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La bourgeoise et le marabout

Chapitre 76

Deux chiennes au bois ...

Avec plusieurs hommes
Sur le chemin du retour après cette belle soirée zoophile, mon mari et Marc Antoine ont donc décidé de passer par le bois de Boulogne, histoire de voir ! Pour avoir été plusieurs fois sortie au bois par François, je sais qu’il connaît parfaitement les lieux et je ne suis donc nullement surprise de le voir s’engager sur une longue allée, faire demi-tour plus loin, revenir sur ses pas, emprunter une autre allée à droite, manœuvrer de nouveau et ainsi de suite.Bien installées à l’arrière de la voiture, Marie-Henriette et moi regardons à droite et à gauche pour deviner ce qui se passe sur les bas-côtés et dans l’obscurité des allées forestières. Quelques filles tapinent debout au ras de la route en exhibant fièrement leurs jambes fuselées. D’autres sont assises sur les bancs offrant à la vue de tous leur impressionnante poitrine. Enfin, quelques unes sont simplement installées au volant de petits fourgons et la lampe allumée sur le tableau de bord montre qu’elles sont disponibles.Des voitures tournent au ralenti comme la nôtre et s’arrêtent parfois à la hauteur de l’une de ces dames. Une vitre se baisse, certainement pour discuter des conditions tarifaires. Si la portière s’ouvre et que la dame monte, alors c’est affaire conclue. François dit alors à Marc Antoine— Pour éviter d’avoir des soucis avec les professionnelles du sexe, nous allons plutôt aller du côté de l’hippodrome. Je connais les lieux et c’est aussi chaud qu’ici ! Quelques minutes plus tard, nous voici sur une petite route longeant le Lac Supérieur et menant droit à l’hippodrome d’Auteuil. François s’engage dans une petite allée et se gare au bout sur un petit parking sans éclairage. Il y a déjà là quelques voitures et des ombres tournent autour. Comme il y a un beau clair de lune et que le ciel est dégagé, on arrive à y voir un peu malgré l’heure bien tardive.Nous descendons tous les quatre de la voiture et François nous entraîne vers les bords du lac. Il dit à Marc Antoine— Vous allez voir, peu de gens connaissent ce coin pourtant il y a toujours une certaine activité la nuit. Et ce ne sont que des amateurs !Marc Antoine lui répond— Très intéressant ! J’ai l’habitude de ne sortir ma mère que dans des soirées privées mais peut-être devrais-je la familiariser à ce gendre d’endroits.Nous voici maintenant arrivés au bord du lac. Il y a là une zone herbeuse avec des petits bosquets à droite et à gauche et deux ou trois bancs. En journée lorsqu’il fait beau, cela doit être le lieu idéal pour venir se balader en famille avec de jeunes enfants. Evidemment, à minuit, c’est une toute autre population qui fréquente les lieux. Sur l’un des bancs, un couple est assis et l’homme est en train d’embrasser la femme à pleine bouche tout en lui caressant ostensiblement les jambes. Deux hommes sont là debout devant le banc et se masturbent en regardant le spectacle qui s’offre à leurs yeux. François glisse à Marc Antoine— Dans quelques minutes, vous verrez que le mari aura cédé sa place aux deux autres.Plus loin derrière un bosquet, nous tombons sur un petit attroupement de quatre ou cinq ombres. On dirait qu’ils jouent à la ronde car on devine qu’une personne est au milieu et que les autres sont autour à la tripoter. François, en fin connaisseur des lieux, annonce— Ici, c’est en général le coin des travestis amateurs. Ils viennent pour prodiguer quelques pipes et plus s’il y a des affinités. Vous voyez, il y en a pour tous les goûts !Marc Antoine lui répond— Eh bien François, nous allons voir s’il y aurait quelqu’un d’intéressé par ces deux bourgeoises qui nous accompagnent. Que conseillez vous pour commencer ?Toujours en faisant comme si nous n’étions pas là, mon mari lui répond— Nous allons les installer là-bas sur un banc et les laisser seules tout en les surveillant à distance. Nous verrons bien ce qui se passe !Quelques minutes plus tard, Marie-Henriette et moi sommes assises sur un banc. Avant de s’éloigner pour se poster un peu plus loin, nos hommes ont veillé à ce que nous soyons présentables pour d’éventuels mâles en goguette. Nos manteaux sont grandement ouverts pour dévoiler nos appâts. Marie-Henriette affiche son décolleté plongeant et son opulente poitrine ; sa robe largement fendue dévoile la jarretière de ses bas. Quant à moi, en cuissardes et mini jupe, je ne peux pas laisser indifférent celui qui s’approchera. En attendant d’éventuels visiteurs, nous papotons toutes les deux comme de vieilles connaissances. Elle me dit— Hélène, j’espère que vous ne me jugez pas trop sévèrement. Je sais que la relation que j’entretiens avec mon fils n’est pas conforme à la morale mais, depuis la disparition de mon mari, je n’ai pas pu me résoudre à vivre avec un autre homme.Je la rassure aussitôt
