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La bourgeoise et le marabout

Chapitre 62

Un odieux chantage ...

Erotique
Depuis quelques jours, Paris est déconfiné et, même s’il convient de respecter certaines règles sanitaires pour éviter une seconde vague du Covid-19, c’est tout de même bien agréable de retrouver le chemin du travail après ces longues semaines de chômage partiel. Il doit être 10h30 lorsque mon supérieur direct, responsable des consultants RH de la société, me dit - Hélène, le big boss te demande dans son bureau. Immédiatement ! Il est rare que le patron de notre société, qui compte près de 150 collaborateurs, convoque quelqu’un. Je sors donc de mon bureau au 1er étage un peu inquiète et me dirige rapidement vers l’ascenseur pour accéder au dernier étage de l’immeuble où se trouvent tous les bureaux de la direction. Tandis que l’ascenseur égraine les étages 2, 3, 4 et 5, je m’interroge sur les raisons de cette convocation. Tout le monde sait que la période de confinement a été catastrophique pour toutes les petites et moyennes entreprises au profit desquelles nous intervenons mais je ne vois pas en quoi je suis concernée.    Une fois arrivée au 6ème étage, je me dirige vers le secrétariat particulier de notre PDG où l’une des deux secrétaires de direction me dit - Asseyez-vous quelques instants madame de Saint Jouy, monsieur Dupont-Forniquet va vous recevoir. Il est déjà en entretien avec un autre collaborateur. Je m’installe dans l’un des fauteuils art déco du petit salon d’attente et je prends une revue. Mais je n’ai pas la tête à lire quoi que ce soit. Selon certaines femmes de la société, monsieur Dupont-Forniquet porterait toujours des regards lubriques sur les femmes et serait, selon certaines mauvaises langues, un coureur de jupons et un fieffé pervers. Si on en croit d’autres, il serait un vieux célibataire endurci doté d’une belle fortune qui lui permet de se payer de jolies soirées en excellente compagnie.  Je n’ai pas le temps de réfléchir davantage car la porte capitonnée du bureau du PDG s’ouvre et un homme en sort l’air plutôt abattu. De son siège, la secrétaire particulière me dit - Vous pouvez entrer, monsieur Dupont-Forniquet vous attend !   J’entre dans le bureau, referme la porte capitonnée derrière moi et salue respectueusement le grand patron - Bonjour monsieur le président directeur général. Il est plongé dans quelques papiers et ne me réponds pas. Je reste debout à le regarder fixement. Il semble prendre un malin plaisir à me faire patienter ainsi debout à deux mètres de son bureau car il sait parfaitement qu’aucun employé n’a l’habitude d’être convoqué ainsi. Au bout de deux ou trois minutes qui me semblent une éternité, il lève enfin la tête et me dit - Bonjour madame de Saint Jouy. Asseyez-vous je vous prie. Je m’assoie dans l’un des deux fauteuils qui font face à son bureau. Très certainement par perversité et pour rabaisser ses interlocuteurs, les deux fauteuils sont énormes, profonds et très bas. Quand on est installé dedans, on se sent tout petit et on n’est absolument pas à l’aise ; ce qui ne fait que rajouter un peu de stress. Tassée au fond du fauteuil, je ne sais pas comment mettre mes jambes et la jupe de mon tailleur remonte largement au-dessus de mes genoux dans la position où je suis.   Pendant un bon quart d’heure, ce n’est qu’un long monologue du patron qui me dresse un bilan des difficultés de notre société après ces longues semaines de confinement. Je fais semblant d’écouter et de comprendre tout ce qu’il me dit mais au bout de cinq minutes la succession de chiffres qu’il me donne me fait décrocher. Je ne reprends pied que lorsqu’il me dit - Voyez-vous madame de Saint Jouy, pour que la société reparte de l’avant malgré les difficultés, je dois impérativement me séparer, bien malgré moi, de quelques collaborateurs. C’est la seule solution pour diminuer nos charges de manière à pallier la baise du chiffre d’affaires. Sinon, c’est le dépôt de bilan garanti ! puis il poursuit - Ma décision n’est pas encore prise mais j’envisage de vous faire bénéficier d’une retraite anticipée. Comme quelques autres employés qui approchent de la soixantaine, vous feriez partie d’un plan de départ négocié. Qu’en pensez-vous ? Sur le coup, je suis un peu sonnée car je ne m’y attendais nullement. Je suis bien dans cette société, j’aime ce que je fais et je dois avouer que je ne me vois nullement à la retraite même si nous pourrions subvenir à nos besoins avec le seul salaire de François. Travailler me permet de disposer d’argent de poche sans être dépendante de mon mari et me permet d’organiser mes journées comme je le souhaite. Je respire profondément, me concentre et lui réponds - Je suis désolée mais un départ à la retraite anticipée ne m’intéresse absolument pas. J’aime le travail que je fais, je pense obtenir de bons résultats et je souhaite continuer.  
