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La bourgeoise et le marabout

Chapitre 68

Salope pour routiers (Partie 2/2).

Avec plusieurs hommes
Après cette soirée de débauche bestiale sur un parking de la banlieue de Milan, j’ai dormi d’une traite et c’est Philippe qui me réveille au petit matin en me secouant un peu.
— Debout ma belle ! Nous repartons dans 30 minutes.
Je me refais rapidement une beauté dans la cabine et nous allons prendre un petit-déjeuner léger au bar jouxtant le parking.Même si nous sommes pressés, Philippe prend tout de même le temps de me demander de le suivre dans les toilettes. Comme chaque matin depuis que je suis avec lui, je dois lui faire une petite pipe. Alors qu’il se vide au fond de ma gorge, il me dit :
— Rien de tel pour se mettre en forme pour la journée.
Je n’ai pas le temps de me relever que son copain Helmut pénètre à son tour dans les toilettes, ouvre sa braguette et me présente sa queue. Je m’applique à bien le pomper ; en moins de cinq minutes, il jouit à son tour et me remercie en allemand. J’imagine que la traduction doit être la suivante :
— Merci grosse cochonne. Frantz et moi serons ravis de te revoir ...

Quelques instants plus tard, je suis confortablement installée dans la cabine du Volvo et nous reprenons la route en direction de Turin. Il fait beau et les 150 kilomètres qui séparent les deux villes me permettent de découvrir de jolis paysages de la Lombardie puis du Piémont. J’ai retiré mes chaussures et c’est les deux pieds posés sur le tableau de bord que j’écoute la radio tout en faisant quelques belles photos avec mon portable. Comme la cabine du camion est large, Philippe est trop loin de moi pour me caresser les jambes. Alors je relève bien haut ma jupe pour qu’il puisse me mater les cuisses tout en gardant l’autre œil sur la route.
Après un petit arrêt dans un sympathique restaurant routier italien – pizza ou pâtes au menu – nous arrivons à 13h00 dans la société agroalimentaire où Philippe doit refaire le plein de spécialités italiennes qu’il doit ramener en Belgique. Tandis qu’il surveille le chargement, je fais quelques pas sur le parking de la société pour me délasser un peu. Même si la cabine est ultra-confortable, je suis tout de même un peu courbaturée après plusieurs heures de route. Manque d’habitude peut-être !
Alors que le chargement est terminé et que les portes arrière de la remorque sont refermées, Philippe me demande de le suivre chez le responsable logistique de la société où il doit récupérer les papiers de chargement et de douane. Je m’exécute et nous suivons tous les deux l’intéressé qui nous guide dans le vaste entrepôt où sont stockés bouteilles de Chianti, jambons de Parme et autres spécialités du pays. Une fois dans le bureau, Philippe me dit à l’oreille que Mattéo – le responsable logistique – me trouve très séduisante et aimerait bien en voir un peu plus.
L’italien doit avoir 45-50 ans et n’est pas pour me déplaire ! Je demande à Philippe de m’attendre au camion et à Mattéo de s’asseoir dans son fauteuil. Une fois mon chauffeur sorti, je m’approche du fauteuil et me penche vers Mattéo pour lui offrir mes lèvres à baiser. Je lui donne ma langue pour jouer avec la sienne. Puis je lui dis :
— Mes lèvres sont-elles aussi chaudes que celles de Sophia Loren ?
Puis, m’écartant un peu de lui, je défais lentement les boutons de mon chemisier et je retire avec lenteur le léger vêtement qui dissimule mes seins libres de tout soutien-gorge. Je prends ses deux mains et les pose sur mes deux globes. Il me caresse délicatement puis se penche pour me mordiller les tétons. Je lui demande :

— Sont-ils aussi beaux que ceux de Gina Lollobridgida ?
Maintenant, je lui tourne le dos et je fais glisser ma jupe jusqu’à mes pieds. Sans que j’aie besoin de le guider, Mattéo me caresse les fesses puis me les embrasse. Tout en lui tournant le dos, je lui parle :
— Ma croupe est-elle aussi douce que celle de Claudia Cardinale ?
D’un mouvement brusque, je me retourne et l’italien a maintenant le visage à la hauteur de mon pubis. Je plaque mes deux mains derrière sa tête et l’attire tout contre moi. C’est tout naturellement que sa bouche se colle à ma chatte et, quelques secondes plus tard, sa langue se glisse en moi. Je me cambre en arrière et j’écarte un peu plus les jambes pour qu’il me fouille un peu plus profond. Entre deux gémissements, je lui dis :
— Suis-je aussi sexy qu’une star italienne ?
Il a certainement compris, car il me répond en italien :
— Si signora ! Supersexy !
Je m’arrache à son baiser intime et je lui tourne le dos. Les mains bien calées sur son bureau et les fesses tendues vers l’arrière, je lui lance :
— Moi, j’aimerais savoir si tu es aussi doué que Rocco Siffredi ?

