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La bourgeoise et le marabout

Chapitre 75

Soirée "Canilingus et plus si affinités" ...

Zoophilie
Depuis notre soirée candaulisme avec les quatre jeunes étudiants des Beaux-Arts il y a deux semaines, François est resté relativement sage. Je le suce de temps en temps au réveil ou au coucher et il me baise à la va-vite. Cela apaise ses envies et calme un peu les miennes même si je reste un peu sur ma faim. Je me demande donc si je ne vais pas m’offrir un petit extra en allant voir mon marabout ou en traînant du côté de Pigalle.C’est finalement ce mercredi en fin de journée que je me décide en sortant du travail. Les soldes ont commencé il y a déjà quelques jours et voici l’occasion rêvée d’aller à Pigalle pour quelques achats coquins. Sitôt sortie du bureau dans le IXème, je fonce vers le métro et, moins de quinze minutes plus tard, je suis boulevard de Clichy. Au lieu d’aller au hasard, je me dirige vers la boutique de monsieur Robert que je connais depuis mes premières consultations chez monsieur Coulibadou. A peine suis-je entrée dans la boutique que l’intéressé m’accueille avec un grand sourire— Bonjour Hélène, je suis ravi de vous revoir. Il y a bien longtemps que vous n’êtes pas venue me voir. Avez-vous rendez-vous avec mon ami Coulibadou en repartant d’ici ?Je regarde ce petit homme bedonnant qui a toujours un éclair de perversité dans le regard. Il doit bien avoir la soixantaine, un peu rougeaud, le crâne dégarni et court sur pattes. Il a vraiment le look approprié pour tenir un sexe shop ! Je lui réponds d’une voix sensuelle— Non pas du tout monsieur Robert. Je viens spécialement chez vous pour profiter des soldes ; histoire de surprendre mon mari par quelques nouvelles tenues.Tout en me déshabillant de ses petits yeux porcins, il me dit— Je suis certain que vous allez trouver chez moi tout ce qu’il vous faut. Suivez-moi, je vais vous montrer quelques tenues coquines à des prix sacrifiés.Je ne doute pas un instant qu’il a envie de me mater et je décide de jouer le jeu. Cela va mettre un peu de piquant à cette sortie ! Monsieur Robert m’entraîne au fond de sa boutique et nous prenons le petit escalier qui mène au sous-sol. Pour me rassurer, il me dit— Vous allez voir, c’est ma réserve, une vraie caverne d’Ali Baba. Je suis certain que vous allez y trouver votre bonheur.Une fois en bas, je découvre que c’est en fait un véritable capharnaüm avec des portants chargés de lingerie dans tous les sens et des cartons entrouverts dans tous les coins. Mon guide me précise tout de suite— Oui Hélène, je sais que ce n’est pas très bien rangé mais moi je m’y retrouve. Dîtes moi ce que vous cherchez et je vous le trouve tout de suite.Je lui réponds— Vous me semblez bien prétentieux ! Cela m’étonnerait fort que vous vous y retrouviez dans tout ce bazar.Il me lance alors un défi— On va jouer si vous voulez ! Si je ne trouve pas ce que vous cherchez, vous me donnez un gage. Si je trouve, c’est moi qui vous donne le gage.La situation m’amuse et même si cela dégénère un peu, ce n’est pas pour me déplaire. Même s’il est loin d’être un apollon, je suis certaine que c’est un vicieux qui sait y faire. Je lui réponds donc— C’est entendu ! J’accepte le jeu ! Pendant les minutes qui suivent, je lui demande de me trouver un soutien-gorge rouge demi bonnets puis un serre taille en dentelle noire et enfin un petit string fendu rouge. Aussi surprenant que cela puisse paraître, il me trouve successivement les trois effets en moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire. En trois gages successifs, je me retrouve dans ce sous-sol parée de cette lingerie qu’il vient de m’extirper du fond des cartons. Ainsi habillée – ou devrais-je dire déshabillée - perchée sur mes talons hauts et les jambes gainées de mes bas couleur chair, je suis convoitée du regard par monsieur Robert qui est encore plus rouge qu’à mon arrivée et qui respire avec peine.Je m’approche de lui puis, d’une voix suave en le regardant droit dans les yeux, je lui dis— Monsieur Robert, baisez moi ! Je suis en manque depuis quelques semaines.
