Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 193 J'aime
  • 1 Commentaire

La bourgeoise et le marabout

Chapitre 59

Endormie et saillie...

Erotique
En cette période de confinement, tout est bon pour passer le temps qui s’étire avec langueur du matin jusqu’au soir. Je décide donc, pour me changer les idées, de classer les nombreuses photos que j’ai stockées au fil des années sur mon ordinateur.C’est en regardant une à une les photos de l’été 2015, passé à Ramatuelle dans le Var, que je suis tombée sur celle où je suis en bikini sur la plage, accompagnée du fils d’une amie. En m’attardant sur cette photo et en me remémorant ces trois semaines de vacances, une douce chaleur envahit mon bas-ventre et voilà que je me retrouve cinq ans en arrière...
C’est lors de l’une de ses visites, fin juillet, que mon amie Marie-Chantal me parle de son jeune fils Charles, âgé de 18 ans et étudiant en économie-gestion à la Sorbonne. Elle m’annonce que son fils déprime un peu et aurait besoin de faire un break pour retrouver la forme avant la prochaine rentrée universitaire. Mais elle est un peu ennuyée, car elle et son mari, suite à quelques difficultés financières dans leur entreprise, ne vont pas pouvoir s’offrir de vacances cet été. Mon mari François, présent lors de sa visite, lui propose alors qu’on le prenne deux petites semaines avec nous. Elle nous dit qu’elle lui en fera la proposition et nous tiendra au courant.
C’est ainsi que Charles a débarqué à la gare de Toulon un mercredi après-midi où François est allé le récupérer. Nous l’avons installé dans la petite chambre de l’appartement que nous louions et c’est ainsi que ce jeune homme a commencé à partager nos journées. Le programme était des plus simples : visite au marché de Saint-Tropez, promenade dans les ruelles de Ramatuelle, randonnée à vélo dans les vignobles environnant et baignade à la plage de Pampelonne. C’est en gentil garçon, très discret, qui ne nous gêne vraiment pas, car tout ce que nous lui proposons lui plaît.Un soir après dîner, alors que Charles est déjà couché, François m’entreprend dans la cuisine. Il glisse ses mains sous mon paréo, me caresse les seins et la chatte, et sort sa queue de son short. Sans préliminaire, il me pénètre et, tout en me besognant, me dit.
— Tu ne trouves pas que Charles te regarde avec de drôles d’yeux ?
Je lui réponds.
— Il me regarde normalement, je ne lui trouve rien de bizarre.
Tandis que je suis bien appuyée contre l’évier pour mieux m’offrir à lui, mon mari poursuit.
— Quand il te regarde, je lui trouve un regard plutôt lubrique.— Tu sembles lui faire de l’effet !— Je ne serais pas surpris qu’il se branle en pensant à toi.
Il en reste là dans ses propos, car sans doute sous l’excitation, il se vide en moi.
Pendant les jours suivants, je ne remarque rien de particulier dans le comportement de Charles. Je note toutefois qu’il participe à tout ce que je fais, mais qu’il laisse parfois François vaquer seul à ses occupations. Par ailleurs, lorsque nous allons à la plage, il se place toujours de manière à pouvoir m’observer discrètement sans avoir à bouger sur sa serviette de plage. Enfin, j’ai relevé que la lingerie que je mets à sécher dehors change régulièrement de place. Le petit jeune aurait-il effectivement un faible pour moi ?
Au début de la deuxième semaine de vacances, François m’annonce au déjeuner qu’il va être contraint de s’absenter pour trois jours, de mercredi matin au vendredi soir, car il doit remonter en urgence sur Paris au ministère de la Culture pour accompagner une délégation officielle étrangère qui doit visiter les principaux musées de la capitale.
Le mercredi matin, Charles m’accompagne au marché place des Lices à Saint-Tropez. Il porte les courses et se montre très prévenant. Comme je souhaite m’acheter un nouveau maillot de bain, je m’arrête au stand d’un vendeur et je regarde les maillots une pièce. Charles me dit alors.
— Hélène, avec votre corps de sportive, vous pouvez vous permettre de prendre un maillot deux pièces.
Je reconnais entretenir mon corps par la pratique régulière du jogging et des séances de pilates. Je réponds donc à Charles.
— Tu crois vraiment que je peux ? J’hésite !
Tout guilleret, il me rassure.
— Mais oui, n’ayez pas de crainte. Le petit bikini rouge doit vous aller à merveille.
Même si le maillot en question est vraiment rikiki, je décide de le prendre sans même l’essayer.
L’après-midi, nous nous rendons à la plage. Je ne suis pas très rassurée en retirant ma robe pour me mettre en bikini rouge. Une fois que c’est fait, Charles me lance.
— Vous voyez, il vous va super bien !
Je lui rétorque que si j’avais su, je ne l’aurais pas pris, car il ne cache vraiment pas grand-chose.Il me réplique.
— Ne vous en faites donc pas ! Regardez autour de nous, vous êtes l’une des femmes les plus séduisantes de la plage.
Alors que c’est Charles qui me passait de la crème solaire dans le dos les jours précédents, là, je suis obligée de faire des contorsions pour y arriver.Me voyant en difficulté, Charles me propose.
— Attendez Hélène, je vais me dévouer en l’absence de votre mari.
Et avant que j’ai pu lui répondre quoi que ce soit, le voilà qui me prend le flacon et commence à me passer la crème solaire sur la nuque et sur les épaules. Je suis allongée sur le ventre et je me laisse faire. Il poursuit en bas de mes reins puis passe directement à mes mollets. Le voilà qui remonte maintenant le long de mes jambes en veillant à m’obliger à bien les écarter pour passer de la crème sur l’intérieur de mes cuisses.Situé comme il est derrière moi, je me doute qu’il a une vue imprenable ! En partant nous baigner, je note d’ailleurs qu’une énorme bosse déforme son maillot de bain. Mais le reste de la journée se passe normalement.
