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La bourgeoise et le marabout

Chapitre 77

Le grand déconfinement ...

Avec plusieurs hommes
Les mois et les semaines de pandémie passent ; François m’oblige à rester bien sage compte tenu de la Covid-19. Pas de rencontres extra conjugales – sniff !!, mais il a tout de même su m’honorer régulièrement puisqu’il était en télétravail comme moi.Il lui est même arrivé de m’obliger à être à genoux sous son petit bureau dans le salon pendant qu’il était en vidéo conférence avec Roselyne Bachelot la ministre de la Culture et quelques grands pontes du ministère. Tout en discutant de sujets très sérieux, des indemnités pour les intermittents du spectacle, de la réouverture prochaine des musées, des protocoles sanitaires à valider, …. il avait le pantalon baissé, la queue à l’air et profitait de mes talents de super fellatrice. Lorsque je l’ai senti sur le point de jouir, je lui ai serré très fort les bourses et je l’ai aspiré comme une pompe. Il a eu un brusque mouvement de sursaut avant de se déverser longuement dans ma bouche. Madame Bachelot s’en est aperçu et  lui a demandé— Vous avez un malaise monsieur de Saint Jouy ?Reprenant une attitude digne d’un haut fonctionnaire, il lui a répondu— Excusez-moi madame la ministre ! Il fait juste un peu trop chaud chez moi. Ce matin encore, il m’a bien besognée au lit avant de me dire— Chérie, le couvre-feu est levé, tu es vaccinée, je crois qu’il est grand temps que je te déconfine.Alors qu’il retire de ma chatte toute poisseuse de son foutre, je lui réponds— Cela signifie quoi concrètement ?Il se lève, se dirige vers la salle de bain et me lance— Cela signifie que je te sais en manque et que je vais t’organiser une journée de déconfinement. Tu as besoin de reprendre ton rang de salope.Lorsqu’il ressort de la salle de bain, nous allons tous les deux à la cuisine pour prendre notre petit-déjeuner. J’ai encore quelques gouttes de sperme qui s’écoulent le long de les cuisses et je les essuie d’un revers de main.Il dévore une première tartine puis me dit— Je vais organiser cela et je me charge de vérifier que tous les mecs seront vaccinés. Tu n’auras qu’à suivre le planning que je t’aurai fixé. Tu verras, ce sera comme une sorte de jeu de piste…..Je n’en demande pas plus car je sais qu’il ne me dira rien de plus. Je le reconnais bien là, vouloir tout organiser de A à Z pour ne faire de moi qu’un objet sexuel mis à la disposition de ceux qu’il choisira. Mais n’est-ce pas ce que j’aime ? Le samedi matin suivant, nous sommes encore au lit lorsqu’on sonne à l’entrée de l’appartement. François se lève et me dit— Reste au lit, je m’en occupe !Quelques secondes plus tard, quelle n’est pas ma surprise de le voir revenir dans la chambre accompagné de mon marabout. Il me m’explique alors— C’est aujourd’hui que j’ai organisé ton déconfinement. Mais je souhaite que monsieur Coulibadou t’ausculte pour vérifier que tu es bien en forme pour cela. Puis il s’assoie dans le fauteuil situé dans un coin et laisse place à mon marabout qui s’approche du lit.Il défait les boutons de ma nuisette et en écarte les pans. Puis, de ces deux grosses mains calleuses, il me palpe le ventre, me caresse les seins en jouant de mes tétons entre ses doigts. Bien évidemment, j’en ai la chair de poule et mes pointes se dressent. L’une de ses mains descend entre mes cuisses et se plaque sur mon sexe. Je ferme les yeux et écarte bien les jambes pour ressentir la pression de sa paume et l’effet de ses doigts sur ma fente.S’adressant à François bien calé dans son fauteuil, il lui dit— Oui c’est parfait ! Elle réagit parfaitement après ces longues semaines de calme.
