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La bourgeoise et le marabout

Chapitre 65

Soirée CULturelle ...

Avec plusieurs hommes
En ce début du mois de juin, comme chaque année, François m’annonce que nous sommes invités à la traditionnelle soirée du Service des Musées de France du Ministère de la Culture. Cette soirée de gala ultra-chic rassemble tous les ans quelques hauts fonctionnaires parisiens, leurs plus proches collaborateurs et les conseillers culturels de nombreuses ambassades étrangères implantées à Paris. C’est l’occasion pour le service des Musées de France, auquel appartient François, de promouvoir l’ensemble des établissements (musées, châteaux ...) sur lesquels le service exerce sa tutelle scientifique et technique, et dont les ressources financières dépendent grandement des nombreux touristes étrangers qui les visitent.
En 2019, la soirée s’était déroulée rue Saint-Honoré au Ministère de la Culture, et je m’y étais mortellement ennuyée. Il faut dire que nous étions à table, avec de jeunes conseillers énarques du service, très bobos et gays. Je n’ai rien contre eux, mais je ne les intéressais nullement, et leur conversation était des plus banales. Les ragots du ministère, les querelles de personnes et leurs perspectives de carrière étaient leurs seuls centres d’intérêt. Autant dire que je me suis carrément ennuyée, pour ne pas dire plus !
J’en parle à François qui me répond que cela devrait être plus agréable cette année, car la soirée doit se dérouler au Musée du Louvre. De plus, il va veiller à ce que l’on ne soit pas installé avec les jeunes loups gays du ministère ; ce qui sera facile puisque certains vieux fonctionnaires semblent apprécier leur présence.
En ce samedi soir, il doit être 20h00 lorsque notre taxi nous dépose rue de Rivoli, devant une entrée privée du musée. Bien guidés par quelques jeunes hôtesses, nous traversons la cour et pénétrons dans le bâtiment. Compte tenu de l’ambiance très protocolaire, c’est au bras de François que nous montons un grand escalier de marbre et pénétrons dans la somptueuse salle où se tient la soirée. A l’entrée de la pièce, nous sommes accueillis par le chef du Service des Musées de France, accompagné de son épouse. J’ai droit à un baisemain très respectueux de notre hôte du soir puis, après quelques politesses d’usage, François et moi nous mêlons aux autres convives.
A 20h30, nous avons droit au discours du maître de cérémonie qui rappelle toute la grandeur de la culture française, et souligne combien les échanges culturels avec toutes les autres nations sont profitables à tous. Puis chacun rejoint la place qui lui a été attribuée à l’une des tables dressées dans la pièce. Avec François, nous sommes à la table « Musée du quai Branly » qui se situe au fond de la salle, tout près d’une grande fenêtre avec vue sur la Seine. Je me retrouve assise entre deux hommes qui doivent avoir entre 35 et 40 ans. De l’autre côté de la table, mais légèrement décalé sur la gauche, François est quant à lui installé entre une dame d’une cinquantaine d’années et une jeune femme asiatique qui doit avoir moins de trente ans.
Le dîner se déroule dans une bonne ambiance, et les plats se succèdent pour le plus grand plaisir des convives. Mes deux voisins sont d’excellente compagnie. Celui de droite qui est a priori le plus jeune, prénommé Omar, est conseiller culturel à l’ambassade des Etats arabes unis depuis quelques mois, après avoir été directeur adjoint du Musée du Louvre Abu Dhabi depuis sa création en 2017. Celui de gauche qui doit avoir près de 40 ans, prénommé Saïdi, est quant à lui conseiller culturel à l’ambassade du Sénégal, après avoir été directeur du musée Théodore Monod d’art africain de Dakar. Ils semblent tous les deux bien connaître mon mari qu’ils ont déjà rencontré dans leurs fonctions précédentes. Il faut dire que François se déplace régulièrement à l’étranger, dans le cadre des accords culturels signés entre son ministère et de nombreux pays.
Au cours du dîner, j’ai bien vite remarqué que mes deux voisins étaient très attentionnés, attentifs à me resservir du vin chaque fois que nécessaire, me demandant si je souhaitais du sel ou du poivre, me tendant volontiers la corbeille de pain, me questionnant sur tout, comme si j’étais la seule femme à table. Progressivement, leurs yeux plongeaient de plus en plus loin dans mon décolleté. Il faut dire que j’ai mis pour l’occasion une superbe robe longue noire Coco Chanel, largement fendue sur une cuisse, très ouverte dans le dos et avec un beau décolleté devant. Evidemment, avec une telle robe, impossible de mettre un soutien-gorge. Heureusement, comme le dit François, mes seins sont encore bien fermes et pointent vers l’avant comme les phares d’une voiture. Un peu plus tard au cours du repas, Omar se penche vers moi pour me parler, et sa main se plaque sur mon dos dénudé, puis descend un peu plus bas dans le creux de mes reins.
