Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire zoo
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 115 J'aime
  • 7 Commentaires

La bourgeoise et le marabout

Chapitre 71

Echange de femelles (Partie 2/2)

Zoophilie
Tandis que je suis installée près de Marc Antoine, roulant vers je ne sais quelle destination, j’imagine mon mari François partageant Marie-Henriette avec ses trois copains de régiment. Avant de les quitter, Marc Antoine a pu vérifier que sa mère n’allait pas décevoir mon mari. En une petite demi-heure, après avoir sucé successivement les quatre compères, elle s’est fait prendre et enculer sans rechigner. Je ne doute pas qu’en ce moment, alors que nous approchons de notre but selon mon conducteur, les quatre assaillants ont repris des forces à coup de petites pastilles bleues et qu’ils ont repris leurs ébats.
Les connaissant relativement bien pour avoir été leur femelle il y a déjà quelques mois, je sais que la mère de Marc Antoine est en train de connaître quelques doubles pénétrations dont les quatre amis ont le secret. Mais n’est-ce pas pour une telle après-midi de débauche et de perversion que le fils a livré sa mère à François ? N’est-ce pas pour la dépraver et l’avilir que le fils a éduqué ainsi sa mère ?
Marc Antoine interrompt mes réflexions.
— Très chère Hélène, nous voici arrivés ! Je ne doute pas que vous allez être aussi dévouée que ma mère. Vous ne le regretterez pas !
Une fois la voiture garée, Marc Antoine m’entraîne vers une grande demeure bourgeoise où nous pénétrons par un perron décoré de grandes vasques Médicis garnies de géraniums odorants. A peine la porte franchie, nous sommes accueillis par un homme assez surprenant, la cinquantaine, à l’air jovial. Surprenant, car il porte un monocle et le bas de son visage est barré de grosses moustaches en guidon de vélo. Il est habillé d’un costume en velours côtelé, veste grande ouverte sous laquelle on peut voir une chemise blanche et un gilet gris dans la poche duquel se trouve une montre gousset en argent. Il est chaussé de bottes d’équitation en cuir, voilà vraiment un personnage surprenant. Marc Antoine nous présente.
— Hélène, je vous présente mon ami le comte Charles Henri de la Villehuchet. Charles Henri, voici Hélène l’épouse d’un excellent ami.
D’une voix rauque, l’étrange personnage se penche, saisit doucement ma main, la porte à ses lèvres et y dépose un baiser. Puis il me dit.
— Je suis ravi de vous rencontrer Hélène. Marc Antoine, qui partage ma passion pour les chevaux et les jolies montures, m’a déjà raconté dans quelles circonstances vous vous êtes rencontrés. J’espère que l’après-midi que nous allons passer ensemble vous sera des plus agréables.
Puis il poursuit.
— Dans l’immédiat, nous allons prendre un café puis je vous ferai visiter les écuries.

Quelques instants plus tard, nous sommes installés dans de profonds fauteuils anglais dans un petit salon où, bien qu’il ne fasse pas froid, un bon feu flambe dans une petite cheminée d’angle. Devant le foyer, sur un épais tapis de mohair, un superbe lévrier afghan est allongé. Le maître de maison agite une petite cloche posée sur la table basse et, quelques secondes après, une jeune servante arrive dans la pièce. S’adressant à elle, Charles Henri lui dit:
— Odette, apportez-nous trois cafés et deux verres de cognac.
Une fois la jeune femme repartie, notre hôte me dit:
— Hélène, je préfère ne pas vous obliger à boire un cognac comme nous. Je ne voudrais pas que vous perdiez la tête.
Une fois les boissons servies et la servante repartie aux cuisines, Charles Henri nous parle de son domaine et de ses chevaux. Je l’écoute sagement tandis que Marc Antoine entretient la conversation. Lorsque les deux hommes ont terminé leur café et prennent leur verre de cognac, Chales Henri me dit:
— Hélène, il semblerait que vous adoriez les animaux autant que les hommes. Vous avez bien raison !
Puis, il enchaîne:
— Approchez-vous de moi s’il vous plaît. Je voudrais vous voir de plus près !
Je me lève de mon fauteuil et m’approche du sien. Il retire une cravache glissée dans sa botte droite et, la tenant fermement d’une main, il soulève ma jupe avec le bout de la cravache. Comme j’ai une jupe légère, il n’a aucun mal à remonter le tissu jusqu’à mon pubis et à dévoiler ainsi mon entrejambe. Comme ce coquin de Thierry - qui devait certainement être au courant des manies de son ami – m’a fait mettre un petit string largement fendu devant et derrière, Charles Henri a tout loisir de regarder ma chatte ainsi offerte à son regard. Après avoir réajusté son monocle, il dit à Marc Antoine.
— Elle a une superbe chatte, bien dessinée et bien fendue. C’est parfait !
Puis cette fois-ci, il écarte délicatement mon sexe avec le bout de sa cravache et fait quelques mouvements de va-et-vient. Il poursuit ses commentaires à l’attention de Marc Antoine.
— Elle semble mouiller très vite et réagit parfaitement au moindre attouchement. Quel bonheur de voir une femelle aussi sensible !
Satisfait de ce premier examen, il me dit:
— Très chère, veuillez maintenant retirer votre jupe et votre chemisier. Je suis impatient de poursuivre mes observations.

