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La bourgeoise et le marabout

Chapitre 58

Loto gagnant ...

Avec plusieurs hommes
Le confinement se poursuit un peu plus longtemps chaque jour et chaque nouvelle journée est une occasion de plus pour François de me prendre comme il le souhaite. Il faut dire que notre sortie chez Maurice puis la séance chez nous avec Mathieu et mes deux amies lui ont redonné de la vitalité. Aussi surprenant que cela paraisse, il adore jouer les voyeurs lorsqu’il décide de m’offrir à d’autres hommes, mais cela ne l’empêche pas de bien me besogner lorsque nous sommes seuls. Bien sûr, les étreintes sont plutôt fugaces et les saillies de courte durée ; me laissant souvent comme un petit arrière-goût de « j’en veux encore ! ».
Il a donc pris l’habitude de réclamer sa dose de sexe chaque jour. Cela peut être une saillie rapide au réveil, une envie de fellation après le petit-déjeuner, un bref enculage lorsque je fais la vaisselle, une baise en levrette à l’heure du goûter, une branle sur mes seins à l’heure du point de situation télévisé du directeur général de la santé ou la position du missionnaire avant de s’endormir.
En ce jeudi après-midi, après m’avoir troussée et enfilée à l’issue de notre café et après avoir répondu par télétravail aux différentes sollicitations de son ministère, il me dit qu’il s’absente quelques minutes et que je ne dois pas m’inquiéter. Il disparaît donc par la porte de la cuisine tandis que je me mets à lire le dernier numéro de « Femme actuelle ».Il revient au bout d’un petit quart d’heure tout guilleret et, sans un mot, se réinstalle à son bureau. Il s’est remis devant son ordinateur et semble plongé dans son travail, car je vois du coin de l’œil qu’il consulte les sites des musées nationaux parisiens avec lesquels il travaille régulièrement. L’après-midi s’écoule paisiblement et, alors que je me mets à préparer le dîner, je le vois s’enfermer dans notre chambre, ce qui n’est pas dans ses habitudes.Nous en sommes au dessert lorsqu’il me dit.
— Chérie, sais-tu que ce soir, c’est le tirage du loto ?
Je suis surprise et le regarde avec de grands yeux.
— Je ne sais pas, nous ne jouons jamais au loto !
Il me répond.
— Va dans la chambre, tu verras sur le lit que te t’ai préparé ta tenue pour la soirée. Dès que tu es prête, rejoins-moi dans le salon. Pendant que tu te changes, je range rapidement la cuisine.
Je suis un peu surprise, mais le connaissant, je me dis qu’il a dû encore inventer quelque chose de spécial pour pimenter notre soirée.
Je vais donc dans notre chambre et je comprends vite que la soirée va être chaude. Je me mets entièrement nue et j’enfile ce qu’il m’a préparé. Les dessous se réduisent à leur plus simple expression, un petit string bien fendu devant et derrière et des bas noirs autofixants à large jarretière. Par-dessus, c’est un très léger chemisier blanc qui ne dissimule pas grand-chose de mes seins et une minijupe en cuir qui souligne ostensiblement le galbe de mes fesses. Je m’installe ensuite devant ma coiffeuse pour mettre la perruque blonde platinée que François a préparée, puis je me maquille. Compte tenu de la tenue très provocante, j’opte pour un maquillage un peu outrancier. Je force sur le mascara et le fard à paupières pour me faire des yeux de biche, une bonne couche de fond de teint permet d’estomper le poids des ans et le rouge à lèvres couleur carmin me fait une ravissante bouche de salope.
Ainsi apprêtée, je ne doute pas que mon cher petit mari va être aux anges pour la suite de la soirée qu’il a organisée.
Lorsque je le rejoins au salon, il est installé devant la télévision, mais ses commentaires sur ma tenue sont éloquents.

