Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 136 J'aime
  • 4 Commentaires

La bourgeoise et le marabout

Chapitre 67

Salope pour routiers (Partie 1/2) ...

Avec plusieurs hommes
En ce dimanche midi, le déjeuner à peine terminé, mon mari François me dit :
— Chérie, cet après-midi, prépare-toi une petite valise avec quelques tenues sexy. Et de quoi partir 5 jours pour un petit voyage.
Comme je le regarde avec surprise, il poursuit :
— Oui, comme tu as une petite semaine de vacances à compter de demain alors que je travaille, je t’ai organisé un petit voyage. Mais sois tranquille, je ferai en sorte d’être avec toi par Skype !
Je ne cherche pas à comprendre et je lui réponds :
— Pas de souci chéri ! Vu ce que tu me demandes, je mettrai dans la valise les tenues que tu apprécies tout particulièrement.
Il acquiesce :
— C’est parfait. Nous partirons de la maison à 22h00, car je t’accompagne en voiture jusqu’à ta première destination.
Je suis très intriguée, mais je ne cherche pas à comprendre. Connaissant mon mari, je me doute que cela va être érotique et pervers. Mais ce n’est pas pour me déplaire.
A 22h00, nous avons achevé notre dîner et rangé la cuisine. Ma petite valise est prête avec mes vêtements et lingerie, ainsi qu’un vanity case avec mes affaires de toilette et de maquillage. Dix minutes plus tard, nous voici en voiture roulant sur le périphérique extérieur. Parvenu à la porte de Bercy, François prend l’autoroute A4 et le compteur de notre Mercedes affiche vite un petit 130 kilomètres/h. Une quarantaine de minutes après, François se gare sur l’aire de services de Ferrières à la hauteur de Bussy Saint Georges. Il me dit :
— Viens, nous allons prendre un petit café.
Nous descendons de la voiture ; il fait presque nuit et l’air est encore chaud de la chaleur de cette belle journée de juillet. La boutique de la station est relativement calme ; nous commandons deux cafés et nous installons à une table dehors du côté du grand parking pour les camping-cars et les camions. Tout en buvant mon café, je jette un œil à François qui est avec son téléphone portable et semble écrire des mails. Au bout d’une dizaine de minutes, nos cafés terminés, il me dit :
— Viens chérie, ton voyage commence ici !


Il me prend par la main et, au lieu de repartir vers notre voiture, m’entraîne vers l’endroit où sont stationnés de gros semi-remorques. Nous passons devant les camions qu’il semble détailler avec attention puis s’arrête soudain devant un camion Volvo avec une remorque frigorifique. Il fait un petit signe à l’homme qui est dans la cabine ; la portière gauche s’ouvre et un homme en descend. Il doit bien avoir la cinquantaine, costaud et trapu. Il s’avance vers nous en me regardant de ses yeux lubriques. S’adressant à François, il lui dit :
— Bonjour François, je suis Philippe, le routier belge avec qui tu as discuté.
Mon mari lui fait un grand sourire et lui répond :
— Bonjour Philippe, ravi de te rencontrer enfin après ces deux semaines d’échanges informatiques. Voici Hélène, mon épouse dont je t’ai parlé.
Le dénommé Philippe me regarde de la tête aux pieds puis des pieds à la tête en détaillant mes fesses et mes seins. Une fois cet examen visuel fait, François lui demande :
— Alors, ta proposition tient toujours ?
Le routier lui répond :Bien sûr qu’elle tient toujours ! Elle est encore plus belle et plus sexy que sur les photos.François lui sourit et conclut l’affaire en lui disant :
— Pour être certain que tu ne le regretteras pas, j’aimerais bien que tu fasses un essai devant moi.
Philippe me prend par la main et m’attire tout contre lui. Ses grosses mains me caressent partout ; sa bouche s’empare de la mienne et sa langue joue avec la mienne. On dirait qu’il me goûte, de ses mains et de sa bouche. Son nez dans mes cheveux respire mon parfum Opium ; il s’imprègne de moi. Ce premier examen semble lui donner satisfaction, car il m’entraîne vers le marchepied de son camion, me fait appuyer des deux mains sur la marche la plus haute et se colle contre mon dos. François est là, tout à côté, et cela semble lui plaire. Il faut dire qu’il est devenu très voyeur et très candauliste depuis qu’il n’est plus aussi vaillant et endurant qu’il y a plusieurs années. Philippe trousse ma jupe d’une main et j’imagine qu’il se débraguette de l’autre. La situation est excitante et, instinctivement, j’écarte bien les jambes. Tenant sa queue d’une main ferme, il écarte mon string de son gland et commence à me caresser à la fente.
Il doit avoir une belle queue, car son champignon me semble énorme et m’écarte bien les chairs lorsqu’il pénètre en moi de quelques centimètres. Maintenant qu’il est dans la place, le routier me saisit fermement par la taille et me donne de puissants coups de bite. S’adressant à François, il lui dit :
— Vous avez là une charmante épouse ! Vous avez parfaitement su en faire une belle salope.
Tout en continuant à se branler, mon mari lui répond :
— Oui, j’avoue en être très satisfait !!! Mais elle avait de bonnes prédispositions pour devenir une bonne petite pute dédiée aux plaisirs des hommes.
Philippe accélère la cadence et bientôt, il remplit la capote de son foutre. Il se retire et dit à François :
— C’est parfait ! Je vous l’emprunte donc pour un aller-retour en Italie.
François lui répond :
— Pas de souci ! On se retrouve ici jeudi dans la soirée. Vous me préciserez l’horaire par la suite.