Il ouvre grand la bouche mais aucun son n’en sort. Quelques secondes plus tard, je suis allongée sur quelques cartons et monsieur Robert se cale entre mes jambes. Il ouvre sa braguette, en sort une queue bien épaisse déjà bandée, écarte mon string et me prend. Pas de préliminaires, on passe directement aux choses sérieuses.Le voici qui me besogne en suant à grosses gouttes et en ahanant comme un forçat. Sa bite a encore gagnée en épaisseur et il m’éventre presque. Heureusement que je suis habituée à prendre de gros calibres de temps en temps !Cinq minutes plus tard, il se retire et se répand sur mon ventre. Cinq nouvelles minutes plus tard, je quitte la boutique sans avoir eu à payer mes achats. J’adore les soldes ! Lorsque j’arrive à la maison, François est déjà là. Il est installé au salon et sirote un petit whisky en regardant une émission politique à la télévision. Il me dit— Marie-Henriette a téléphoné. Elle demande à ce que tu l’a rappelles.Surprise, je lui rétorque— C’est qui Marie-Henriette ?Il me répond— Tu sais bien, c’est la mère de Marc Antoine ! Nous les avons rencontrés à la soirée Centaures il y a déjà plusieurs mois et il t’a récemment emmenée à la campagne chez l’un de ses amis pendant que je partageais sa mère avec mes trois copains de régiment. Me remémorant ces belles sorties libertines zoophiles, je vais dans notre chambre pour téléphoner tranquillement.Je discute une bonne dizaine de minutes avec Marie-Henriette puis je reviens auprès de François dans le salon. Devant son regard interrogateur, je lui dis— Marie-Henriette souhaiterait savoir si vous voulons les accompagner samedi soir, elle et son fils, à un dîner un peu olé-olé dans une auberge en vallée de Chevreuse.François me demande alors— C’est olé olé comment ce dîner ?Je lui réponds— C’est Marc Antoine qui a eu les coordonnées de l’organisateur et il tient absolument à y emmener sa mère. Marie-Henriette me semble toute excitée à l’idée d’être une nouvelle fois le jouet de son fils. Elle apprécierait fort que nous soyons avec eux pour faire une table de quatre. François jubile et est déjà tout excité— Si l’idée vient de son fils, cela doit être bien olé olé ! Dis lui que nous sommes d’accord et que nous passerons les prendre avec notre voiture.Quelques instants plus tard, tout est calé pour cette soirée de samedi. Il est à peine 20h00 lorsque nous nous garons devant l’hôtel particulier de Marie-Henriette. François passe un petit coup de fil et aussitôt voici Marc Antoine et sa mère qui franchissent l’imposant perron et embarquent avec nous. Marc Antoine s’installe à l’avant tandis que Marie-Henriette se cale près de moi à l’arrière.Pendant le voyage, les deux hommes à l’avant parlent de politique. A l’arrière, nous discutons à voix basse de tout et de rien. Soudain, Marie-Henriette se penche vers moi et me dit que son fils lui a demandé d’être très sexy pour lui faire honneur. Elle écarte légèrement les pans de son manteau et me dévoile une robe noire largement fendue sur les deux côtés. On peut apercevoir la lisière de ses bas noirs et on devine qu’elle porte un string rouge. Le décolleté est particulièrement osé car elle porte un soutien-gorge demi bonnets qui met en valeur son opulente poitrine. Elle me dit tout bas— Marc Antoine adore quand je suis sexy. Comme vous l’avez déjà compris, lors de nos sorties, je suis sa salope et non sa mère ; il est mon amant et non mon fils. C’est très immoral et très décadent mais c’est diaboliquement bon.Je déboutonne mon trench coat et lui montre que je suis en cuissardes avec une mini jupe écossaise. J’ai mis des bas auto fixant et, soulevant légèrement le tissu écossais, je lui montre que je porte un petit string fendu rouge. Je me penche à mon tour à son