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La bourgeoise et le marabout

Chapitre 60

Visite au refuge...

Zoophilie
Munie de mon attestation de déplacement dérogatoire, je sors ce matin faire quelques courses alimentaires avenue Mozart. C’est mon instant déconfinement et j’en profite, d’autant plus qu’il fait un beau ciel bleu sur Paris.Alors que je rentre avec mes provisions à la main, je croise Grégor et son chien Stark qui doivent effectuer l’une de leurs rares sorties autorisées. Grégor m’interpelle alors que je passe à sa hauteur sur le trottoir.
— Bonjour Hélène, vous allez bien ? Cela fait longtemps que nous ne nous sommes pas vus.
Notre dernière rencontre, enfin je veux dire ma dernière rencontre avec son ami à quatre pattes, remonte en effet à plusieurs mois. Je lui réponds.
— Bonjour Grégor, je vais bien, mais ces longues semaines de confinement commencent à être pesantes.
Avec un grand sourire, il me dit.
— Je comprends ! Gourmande comme vous êtes, ce doit être dur d’être obligé de rester à la maison alors que ces premiers jours de printemps nous invitent à batifoler.
Histoire de le provoquer un peu, je lui rétorque.
— Oui, en de telles circonstances, il me faudrait un animal de compagnie comme Stark.
Il me lance alors.
— Savez-vous que le gouvernement a de nouveau autorisé les visites dans les refuges de la SPA pour relancer les adoptions d’animaux ? Si vous le souhaitez, j’ai un ami qui tient un refuge à La Celle-Saint-Cloud.
Je réfléchis quelques secondes puis je lui annonce.
— OK, je suis partante ! Cet après-midi ?

Il est 14h30 lorsque Grégor me récupère avec sa voiture en bas de chez moi. Il est seul, son chien Stark est resté à son appartement. Il me dit.
— Votre présence risquait d’exciter Stark. Il vaut mieux éviter des ébats en voiture en période de confinement. Même si les animaux de compagnie ne transmettent pas le Covid.
Puis il ajoute tout en posant sa main droite sur mon genou.
— Vous êtes particulièrement séduisante dans votre petite robe !
Sa main remonte sur ma cuisse et bien vite, ses doigts tentent de se glisser sous le fin tissu de mon string.Je serre bien les jambes et je lui dis.
— Voyons, il vaut mieux éviter les ébats en voiture en période de confinement.
Une petite dizaine de minutes plus tard, Grégor s’engage dans une petite allée dans la forêt au sud de La Celle-Saint-Cloud et quelques instants plus tard se gare devant le refuge de la SPA.Nous entrons par un petit portail qui donne dans une grande cour bien close où gambadent quelques chats et de tout petits chiens. Un homme d’une quarantaine d’années vient au-devant de nous. Grégor l’interpelle.
— Bonjour, Yvan. Tu vas bien ?
Le dénommé Yvan, qui se présente comme le responsable du refuge et seul employé présent, nous accueille chaleureusement.
— Bienvenue au refuge des « Gentils amis ». C’est désert en ce moment, et j’ai donc tout mon temps pour vous seuls.
Grégor lui dit alors.
— Mon amie Hélène serait intéressée par un animal de compagnie, plutôt un chien très affectueux.
Pour bien préciser que rien n’est encore sûr, j’ajoute.
— Ce n’est qu’un premier contact ! Je n’ai encore rien décidé !
Pour bien fixer la nature de notre recherche, Grégor lui dit en souriant.
— Hélène serait plutôt intéressée par un chien dont les femmes apprécient la compagnie. Tu vois, un chien comme Stark !
Yvan semble être au courant des dispositions de Stark pour la gent féminine, car il dit en souriant.
— Ah, je vois de quoi il s’agit. Un chien idéal en cette période de confinement.
Puis il nous invite à le suivre à l’intérieur du refuge.
Nous commençons par faire un tour de tout le refuge de manière à voir tous les animaux qui sont à adopter. Il y en a vraiment de tous les styles pour tous les goûts : des petits chiens pas plus gros qu’une petite peluche, des blancs tout frisés prêts pour le défilé, des pantouflards vautrés dans un coin de leur cage, des teigneux qui aboient au moindre bruit, des costauds faits pour seconder les vigiles ...Puis Yvan nous entraîne dans une petite pièce avec de gros coussins par terre. Il prend une couverture sur une étagère et l’étale sur les coussins. Puis il me dit.
— Hélène, allongez-vous sur cette couverture. Je vais vous présenter quelques bons toutous.
Il sort de la pièce tandis que je m’allonge sur la couverture. Grégor s’approche de moi et commence à défaire tous les boutons de ma robe. Il m’aide ensuite à la retirer et je me retrouve en talons hauts simplement vêtue d’un petit string.Grégor me dit.
— J’adorerais que vous m’adoptiez comme amant à quatre pattes !
Je n’ai pas le temps de répondre qu’Yvan revient accompagné de trois petits chiens.
Yvan fait les présentations.
— Hélène, voici trois frères Beagle. Ils vont vous faire découvrir quelque chose de très particulier.
Puis il détache les trois chiens qu’il tenait en laisse. Aussitôt, les trois se dirigent vers moi et m’entourent. Je frissonne lorsque leurs truffes fraîches entrent en contact avec ma peau. Ils me sentent, me hument, me respirent ... comme si j’étais une chienne. Mon parfum et mon odeur semblent leur convenir ! L’un des trois pose sa truffe contre mon pubis et bien vite sa langue agile commence à jouer avec le tissu de mon string. Les deux autres me lèchent le reste du corps avant de fixer leur attention sur mes seins.Tandis que la langue du premier réussit à se glisser sous le tissu et s’insinue dans ma fente, la langue de ses deux frères m’excite les tétons comme jamais. C’est diaboliquement excitant et mon ventre est envahi par une onde de chaleur. Je reconnais les signes avant-coureurs de l’orgasme... Je me mords les lèvres pour ne pas crier mon plaisir, je bombe la poitrine et écarte grand les jambes pour être mieux dévorée. Grégor et Yvan échangent leurs commentaires.
— Tes trois Beagles semblent particulièrement doués de leur langue !— Ta chienne semble être à leur goût !— Il ne faudrait pas qu’ils la mordent !— Ne t’en fais pas, je suis sûr que cela l’exciterait encore plus.
Mon délicieux supplice prend fin lorsque Yvan rappelle à lui ses chiens et repart avec eux vers leur enclos.Grégor me dit.
— Ils sont pas mal ces trois chiens !
Je lui réponds tout en reprenant mon souffle.
— Oui, mais mon mari n’acceptera jamais les trois.