— Soyez rassurée Marie-Henriette, mon intention n’est nullement de vous juger. J’ai moi-même eu l’occasion de me faire prendre par mes deux fils et mon mari. Je sais combien c’est excitant !Elle reprend— Oui, vous savez donc très bien que c’est purement sexuel ! C’est doublement excitant car on brise deux tabous. Tout d’abord on ose avoir des relations intimes avec la chair de sa chair. De plus, nous vivons ensemble des rencontres très sulfureuses que peu de couples osent vivrent. Je lui réponds— Oui, pour avoir goûté à la pluralité masculine puis à la zoophilie, je sais combien cela procure de violents orgasmes. Nous n’avons pas le temps de poursuivre nos confidences car nous apercevons trois ombres qui se dirigent vers nous.Je me penche vers Marie-Henriette et je lui dis à voix basse— On dirait que nous avons là quelques clients. Nos hommes vont suivre cela de près ! Lorsqu’elles sont à moins d’un mètre de notre banc, les trois ombres sont parfaitement identifiables ; il s’agit de trois hommes d’une trentaine d’années. Ils doivent être originaires d’un pays de l’est car ils parlent dans une langue incompréhensible aux sonorités russes ou slaves.L’un d’eux sort son téléphone portable et l’allume pour mettre un peu de lumière. Après nous avoir ausculté le visage, le portable descend un peu plus bas pour nous éclairer le corps puis les jambes. Cette rapide inspection semble satisfaisante car la lumière s’éteint et les trois hommes se rapprochent un peu plus. Le bruit de fermetures éclair nous fait comprendre qu’ils sont en train de se débraguetter. Dans la foulée, Marie-Henriette et moi nous retrouvons en train de sucer une queue encapuchonnée dans un préservatif. Si ces trois messieurs ont l’habitude de fréquenter régulièrement le Bois de Boulogne, ils ont bien raison d’être prudents. Et nous deux aussi !Je ne sais nullement comment est la bite que suce ma voisine, mais la mienne est d’un calibre plus qu’intéressant. J’entends les bruits de succion de Marie-Henriette et cela m’excite de nous savoir toutes les deux à l’ouvrage comme deux professionnelles du bois. Les trois hommes semblent satisfaits de nos services même si je ne comprends rien à ce qu’ils se racontent. J’imagine que ce doit être quelque chose comme— Quelle chance d’être tombés sur ces deux bourgeoises !— Elles ont des heures de vol mais ce n’est pas pour me déplaire !— Pressez-vous ! J’ai envie de me faire sucer à mon tour.— T’inquiète pas ! Je suis sûr qu’elles ont envie de se faire baiser ! C’est finalement Marie-Henriette qui se décide la première à passer aux choses sérieuses. Elle se lève, remonte sa robe, se positionne à genoux sur l’assise du banc les bras appuyés sur le dossier et tend sa croupe en arrière. Celui qu’elle suçait comprend vite qu’il peut prendre possession des lieux. C’est d’autant plus facile que ni elle ni moi ne portons de petite culotte. L’organisateur de la soirée « Canilingus et plus si affinités » les a en effet conservées tout à l’heure après les avoir fait sentir aux deux chiens qui nous ont longuement saillies.La mère de Marc Antoine commence à exciter l’homme en lui parlant— Oui, vas-y ! Baise moi bien !— Oh oui, ça va plaire à mon fils !Mais bien vite la bite que vient de lui planter en bouche le troisième homme l’empêche de poursuivre. Ce n’est finalement pas grave puisque les trois lascars ne peuvent pas comprendre.Ne voulant pas laisser ma voisine prendre l’avantage sur moi, je me positionne à côté d’elle sur le banc. Ma mini jupe est si courte que mon assaillant n’a qu’à se rapprocher pour me planter sa queue dans la chatte. Bien évidemment, il n’a pas de mal à y faire sa place et le voici déjà en train de me besogner à grands coups.Tandis que les deux hommes placés du même côté du banc nous baisent en cadence et en semblant commenter nos prestations, celui qui est de l’autre côté ne