me remplacer avant auprès de maman.
D’une voix traînante, comme une épouse éplorée, je dis.
— Je vais faire en sorte de patienter jusque-là. Mais je vais très certainement commencer à me faire livrer les courses à la maison pour ne pas prendre de risques.
Je souris intérieurement en entendant sa réponse.
— Oui chérie, tu as bien raison. Fais-toi livrer à la maison.
Je crois que je vais vite refaire une commande pour être livrée à la maison...
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