Quelques minutes plus tard, Yvan revient avec un chien beaucoup plus grand. Il annonce fièrement.
— Voici Brutus ! C’est un superbe Beauceron mâle et il n’y a pas plus protecteur comme chien.
Grégor ajoute.
— Quel bel animal ! Il est vraiment costaud.
Cette fois encore, je n’ai pas mon mot à dire et Yvan libère l’animal qui vient aussitôt vers moi. Il me flaire comme le ferait un mâle en rut cherchant une bonne femelle. Je ne sais nullement si Brutus est habitué à ce genre de test d’adoption, mais il comprend rapidement ce pour quoi je suis là.
Il s’allonge sur mes jambes, la truffe juste à la hauteur de mon sexe. Déjà bien excitée par les trois beagles, j’ai la chatte trempée et je dois sentir la femelle. Mon parfum excite Brutus et il semble beaucoup moins patient que les trois chiens précédents. Sa langue s’active sur mon string et il commence à grogner, car il n’arrive pas à franchir l’obstacle. Heureusement, Yvan s’approche avec un couteau et, d’un geste rapide, découpe mon sous-vêtement de manière à pouvoir le retirer sans que je sois contrainte de faire des contorsions. Aussi, la tête de Brutus s’enfouit entre mes cuisses et sa langue râpeuse s’introduit au fond de mon vagin. Il me lape comme s’il buvait, aucune langue d’homme ne m’a jamais produit un tel effet. Je gémis et l’animal semble comprendre mon intérêt pour lui. En quelques mouvements de reptation, il remonte sur mes jambes et l’extrémité rouge de son sexe entre en contact avec ma vulve.
Sa langue me lèche maintenant les seins et je commence à onduler du bas-ventre tellement mon envie est grande d’être prise. Mon amant à quatre pattes doit être aussi impatient que moi, car il progresse un peu plus haut et le voici maintenant bien planté au fond de moi. Je sens sa queue qui gonfle en moi comme si on m’avait introduit un godemichet que l’on gonfle. Le liquide séminal de l’animal commence à se répandre en moi, il s’active sur moi comme il le ferait sur une chienne ; heureusement sans me griffer puisque Yvan a eu la bonne idée de lui enfiler comme des moufles aux pattes.
Là encore, les commentaires vont bon train.
— Vas-y Brutus, montre-lui que tu es un vrai mâle.— La chienne, elle aime vraiment la bite.— Oui et Brutus la trouve à son goût.— Il va la féconder et lui faire des bâtards.— A son âge, elle ne craint plus rien !— Peu importe son âge, elle a du chien !
J’ai l’impression d’être remplie de foutre tellement l’animal m’a inondé le ventre. Maintenant, Brutus reste sans bouger, heureusement pour moi, de manière à pouvoir ensuite se retirer sans m’exploser le ventre. Lorsque Yvan repart avec l’animal, je pense que c’est terminé et je me lève. Grégor me dit.
— Ce Beauceron me semble être un camarade de jeu idéal.
Je lui réponds.
— Oui, il ferait un excellent et fidèle compagnon. Mais j’hésite encore !
C’est à ce moment qu’Yvan revient et nous demande de le suivre dans les chenils.
Nous nous exécutons et prenons une sorte de couloir grillagé qui dessert de nombreux box de part et d’autre. Yvan s’arrête et me fait entrer dans un box vide. Il y a au milieu comme une sorte de table basse avec un énorme coussin rectangulaire de fixer dessus. Il dit à son copain.
— Grégor, aide-moi à positionner cette jolie dame pour la suite des tests.
Avant que je puisse faire quoi que ce soit ou dire la moindre parole, les deux hommes me prennent et me forcent à me mettre à quatre pattes avec le ventre qui repose sur la table basse. Puis, ils m’attachent les poignets et les chevilles aux quatre pieds de la table à l’aide de sangle en cuir. Je me retrouve ainsi attachée les membres écartés et la croupe bien exposée à la vue de tous. Yvan prend ensuite une épaisse couverture qu’il pose sur mon dos de manière à ce que seules mes fesses et ma tête soient visibles.Il me dit ensuite.
— Hélène, je vais maintenant vous présenter à trois superbes dogues allemands adultes. Ils ne sont pas à adopter, car, en parallèle de mes activités de la SPA, j’élève quelques chiens reproducteurs dont les saillies sont très rémunératrices.
Grégor semble tout émoustillé.
— Super ! Ils doivent être très entreprenants.
Yvan poursuit.
— Oui, mais je souhaite voir lequel des trois est le plus dominant. De manière à mieux choisir avec quelles chiennes les accoupler.