perd pas le nord. Il passe d’une bouche à l’autre, se faisant sucer quelques secondes par Marie-Henriette puis venant profiter quelques instants de ma bouche avant de repartir voir ma voisine. Du coin de l’œil, je vois que nos deux hommes se sont rapprochés et se branlent en profitant du spectacle. Au bout d’un bon quart d’heure, les deux mâles se retirent, enlèvent leur capote et jouissent longuement sur notre croupe. Leurs longs râles témoignent de leur plaisir. Je n’ai pas le temps de changer de position que l’on me saisit de nouveau par la taille. Un gland se frotte à ma rondelle et voilà que l’on m’encule d’un profond coup de queue.Tout en ondulant de la croupe pour que mon étroit fourreau s’adapte à cette bite inconnue, je jette un œil à Marie-Henriette. Quelle surprise ! C’est François qui est en train de se faire sucer. Ce serait donc le troisième homme qui serait en train de m’enculer. Finalement peu importe ! Ce qui compte pour moi c’est que l’on me fasse jouir de nouveau.François loue les louanges de Marie-Henriette— Oh Marc Antoine, votre mère suce comme une reine !— Elle doit avoir de longues heures d’entraînement derrière elle !— Vous l’avez superbement éduquée !Marc Antoine, que je ne vois pas dans mon champ de vision, lui répond— Oui, le b-a-ba d’une salope c’est de savoir faire une bonne fellation !— En général, elle vient me sucer tous les soirs avant de se coucher.— Elle prend en quelque sorte son médicament du soir !Les entendre ainsi faire leurs commentaires m’excite. Je gémis— Oh oui. Plus profond !— Encore, oui je suis une pute. Baisez moi ! De nouveaux voyeurs se sont rassemblés autour de nous et se branlent sans vergogne en matant ces deux bourgeoises matures offertes dans la pénombre. L’homme qui m’encule m’a maintenant bien lubrifiée et sa queue coulisse parfaitement dans mon étroit boyau. Même si je ne suis plus une néophyte de la sodomie, j’apprécie toujours la saille anale car je sens bien mieux la queue de cette manière que lors d’une pénétration vaginale.Soudain, François demande à Marc Antoine— Cher ami, cela ne vous ennuie pas si je jouis dans la bouche de votre mère. Sa bouche est si chaude et accueillante que l’envie de m’y répandre est trop forte.Marc Antoine lui répond— Bien sûr François ! Ne vous gênez pas, nous sommes entre gens responsables !Mon mari lui lance alors— Si vous le souhaitez, n’hésitez pas à bien vous vider dans la croupe de mon épouse. C’est en quelque sorte un échange de bons précédés !C’est donc le fils de Marie-Henriette qui est en train de m’enculer et non pas le troisième inconnu comme je le pensais. Mais qu’importe, c’est si bon ! Une fois que François et Marc Antoine se sont bien vidés, le premier dans la bouche de Marie-Henriette et le second dans ma coupe, ils nous demandent de rester assises sur le banc. François lance alors aux voyeurs— Messieurs, vous pouvez maintenant venir arroser ces deux chiennes qui ne demandent que ça !Il n’en fallait pas plus pour que l’on se retrouve vite avec des queues à portée de mains. Pendant qu’ils se branlent, Marie-Henriette et moi leurs caressons les bourses et les cuisses. Nous savons bien toutes les deux que cela ne peut que les exciter.Quelques flashs éclairent brièvement la scène ; je sais que c’est François qui fait quelques photos pour immortaliser cette sortie nocturne. Dans un ou deux jours, devant son ordinateur, je sais qu’il complétera sa collection de photos cochonnes. Les uns après les autres, les hommes répandent leur foutre sur nous en visant tantôt le visage, tantôt les seins ou les cuisses et même les cheveux. Lorsqu’ils en ont terminé avec nous, ils repartent comme ils sont venus, en silence. Il est près de deux heures du matin lorsque nous déposons Marie-Henriette et son fils devant chez eux. Quinze minutes plus tard, nous sommes à notre appartement. Une fois au lit, après une bonne douche pour effacer les traces de cette soirée bien arrosée, je suis déjà presque endormie lorsque François me dit— Tu sais chérie, il n’y a rien de tel que de belles soirées comme celle-ci pour fortifier un vieux couple comme nous.Déjà dans un demi-sommeil, je lui réponds— Oui chéri, tu raison ! Ces sorties entre amis sont très intéressantes.Mais au fond de moi, je sais aussi que mes sorties sans lui sont également très intéressantes …
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