oreille et je lui dis— C’est un ami qui tient une boutique à Pigalle qui m’a récemment offert ce string. Si vous souhaitez un jour y aller, je vous donnerai son adresse.Elle me répond— Pourquoi pas ! Mais en général Marc Antoine n’aime pas trop que je fasse des sorties coquines sans lui.A voix très basse, je lui souffle— Moi je m’accorde régulièrement quelques extras. Mais François n’est pas jaloux !Nous n’avons pas le temps de poursuivre la conversation car nous arrivons à destination. François gare la voiture entre une Jaguar et une Mercedes et nous nous dirigeons tous les quatre vers l’entrée de l’auberge. Une fois à l’intérieur, nous passons au vestiaire pour y laisser nos manteaux puis une jeune serveuse nous guide vers notre table. Nous nous installons et un serveur nous apporte aussitôt du champagne et des petits fours. Il y a une douzaine de tables réparties en cercle autour d’une sorte de piste de danse. Cinq ou six tables sont occupées pas quatre convives et toutes les autres accueillent des couples. Lorsque tout le monde est installé, un homme vient au milieu de la salle et annonce qu’il est possible de danser en attendant que les entrées soient servies. François nous ressert du champagne tandis que le haut parleur commence à diffuser une valse musette. François invite Marie-Henriette et Marc Antoine m’entraîne sur la piste. Tout en valsant, il me dit— Hélène, vous êtes superbe ! Je suis ravi que ma mère vous ait demandé de nous accompagner.Je lui réponds— Tout le plaisir est pour moi et François. Votre mère et vous êtes d’une compagnie très agréable.Lorsque la danse est terminée, il me raccompagne à ma chaise tout en me flattant ostensiblement la croupe. Alors que nous en terminons avec l’entrée, un mille feuilles de saint Jacques et betteraves servis avec un excellent Chablis, l’organisateur passe de table en table et remet un petit papier à chacune des femmes présentes. Lorsqu’il est à notre niveau, il remet le mot à Marie-Henriette et à moi-même en nous précisant que nos deux hommes ne doivent pas en prendre connaissance. S’adressant à François, Marc Antoine lui dit— C’est certainement pour que ces dames se préparent pour le clou de la soirée.Sa mère lui répond avec un grand sourire— Peut-être as-tu raison, chéri ! Mais le petit mot précise qu’il n’y a rien d’obligatoire.Je prends alors le relais en ajoutant— Tout à fait Marie-Henriette. Et ces deux messieurs seraient alors bien embêtés !Cette fois-ci, c’est une rumba que diffuse la sono et François m’entraîne sur la piste tandis que Marc Antoine entraîne sa mère. Tout en dansant, je remarque que Marc Antoine caresse la croupe de sa mère et ne se gêne pas pour l’embrasser à pleine bouche. D’où je suis, il me semble qu’elle lui rend le baiser et que cela dure un certain temps.François me dit à l’oreille— Tu es superbe chérie ! Beaucoup d’hommes te matent et cela est très excitant.Je lui réponds— Cela m’excite d’être maté et de savoir que cela te plait. La danse finie, les couples retournent vers leurs tables respectives. Alors que je vais m’asseoir, Marie-Henriette me dit— Hélène, voulez-vous bien m’accompagner ? Je dois aller me remettre du rouge à lettres, mon fougueux fils m’a dévoré les lèvres.Une fois que nous sommes éloignées de notre table et tout en nous dirigeant vers les toilettes, elle me dit— Ne pensez-vous pas que nous pourrions participer au clou de la soirée ? Nos hommes en seraient ravis !Je rejette un coup d’œil sur le petit papier et je lui réponds— Pourquoi pas ! Nous nous limitons au canilingus ou bien nous acceptons le grand jeu ?Elle me fait un grand sourire et me dit— Nous déciderons le moment venu si vous voulez bien.Dans les toilettes, nous trouvons les petits pots en verre comme expliqué