Je ne sais pas s’il a compris tous les mots de ma phrase, mais je sais qu’il en a compris le sens général, car bien vite, je sens ses deux mains se souder à mes hanches et son gland coulisser entre mes fesses pour accéder à ma fente déjà bien lubrifiée de sa salive.
Pendant cinq minutes, il me défonce à grands coups de queue tout en me mordillant la nuque et le cou. Je l’encourage par de longs gémissements et cela semble produire son effet, car j’ai l’impression que sa queue double de volume et s’allonge. Je suis aux anges et j’accompagne ses mouvements de bite vers l’avant par des mouvements de cul vers l’arrière. Ses bourses cognent contre mes fesses tandis que son gland heurte le fond de mes entrailles. Soudain, il se retire et de longs jets de foutre se répandent dans le creux de mes reins avant de dégouliner dans mon sillon fessier puis à l’intérieur de mes cuisses.
Cinq minutes plus tard, bien essuyée, je suis de retour au camion où Philippe m’attend. En voyant le gros panier rempli de spécialités italiennes, Philippe me demande :
— Vous avez fait quelques achats souvenirs ?
Je lui lance un grand sourire et, une fois installée sur mon siège, je lui réponds :
— Non, je lui ai offert une spécialité française et il m’a offert en retour ce panier garni !
A peine suis-je attachée que mon chauffeur reprend la route. Nous avons 500 kilomètres à faire pour atteindre Dijon où nous passerons la nuit.
Il est un peu plus de 19h30 lorsque Philippe gare son camion sur le parking d’un restaurant routier dans les faubourgs de Dijon. Il me dit :
— Je connais très bien le patron qui sait recevoir. Dîner puis soirée sympa avant gros dodo. Tu vas voir, la soirée va être superbe !
Nous traversons le parking à pied et entrons dans la grande salle du restaurant. Il y a du monde et c’est un peu bruyant. Philippe me demande de le suivre et nous nous installons à une grande table. S’adressant aux autres personnes déjà attablées, Philippe leur dit :
— Bonsoir tout le monde ! Je vous présente Hélène qui fait avec moi sa première expérience du monde des routiers. C’est son mari qui me l’a confiée jusqu’à demain soir.
Puis, se tournant vers moi et en me désignant successivement les personnes assises à nos côtés, il me dit :
— Hélène, je te présente Thierry, Richard et Noël. Ce sont d’excellents copains avec qui j’ai l’habitude de passer de bonnes soirées lorsque nous nous retrouvons ici.
Puis, s’adressant à celui qui se prénomme Noël, il lui demande :
— Alors Noël, toujours accompagné de jeunes filles pour tes voyages ?
Bien entouré de deux jeunes femmes - 25 ans environ – très sexy, aux formes généreuses largement accessibles aux regards, Noël répond :
— Oui, ce sont Juliette et Sandra que j’ai embarquées pour deux jours. Elles adorent les soirées avec les routiers.
Pour accompagner ses propos, il attire les deux filles à lui et les embrasse goulûment.
Le repas se passe bien, même si je ne comprends pas tous les échanges entre ces routiers. Certains quittent la salle aussitôt dîner et Philippe m’explique que ceux-là ont encore de la route à faire avant de s’arrêter pour la nuit. Et il ajoute en s’adressant à toute la tablée :
— C’est dommage pour eux, ils vont louper le dessert !
Il doit être près de 22h00 lorsque le patron du restaurant quitte le comptoir et se dirige vers la porte d’entrée de l’établissement. Il éteint les lampes extérieures et baisse le lourd volet de fer en annonçant :
— Mesdames et messieurs, l’établissement est maintenant fermé ; il faudra sortir par la petite porte latérale quand vous partirez. Mais vous pouvez encore profiter de la soirée...
Noël se lève alors de table et annonce à la cantonade :
— J’ai parlé des soirées « routiers » à Juliette et Sandra ; elles sont très intéressées !
Puis, s’adressant à ses deux voisines, il leur dit :
— A vous de jouer mesdemoiselles ! Mes copains n’attendent que ça !
Les deux jeunes femmes se lèvent, montent sur la table et commencent un petit numéro de striptease. Comme elles ne portent pas grand-chose, elles se retrouvent vites en petit string. Aussi rapidement, elles sont happées par de grosses mains viriles et se retrouvent allongées sur deux bancs de la salle. Les queues sont dégainées et voilà les deux filles bien entourées par ces routiers en rut. Il faut dire qu’ils sont sur la route depuis déjà 3 ou 4 jours et tous n’ont peut-être pas eu la chance de baiser depuis le début de leur tournée.
Philippe, assis à ma droite, a déjà une main remontée bien haut sur mes cuisses. Il la glisse un peu plus haut, la plaque sur le tissu de mon string puis se penche vers moi. Il me dit à l’oreille :
— Ta chatte est toute chaude et déjà bien moite. On dirait que le spectacle de ces deux jeunes salopes ne te laisse pas insensible.
Sa bouche se colle à la mienne, sa langue me fouille, m’interdisant de lui répondre. Il poursuit :
— Mes copains vont se mettre en jambes avec les deux copines de Noël, mais je sais qu’ils se réservent tous pour toi. Ils aiment les bourgeoises sexy et BCBG comme toi et ils savent que tu seras bien plus salope que ces deux gamines.
Il se lève et d’autorité, me prend par le bras pour m’entraîner avec lui. Nous nous dirigeons derrière le comptoir et il dit au patron :
— Roger, si cela ne te dérange pas, c’est Hélène qui va servir le café à tes clients. Je suis sûr que les gars vont apprécier.
Puis il me fait retirer mon chemiser et ma jupe. Comme je n’ai pas de soutien-gorge, je me retrouve les seins nus, simplement vêtue de mon petit string noir et de mon porte-jarretelles qui retient mes fins bas noirs. Perchée sur mes hauts talons, je fais très salope. Le patron se rapproche, me flatte la croupe de ses grosses paluches, glisse une main entre mes jambes et semble évaluer la qualité de la marchandise. Il dit à Philippe :
— Je vais lui donner un petit tablier blanc, cela fera plus professionnel.
Puis il ajoute :
— Moi, je me la réserve pour le digestif !
Une fois le tablier noué autour la taille, le patron me donne un plateau sur lequel sont posées des tasses et une grande cafetière. Il me donne ensuite une petite claque sur les fesses et me dit :
— Allez, au travail ! Et surtout, sois bien gentille et attentionnée avec mes clients. Ils te le rendront bien !