Quelques instants plus tard, je suis en bottines de cuir, simplement vêtue de mes bas autofixants, de mon string fendu et d’un bustier de cuir largement découpé au niveau des seins et qui descend jusqu’à la hauteur du nombril. Toujours de l’extrémité de sa cravache, il remonte de ma chatte à mes hanches, puis jusqu’au nombril et enfin il joue avec la pointe de mes seins. Ainsi exhibée devant ces deux hommes au regard vicieux, je fonds littéralement et la pointe de mes seins durcit rapidement sous l’action de la cravache qui m’effleure les aréoles.Charles Henri s’en est bien évidemment aperçu.
— Marc Antoine, regardez comme elle réagit déjà ! Les seins dressés et la chatte trempée, ce sont là des réflexes de belle salope où je ne m’y connais pas.
Son ami lui répond.
— Oui cher ami, vous avez raison. Lors de notre rencontre à la soirée des Centaures, j’ai tout de suite remarqué combien elle avait un fort potentiel.
Le maître de maison poursuit.
— Hélène, mettez-vous à quatre pattes sur le tapis devant la cheminée. Marc Antoine et moi-même allons prendre notre cognac pendant que vous nous offrez un petit aperçu de vos talents. N’ayez aucune crainte, tout est sous contrôle !
En ondulant de la croupe pour les exciter davantage, je me dirige vers la cheminée et je reste quelques secondes debout, leur tournant le dos. J’écarte légèrement les jambes et j’imagine leur regard fixé sur ma croupe et le sillon de mes fesses. Très lentement, je me penche en avant puis me mets à quatre pattes comme demandé. Je me positionne maintenant de profil pour qu’ils puissent bien me voir. C’est à ce moment-là que Charles Henri décide de lancer le jeu en disant.
— Allez Kozak, à toi de jouer.