Quelques minutes plus tard, je suis installé dans la cabine et mes bagages sont glissés dans un petit compartiment. François s’éloigne sans un regard en arrière. Philippe me dit :
— Tu dormiras sur la couchette du haut et moi sur celle du bas. Mais avant de nous coucher, je vais encore profiter un peu de toi.
Je suis en porte-jarretelles et bas, allongée sur la couchette du bas. Philippe vient sur moi et me prend cette fois-ci sans capote. Il me précise :
— Sois tranquille, je me retirerai pour jouir sur tes seins !
Pendant un bon quart d’heure, il me baise en me dévorant la bouche, la nuque et les seins. Je me laisse aller et cela m’excite de n’être qu’un jouet entre les mains de ce routier. Tout en me baisant, il me dit :
— Tu vas voir Hélène, je vais te faire vivre de belles aventures. Il n’y a pas plus vicieux que les routiers, surtout les routiers belges comme moi !
Je gémis en écoutant ses paroles et en encaissant ses puissants coups de queue. Il poursuit :
— Tu vas être ma salope pendant quatre jours et tu vas être offerte à tous mes copains. Je suis sûr que tu vas apprécier !
Je jouis et je fonds de plaisir. Il se retire soudainement et m’arrose longuement les seins et le ventre de ses jets de foutre. Cela doit faire quelque temps qu’il n’a pas pris son pied. Peut-être se réservait-il pour moi !!
La nuit passe vite et le lendemain matin, avant de prendre la route, Philippe m’emmène faire une petite toilette dans les sanitaires réservés aux chauffeurs routiers. Je ne suis vêtue que d’une courte nuisette qui ne cache pas grand-chose de mon intimité. Je fais évidemment sensation dans cet endroit réservé ordinairement à des mâles du genre ours mal léchés ! Alors que je suis en train de me maquiller, un jeune routier se met à genoux derrière moi et me fait un super cunnilingus. Philippe précise que ce matin, il n’y a que des fellations au programme, car il me réserve une belle soirée. Je suce donc quelques belles queues, d’origines diverses, pendant que d’autres se branlent. Après une bonne demi-heure de sexe débridé et de nombreux jets de foutre plus tard, nous allons prendre un petit-déjeuner, regagnons le camion et quittons l’aire de repos. Philippe me dit :
— Ce soir, nous ferons étape à Lyon avant de poursuivre sur Milan.
La journée se passe tranquillement et je profite de la cabine bien équipée de nombreux équipements audio-visuels. A chaque arrêt règlementaire pour respecter les temps de conduite, je dois pratiquer une belle fellation à mon chauffeur qui se révèle être un vrai réservoir à sperme. L’après-midi, comme il fait un super soleil, il m’oblige à retirer ma robe d’été pour n’être qu’en lingerie dans la cabine. Evidemment, chaque fois que nous doublons un autre camion ou que c’est un autre routier qui nous dépasse, j’ai droit à un concert de klaxon et Philippe me dit qu’avoir une belle bourgeoise sexy dans son camion près de lui est bien plus excitant que de l’avoir simplement en poster. Je note que Philippe se sert parfois de sa radio pour discuter avec d’autres routiers. Il veille en particulier à leur préciser qu’il fait étape à Lyon sur une aire de parking à la sortie de la ville en bordure du Rhône.
Après avoir effectué son dernier déchargement chez un client à proximité de Lyon en fin d’après-midi, nous dînons rapidement dans un petit restaurant avant de reprendre la route. Il doit être 21h30 lorsque Philippe gare son camion dans un endroit un peu isolé d’une vaste aire de stationnement réservé aux poids lourds en transit dans la vallée du Rhône. Il me demande de me faire bien sexy en minijupe tandis qu’il va voir s’il retrouve des connaissances. Une fois les rideaux tirés dans la cabine du camion, je suis comme à la maison même si c’est un peu étroit. Je décide de mettre un petit haut transparent sans soutien-gorge, une minijupe sans string, des bas et mes escarpins. Devant le rétroviseur intérieur, je me fais un maquillage un peu provocant, fond de teint prononcé, rose sur les joues, ombre à paupières, mascara pour les cils et rouge vif pour les lèvres.
Lorsque Philippe revient au camion et me demande de descendre de la cabine, j’ai un peu de mal, car je suis vraiment serrée dans ma minijupe. Philippe en profite pour jeter un coup d’œil à mes fesses et se réjouit de me voir si accessible.