C’est à l’approche du dessert que ces deux gentlemen se sont montrés plus entreprenants, un peu comme s’ils s’étaient passé le mot. Alors que je suis en train de savourer la délicieuse mousse au chocolat blanc et vanille de Madagascar que l’on vient de servir, Saïdi s’empare d’une bouteille de champagne de sa main gauche, puis remplit ma coupe tout en glissant sa main droite sous la table pour venir la poser sur mon genou. Puis, tandis que nous continuons la dégustation de notre dessert, sa main se glisse par la fente de ma robe, puis remonte jusqu’à la large jarretière qui retient mon bas. Quelques secondes plus tard, c’est la main d’Omar qui se pose à son tour sur mon genou. Les deux coquins m’obligent à bien écarter les jambes même si, pour les provoquer un peu, je fais des efforts pour les garder bien serrées.
J’ai maintenant les jambes bien ouvertes, mais heureusement, elles sont dissimulées par la nappe blanche brodée qui descend bien bas. Tout en continuant à parler avec les autres invités installés à leurs côtés et en face d’eux, mes deux voisins ont maintenant dépassé la frontière de mes jarretières pour accéder à mes cuisses dénudées et au fin tissu de mon string. J’ondule discrètement du bas-ventre pour leur montrer que leurs caresses ne me laissent pas indifférente.
Histoire de leur montrer que je ne suis pas aussi coincée que toutes les autres femmes présentes à cette soirée, je glisse ma main droite sous la nappe, débraguette Omar, sort sa queue de son pantalon et commence à le branler avec lenteur. Il marque un temps de surprise, mais se ressaisit vite. Une fois qu’il est bien excité, ma main droite revient sur la table, et c’est la gauche qui disparaît. Quelques secondes plus tard, c’est la queue de Saïdi qui grossit dans ma main. Reprenant une attitude très digne, je rebois du champagne pour bien me rafraîchir la bouche. Puis, après avoir fait exprès de laisser tomber par terre ma petite cuiller, je me penche sur mon côté droit pour la ramasser. Ma main ramasse l’objet, mais ma bouche s’empare rapidement de la bite d’Omar. Je lui prodigue quelques coups de langue et reviens rapidement dans une position plus digne et plus conforme à ce que l’on attend d’une femme lors d’une telle soirée.
Le dîner est maintenant terminé, et il est proposé à tous les convives de rejoindre une salle jouxtant celle où nous sommes pour prendre un café et un petit alcool fort pour ceux qui le souhaitent. Mes deux voisins se lèvent rapidement de table ; Omar recule ma chaise, et Saïdi me donne le bras pour m’aider à me relever, discrètement, tous deux me flattent la coupe. Omar me demande :
— Souhaitez-vous prendre une tasse de thé, très chère Hélène ?
Je lui réponds :

— Non merci, car je n’arriverai pas à m’endormir, de retour chez moi.
Saïdi poursuit :
— Souhaitez-vous visiter l’une ou l’autre des salles du musée ? Elles sont toutes ouvertes pour l’occasion.
Je décline son offre :
— Non merci ! Je vais prévenir mon mari que je sors prendre un peu l’air dans le jardin du Carrousel. Lui a certainement encore quelques personnes à voir dans le cadre de son travail.
Puis, avant qu’ils puissent me répondre quoi que ce soit, je leur tourne leur dos et m’éloigne en exagérant volontairement le déhanché de ma croupe.
Dehors, il fait nuit, mais l’air est encore doux. Quelques lampadaires diffusent un halo jaunâtre qui rend l’ambiance digne des premiers films en couleurs. Je m’aventure dans le labyrinthe des haies d’ifs qui forment comme un grand éventail ouvert. Au détour d’une allée, je devine un couple d’ombres dans le renfoncement d’une haie. D’un rapide coup d’œil, je crois voir un jeune homme debout en train de se faire sucer par un autre homme à genoux devant lui. Je souris intérieurement en pensant à ces jeunes énarques du ministère, prêts à tout pour obtenir une place plus intéressante ; dans un tel ministère, la promotion canapé n’est pas pour les femmes. Alors que je suis en train d’admirer l’une des 18 statues d’Aristide Maillol disséminées dans le jardin, la voix d’Omar interrompt ma méditation :
— Ces trois grâces sont particulièrement sensuelles. Mais vous n’avez rien à leur envier.
Et c’est Saïdi qui poursuit :
— Allons voir la statue de la jeune fille allongée, elle est superbe elle aussi.
Flanquée des deux hommes, chacun me donnant le bras, je suis entraînée dans l’une des allées, et quelques instants plus tard, nous voici devant la statue. Comme les autres, la jeune fille est nue, et l’éclat de la pleine lune souligne le galbe de ses formes.Omar s’exclame :
— J’adore le dessin de ses reins et de ses fesses.
Et sa main se plaque ostensiblement sur ma croupe et caresse lentement mon sillon.Saïdi exulte :
— Moi, ce sont ses seins qui me font de l’effet. Ils sont sublimes !
Et le voilà collé contre mon dos avec ses mains bien plaquées sur ma poitrine.Quelques secondes s’écoulent, silencieuses, puis les deux hommes me reprennent par le bras et m’entraînent dans une allée sombre, loin des lampadaires blafards et des regards indiscrets.