 Monsieur Dupont-Forniquet se lève, fait quelques pas derrière son bureau de chêne en réfléchissant puis se dirige vers moi. Il doit avoir la cinquantaine, est plutôt court sur pattes et a une petite bedaine. Il est habillé d’un costume trois-pièces en velours côtelé marron avec une cravate bigarrée et chaussé de souliers en cuir noir avec semelles compensées pour le grandir un peu. Je suis toujours assise, engloutie dans mon énorme fauteuil. Il passe derrière moi, pose soudain ses mains sur mes épaules et se penche pour me parler à l’oreille. D’une voix suave, il me susurre  - Voyez-vous, il ne tient qu’à vous de rester dans la société. et il poursuit sans me laisser le temps de dire quoi que ce soit - Vous êtes une femme très élégante, j’aime votre style. - Vous êtes une femme très séduisante, vous ne laissez pas les hommes indifférents. - Vous êtes le genre de femme que j’apprécie tout particulièrement, dans mon entourage au travail mais surtout dans l’intimité. puis il conclut ses propos en me précisant - Si vous m’accordiez vos faveurs de manière occasionnelle, je ne doute pas que cela serait de nature à pérenniser votre place parmi les plus fidèles collaborateurs de la société. Il se redresse alors de derrière moi, retourne s’installer à son fauteuil derrière son bureau et conclut l’entretien en me déclarant - Je vous laisse réfléchir à cette proposition mais, comme vous le voyez, votre sort est entre vos mains. Revenez me voir demain à 18h50 et vous me ferez part de votre décision. Je me lève, les jambes tremblantes et, encore sous l’émotion, je ne peux que répondre - Oui monsieur le président directeur général. Bonne soirée et à demain.   Le soir à la maison, je décide de ne pas informer François du déroulement de cet entretien. Je considère en effet que c’est à moi de gérer l’affaire et de décider seule des suites à y donner. Par ailleurs, je dois bien avouer que je redoute que François profite de l’aubaine pour me faire quitter mon travail et ainsi me cantonner à un rôle d’épouse dédiée aux tâches ménagères et à son bon plaisir.  Une fois au lit, lorsqu’il vient sur moi et m’honore « à la pépère » sans fougue ni originalité, mon esprit et tout mon corps sont déjà tournée vers mon rendez-vous du lendemain.  Un peu plus tard, lorsque François ronfle à mes côtés une fois ses pulsions apaisées, je me demande quelle stratégie je vais adopter pour me sortir de ce guêpier. Même si mon grand patron n’a rien d’un apollon, bien au contraire, le fait qu’il me désire et fantasme sur moi n’est pas pour me déplaire. Par ailleurs, comme je l’ai déjà précisé, il a une réputation sulfureuse d’homme lubrique et pervers ; cela mérite peut-être d’être vérifié. Au moment de m’endormir, ma décision est prise mais, pour que je puisse réussir mon projet, il est indispensable que je ne dévoile pas ma vraie nature d’épouse salope et de bourgeoise débauchée.   Le lendemain mercredi, il est 18h45 lorsque j’accède au 6ème du bâtiment et me présente de nouveau au secrétariat de direction. Il n’y a plus qu’une seule secrétaire présente et elle me dit - Bonsoir madame de Saint Jouy. Monsieur Dupont-Forniquet est en conversation téléphonique mais il va bientôt vous recevoir.  Dans la salle d’attente, je décide de rester debout en attendant le début de l’entretien. Face à un grand miroir, je réajuste ma tenue. J’ai fait le choix de mettre une tenue sobre mais élégante. Je porte donc une robe très classique en tweed avec des dessins géométriques noirs et blancs. Elle se ferme devant par une série de boutons en nacre et une large ceinture assortie en accentue la forme cintrée au niveau de la taille. J’ai choisi des escarpins à talons hauts mais sans excès. Mes cheveux sont tirés vers l’arrière en un chignon retenu par une barrette d’ivoire. Je n’ai pas forcé sur le maquillage pour éviter d’être provocante. Il est 19h05 lorsque la secrétaire me demande d’entrer. A peine suis-je dans le bureau que monsieur Dupont-Forniquet appelle sa secrétaire par l’interphone et lui dit - Marie-Cécile, vous pouvez ranger vos affaires et rentrez chez vous. C’est mon dernier entretien de la journée et je fermerai tout derrière moi en partant. Une voix lui répond - Très bien monsieur. Bonne soirée et à demain. Me voici donc seule à l’étage livrée aux exigences de mon patron.   