— Tu es superbe chérie ! On dirait vraiment une belle de nuit qui part au travail !— Tu as vraiment la tenue appropriée !— Tu vas avoir énormément de succès !
Avant que je puisse répondre quoi que ce soit, il me demande de m’approcher de lui. Je m’exécute et, dès que je suis à moins d’un mètre de lui, il tend la main et la glisse sous sa petite jupette en m’obligeant à bien écarter les jambes. Il poursuit ses commentaires.
— Parfait, tu as mis le string que je préfère.— Tu es moite petite salope, déjà excitée !— Tu vas vite rejoindre le 7ème ciel. Crois-moi !
Deux doigts de sa main commencent à me fouiller la chatte, il cherche vraiment à m’exciter. Je ferme les yeux et gémis sous sa caresse qui se fait plus précise. Mais il s’arrête soudain et me demande de m’asseoir près de lui pour m’expliquer la suite de la soirée. Il tient à la main une grille de loto de la FDJ et je suis de plus en plus intriguée.Il m’explique alors.
— Voilà une grille de loto. Ce n’est pas un loto normal, mais un loto sexuel.
Je suis de plus en plus surprise et m’interroge sur la suite. Il poursuit.
— C’est une grille gagnante avec les numéros 7, 9, 15, 22, 23 et le numéro chance 14.
Décidant d’entrer dans son jeu, je lui demande.
— J’ai gagné quoi ?
Il me regarde et se met à rire avant de me dire.
— Ce n’est pas toi qui as joué. Toi tu n’as rien gagné ! Je vais t’expliquer.
Il me tend la grille et la commente.
— Le chiffre 7 signifie que ce sont des locataires du 7ème étage qui ont rempli la grille. Ce sont donc eux qui ont gagné. Et ils ont gagné au tirage !— Tu vas donc maintenant monter au 7ème et passer successivement dans les chambres de bonnes numéro 9, 15, 22 et 23 où tu expliqueras aux différents locataires que tu viens pour leur remettre leur prix. Ce qui signifie que tu es à leur disposition pendant 15 minutes. Ils sont au courant !— Tu termineras par la chambre 14 que tu connais puisque c’est celle de Ghassan. Lui a le droit de te garder le temps qu’il souhaite.— Ne sois pas surprise, ils ont tous pour consignes de se mettre en mode « facetime » avec leur téléphone pour que je suive en direct la soirée.
Puis il conclut.
— C’est l’heure. Tu montes bien évidemment dans cette tenue. En rentrant, retrouve-moi directement dans notre chambre.