En entendant son maître prononcer son nom, le lévrier afghan se lève et vient vers moi. Il commence par faire un tour complet en me regardant de ses grands yeux. Il disparaît ensuite de mon champ de vision et c’est en sentant son souffle chaud sur mes fesses que je comprends qu’il est juste derrière moi. Ne sachant nullement ce qui m’attend, mais le devinant, les battements de mon cœur s’accélèrent. Je comprends ensuite que le chien vient de coller sa truffe froide et moite tout contre moi. Puis sa langue râpeuse s’insinue entre mes fesses, se glisse dans mon entrejambe et me lèche le sexe. J’ai le réflexe de resserrer les jambes, mais un léger coup de cravache et la voix du maître de maison me rappellent à l’ordre.
— Allons Hélène, ne jouez pas à la sainte-nitouche. Nous sommes entre connaisseurs.
Marc Antoine poursuit:
— Bien sûr que ce n’est pas la première fois. François son mari m’a dit qu’elle fréquentait parfois les chenils de la région parisienne. C’est une vraie chienne que nous avons là !
Oui ils ont raison, je suis une chienne et cela n’est pas pour me déplaire. Me souvenant des plaisirs bestiaux que j’ai connus avec Grégor et son chien Stark, j’ouvre en grand le compas de mes jambes et aussitôt la truffe froide de Kozak se plaque contre mon pubis. Il me lèche à grands coups de « Slurp » et la pointe de sa langue va tout au fond de ma vulve, là où aucun homme n’a réussi à aller lors des nombreux cunnilingus qui m’ont été prodigués. Ce premier orgasme est foudroyant, mon sexe est trempé, mes seins durs comme du bois et des spasmes de plaisir irradient mon bas-ventre. Je m’écroule le visage au sol dans mes bras, la croupe toujours bien dressée vers le ciel.
Le chien doit être habitué à ce genre d’ébats, car, profitant de la position dans laquelle je suis, il se dresse sur ses pattes de derrière et plaque ses pattes de devant sur mon dos. Ainsi maintenue, je ne peux plus redresser le buste et je suis contrainte de rester prosternée devant la cheminée. A ses mouvements un peu désordonnés, je comprends vite que Kozak cherche à me prendre. Je sens son bas-ventre poilu contre mes fesses et bien vite son long sexe se glisse entre mes jambes. Son gland rouge et déjà visqueux coulisse le long de ma fente, mais il n’arrive pas à trouver l’entrée de ma grotte. Ses mouvements rapides sur mes lèvres intimes et mon clito m’excitent au plus haut point ; je suis en transe et j’ai besoin d’être baisée comme une chienne. Je glisse ma main droite entre mes jambes et j’appuie sur son gland. Les frottements de sa queue sur mon clito sont plus forts et la jouissance commence déjà à me gagner.
J’appuie encore un peu plus fort sur son gland, l’obligeant à emprunter le conduit qui mène au fond de ma vulve. Enfin, le voilà en moi ! L’animal vient de comprendre qu’il a enfin investi la chienne que son maître lui offre. Il se dresse un peu plus sur ses pattes de derrière de manière à mieux se souder à mon groupe. Il s’agite de manière frénétique entre mes jambes et j’ai la sensation qu’il va me transpercer de part en part. Soudain, je sens comme un ballon qui gonfle en moi, son nœud est en train de grossir et nous allons être bientôt verrouillés l’un à l’autre. Ce n’est pas la première fois, mais j’ai toujours un peu d’appréhension. Je sais que c’est normal avec un chien, il se verrouille avant de m’inonder de son foutre et qu’il se déverrouille de lui-même quelques minutes après le coït. Mais à chaque fois, je me demande ce qui se passerait s’il se bloquait en moi sans pouvoir se retirer. Je nous vois mal demandant à un vétérinaire de venir régler le problème.
Mais voilà que Kozak se vide longuement en moi tout en continuant à me besogner avec vigueur. Son maître l’encourage de la voix.
— C’est bien mon chien, remplis bien cette chienne.— Cela fait longtemps que tu ne t’es pas amusé ainsi, profite mon chien.
Puis, s’adressant à Marc Antoine, il lui dit.
— Cher ami, faites donc deux ou trois photos d’Hélène et envoyez-les à son mari. Je ne doute pas qu’il appréciera !
Une fois remplie de tout le foutre de l’animal, je m’écroule sur le tapis et j’attends patiemment qu’il se retire.
Une petite demi-heure plus tard, remise de mes émotions et habillée de nouveau, j’accompagne les deux hommes pour une petite visite guidée des écuries. Ca sent bon le foin, la paille, le cuir et l’animal. Un long couloir s’ouvre devant nous, il est bordé de stalles de chaque côté dans lesquelles se tiennent les chevaux de Charles Henri. Ce dernier est vraiment un passionné, car il nous parle de ses bêtes comme s’il s’agissait de ses enfants. Il y a là des étalons, des hongres et des femelles et notre hôte nous décrit les qualités de chacun. Arrivé au bout du couloir, Charles Henri nous dit:
— Je vais maintenant vous montrer la perle de mon haras. Suivez-moi !
Nous quittons cette première écurie et traversons la sellerie où on trouve les selles, les flets et les rênes, les tapis de selles et tous les autres équipements de harnachements. Nous débouchons maintenant sur une grande et haute pièce où sont stockées les bottes de foin et de paille. Puis, après une porte en bois, nous arrivons dans un grand box où un superbe cheval gris – un anglo-arabe selon notre guide - est en train d’être nourri par un palefrenier. Charles Henri lui demande.
— Alors Grégoire, comment se porte Dardacier aujourd’hui ?
L’homme, qui doit bien faire près d’un mètre quatre-vingt et pas loin de cent kilos, lui répond aussitôt:
— Il est en pleine forme Monsieur le Comte. Ce matin, il a mangé toute sa ration d’avoine et de granulés. Je viens juste de lui mettre du bon foin pour ce soir.
Charles Henri poursuit:
— C’est parfait Grégoire. Nous allons lui offrir un peu de plaisir pour lui changer les idées.
Puis il rajoute :
— Apportez-nous donc une autre botte de foin et une couverture. Notre amie Hélène, ici présente, a envie de s’allonger un peu.
Le palefrenier, qui doit certainement être au service de son maître depuis son plus jeune âge, semble avoir parfaitement compris de quoi il s’agit, car il rit à gorge déployée et s’exclame :
— J’y cours Monsieur le Comte. Je ne doute pas que cette jolie dame a envie de se mettre à l’aise.
Quelques instants plus tard, il est de retour avec ce qu’on lui a demandé. Il pose la botte de foin en plein milieu du box, plie en quatre la couverture et la pose délicatement dessus. Se tournant maintenant vers moi, Charles Henri me dit.
— Hélène, si vous voulez bien retirer de nouveau votre jupe et votre chemisier. Grégoire va ensuite vous aider à vous allonger sur ce lit que je sais un peu sommaire.
Me voici de nouveau en lingerie ; Grégoire s’approche de moi, pose ses grosses mains calleuses sur ma taille et me soulève sans le moindre effort. Il se dirige ensuite vers la botte de foin et m’allonge avec délicatesse. Ensuite, après que le comte lui ait fait un petit signe de la main, il soulève mes jambes et les pose sur ses larges épaules. Voyant son regard lubrique, je pense qu’il va baisser son pantalon et me prendre, mais il n’en fait rien. Il penche son visage vers mon bas-ventre, me renifle et lance à son maître.
— Cette jolie bourgeoise sent la chienne ! J’imagine que Kozak s’est déjà bien occupé d’elle.
Puis il prend mon string à deux mains et le fait glisser le long de mes jambes avant de le glisser dans sa poche.Charles Henri lui dit:
— Garde bien son string. Tu pourras te branler ce soir en reniflant son doux parfum de salope. Mais en attendant, tu sais ce que tu dois faire.

