Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 205 J'aime
  • 3 Commentaires

La bourgeoise et le marabout

Chapitre 63

Une délicieuse revanche ...

Erotique
Cela fait maintenant une dizaine de jours que le patron m’a prise dans son bureau suite à son odieux chantage à une retraite anticipée que je ne souhaite nullement. Même si Monsieur Dupont-Forniquet s’est avéré être un bon coup, sa superbe queue palliant un physique plutôt ingrat, je ne souhaite nullement qu’il profite de la situation pendant quelque temps et me licencie finalement après avoir bien joui de moi. Il convient donc que je trouve une solution pour éviter un tel désagrément avant qu’il ne se lasse de moi et jette son dévolu sur une autre femme de la société.
La solution s’est dessinée hier soir, après le dîner, quand François a décidé de me filmer en lingerie sexy pour illustrer une petite annonce coquine, intitulée « Mari candauliste prête femme exhibitionniste », mise par ses soins sur un site libertin. Comme je l’ai déjà précisé dans les chapitres précédents, François adore être le maître de cérémonie de certaines de mes rencontres libertines. Pour lui, comme pour moi, le plaisir et l’amour sont deux choses bien distinctes. Si nous sommes aussi amoureux qu’au premier jour, c’est parce que nous avons su ne pas être jaloux de ce qui n’a pas d’importance. Je crois même que mes rencontres extra-conjugales et nos sorties libertines ont grandement contribué à fortifier notre couple. Pas de routine qui tue l’amour !
Alors que François ronfle déjà à mes côtés après m’avoir bien baisée suite à la séance de photos, je songe à ma prochaine rencontre avec mon patron. En attendant que le sommeil m’emporte, je dresse mes plans...
C’est quelques jours plus tard, un jeudi, que je reçois le SMS qui va tout déclencher. Il doit être environ 16h30 lorsque mon portable bipe et annonce l’arrivée d’un nouveau message. Je lis « rendez-vous demain 17h00 6ème étage. Tenue BCBG et sexy de rigueur ! ». Je réponds d’un simple « Oui Monsieur » pour souligner combien je suis une employée soumise à ses exigences. En y réfléchissant bien, je comprends pourquoi il a choisi ce jour et cet horaire. En effet, le vendredi en fin de semaine, tout le monde termine à 16h45 et il n’y aura donc que moi et lui dans l’immeuble. Cela est peut-être mieux pour l’exécution de mon plan.
Ma nuit est agitée, car je répète dans ma tête le scénario que j’ai préparé et je redoute que cela ne fonctionne pas. En même temps, une fois endormie, je fais de délicieux rêves érotiques où je suis l’objet sexuel de mon patron.
Au réveil, une fois le petit-déjeuner pris avec François, je choisis dans mon dressing la lingerie et les vêtements nécessaires à la réalisation de mon projet. Comme une pluie fine tombe sur Paris, il faut que ce soit assorti à mes bottes à talons que je vais mettre pour affronter la météo capricieuse de ce début mai.
La journée se déroule normalement et à 16h00, un SMS me confirme ce que j’ai déjà compris « A 17h00 les secrétaires seront parties. Venez directement à mon bureau ». Cette fois-ci, je décide de ne rien lui répondre pour qu’il s’interroge tout de même quant à un éventuel faux-bond de ma part. A 16h40, mes collègues de travail commencent à ranger leurs dossiers dans les tiroirs de bureaux et à éteindre leur ordinateur. Me voyant continuer à œuvrer, Christine, dont le poste de travail est voisin du mien, me demande.
— Tu ne pars pas ?
Je lui réponds.
— Non, je dois absolument boucler ce dossier ce soir pour l’envoyer à notre client dès lundi matin à la reprise. J’en ai encore pour une petite demi-heure.
A 16h45, quand tout le monde quitter l’étage comme une volée de moineaux, Christine me lance
— Je me sauve. Bon week-end. Surtout, ne quitte pas trop tard, tu n’es pas mariée avec la société.
Je lui réponds.
— Non, ne t’inquiète pas. Je fais vite pour rentrer à la maison.
Si elle savait que je ne suis pas mariée avec le big boss, mais que cela ne l’empêche pas d’avoir un rendez-vous avec moi pour me sauter, je crois qu’elle en tomberait sur les fesses !