Après le dîner, je laisse Charles devant la télé et je vais me coucher en lui disant que je vais prendre un bon somnifère pour passer une bonne nuit. J’enfile une nuisette légère qui se ferme devant avec un lacet, et après avoir lu quelques pages de mon livre policier, je sombre dans un profond sommeil.A mon réveil le lendemain matin, je suis surprise de constater que le lacet de ma nuisette est entièrement défait et je relève des taches un peu humides sur le fin tissu. Ce coquin de Charles serait-il venu me voir de près cette nuit ? Je décide de ne rien dire et de me comporter normalement.
Le jeudi après le déjeuner, je propose à Charles de retourner à la plage. Aussitôt arrivée, je me mets en bikini et je demande au jeune homme de me passer la crème solaire. Il s’exécute en prenant tout son temps. Après m’être baignée, je reviens m’allonger et je décide de me mettre les seins nus pour bronzer un peu plus sans avoir la trace du haut. Charles me mate en faisant semblant de rien. Je suis allongée sur le dos à l’ombre de mon parasol et je lis le dernier numéro de « Femme actuelle ». Je dis à Charles.
— Charles, voudriez-vous me remettre de la crème sur les jambes ? Si je le fais, je vais avoir les doigts tout gras pour tourner les pages.
Il vient à mes pieds et le voilà qui m’enduit de nouveau de crème, mais cette fois côté face. Lorsqu’il parvient au-dessus des genoux, j’écarte légèrement les jambes. Ses mains remontent un peu plus haut et le léger contact de ses doigts à la hauteur de mon sexe m’électrise.
Le soir après le dîner, je lui dis que je vais reprendre un bon somnifère, car j’ai merveilleusement bien dormi la veille et me suis levée en plaine forme. Devant lui, je fais semblant d’avaler mes comprimés avec un verre d’eau, mais je les cache au creux de ma main.
Je remets la même nuisette pour dormir, je sors un godemichet de mes affaires et je le laisse bien visible sur ma table de nuit. Avant de me glisser au lit, j’entrouvre légèrement les rideaux pour que le clair de lune éclaire en partie la pièce.
Lorsque j’entends la porte de ma chambre s’entrouvrir lentement, je suis allongée sur le côté et fais semblant d’être plongée dans un profond sommeil. Les pas se rapprochent, je devine que l’on soulève légèrement mes draps. Après de longues secondes d’attente, certainement pour vérifier que je dors bien, on défait doucement le lacet de ma nuisette et on en écarte les deux pans pour bien libérer mes seins. Nouvelle attente. Je fais comme si je bougeais dans mon sommeil et je me mets sur le dos. Ainsi, je suis certaine que mon visiteur nocturne peut apprécier mes seins et ma chatte que le clair de lune dévoile.
Mon voyeur s’enhardit, car ses mains commencent à me caresser les seins avant de descendre vers mon ventre puis mon pubis. J’émets un petit gémissement de satisfaction pour l’encourager. Entre mes jambes, les doigts se font plus curieux et se glissent lentement dans ma chatte. Mes gémissements sont un peu plus prononcés, et comme si je parlais en rêve, je dis d’une voix faible.
— Oh oui, François. Encore !
Tandis qu’une main continue à me caresser les seins, l’autre s’est emparé du sex-toy et commence à l’introduire lentement dans ma chatte. Puis, une fois qu’il est glissé bien au fond de mon intimité, Charles commence à le faire aller et venir avec lenteur pour éviter de me réveiller par des mouvements trop brusques. Je continue à simuler un rêve érotique en plein sommeil.
— François, c’est bon ! Je vais jouir.
Au bout de quelques minutes, le gode se retire de ma chatte et je devine alors que Charles est en train de se masturber en me caressant les seins et la chatte. Ma respiration est maintenant plus calme, comme si mon rêve érotique était terminé et que je replongeais dans une phase de sommeil profond. Soudain, des gouttes de sperme atterrissent sur mes seins et mon ventre, Charles les essuie délicatement pour ne pas me réveiller puis quitte la chambre. A peine est-il parti que je reprends le godemichet et me fais longuement jouir avant de vraiment m’endormir.
Le vendredi se passe normalement et c’est au dîner que je décide de lancer mon plan pour la nuit. Je dis à Charles.
— François rentre au milieu de la nuit, son train arrive à 23h30 à Toulon et son taxi devait donc l’amener ici vers minuit et demi ou une heure du matin. Il faut absolument que je m’endorme vite, car avec lui, ce n’est jamais possible.
Curieux, Charles me demande
— Pourquoi ? Il vous empêche de bien dormir ?
Je lui réponds.
— Oui, il ronfle horriblement fort. Même avec un somnifère, il arrive à me réveiller au moins trois ou quatre fois dans la nuit.
Charles ose alors me demander.
— Et ces deux dernières nuits, vous avez mieux dormi ?
Je lui fais un grand sourire et je lui réponds.
— J’ai merveilleusement bien dormi et je dois t’avouer que j’ai même fait des rêves pas désagréables du tout.
Avant qu’il ne me dise quoi que ce soit, j’enchaîne.
— Ce soir, je vais d’ailleurs doubler le nombre de somnifères pour qu’il ne me réveille pas en se couchant.
La conversation en reste là, et je me mets à faire la vaisselle et ranger la cuisine tandis que Charles se plonge dans son ordinateur.Il doit être 21h00 lorsque je sors de ma douche, j’ai revêtu une robe de chambre légère et très fine. Je vais dans le salon où se trouve Charles pour lui dire que je me couche et lui souhaiter une bonne nuit.Je fais exprès de rester juste devant une petite lampe basse en lui parlant de sorte qu’il doit deviner mes formes par transparence. Une fois que je suis certaine de l’effet produit sur l’intéressé en veillant à bien garder les jambes écartées, je lui dis.
— Bon, je fonce au lit, car mes deux somnifères ne vont pas tarder à faire effet. Bonne nuit et à demain.
Il me répond.
— Bonne nuit, Hélène, faites de beaux rêves. A demain.