sur le papier.Nous ressortons ensemble des toilettes quelques minutes plus tard et Marie-Henriette me dit alors— Hélène, rejoignez la table sans moi. Je vais passer dire quelques mots à l’organisateur de la soirée.Je la regarde avec surprise mais je ne cherche pas à comprendre. Je lui réponds— Pas de souci Marie-Henriette, je pars devant.Lorsque j’arrive à la table, un filet mignon aux pommes et au cidre est déjà servi dans les assiettes. François est en train de remplir les verres d’un Morgon rouge. Il me dit— Assieds toi chérie et goûte moi cet excellent vin.Marc Antoine me demande où est sa mère mais je n’ai pas le temps de lui répondre que cette dernière revient à table et reprend sa place en face de moi en me faisant un clin d’œil discret. Avant de savourer le plateau de fromages accompagné de salade, nous avons droit à une nouvelle danse. Cette fois c’est un cha-cha-cha mais ni François ni Marc Antoine ne savent le danser. Voici maintenant l’heure de savourer le dessert, une aumônière de fruits exotiques avec une boule de glace vanille. Une nouvelle bouteille de champagne est posée sur chaque table et François s’empresse de nous servir. Marie Henriette me semble un peu guillerette après ce dîner bien arrosé. Je crois être dans le même état.L’organisateur de la soirée refait alors son apparition et prend la parole— J’espère que vous avez toutes et tous apprécié ce dîner préparé par notre chef. Les vins et le champagne ont quant eux été sélectionnés par notre sommelier. Je vous demande de les applaudir bien fort.Après un tonnerre d’applaudissements et de « Bravo », l’homme reprend la parole— Maintenant, nous allons procéder à un petit jeu qui va constituer le clou de notre soirée « Canilingus et plus si affinités ».Puis il nous explique que, suite à la distribution du petit mot, quelques femmes se sont portées volontaires pour le jeu final. Cependant, toutes ne pourront pas participer car il va y avoir un tirage au sort pour déterminer celles qui auront la chance de jouer. Tous les hommes restent suspendus aux lèvres de l’organisateur qui annonce qu’il va faire procéder à l’installation de la salle pour la suite de la soirée.Les quatre serveurs reviennent alors dans la pièce. Deux portent des poufs en cuir qu’ils installent au milieu de la piste de danse ; les deux autres tiennent en laisse quatre chiens et se positionnent près du couloir qui mène aux cuisines. Une fois que tout est prêt, l’organisateur revient au centre de la salle avec un panier dans lequel se trouvent des petits pots de verre. Il reprend la parole— Mesdames, huit d’entre vous se sont portées volontaires. Comme demandé dans le petit papier distribué en cours de repas, ces huit volontaires sont venues me voir pour me remettre leur string dans l’un de ces petits pots de verre, hermétiquement fermés, contenus dans ce panier.Tout l’auditoire retient son souffle en attendant d’en savoir plus. Le gentil organisateur poursuit— Je vais tirer au hasard l’un de ces pots et je vais l’ouvrir pour le faire sentir à l’un des chiens. L’animal devra alors partir en quête de la propriétaire du string. Si celle-ci est retrouvée par le chien, elle pourra alors choisir la manière dont elle récompensera l’animal. Elle peut se contenter de lui accorder un simple canilingus en écartant bien ses jambes ou bien venir sur l’un des poufs au milieu de la salle pour lui accorder plus si affinités.A notre table, les deux hommes sont ravis des règles du jeu. Marc Antoine se tourne vers sa mère et lui demande— Mère, j’espère que tu t’es portée volontaire pour ce petit jeu !François m’interroge également— J’espère que toi aussi Hélène !Marie-Henriette leur répond d’une voix malicieuse— Messieurs, vous ne le saurez que si l’une ou l’autre