— C’est parfait pour la tenue ! Les copains vont apprécier.
Puis il m’entraîne vers le fond du parking où sept ou huit hommes sont déjà rassemblés à l’arrière d’un camion dont la bâche est relevée.
Une fois au milieu du groupe, j’ai droit à quelques sifflets flatteurs et des commentaires un peu graveleux. Philippe m’attrape par la taille, me soulève et me passe à un gars qui est debout dans la remorque du camion. Il lui dit :
— Tiens Richard, tu peux commencer avec la dame. Je vais organiser le tour de passage.
Aussitôt, le dénommé Richard me dépose sur un matelas jeté sur le plancher de la remorque. Il se met tout nu en moins de temps qu’il ne faut pour le dire et me rejoint sur ce lit improvisé. Il s’allonge et me demande de bien le sucer. Je m’exécute et embouche sa queue déjà bien bandée. Quelques instants plus tard, nous sommes rejoints par deux autres routiers et j’entends Philippe leur crier :
— Allez les gars, ne perdez pas de temps, il y en a d’autres qui attendent.
Pendant une heure, c’est un défilé ininterrompu de routiers dans la remorque. Il y en a de toutes les nationalités et de tous les physiques. Bulgares, allemands, espagnols, polonais, belges, anglais ... j’en oublie certainement ! Certains ne parlent pas un mot de français, mais ils ont tout de même compris que Philippe me met à la disposition de tous ces mâles. A un moment, je m’aperçois que mon protecteur a le téléphone à la main pointé sur moi. Je sais qu’il est en train de montrer en direct à mon mari la façon dont il est en train de me faire prendre. Toutes les positions y passent et tous mes orifices sont visités plusieurs fois. Ma bouche a goûté et fait cracher je ne sais combien de queues. Ma chatte a été honorée de nombreuses fois, parfois même par deux belles bites en même temps. Quant à mon petit cul, il a satisfait tous ceux qui ont souhaité en profiter. Les kleenex et les préservatifs qui jonchent le sol témoignent de l’intensité des assauts.
Une fois les hostilités terminées, c’est toute nue que Philippe m’oblige à traverser le parking pour rejoindre le camion. Avant de monter en cabine, il sort sa grosse queue et me prend par mes trois orifices déjà bien utilisés. Il se vide longuement entre mes fesses avant de m’accorder un repos bien mérité.
Le mardi matin, nous quittons vers 8h00 les environs de Lyon. La nuit ayant été courte, je somnole sur mon siège à côté de Philippe. Après deux ou trois livraisons en France, nous atteignons la frontière italienne. J’ai mis une tenue relativement classique pour éviter tout souci, mais le passage en Italie se fait sans souci. L’après-midi, le voyage se poursuit et j’en profite pour regarder les paysages italiens que je ne connais pas. Autant se changer les idées et se ressourcer pour passer le temps. En fin d’après-midi, nous arrivons à Milan et c’est sur le vaste parking d’une zone industrielle que nous nous arrêtons. Dîner sympa dans une pizzeria puis retour au camion. Les consignes de Philippe sont inchangées.
— Bien sexy et bien salope.
Vers 21h30, il me dit :
— Ce soir, tu vas faire connaissance avec mon ami Helmut, un routier allemand qui passe sa vie à sillonner l’Europe avec son gros camion Mercedes pour faire des déménagements.
Nous nous dirigeons vers le coin opposé du parking et je découvre alors Helmut, un solide gaillard de près de deux mètres et d’environ 100 kilos. Philippe lui dit :
— Bonsoir Helmut, je te présente Hélène qui m’a été confiée par son mari. Il veut que j’en fasse une bonne chienne et je peux te dire qu’elle a du potentiel.
Helmut lui répond :
— C’est très intéressant ! Cela fait déjà plusieurs semaines que Frantz n’a pas baisé et il commence à être en manque.
Philippe le rassure aussitôt :
— Ne t’inquiète pas ! Son mari m’a dit que ce ne sera pas la première fois !
Helmut ouvre la porte de son camion et crie :
— Frantz, au pied ! Tu vas pouvoir prendre du plaisir ce soir.
Aussitôt, un énorme doberman saute de la cabine et se rapproche de moi, l’air menaçant. Helmut me dit :
— Tu as intérêt à rester bien tranquille, car il peut être très féroce !