Une fois dans ma chambre, je retire ma robe de chambre et je décide de me coucher nue. Je ne sais pas quelle heure il est lorsque j’entends la porte de ma chambre s’ouvrir. Comme la veille, je m’efforce d’avoir la respiration d’une femme endormie. Les pas se rapprochent du lit, je devine que l’on soulève le drap sous lequel je suis et un corps nu se colle contre le mien. Puis le corps s’immobilise tout contre moi, je suis couchée sur le côté, je tourne le dos à mon visiteur. Je ne le vois pas, mais je devine son bas-ventre plaqué contre mon dos, sa queue contre mes fesses.Puis je semble bien endormie, assommée par mes deux somnifères, on s’enhardit derrière moi. Des mains me ceinturent et remontent vers mes seins ; une bouche se colle à ma nuque et m’embrasse doucement. Je me contente d’un simple.
— Hummmm.
Et j’ondule un peu de la croupe pour montrer que ce rêve érotique n’est pas désagréable du tout. La bite qui cogne derrière moi est maintenant bien raide et tente de se frayer un chemin entre mes jambes. L’une des mains joue avec mes tétons tandis que l’autre descend sur mon ventre puis se glisse entre mes jambes pour me masser légèrement le clito. Je gémis de nouveau.
— Oh François, je dors.
Puis je poursuis.
— Oh oui, encore.
Je décide maintenant de bouger dans mon sommeil et je m’allonge sur le dos. Aussitôt, une bouche avide s’empare de mes seins alors que la main est maintenant bien engagée entre mes jambes. J’ondule de plus dans mon faux sommeil et je décide ardemment cette bite. Nous sommes maintenant bouche à bouche, langues emmêlées.Mes gémissements sont plus que des encouragements
— Oh oui, François, prends-moi !