de nous deux est tirée au sort ! L’organisateur reprend la parole— Nous allons commencer le jeu avec Brutus, un berger allemand de six ans particulièrement doux. Je vais maintenant prendre au hasard l’un des pots.Tout le monde retient son souffle pendant que l’homme prend l’un des pots de verre et se dirige vers les serveurs. Il ouvre le pot et en fait respirer le contenu à Brutus. Celui-ci plonge sa truffe dans le petit récipient et s’enivre des senteurs du string placé à l’intérieur. Il aboie un peu et agite la queue.L’homme reprend le micro et annonce— Brutus semble prêt. Antony, tu peux le libérer !A peine le serveur a-t-il détaché le chien que ce dernier se dirige vers la table la plus proche de lui et se glisse dessous. Tout le monde peut alors voir que l’animal glisse la tête entre les jambes de la femme assise à la table, hésite un peu, replonge la tête entre les jambes qui s’écartent un peu plus puis se dirige vers la table suivante.L’organisateur encourage son chien de la voix pendant qu’il se glisse de table en table— Vas-y Brutus, cherche !— Oui, glisse toi bien entre les jambes de cette dame et respire bien sa chatte.A la quatrième ou cinquième table, le chien semble avoir atteint son objectif. L’organisateur est ravi et brandi la petite culotte au bout de son bras— Applaudissez bien Brutus qui a retrouvé la propriétaire de ce ravissant string bleu. Madame, vous pouvez maintenant offrir sa récompense à notre bon gros toutou renifleur. La femme, une blonde quadragénaire un peu enveloppée, doit être un peu timide car elle reste assise à sa table mais tout le monde devine qu’elle est en train de bien écarter les jambes pour profiter d’un bon canilingus. Bien vite, on peut lire le plaisir sur les traits de son visage et nul doute qu’elle apprécie la langue chaude et râpeuse du chien. Aux gestes qu’il fait, on comprend également que l’homme qui accompagne la dame est en train de se masturber sous la table. Sa compagne s’avachit un peu plus dans sa chaise et son bassin glisse vers l’avant pour être plus accessible. Elle gémit et se mord les lèvres pour ne pas crier son plaisir devant toute la salle. Mais soudain, emportée par la jouissance, elle se met à crier— Oh oui, que c’est bon !et elle s’écroule sur la table épuisée.Durant le quart d’heure qui suit, c’est au tour de Junior, un jeune doberman de deux ans, de renifler l’entrejambes des femmes. Cette fois-ci, c’est une jeune femme d’environ vingt-cinq ans qui s’avère être la propriétaire de la petite culotte noire brandie par l’organisateur. Malgré les exhortations de l’organisateur, reprises en chœur par toute la salle, la jeune donzelle refuse de venir au centre de la piste de danse pour récompenser le chien. Cependant son compagnon, un sexagénaire aux tempes grisonnantes, réussit à la faire allonger sur la table parmi les couverts et les assiettes. Il lui relève la jupe au-dessus du nombril et tout le monde peut admirer son sexe épilé orné d’un petit anneau d’or. Dressé sur ses pattes de derrière et les pattes de devant posées sur la table de part et d’autre du bassin de la jeune femme, Junior enfouit rapidement sa truffe entre les cuisses de la belle. Bien vite, cette dernière jouit sous les coups de langue de l’animal.Marc Antoine se penche vers sa mère et lui dit— Tu vois maman, si ça se trouve, c’est un couple comme nous. Mais là c’est le père qui fait de sa fille une parfaite salope !Marie-Henriette lui répond— Oui chéri, tu as certainement raison. Et tout comme moi, elle a l’air d’apprécier d’être traitée ainsi ! Brutus et Junior ont quitté la salle et il ne reste plus que deux chiens dans la pièce, bien tenus en laisse par deux serveurs. L’organisateur reprend alors la parole— Nous allons terminer notre