Du coin de l’œil, je vois Grégoire se diriger vers le cheval et lui mettre un filet sur le museau de manière à pouvoir le prendre en main et le guider. Tout en le rapprochant de moi, le palefrenier veille à calmer l’animal en lui parlant et en lui flattant les flancs de sa main libre.
— Tout doux Dardacier ! C’est bien !
Le poitrail de l’animal est maintenant au-dessus de moi et ses antérieurs sont situés de chaque côté de la botte de foin sur laquelle je suis allongée. Grégoire fait encore avancer le cheval tout en continuant à lui parler.
— C’est bien mon beau ! Doucement !
Charles Henri lui dit alors:
— C’est parfait Grégoire, ça suffit ! Maintenant Marc Antoine va le tenir pendant que vous le chauffez un peu.
Marc Antoine, qui semble être un habitué de ce rituel, se saisit fermement du licol. Grégoire s’empare d’un vieux chiffon que lui tend Monsieur le Comte et l’agite devant les naseaux de Dardacier qui commence aussitôt à s’agiter et à hennir. Charles Henri me dit:
— C’est un chiffon imbibé de l’urine d’une jument en chaleur. C’est parfait pour stimuler l’ardeur de l’étalon.
Le cheval est au-dessus de moi, c’est beaucoup plus impressionnant que le poney qui m’a sailli lors de la soirée des Centaures. Pour me rassurer, Marc Antoine me dit.
— N’ayez crainte Hélène, tout va bien se passer ! Charles Henri a souvent offert ma mère à son étalon et cela s’est toujours bien passé. La preuve c’est qu’elle revient régulièrement ici !