Mon visiteur doit avoir chaud, car il repousse le drap avant de venir sur moi. Son gland, que je devine gonflé comme un champignon à l’automne, frotte contre ma fente. Son pubis est collé au mien et ses deux mains sont passées sous mes fesses pour être mieux soudées l’un à l’autre.La bouche me mordille délicieusement les pointes des seins, mes tétons sont tendus comme deux bourgeons prêts à éclater. La tête du champignon est maintenant bien engagée dans ma fente. Je poursuis mes encouragements.
— Oh oui François, baise-moi. Je suis en manque depuis quatre jours, prends-moi !
Mon assaillant réagit au quart de tour et, d’un ultime coup de reins, me pénètre à fond. Ma chatte, laissée au repos pendant plusieurs jours, enserre cette belle bite comme dans un étau. Certainement pour éviter de jouir trop vite et me laisser bien ouvrir ma porte, mon baiseur s’immobilise, mais me maintient sous contrôle en continuant à jouer avec mes seins et en me malaxant les fesses.Au bout de quelques instants, je relance les hostilités.
— Encore, fais-moi jouir chéri.
Mon jeune étalon reprend ses puissants mouvements de va-et-vient, sa queue va jusqu’au fond de ma chatte et je meurs d’envie de l’encourager encore plus fort. Mais je dois faire comme si je dormais toujours !Il me mordille les seins un peu plus fort et, soudain, se libère de tout son foutre en moi. Cela doit faire longtemps qu’il ne s’est pas vidé les bourses, car c’est un jet ininterrompu, il me remplit la chatte de toute sa juvénile semence. Puis, il se retire lentement, sort du lit, remet le drap sur moi et sort de la chambre. Je m’endors sans même aller me laver la chatte.
Le lendemain, nous nous retrouvons tous les trois pour le petit-déjeuner puisque François est rentré dans la nuit comme il était prévu.Après que François nous ait raconté ses trois jours à Paris et son voyage retour, je lui dis.
— Tu étais vraiment en forme hier soir quand tu m’as rejoint au lit.
Il me répond.
— Tu dormais à poings fermés et tu ne t’es même pas rendu compte que j’étais là.
Je lui rétorque.
— Je dormais peut-être, mais tu ne t’es pas gêné pour bien me baiser. Ce matin, j’étais toute trempée.
François me réplique.
— Tu as dû rêver ! J’étais tellement fatigué par mon voyage que je me suis couché et aussitôt endormi.
Alors, tout en glissant un petit regard appuyé à Charles, je dis à mon mari.
— Oui j’ai dû rêver ! Mais c’était terriblement vrai...

Lorsque Charles nous a quittés au bout de 15 jours pour repartir rejoindre ses parents sur Paris, il était reposé et en pleine forme pour reprendre ses études.....
Diffuse en direct !
Regarder son live