soirée avec ces deux superbes labradors, Tex et Rex, qui sont frères jumeaux. Aussi, nous allons les lâcher en même temps pour qu’il n’y ait point de jalousie entre eux.Tandis que l’homme plonge sa main dans le panier pour en ressortir deux pots, les deux serveurs se rapprochent. L’organisateur fait respirer le premier pot à Tex puis le second à Rex. Les deux chiens aboient et remuent la queue, ils sont prêts pour la chasse. Les deux serveurs libèrent les deux animaux qui partent chacun vers une extrémité de la salle. L’homme brandit deux petits strings rouges en l’air et crie— Allez les chiens, retrouvez-nous les propriétaires de ces deux strings.Le regard des gens se porte d’un bout de la salle à l’autre pour suivre les deux chiens qui passent de table en table. Les femmes écartent grand les jambes mais ni ici ni là le parfum intime ne semble convenir.Les deux chiens se sont maintenant rejoints au niveau de notre table et leurs truffes sont en train de constater que c’est ici, sous notre table, que les odeurs sont identiques à celles des deux strings. Marie-Henriette me fait un petit clin d’œil puis me dit— Je crois bien qu’ils nous ont trouvées !Je comprend alors pourquoi, en sortant des toilettes, c’est elle qui s’est chargée d’apporter nos deux strings à l’organisateur. Et je ne doute pas un instant qu’elle lui a demandé de truquer le tirage au sort pour tirer en même temps les deux pots avec nos strings.Peut-être a-t-elle obtenu gain de cause en garantissant à l’organisateur que nous ferions le spectacle car il lance à tue-tête— La totale, la totale, la totale……..Tous les hommes reprennent comme une seule voix— Oui mesdames, la totale, la totale, la totale…..Marc Antoine et François s’y mettent aussi— Allez mesdames, montrez leur que vous êtes des salopes qui n’ont pas froid aux yeux.— Oui, montrez que vous avez le feu aux fesses…..Marie Henriette se lève, je l’imite et ensemble nous nous dirigeons vers le centre de la salle escortée par les deux chiens sous les applaudissements de toute la salle. Une fois au centre de la piste, je décide de calquer mes gestes sur ceux de Marie Henriette. C’est donc à l’unisson que nous nous asseyons chacune sur un pouf et écartons grand les jambes pour que Tex et Rex puissent profiter de leur récompense en nous gratifiant d’un chaud et profond canilingus. C’est un régal d’être ainsi fouillée au plus profond de son intimité par cette langue animale, longue et chaude, râpeuse et agile, infatigable. Nul doute que cela donne envie d’adopter un si gentil toutou qui n’ira pas colporter dans tout le quartier, contrairement à beaucoup d’amants, qu’il fait jouir sa maîtresse deux ou trois fois par jour.Tandis que Marie Henriette retire sa robe, je défais mon chemisier et réussit à faire glisser à terre ma minijupe écossaise. La salle reprend en chœur avec l’organisateur— La totale, la totale, la totale …..C’est ensemble que nous nous levons puis nous agenouillons en nous calant le ventre sur le pouf. Nous nous faisons face de sorte que Marie Henriette ait la croupe tournée vers une partie de la salle et moi vers l’autre. La salle se tait, on entendrait presque une mouche voler.Comme s’ils s’étaient donnés le mot, Tex et Rex se dressent sur leurs pattes de derrière et viennent coller leur bas-ventre contre nos fesses. Quelle excitation de sentir le poil soyeux de mon amant canin chatouiller mes fesses. Lorsque je vois ma complice fermer les yeux, je comprends que Tex vient de la pénétrer. Aussitôt après, c’est à moi de sentir le sexe de Rex frotter contre ma fente puis s’introduire dans ma chatte qu’il a déjà bien fouillée de sa langue. Pendant une bonne vingtaine de minutes, nous allons être le centre d’attraction de tous les regards. Il faut dire