Dans un recoin, il y a comme une alcôve végétale taillée dans les ifs ; un banc de pierre y est installé. Les deux hommes retirent leurs vestes et les posent sur la pierre. Omar me fait face, se rapproche et s’empare de ma bouche. Dans mon dos, je sens les muscles de Saïdi qui se colle à moi et m’embrasse dans le cou. En moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire, ma robe glisse à mes pieds et les deux hommes me font allonger sur le banc. Omar me dévore la chatte, je suce Saïdi. Très certainement sous l’effet des nombreuses coupes de champagne que les deux hommes m’ont fait boire, je me laisse aller sous cette langue agile qui me pénètre, et je m’applique sur cette queue que j’embouche jusqu’à la garde. Je me laisse aller, car je sais que dans cette obscurité, nul ne peut nous reconnaître.
On me retire mon string et me voici maintenant à quatre pattes sur le banc ; heureusement que les deux vestes me protègent de la rugosité de la pierre. Saïdi me redonne sa queue à sucer, et je prends plaisir à emboucher cette longue et grosse queue d’ébène qui ne cesse de grossir sous ma langue. Omar vient de me saisir par les hanches et semble prendre du plaisir à me caresser longuement la fente de son gland circoncis. Je tends ma croupe vers l’arrière, car j’ai envie de le sentir en moi. Il a dû comprendre ma demande, car, d’un coup sec, il me pénètre et ses bourses viennent cogner contre mes cuisses.
Me voici maintenant embrochée, de la bouche et de la chatte, par deux belles queues qui me font tourner la tête et fondre le corps. J’imagine que sur ce banc de pierre, qui doit être là depuis plusieurs siècles, de nombreuses femelles se sont fait saillir et ont joui sous les assauts de mâles fougueux. Je m’imagine dans la peau d’une courtisane se dévouant corps et âme pour le roi qui peut faire d’elle tout ce qu’il veut. Je gémis, je jouis et j’en redemande.
Mes deux amants du soir ont déjà compris que je leur appartiens et que je vais tout leur céder. Ils m’aident à me relever, et me voici en bas et escarpins entre mes deux mâles. Saïdi se place devant moi et investit à son tour ma chatte. Il m’embrasse à pleine bouche ; ses deux mains plaquées sur mes fesses m’obligent à rester bien soudée à lui. Dans mon dos, Omar frotte son gland contre mon cul et je n’ai nul besoin d’un dessin pour comprendre qu’il veut m’enculer. Saïdi a d’ailleurs compris les intentions de son complice et, de ses deux mains vigoureuses, il m’écarte les fesses pour qu’Omar puisse investir plus facilement la place.
Me voici maintenant prise de part et d’autre par ces deux mâles en rut. Tandis que l’un me besogne la chatte tout en me pétrissant les fesses, l’autre me défonce le popotin tout en me caressant les seins. Leurs bouches ne restent pas inactives, et cela ne fait qu’augmenter mon désir d’être prise comme une belle salope. Après quelques minutes un peu désordonnées, ils arrivent à bien synchroniser leurs mouvements, et ils me prennent maintenant en cadence. Lorsque la queue d’ébène cogne au fond de ma grotte, la bite d’Omar me remplit entièrement et j’ai l’impression que leurs deux glands se rencontrent et se touchent au plus profond de mes entrailles. J’ai les jambes flageolantes, et si je n’étais pas bien embrochée sur ces deux bites d’amarrage, je crois bien que je m’écroulerais par terre.
Soudain, voilà que mes deux assaillants expriment leur intention d’en finir avec moi :
— Oh oui, je vais jouir !— Moi aussi, je vais la remplir de tout mon foutre.— Quel bonheur de féconder cette jolie bourgeoise !— Oh oui, et le faire en ce lieu historique est une aubaine !
Puis leurs mains se font plus pressantes et, en de longs râles de mâles comblés, toute leur semence se déverse en moi. Ma chatte et mon cul débordent de leur plaisir, et je suis emporté par un long orgasme.Quelques minutes plus tard, une fois mon string et ma robe réajustés, nous revenons tous les trois vers le bâtiment où se tient la réception. Par discrétion, mes deux chevaliers servants m’abandonnent au pied du grand escalier, et c’est seule que je vais retrouver François dans le salon au premier étage.
Il me demande :
— Je ne te voyais plus ! Tu avais disparu ?
Le plus naturellement du monde, je lui réponds :
— Je n’étais pas loin. J’ai profité de l’occasion pour visiter quelques salles du musée.
Puis, pour éviter que les personnes avec lui m’entendent, je lui glisse à l’oreille :
— Ainsi que le jardin...
Il me fait un grand sourire, puis c’est lui qui me dit à voix basse :
— Une fois à la maison, je te visiterai à mon tour...
J’ai hâte qu’il se glisse à son tour dans mes allées secrètes et mélange son foutre à celui de mes deux guides précédents.J’adore ces soirées où culture et cul font bon ménage.....
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