Il est 17h00 lorsque je quitte mon poste de travail ; arriver un peu en retard n’est pas pour me déplaire ! Tout est calme dans l’immeuble et je ne croise personne en allant à l’ascenseur. Lorsque j’arrive au 6ème étage, tout est dans la pénombre, mais une petite veilleuse dans le salon d’attente me guide comme un phare. Pourvu que je ne fasse pas naufrage !Monsieur Dupont-Forniquet a dû entendre mes talons résonner sur le marbre noir, car la porte de son bureau est entrouverte. Avant que je ne frappe à sa porte, il me lance.
— Entrez Hélène, je termine quelques signatures et je suis à vous.
J’imagine que dans sa tête, cela signifie « Je suis à lui ! ». J’entre dans son bureau et referme la porte derrière moi. Je reste devant son bureau, tête baissée, tenant mon sac à main. Je fais exprès de jouer à la femme un peu timide.
Soudain, il referme le signataire et me dit.
— Bonjour Hélène, je suis ravi de vous revoir dans ma tour d’ivoire. Vous ne vous en doutez pas, mais ma vie de président directeur général est un enfer de solitude. Recevoir ici une jolie femme comme vous est un instant magique.
Je relève la tête et je me lance dans ce que j’ai mûrement préparé depuis la veille.
— Excusez-moi Monsieur, mais j’ai oublié de prévenir mon mari de mon retard. Puis-je lui mettre un SMS pour qu’il ne s’inquiète pas ?
Avec un grand sourire, il me répond.
— Bien sûr Hélène ! Avoir un dossier à boucler avant de partir, cela arrive régulièrement.
Je sors mon téléphone portable de mon sac à main, repose le sac sur le fauteuil et je fais semblant d’envoyer un SMS à François. Puis, après avoir simplement posé mon téléphone portable sur mon sac à main, je dis à mon patron.
— Voilà, c’est fait.
Toujours avec un grand sourire, mais cette fois-ci plus cannibale, il me rétorque.
— Vous êtes maintenant toute à moi, c’est parfait.
C’est maintenant que je dois lancer la seconde partie de mon plan. D’une voix timide, je lui dis.
— Monsieur le président-directeur général, je dois vous avouer que j’ai beaucoup réfléchi depuis notre précédent entretien. J’ai honte de tromper mon mari.
Il me rétorque.
— Pourtant, vous m’avez dit que vous souhaitiez continuer à travailler pour la société.— Oui, bien sûr Monsieur. Mais je le trompe et cela ne se fait pas !— Mais vous ne le trompez pas, vous faites en sorte de conserver votre emploi.— Oui, mais cela il ne le sait pas. Répondre à vos attentes, c’est un peu comme avoir un amant et donc c’est tromper mon mari.— Vous réfléchissez trop Hélène. Je suis un homme de pouvoir et j’aime avoir ce que je veux. Je ne suis pas votre amant, je suis votre patron.— Ce serait donc finalement quelque chose de normal aux yeux de mon mari, une sorte de droit de cuissage.— Oui c’est tout à fait cela. Comme les seigneurs autrefois qui avaient le droit de besogner les jouvencelles qui vivaient sur leur terre.— Effectivement, c’est une autre façon de voir les choses. Je culpabiliserai moins dans ce cas.— Ne soyez pas inquiète, votre mari n’en saura jamais rien. Vous n’êtes pas la première employée que je culbute dans mon bureau et vous ne serez pas la dernière. C’est ainsi ! Etre baisée ou être licenciée, tel est le sort des jolies femmes qui travaillent pour moi.

C’est parfait ! Je peux maintenant avancer plus près et me mettre ainsi à portée de mains. D’une voix plus enjouée, je lui dis.
— Je comprends Monsieur. Vos explications sont claires et je vous avoue que cela rend les choses plus faciles vis-à-vis de mon mari.
Tandis qu’une de ses mains se tend et se glisse sous ma jupe pour remonter jusqu’à mes cuisses, il me répond.
— C’est parfait ! Ce n’est pas vous qui vous donnez à moi, c’est moi qui vous prends. Oubliez toutes ces questions philosophiques inutiles et laissez-vous aller à mon bon plaisir.
J’entrouvre un peu plus les jambes et la paume de sa main se plaque sur le tissu qui cache ma chatte. Devant ma résignation, il poursuit.