que le spectacle de deux bourgeoises matures, exhibée en lingerie sexy, positionnées en levrette sur des poufs et prises par deux labradors a de quoi ravir les yeux. Le spectacle est si excitant que l’ambiance dégénère un peu dans la salle. Certaines femmes sont glissées sous les tables et sucent leur compagnon, d’autres sont assises sur les genoux des hommes et nul besoin d’être grand clair pour comprendre, à leurs mouvements déhanchés, qu’elles sont empalés sur des bites dressées à la verticale.Rex est maintenant bien soudé à moi, son bulbe s’est gonflé assurant ainsi le nouage sans lequel il ne peut pas y avoir copulation. Bien campé sur ses pattes de derrière, rivé à ma croupe, il se déverse en moi et nous allons rester ainsi accouplés pendant une bonne vingtaine de minutes. Dans les yeux de Marie Henriette, je lis tout le plaisir qu’elle ressent à s’avilir ainsi sous le regard de son fils et devant une telle assistance. Je dois avouer que je comprends ce qu’elle peut ressentir à se libérer d’une éducation bien stricte, à briser ainsi les tabous et à assumer une sexualité débridée avec son amant de fils. Pour m’être offerte à mes deux fils il y a quelques années, sous la direction de leur père, je sais combien cela est jouissif. Relation incestueuse et fornication zoophile doivent constituer pour elle un cocktail érotique des plus détonants !C’est presque ensemble que Marie Henriette et moi poussons des cris d’extase lorsque les deux chiens se retirent et qu’un flot de liquide séminal se répand le long de nos jambes gainées de soie noire. Sous les applaudissements de la salle, nous renfilons nos vêtements et regagnons notre table où nos deux hommes nous accueillent avec des yeux particulièrement concupiscents. A peine sommes nous rassises que l’organisateur vient vers nous et remet nos deux strings à Marc Antoine et à François en leur disant— Messieurs, vos femmes sont remarquables !! Il y a bien longtemps qu’une soirée « Canilingus et plus si affinités » n’avait pas été aussi animée. Revenez quand vous voulez, vous serez mes invités !Marc Antoine lui répond en posant ostensiblement sa main entre les cuisses de sa mère— A la moiteur des cuisses de ma chère mère, je ne doute pas qu’elle a beaucoup apprécié la prestation de Tex.François surenchérit en soulevant le devant de ma mini jupe et en ajoutant— Quant à ma femme, il y a bien longtemps qu’elle n’a pas été aussi trempée ! Oui, nous avons là deux belles chiennes ! Il doit être près de 23h00 quand nous reprenons tous les quatre place dans la voiture de François. Bien vite, il y a comme une odeur de sexe dans le véhicule. François dit à Marc Antoine— Nos deux chiennes sentent encore la luxure et la lubricité. Nous avons là deux belles salopes qui ne sont peut-être pas encore rassasiées.Marc Antoine lui répond— Connaissant ma cochonne de mère, je suis certain qu’elle est prête à remettre ça. Il faut dire que je l’ai habituée à enchaîner les saillies lorsque je la sors ainsi. Et cela doit bien faire un bon mois que je l’ai laissée au repos.François poursuit— Moi je me suis offert une soirée candauliste il y a deux semaines lorsque j’ai invité quatre jeunes étudiants des Beaux Arts a baiser Hélène à la maison. Alors que nous approchons de la Porte d’Auteuil et allons prendre le périphérique, François prend soudain une bretelle à droite et annonce— Nous allons passer par le Bois de Boulogne. Qu’en dîtes-vous Marc Antoine ?Bien évidemment, ce dernier ne peut qu’acquiescer— Excellente idée ! Cela n’engage à rien.A l’arrière de la voiture, Marie Henriette et moi échangeons un regard complice. Je suis certaine qu’elle ressent comme moi une douce chaleur envahir son bas-ventre….
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