On m’entraîne vers l’arrière du camion et je dois comme la veille grimper dans la remorque. A l’avant, il y a des meubles bien attachés, mais le quart arrière de la remorque n’est pas occupé. Un énorme tas de couvertures – certainement utilisées pour protéger les meubles les plus fragiles – est par terre. Helmut et Philippe me rejoignent à leur tour dans la remorque. Helmut me fait mettre à poil puis me demande de me positionner à quatre pattes. Philippe se place devant moi et me plante sa queue dans la bouche. Helmut plie une couverture et la place sur mon dos. Puis il me dit :
— Maintenant, je vais faire monter Frantz. Ne fais pas de gestes brusques, laisse-toi faire et il ne t’arrivera rien.
D’un claquement de langue, il ordonne au chien de sauter dans la remorque. Aussitôt que c’est fait, Frantz se rapproche de moi et me flaire. Sa truffe froide sur mes fesses me fait sursauter. Philippe qui semble apprécier ma fellation me dit :
— Attention ! Frantz déteste les chiennes craintives.
La truffe du chien est maintenant bien plantée entre mes fesses et sa langue râpeuse glisse de ma chatte jusqu’à mon cul et vice-versa. Il la glisse profondément dans chacun de mes deux orifices et cela déclenche une vague de plaisir en moi. Je suis déjà au bord de la jouissance. Helmut semble apprécier la situation et il encourage son chien de la voix :
— Vas-y Frantz, prépare-la bien !— Elle est à toi, profites-en bien !— Dès qu’elle est bien ouverte, prends-la !
Le chien semble avoir compris ces dernières paroles, car, d’un mouvement rapide, il pose ses deux pattes de devant sur mon dos et se dresse sur ses pattes arrière. Son gland rouge se frotte à mon entrejambe et je me demande quel orifice il va choisir. Ses poils frottent maintenant contre mes fesses et tout son ventre est agité de petits mouvements saccadés. Voici sa queue qui s’insinue dans ma chatte et me pénètre. Il fait quelques bonds sur ses pattes arrière pour se rapprocher encore plus. L’animal est maintenant soudé à moi et sa tige gonfle dans ma chatte ; j’ai l’impression qu’il va m’ouvrir le ventre. Heureusement, mes chairs s’ouvrent au fur et à mesure qu’il enfle en moi.
Philippe commence à donner des signes d’extase, car il gémit de plus en plus fort sous ma langue. Soudain, il se crispe, me plaque le visage contre son bas-ventre et me force à avaler ses jets de foutre en veillant à ne pas en perdre une seule goutte.Frantz, qui me pilonne depuis déjà vingt bonnes minutes, atteint également le nirvana et il m’inonde d’un torrent de liquide séminal qui semble ne pas vouloir s’arrêter. Sa queue est encore grosse en moi, mais cela n’empêche pas son jus de couler le long de mes cuisses. Lorsqu’enfin il se retire, le trop-plein de foutre animal s’évacue de ma chatte et Frantz me donne un nouvel orgasme en léchant son jus de sa langue.Un peu plus tard, lorsque je suis en train de faire une belle pipe à son maître, le chien décide de remettre le couvert. Philippe décide de prendre les choses en main et c’est lui qui guide la queue de l’animal dans mon cul puis l’encourage.
— Oui Frantz, encule-la bien !— Fais en une bonne chienne, elle ne demande que ça !— La salope, elle aime les grosses queues ! Mets-lui bien à fond !
Le maître et l’animal jouissent à l’unisson et je suis une nouvelle fois repue de plaisir et de foutre. Une fois que le chien a bien léché mes fesses, ce pervers de Philippe m’oblige à sucer la bite de l’animal pour en recueillir les dernières gouttes de stupre. Cela s’avère finalement ne pas être désagréable.Avant de repartir au camion, les deux routiers décident de me prendre en sandwich. L’arrière de la remorque n’est plus qu’un lieu de perversion, car nous sommes tous les trois allongés sur les couvertures et nous essayons de multiples positions. Je suis le jouet de ces deux routiers qui usent et abusent de moi autant qu’ils veulent. Ils font de moi leur petite salope, leur petite pute et leur sac à foutre, mais c’est délicieusement bon. Je ne compte ni les orgasmes qui m’emportent ni les jets de foutre que l’on me donne. A la fin de la soirée, je suis vannée, mais comblée.
De retour au camion, Philippe me dit qu’il a envoyé quelques photos à François qui a très apprécié. Puis il me dit :— Allez, maintenant repos, car demain est un autre jour..... (A suivre).
Diffuse en direct !
Regarder son live