— Ces bottes vous vont à ravir. J’ai hâte de découvrir le reste.
Je le regarde droit dans les yeux et passe sensuellement ma langue sur mes lèvres. Il se lève et me lance.
— Vous êtes d’une nature docile et soumise, j’adore !
Il déboutonne mon chemisier et me l’enlève puis défait les boutons de ma jupe qui tombe à mes pieds. Il recule un peu pour mieux apprécier le spectacle que je lui offre.
— Vous êtes des plus bandantes. J’adore les bourgeoises qui portent comme vous de superbes dessous de salope.
Il faut dire que j’ai mis un très joli ensemble noir et turquoise de la marque LolaLuna. Le soutien-gorge ne cache que la moitié de mes seins et laisse donc apparaître mes tétons que j’ai ornés de clips argentés. Le string assorti est largement fendu et dévoile ainsi une touffe de poils et la fente de mon sexe. Le porte-jarretelles est bien serré autour de mon ventre et les larges jarretelles retiennent de fins bas noirs presque transparents qui dessinent le galbe de mes jambes. Mes bottines à talons hauts m’obligent à bien redresser ma poitrine vers l’avant et font ressortir mes fesses dont la fine dentelle du string souligne la fermeté.Mon patron se rapproche de moi, attire mon visage contre lui et s’empare de ma bouche dans laquelle sa langue s’introduit sans ménagement. Pendant ce temps, son autre main libre descend entre mes jambes et il glisse rapidement deux doigts dans ma chatte. Me fourrageant de sa langue et de ses doigts, j’imagine qu’il marque ainsi son territoire.
Il semble satisfait de ce premier contact, car il me dit.
— C’est parfait, vous semblez avoir parfaitement compris la situation. En plus d’être bien bandante, vous êtes intelligente. J’apprécie !
Le voilà qui s’installe de nouveau à son bureau, prend son téléphone et, avant de composer le numéro, me dit.
— J’ai un appel urgent à passer ! Pendant ce temps, vous allez bien me sucer.
Une fois le numéro fait, il commence à parler affaires avec son interlocuteur. Je me mets à genoux sur le tapis entre ses jambes, ouvre sa braguette et sors sa queue que je prends aussitôt en bouche. Monsieur Dupont-Forniquet s’avachit dans son fauteuil de manière à bien me laisser l’accès à son bas-ventre et poursuit tranquillement sa conversation. Après quelques va-et-vient de ma bouche sur sa hampe, le voilà qui bande comme un taureau. Il a vraiment une queue bien épaisse comme j’aime et je m’applique à lui donner encore plus de volume par une savante fellation dont j’ai le secret. Le bougre apprécie, car à chaque fois que je reprends sa queue en fond de gorge, il donne un léger coup de bas-ventre vers l’avant pour mieux l’engloutir en moi. Au bout d’une quinzaine de minutes, il dit à son interlocuteur.
— Cher ami, je suis désolé, mais je dois vous quitter, ma secrétaire m’apporte un dossier urgent à signer. Bon week-end à vous et à votre épouse.
Puis il retire sa queue de ma bouche et s’exclame.
— Hélène, vous sucez divinement bien. J’ai vraiment fait le bon choix en portant mon intérêt sur vous.

Il m’attire ensuite vers son fauteuil, m’oblige à lui tourner le dos puis me fait asseoir sur ses genoux. Son gros gland violacé trouve du premier coup le chemin dans la fente de mon string et frappe à ma chatte. Il lui suffit de quelques mouvements de bas-ventre pour bien installer son gourdin au fond de ma vulve. Sa queue est bien plus grosse que celle de François et cela me change d’être ainsi bien remplie. Avec mon mari, au bout de quelques minutes de coït, sa petite queue coulisse dans ma fente comme dans une serrure un peu trop grande et trop bien huilée. Le plaisir n’est pas des plus fulgurants !!
Avec Monsieur Dupont-Forniquet, c’est bien différent. Son gland est comme le gros trépan d’une foreuse, il me distend les chairs, m’ouvre en grand, me force la chatte et me laboure de long en large. Sans qu’il ait besoin de me besogner à grands coups de va-et-vient, une vague de chaleur irradie tout mon bas-ventre. Profitant de mes seins en libre accès, il les caresse, les malaxe, les pétrit et me pince les tétons. Depuis notre entrevue précédente, l’animal a parfaitement compris comment je fonctionne. Sa bouche ne reste pas inactive, car il m’embrasse dans le cou et sur la nuque. Je gémis même si je cherche à masquer mon plaisir. Mon patron s’en rend compte et me glisse à l’oreille.