Au lieu de m’inviter à m’asseoir, monsieur Dupont-Forniquet se lève et me guide vers une table basse et quelques petits fauteuils anglais installés derrière un paravent japonais dans un coin de son bureau. Puis il me dit - Installez vous madame de Saint Jouy. Nous serons plus à l’aise ici pour continuer notre conversation entamée hier. Tandis que je m’installe dans l’un des fauteuils, il ouvre un petit meuble à côté de lui et en sort une bouteille de whisky et deux verres avant de me préciser - Après une dure journée, rien de tel qu’un bon verre de whisky pour se détendre un peu. Je vous en sers également un verre ? Je lui réponds d’une voix timide - Je n’ai pas l’habitude de boire du whisky monsieur le président directeur général. Il me sert tout de même un demi verre en me précisant que c’est un vieux whisky qui ne peut pas me faire de mal. Il s’installe ensuite dans un fauteuil près de moi et attaque d’emblée - Alors Hélène, avez-vous envie de continuer à travailler dans cette société et donc pour moi ? D’une voix tout fluette je lui réponds - J’adore mon emploi et j’apprécie l’ambiance de la société. Je souhaite vraiment pouvoir continuer à travailler ici. Il me questionne alors - Votre mari est-il au courant des difficultés financières de notre société. Lui avez-vous parlé de la proposition que je vous aie faite ? Ma réponse semble le rassurer - Oh non monsieur ! Nous ne parlons que très rarement du travail à la maison. Mon mari est plutôt vieux jeu et je ne veux surtout pas le mêler à mes histoires. Pour me mettre à l’aise et m’inciter à poursuivre, monsieur Dupont-Forniquet rapproche son fauteuil du mien, me tend mon verre de whisky et boit une gorgée du sien avant d’ajouter - Vous avez parfaitement raison ! Et d’ailleurs, il n’y a aucun mal à se dévouer pour une société dans laquelle on se sent bien.  Je porte mon verre à mes lèvres, hésite un peu puis bois un peu de la boisson. Je le regarde et lui dis - C’est vraiment trop fort pour moi ! Je crois bien que c’est la première fois que j’en bois. Me fixant de son regard lubrique, il me dit - Vous savez Hélène, il faut une première fois en tout ! et sa main la plus proche de moi se pose sur mon genou.   Je marque un temps d’arrêt, bois de nouveau une petite gorgée de whisky comme si je voulais me donner du courage puis je me lance - Monsieur, j’ai bien réfléchi à votre proposition et je souhaite vraiment rester dans la société. Je suis prête à accepter vos conditions si tout cela reste entre nous. Vous comprendrez que je ne souhaite ni mettre mon couple en péril ni me faire remarquer par mes collègues de travail. Sa main remonte légèrement un peu plus haut sur ma cuisse et s’immobilise sous le bas de ma robe. Sa voix se fait rassurante lorsqu’il me dit - Très chère Hélène, soyez certaine que tout cela reste entre nous. Je ne vous solliciterai que de manière occasionnelle, très discrètement. Il est maintenant temps de lui faire croire que je suis une oie blanche en matière sexuelle alors je lui dis - Je dois vous avouer monsieur le président directeur général que je n’ai pas connu d’autre homme que mon mari et je ne suis donc pas certaine d’être à la hauteur de vos attentes. Sa main remonte encore plus haut sous ma robe et je lis dans ses yeux qu’il est ravi de découvrir que je porte des bas et un porte-jarretelles. Sa main se fait caressante mais ferme pour que j’entrouvre un peu plus le compas de mes jambes.  Il plante ses prunelles de félin dans mes yeux de biche apeurée et me dit - Mon intuition me dit déjà que vous allez me surprendre !   