Il doit bien y avoir une dizaine de routiers dans la salle en plus des deux filles qui sont déjà bien prises en main. La blonde est empalée sur la queue d’un routier qui est allongé sur le banc et suce un autre gars qui se tient debout devant elle. La brune se tient quant à elle à quatre pattes sur le banc d’à côté. Un gros routier barbu et bedonnant la tient par les hanches et la besogne avec vigueur. Je ne sais pas s’il la baise ou s’il l’encule, mais ce que je sais, c’est que la fille gémit tout son plaisir pendant qu’un autre type se branle dans sa bouche.
Je slalome entre les tables et distribue les tasses que je remplis aussitôt du breuvage fumant. Tout en me remerciant pour le service, certains n’hésitent pas à me caresser les fesses, m’embrasser les seins ou me fouiller entre les jambes. Je m’attarde donc à chaque client pour qu’il puisse en profiter en peu avant de passer au suivant. J’ai l’impression d’être une serveuse dans un club libertin ; cela n’est pas pour me déplaire.
Quand j’arrive à la table de Philippe, ses deux copains Richard et Thierry m’interpellent aussitôt :
— Vous êtes très sexy dans votre tenue de serveuse !— Je dirais même plus, vous êtes une charmante soubrette !— On peut toucher ?
Sans attendre ma réponse, leurs mains se font très baladeuses et ils cherchent à bien me faire écarter les jambes. Histoire de les exciter, je cherche à leur interdire l’accès à mon entrejambes, mais ils sont costauds et je me retrouve vite bien accessible. Me voici maintenant debout entre les deux hommes qui me dévorent chacun un sein tout en me caressant les fesses d’une main et la chatte d’une autre. Je pose le plateau sur la table avant de défaire mon petit tablier blanc. Les deux hommes se lèvent et m’entraînent vers un banc libre. Thierry s’assoit et me place debout devant lui. Sa bouche s’active sur mes seins tandis qu’il me pelote outrageusement les fesses de ses mains calleuses. Richard est à genoux derrière moi et le voilà qui fait descendre mon string le long de mes jambes puis me le retire. Son visage collé contre mes fesses, il me fouille le sillon de sa langue râpeuse.
Moins de cinq minutes plus tard, je suis prise en sandwich par les deux routiers devant Philippe qui nous filme avec son téléphone portable. Il me dit :
— Ton mari peut ainsi suivre tes exploits en direct, il apprécie. Ah, je crois qu’il veut parler à mes deux copains !
Il met le haut-parleur et je reconnais aussitôt la voix de François :
— Allez-y, messieurs, profitez bien de ma femme, vous avez mon accord ! Et n’oubliez pas qu’elle adore le foutre.
Les deux hommes lui répondent :
— Merci de nous la prêter, vous en avez fait une sacrée salope !— Soyez rassurés, nous avons les couilles pleines et elle va être bien arrosée.
Effectivement, lorsqu’ils se répandent en moi, je dégouline de sperme, mais cela semble donner des idées aux autres routiers.
Pendant près de deux heures, je vais être prise par tous ceux qui le souhaitent et ils ne vont pas se gêner. Chaque partenaire souhaite essayer une nouvelle position et j’ai l’impression de n’être qu’une poupée gonflable entre les grosses mains de ces hommes. Je suce des queues, des queues me baisent et d’autres m’enculent. On me soulève comme un fétu de paille et on m’embroche sans que mes pieds touchent terre.
Par moments, j’ai l’impression d’être transpercée par une longue queue lorsque, bien tenue à quatre mains, une bite me baise tandis que j’en suce une seconde. On se masturbe sur moi, on me tripote les seins, on éjacule dans ma bouche, on me pelote les fesses, on m’arrose de foutre, on me sodomise encore, on se branle contre ma poitrine, on me baise de nouveau, on profite de tous mes orifices.
Petit à petit, vidés de toute énergie, les routiers quittent la salle les uns après les autres. Me voici maintenant seule avec Philippe et Roger le patron. Ce dernier m’attire à lui et me dit :
— Tu sais, il s’en est passé des soirées ici, mais je crois bien que ce soir, c’est la plus chaude ! Grâce à toi !
Philippe poursuit :
— Oui Roger, tu as raison ! Et les deux petites salopes de Noël n’ont pas tenu la distance comme Hélène.
Le patron ouvre sa braguette et en sort une grosse queue bien large. Il me fait pencher en avant sur le comptoir et me saisit par la taille. Il me dit :
— Bien trempée comme tu es, ça va bien se passer !
Effectivement, malgré la grosseur de sa bite, il investit sans difficulté les lieux et se met à me besogner avec force. Ses bourses cognent contre mes fesses et je tends la croupe en arrière pour qu’il me remplisse bien. Lorsqu’enfin il se vide en moi, je jouis de nouveau en recevant ses longs jets de foutre. Il m’oblige à me mettre à genoux devant lui pour bien lui nettoyer la queue et recevoir ses dernières gouttes de jus. Il me dit :
— J’espère vite vous revoir avec Philippe.