— Oubliez l’employée que vous êtes et qui est obligée de se donner à son patron. Libérez la salope qui sommeille en vous et laissez vous aller au plaisir.
Je lui réponds.
— Je suis votre soumise et je ne dois pas y prendre de plaisir. Vous savez que je ne suis pas consentante.
Il cherche à me pousser dans mes derniers retranchements.
— Votre éducation vous dit que c’est mal, mais votre corps vous prouve le contraire. Vous me cédez pour éviter d’être licenciée, mais finalement vous y trouvez votre compte.
Toujours planté au fond de ma chatte, il m’oblige à me relever et profite encore quelques instants de moi alors que je suis arc-boutée debout contre son bureau. Cette fois-ci, toujours bien collé à mon dos, il se retire entièrement de ma chatte et y replonge de plus belle. Je ne peux m’empêcher de jouir encore sous ses assauts.
Alors que je pense qu’il va bientôt se répandre en moi, il se retire et pousse rapidement quelques dossiers éparpillés sur son bureau. Faisant preuve d’une force que je ne soupçonnais pas, il me prend par la taille, me soulève et me pose allongée sur le dos parmi les dossiers et signataires épars. Il me prend ensuite par les bottines, ouvre mes jambes et les soulève avant de les reposer bien écartées sur ses épaules. Puis, d’une voix pleine de contentement, il me lance.
— Je veux tout de vous, je prends tout ! Peut-être même ce que vous refusez à votre mari.
Tenant sa queue d’une main, il frotte son gland sur ma chatte pour recueillir la mouille qui s’en écoule. Il faut dire que le salaud m’a déjà bien fait mouiller ! Puis le voici qui frotte son gland contre mon petit œillet brun et, comme je m’en doutais, je comprends vite qu’il veut vraiment me prendre de partout. Serrant bien fort les fesses, je lui crie.
— Oh non Monsieur, pas ça ! C’est contre nature !
Ma réaction l’excite au plus haut point, car il me répond.
— Ainsi vous n’avez jamais été enculée ! Votre mari ne sait pas ce qu’il loupe !
Et il poursuit.
— Si ne n’ai pas votre ravissant petit cul, vous êtes virée dès demain.
D’une voix plaintive, tentant de jouer au mieux mon rôle de faible femme, je lui dis.
— Monsieur, je vous en prie, soyez compréhensible. Vous avez déjà pris ma bouche et mon sexe. Cela ne vous suffit point !
Ma réaction le fait rire et il me rétorque avec son sourire de carnassier.
— Je prends ce que je veux ! Je prends votre petit cul de salope ou bien vous prenez la grande porte de la société pour aller pointer au chômage.

De toute façon, l’animal ne me laisse pas le choix et son énorme gland est maintenant bien engagé entre mes fesses. Je continue à faire semblant de lui refuser l’accès, mais j’ai envie qu’il me prenne à fond. Ca y est, son puissant glaive a envahi le fourreau qui se refusait jusque-là à lui. Pour décupler son envie, je fais semblant de le supplier.
— Doucement Monsieur. Vous êtes si gros que vous allez me déchirer.
Il jubile, savourant son plaisir de posséder enfin ce qu’il pense être le seul à avoir.
— Croyez-moi, cela va vous plaire ! Vous êtes comme toutes les femmes, une fois que vous y avez goûté, vous ne pouvez plus vous en passer !
Avec mes jambes relevées bien haut et mes chevilles sur ses épaules, il lui suffit de bien me tenir par la taille pour me besogner comme il le souhaite. Bien vite, ses bourses cognent contre mes fesses et sa queue coulisse comme un piston dans mon sillon culier qui s’est maintenant bien détendu. Comme mon cul est bien moins ouvert que ma chatte, sa grosse queue me distend de partout et cela augmente mon plaisir. J’imagine que cela ne doit pas lui déplaire de sentir sa hampe bien comprimée par mon œillet.Cela fait maintenant un bon quart d’heure qu’il m’encule ainsi et son visage est tout rouge avec déjà de grosses gouttes de sueur qui perlent de son front. Il ahane comme un travailleur de force, mais continue à me défoncer de son marteau piqueur. Mais voilà que le plaisir le gagne et il vocifère.