Je sens maintenant comme un gourdin qui s’agite entre mes jambes. Grégoire connaît bien la procédure à suivre, car je devine qu’il vient de se saisir du sexe de Dardacier pour le guider. Une boule humide et froide se frotte contre ma vulve, cela me rappelle le gland de Kozak, mais en plus gros. Pour bien me préparer à cet accouplement contre nature, Grégoire frotte le gland de l’animal contre ma chatte afin de bien m’exciter. C’est le moment que choisit Charles Henri pour s’approcher de moi. Il se débraguette, glisse son sexe dans ma bouche et sa main libre s’empare de mes seins. Il me dit:
— C’est bien ma belle pouliche. Décontractez-vous !
Je le suce avec application tandis qu’il me pince l’extrémité des seins. La peur d’être éventrée par l’étalon me quitte et je ne suis plus maintenant qu’une salope qui ne pense qu’à son plaisir. Je ferme les yeux, me concentre sur cette bite qui gonfle dans ma bouche. Mon bas-ventre se décontracte et lentement l’énorme bite me pénètre millimètre après millimètre. La main de Grégoire a quitté le sexe de l’animal et s’est posée sur mon clito qu’il branle avec douceur. Toutes mes peurs s’envolent et mon corps n’est plus que le réceptacle du plaisir de l’animal et des hommes qui m’entourent.
Ma vulve se dilate, mes chairs s’ouvrent et j’ai l’impression d’être empalée sur un énorme sexe-toy. Mais je ne ressens aucune douleur, seulement une excitation intense. Charles Henri se répand dans ma bouche et se retire ; j’avale tout. Dardacier est maintenant tout au fond de moi et son énorme sexe a fini de me dilater. Une fois que je suis habituée à cet énorme braquemart qui me possède, je commence à onduler de la croupe pour mieux en apprécier la dimension. Le cheval semble comprendre qu’il peut commencer à s’agiter en moi et le voilà qui me besogne comme l’a fait le chien tout à l’heure. A leurs commentaires, je comprends que les trois hommes sont fiers de moi, à moins que ce ne soit du cheval.
— Ca y est ! Tout est entré !— Oui Monsieur le Comte. Et Madame a l’air d’apprécier cela !— J’envoie une photo à son mari. Il ne va pas en revenir !— Regardez comme elle y prend du plaisir ! Quelle superbe pouliche !— Oui, c’est un bonheur de voir son plaisir !
Ma vulve est maintenant bien distendue et le sexe de l’étalon coulisse maintenant en moi comme un glaive d’acier dans son fourreau bien huilé. Je n’ai jamais éprouvé une telle impression, la moindre partie de ma vulve - de l’entrée jusqu’au fond - réagit aux pénétrations répétées de ce gourdin de chair qui m’obligent à respirer la bouche grande ouverte pour ne pas m’évanouir sous les ondes de plaisir qui m’irradient tout le corps.Soudain, Dardacier émet un long gémissement et Charles Henri s’écrie.
— C’est bon, il va l’inséminer de tout son foutre.
En effet, de longs jets d’un liquide bouillant se déversent dans mon ventre et je pousse un long gémissement de satisfaction.
Lorsque l’animal se retire, guidé par Grégoire qui a repris les rênes, je reste allongée sur la botte de foin comme un pantin désarticulé. Le sperme du cheval s’écoule de ma chatte en longs filets liquide. Charles Henri et Marc Antoine se rapprochent de moi. Le premier dit au second.
— Quelle jouissance ! Sa chatte en reste grande ouverte.
Le second lui réplique:
— Oui, elle a vraiment réagi comme une superbe pouliche en chaleur. Son sexe ne se refermera que d’ici deux ou trois jours.
Je reste ainsi une bonne dizaine de minutes avant que Grégoire ne m’aide à me redresser et à me rhabiller. J’ai un peu de mal à marcher tellement mon entrejambe a fait des efforts pour s’adapter à cette saillie animale. Nous regagnons le salon où le maître de maison nous offre une petite collation avec du champagne. Il me dit:
— Hélène, trinquons à cette première ! Je serai ravi de vous revoir dans quelque temps, accompagnée de votre mari.
Dix minutes plus tard, nous roulons en direction de Paris et c’est vers 19h30 que nous arrivons à notre appartement. Les trois copains de régiment de François ont disparu ; ce dernier est seul avec Marie Henriette. Au moment de repartir avec son fils, Marie Henriette me fait la bise et me dit à l’oreille.
— Nous nous reverrons peut-être bientôt à une nouvelle soirée Centaures.

Je suis tellement épuisée et rassasiée que je me mets au lit sans dîner. Lorsque François me rejoint dans la couche conjugale, je suis déjà endormie. Il ne va pas me prendre pendant quelques jours, mais je sais pourtant qu’il est impatient de le faire.....
Diffuse en direct !
Regarder son live