Yvan ressort du petit enclos où nous sommes et revient moins de deux minutes plus tard accompagné de trois molosses qui tirent sur leur laisse. Avant de les libérer, il les fait tourner un peu autour de moi de manière qu’ils s’habituent à ma présence. Puis il les détache et recule de quelques pas avec Grégor, mais tout en restant à proximité. Il encourage ses chiens de la voix.
— Allez les chiens, elle est à vous. Profitez-en !
Grégor n’est pas en reste.
— Oui, allez-y. Cette belle chienne est toute à vous.
Les trois chiens se précipitent vers moi et leurs truffes se posent sur mes fesses. J’ai comme un mouvement de fuite, mais, attachée comme je le suis, c’est impossible. Les chiens grognent, leur langue me lèche le cul et s’aventure même entre mes jambes jusqu’à ma chatte. Leur bave commence à couler dans ma raie puis à l’intérieur de mes cuisses. L’un essaye de me monter, mais un autre l’en empêche. J’ai l’impression qu’ils grognent de plus en fort et sont même en train de se battre entre eux. Mais, je ne peux même pas jeter un œil en arrière. L’un des chiens revient à l’assaut et j’ai déjà le bout de son sexe qui est presque engagé dans ma chatte. Mais l’un de ses concurrents le chasse et prend la place, cependant c’est dans mon cul qu’il cherche à s’introduire. Il perd sa place alors que je commençais déjà à remuer du popotin pour lui faciliter l’accès. Nouveaux grognements, quelques hurlements comme si l’un ou l’autre des chiens venait de se faire mordre par un congénère.
Cette fois-ci, le calme semble s’être instauré dans le box ; j’imagine que le plus dominant des trois vient d’affirmer son ascendant sur les deux autres. Une langue me lèche l’entrejambe, le vainqueur vient vérifier si la récompense est à la hauteur du combat qui vient d’être livré. Cela semble être le cas, car deux pattes se posent sur mon dos et une bite cogne entre mes jambes. Je pense que l’animal se moque de l’orifice dans lequel il va s’introduire, il se fie au hasard.
Le voilà dans mon cul et il se met à bien me besogner. Son sexe devient énorme, son liquide me lubrifie et ses coups de boutoir résonnent dans mon arrière-train. Je jouis et je lui donne ma croupe. Il se vide, me remplit de sa semence, s’accouple tant qu’il peut.
A peine est-il retiré que les deux autres vont se succéder dans ma chatte et dans mon cul. Je ne sais pas combien de temps je reste dans cette position de chienne soumise, mais des filets de liquide coulent le long de mes cuisses. Une fois qu’ils m’ont bien baisée, les trois chiens me lèchent et c’est un nouvel orgasme qui m’emporte. Je suis vannée, mais comblée !
Lorsque je suis de retour dans le bureau d’Yvan et que j’ai renfilé ma robe, j’avoue aux deux hommes que je suis ravie de cette visite au refuge, mais j’hésite encore quant à adopter l’un des chiens. Je leur dis.
— Adopter un chien, c’est en quelque sorte renoncer à tous les autres ! Je ne peux pas.
Il doit bien être 17h00 lorsque Grégor me dépose en bas de chez moi. Je monte à l’appartement, mon mari François est là. Il me dit.
— satisfaite de ta visite à ce refuge. ? Tu n’as pas ramené de chien, c’est l’essentiel !
Je lui réponds.
— Non, un animal de compagnie serait trop contraignant pour un couple comme nous.
Il m’attire à lui, m’embrasse sur la bouche, me retourne, me fait pencher le buste vers l’avant, soulève ma robe et n’est même pas surpris de constater que je n’ai plus de petite culotte.Je devine qu’il ouvre sa braguette et m’encule sans avoir à forcer compte tenu de mon état.Il me dit.
— Tu es une véritable chienne et tu n’as qu’un seul maître. Moi !
Il me besogne et deux minutes plus tard, son foutre se mêle à celui des chiens. Oui, je suis une vraie chienne et cela me plaît.....
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