— Petite salope, vous allez me faire jouir.
Je le supplie.
— Non Monsieur, pas en moi !
Il rit à gorge déployée.
— Ah ah ah ! Je ne vais pas me priver ! Je suis comme les chiens, je marque mes femelles !
Tirant mes hanches contre son bas-ventre, il se soude à moi ; j’ai quasiment les jambes à la verticale. Et, tandis qu’il souffle comme un taureau, il se vide en moi de tout son foutre. Cela doit faire un moment qu’il n’a pas baisé, car cela ne s’arrête pas, j’ai l’impression qu’il m’inonde de sperme.Ouf, le voici qui se retire et s’affale dans son fauteuil sans même se rebraguetter. Il m’a fait divinement jouir, mais il n’en sait rien. Il me dit.
— Hélène, vous êtes une sacrée femelle. Il y a longtemps que je n’avais pas pris un tel pied.
Je remets mon chemisier et ma jupe puis réajuste mes cheveux. Je me dirige vers le fauteuil où est posé mon sac à main et je prends mon téléphone. J’appuie sur un bouton et l’on entend alors la voix du patron qui dit « Vous êtes maintenant toute à moi, c’est parfait ! ». Monsieur Dupont-Forniquet est surpris et me regarde avec des grands yeux de merlan frit. Avec un grand sourire sensuel, je lui dis.
— Voyez-vous Monsieur le Président-directeur général, j’ai tout filmé et enregistré. Je n’ai pas besoin de vous dire quel effet pourrait produire cette vidéo devant le conseil de prud’hommes en cas de licenciement abusif, devant un tribunal si je porte plainte pour harcèlement sexuel ou bien en conseil d’administration devant nos actionnaires.
Il réfléchit quelques instants puis me répond.
— Hélène, en plus d’être une belle salope vous êtes une femme très rusée. Qu’attendez-vous de moi ?
Je m’approche de lui, soulève ma jupe pour qu’il puisse humer le parfum de ma chatte. Puis je lance.
— Sentez-vous comme vous m’avez bien fait jouir ? Ma chatte doit avoir un parfum de salope.
Il porte sa main à mon sexe, le caresse de sa paume puis sent sa main.
— Oui, vous sentez la chatte, le foutre et la luxure.
Je poursuis.
— Cette vidéo restera un secret entre nous, mais je suis certain que vous allez vite m’accorder une belle augmentation de salaire.
Avant qu’il puisse répondre, j’ajoute.
— Mais soyez rassuré, je viendrai de temps en temps m’offrir à vos envies lubriques. Vous êtes un bon coup !
Un grand sourire s’affiche sur son visage. Je pense qu’il est ravi d’avoir trouvé une femme qui lui tienne tête tout en assumant ses envies de femelle. Il me dit.
— Oui, je vais rapidement augmenter votre salaire. Je ne voudrais pas qu’une employée aussi exemplaire que vous aille se mettre à la disposition d’un autre patron que moi. Je vous souhaite un bon week-end.
Je lui tourne le dos et me dirige vers la porte en ondulant ostensiblement de la croupe. Avant de sortir du bureau, je me retourne et je lui lance.
— Bon week-end à vous aussi. Et merci pour ce moment !

Une fois rentrée à la maison, je demande à François de nous ouvrir une bouteille de champagne. Il me dit.
— Nous fêtons quoi ?
Je lui réponds.
— Nous arrosons mon augmentation de salaire.
Alors que nous sommes encore debout dans le salon, la coupe de champagne à la main, il vient vers moi et glisse sa main libre sous ma jupe. Deux ou trois de ses doigts investissent ma fente, il boit d’un trait sa coupe de champagne en me regardant droit dans les yeux. Il pose son verre sur la table basse, me fait pivoter, me force à m’appuyer contre la console Napoléon III, trousse ma jupe et se colle à moi. Tout en se débraguettant, il me dit.
— Tu as eu ton augmentation grâce au fruit de ton travail, je n’en doute pas ! Et je vois que tu as déjà été bien arrosée...
Il me pénètre facilement et me besogne à la hussarde. Le champagne coule dans ma gorge, son foutre s’écoule dans ma chatte. Que du bonheur !
Diffuse en direct !
Regarder son live