La nuit a été courte et le voyage du lendemain entre Dijon et Paris passe très vite. Une fois arrivés sur l’aire de repos de Ferrières à l’est de Paris, Philippe met un SMS à François qui se gare près du camion moins de cinq minutes plus tard. Je descends de la cabine avec mes affaires et mon mari les place dans le coffre de notre voiture. Comme je m’en doutais, François demande à Philippe :
— Voulez-vous en profiter une dernière fois avant que nous repartions ?
Philippe lui répond :
— Une salope comme votre femme, on ne s’en lasse jamais.
Il vient derrière moi, soulève ma jupe, écarte le tissu de mon string et me prend d’un coup sec. Tandis qu’il me besogne, François se place devant moi, sort sa queue et me la glisse en bouche.
— Tiens petite salope, suce puisque tu aimes ça !
me dit-il pendant que je le pompe.Les deux hommes jouissent en même temps et me voici de nouveau la bouche et la chatte pleines de foutre.Alors que nos repartons en voiture vers Paris pour rentrer chez nous, François me dit :
— Je vais te mettre au repos pendant quelque temps. Mais la reprise n’en sera que meilleure !
Je lui réponds :
— Chéri, je suis ta chose et tu peux faire de moi ce que tu veux.
Mais au fond de moi, je sais que je vais être rapidement en manque......
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