Il se lève, ouvre sa braguette et me présente son sexe déjà à moitié bandé. Je suis surprise, favorablement, car son sexe est bien large comme j’aime. Il se branle un peu et me lance pour bien me faire comprendre ce qu’il attend de moi - J’imagine que votre bouche est aussi douce et chaude que votre cuisse. Pour lui faire croire que je ne suis pas une habituée de telles situations, je rebois un peu de whisky comme si j’avais besoin d’être un peu guillerette pour oser franchir le pas.  Toujours assise, je penche le buste vers l’avant et me contente de prendre son gland en bouche. Je fais semblant d’hésiter et de manquer d’expérience. Puis, j’embouche sa queue en entier, reste immobile quelques instants, amorce une timide fellation et m’arrête pour reprendre un peu de whisky. Il m’encourage de la voix - C’est bien Hélène, poursuivez. Je reprends en bouche sa queue maintenant bien bandée, son gland me fait l’effet d’un énorme champignon. Je m’applique, accélère le rythme et progressivement, je lui montre que j’apprends vite. Je lui tète le gland, je l’avale entièrement, je lui malaxe les bourses, je lui lèche la hampe et le voici qui émet les premiers signes de contentement. - Oh oui, c’est divin ! Vous semblez vraiment avoir des dons pour la chose !   Mais le voilà qui se relève, me prend par le bras et m’entraîne vers son bureau. Il pousse quelques dossiers et énormes classeur pour faire un peu de place puis me fait incliner vers l’avant. Je m’exécute, pose mes mains sur le bureau et tend la croupe vers l’arrière. Ses mains troussent ma robe et il fait descendre ma petite culotte de satin le long de mes jambes et me l’enlève. Il me saisit par la taille et bien vite sa grosse queue se fraye un chemin entre mes jambes. L’animal en rut se prépare, se frotte et s’excite. Je contracte mes muscles intimes car je ne voudrais pas qu’il découvre que je suis une femme bien ouverte par de longs et fréquents coïts. Cela semble marcher car son sexe se glisse à l’entrée de ma chatte et force le passage. Il me glisse à l’oreille - Vous êtes bien serrée Hélène. Votre mari doit vraiment vous négliger, soyez certaine que ce ne sera pas mon cas. Après quelques minutes de va et vient, il peut maintenant coulisser librement dans ma chatte et ses mains lâchent ma taille pour défaire la ceinture de ma robe et les boutons qui la ferment. Une fois la robe retirée, il fait de même avec mon soutien gorge puis s’empare de mes seins tout en continuant à me besogner. Il me félicite pour ma plastique - Vous êtes superbe Hélène, encore plus désirable que je ne pensais !   Très certainement satisfait de ce début, il se met à me baiser avec plus de vigueur et ses paroles deviennent beaucoup moins chastes - Vous êtes une superbe salope que je vais honorer comme il faut. - Vous allez découvrir ce que c’est que d’être bien saillie. - Vous verrez, dans quelque temps, c’est vous qui en redemanderez ! Je lui réponds - Oh oui monsieur, j’aime ce que vous me faîtes ! - Continuez, c’est si bon ! - Encore, plus fort ! Vous allez me faire jouir ! Pour confirmer mes paroles, je commence à émettre de longs gémissements de satisfaction et je lui tends ma croupe de plus belle. Soudain, le voici qui se tétanise et il me dit - Oui petite pute, je vais te remplir de tout mon foutre. avant de m’inonder le ventre de toute sa semence.   Quelques minutes plus tard, mon soutien-gorge et ma robe remis, je lui demande  - Monsieur, puis-je disposer maintenant. Mon mari va s’inquiéter si je rentre trop tard. Ce n’est pas dans mes habitudes. Il me sourit, du sourire satisfait de celui qui a obtenu ce qu’il souhaite, et me répond - Oui Hélène, je vous rends votre liberté mais je garde votre petite culotte en souvenir de cette première rencontre. J’ai relevé votre numéro de téléphone portable dans votre dossier et je me permettrai de vous solliciter de nouveau dans quelques jours.  Je lui réponds - Oui monsieur le président directeur général, je me fais fort d’être toujours pour vous une employée modèle. Une fois dans l’ascenseur, je pense à cette prochaine rencontre et je savoure déjà le plan qui germe en moi pour reprendre le contrôle de la situation…..
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