Discrètement, j’ouvre la porte de la cuisine et sors sur le palier de l’escalier de service. Pourvu que je ne croise personne. Dans cette tenue, quelqu’un derrière moi verra tout de suite que j’ai le cul et la chatte à l’air. Malgré mes talons hauts, je monte rapidement les escaliers. Me voilà devant la porte de la chambre 9, je frappe et l’on me dit d’entrer. Un homme d’une quarantaine d’années est allongé sur son lit. Il prend son téléphone et j’imagine qu’il appelle François et le met en liaison. Puis, d’un accent marqué, l’homme me dit.
— Approche-toi ma belle, j’ai envie d’une bonne pipe !
Je m’approche, me mets à genoux près du lit et commence à branler la queue que l’on me présente. Bien vite, je la prends en bouche et commence ma fellation. Je m’applique et en moins de cinq minutes, l’homme appuie fortement sur ma nuque et jouit longuement dans ma bouche. J’avale son foutre et récupère les dernières gouttes.Je me lève et, sans avoir rien dit depuis que je suis entrée, je sors de la chambre.
Aux chambres 15 et 22, le rituel est le même. A chaque fois, l’homme est nu sur son lit et est en train de regarder un film X en se branlant. J’entre et il m’invite à prendre place sur le lit près de lui. Il me dévore la bouche, ouvre mon chemisier et me caresse les seins puis vient sur moi. Le gland se fraye un chemin par la fente du string et se frotte à ma fente. Bien vite, je mouille, ma chatte s’ouvre et la bite prend possession des lieux. On me besogne sans ménagement, il faut dire que je ne suis pas là pour faire des politesses. Je me laisse aller et profite de l’instant. Chambre 15, l’homme a une queue longue et fine qui coulisse facilement dans ma chatte et vient cogner tout au fond de ma grotte. A chaque coup de boutoir, c’est l’extase. Chambre 22, là c’est une grosse queue épaisse et courte. Je suis écartelée par ce large gourdin et il me faut bien dix minutes avant que ma chatte soit au bond diamètre.
Dans les deux cas, on m’arrose longuement en me traitant de petite salope, de bourgeoise délurée et de catin. Oui, je crois que c’est vrai !
Quand je sors de la chambre 22, le gagnant suivant est à la 23, juste à côté. Je frappe et c’est une voix grave qui me répond.
— Entrez !
Un black baraqué est assis sur son lit et semble m’attendre depuis un bon moment. Je m’approche, il se lève, m’enlace et me caresse le dos et les fesses tout en m’embrassant à pleine bouche. Puis, il me fait pivoter sur place, me force à me mettre à genoux à côté du lit. J’ai le buste penché en avant, le ventre calé contre le matelas. Monsieur 22 se positionne derrière moi, déboutonne mon chemiser et libère mes seins qu’il prend dans ses deux grosses mains. Son énorme gland est déjà entre mes jambes que j’écarte le plus possible. Je remarque alors que le téléphone est placé juste devant nous, François ne peut donc pas louper l’expression de salope excitée qui se lit sur mon visage. Le bâton d’ébène se glisse en moi et j’ai l’impression de suffoquer tellement j’en ai le souffle coupé. Quelle queue !Tout en me besognant, l’homme me dit.
— Quand Ghassan est passé avec ton mari qui m’a dit que tu passerais te faire baiser ce soir, j’ai cru que c’était une connerie. Mais là, je suis ravi !
Monsieur 22 accélère la cadence, il doit savoir qu’il n’a droit qu’à un quart d’heure et tient à conclure l’affaire. Soudain, dans un long cri de bête sauvage, il se répand en longs jets puissants. Je me lève, réajuste mon chemisier et sors de la chambre.
Me voici maintenant devant la porte de Ghassan, la porte 14, celle de Monsieur Chance. A peine suis-je entrée qu’il retire mon chemisier et ma minijupe. J’ai l’impression que cette fois, il veut vraiment que l’on fasse l’amour. Il me fait allonger sur le lit et se positionne au-dessus moi en 69. Tandis que je le suce avec avidité, il me dévore la chatte sans se soucier du sperme de ceux qui sont passés avant.
Une fois qu’il est bien excité, il vient sur moi et me prend tout en mordillant mes tétons et jouant avec ma langue. Il me besogne sans se presser et profite de l’instant présent. Lorsqu’il semble satisfait de ce premier tour de chauffe, il me retourne et me fait mettre à plat ventre, la croupe bien relevée. Positionné derrière moi, il écarte les deux globes de mes fesses et sa langue me prépare pour la suite. Il sait y faire le bougre et j’ondule du cul tant sa bouche me chauffe. Lorsqu’il juge l’entrée prête, il se redresse, se colle tout contre moi et s’introduit dans mon cul par petits coups de bas-ventre.
Une fois bien entré, il s’immobilise, glisse sa main entre mes jambes et joue avec mon clito. Je n’en peux plus, il faut qu’il me baise fort. Je lui dis.
— Oui, encule-moi fort. Prends-moi à fond.
Il se déchaîne alors et ses coups de queue me perforent le popotin. Mais quel bonheur !C’est si intense que je dois mordre la couverture pour ne pas crier. Lorsqu’il se vide enfin, je suis au bord de l’évanouissement.
Une fois ma tournée des gagnants effectuée, je redescends à l’appartement et je vais directement dans la chambre retrouver François. Il est nu, le sexe bandé. Les différentes scènes ont dû l’exciter.Il me dit.
— Donne-moi ta bouche petite salope !
Une fois en place, il se branle dans ma bouche et ne tarde pas à jouir. J’avale tout son foutre sans en perdre une goutte.Il me dit.
— Ainsi tu en as pris dans tous tes orifices ce soir. Rien de tel pour calmer une salope comme toi !
Je ne lui réponds rien, mais il devine que cette soirée loto a été des plus excitantes...
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