Il m’oblige ensuite à me mettre à plat ventre et l’une de ses mains me caresse la nuque tandis que l’autre descend sur mes reins et s’insinue entre mes fesses. Son doigt me chatouille l’œillet, j’ondule du bas-ventre, il force l’entrée, je pousse un petit gémissement.Satisfait, il rassure mon mari— Soyez rassuré François, elle est prête pour cette belle journée que vous lui avez organisée. Je vais toutefois lui administrer son médicament préféré, cela ne peut pas lui faire de mal.Lorsque je me retourne, je découvre qu’il a relevé sa djellaba et me présente sa grosse queue. J’ouvre grand la bouche et je me mets à téter cette superbe bite d’ébène que je connais depuis si longtemps. Lorsqu’il jouit longuement sous ma langue, j’avale tout. Je me sens déjà en pleine forme ! Une fois mon marabout reparti, nous prenons notre petit déjeuner au cours duquel François m’explique ce qu’il a prévu en me tendant une feuille de papier— Voici ta feuille de route pour la journée, tu n’as qu’à suivre les instructions que j’ai écrites. Elles te précisent comment sont organisés tes horaires de la journée, la tenue que tu dois porter et les endroits où tu dois être. Chaque fois que quelqu’un t’abordera en te disant « Bonjour très chère Hélène », tu devras te tenir à sa disposition. Chaque personne que j’ai contactée est vaccinée et sait qu’elle ne dispose que d’un temps limité. Vers 07h50, il est habillé et se prépare à sortir. Il s’approche de moi, m’attire à lui, m’embrasse à pleine bouche tout en me caressant la croupe. Il me susurre alors à l’oreille— Je ne doute pas que tu vas bien profiter de cette belle journée de déconfinement. Sois bien salope comme j’aime. Ce soir je vérifierai moi-même si tu t’es bien comportée…Puis il quitte l’appartement me laissant seule avec sa feuille de consignes à la main.J’y jette enfin un coup d’œil et j’y lis « 08h30-10h00 – Maison – Tenue de soubrette ». Je regarde ma montre, il est presque l’heure ! Je me regarde dans le grand miroir de la chambre, j’ai l’impression d’être prête pour un poste d’hôtesse dans un club libertin. Je suis perchée sur de hauts talons noirs, j’ai simplement revêtu un tablier de femme de ménage comme on en voit dans les vieux films : blanc immaculé, liseré en dentelle, bien court devant et cachant juste ce qu’il faut de mes seins, noué autour la taille et le cou par une fine lanière. Dessous, j’ai les seins nus, juste un petit string de soie blanche et des bas noirs auto fixant.On sonne, je me dirige vers l’entrée et j’ouvre la porte. Un homme dans la quarantaine, bien costaud, mal rasé, en salopette de travail et une caisse à outils à la main me salue d’un franc et jovial— Bonjour très chère Hélène. Votre mari m’a demandé de passer pour régler le problème du lave linge.Je ne suis nullement surprise par sa manière de me saluer mais plutôt par le problème qu’il doit régler. Mais je me dis en moi-même— Faisons confiance à François.Puis, m’adressant à l’homme après avoir refermé la porte derrière nous, je lui dis— Suivez-moi, je vais vous montrer l’appareil.Tandis que je précède l’homme et me dirige vers la petite buanderie au fond de notre appartement, je devine son regard posé sur mes fesses entre lesquelles doit disparaître la ficelle de mon string. Les talons hauts m’obligent à avoir une démarche plutôt chaloupée, nul doute qu’il bande déjà. J’entre dans la buanderie et lui montre le lave linge. La pièce est si petite que je sens son souffle chaud sur mon visage. Il pose sa caisse à outils par terre, appuie sur l’interrupteur de la machine et me dit— Selon votre mari, il faut juste vérifier la fonction « Essorage » qui semble en panne. Inutile de mettre du linge dedans et il n’est même pas nécessaire d’ouvrir le robinet d’eau. Je vous montre !Il se rapproche de moi, me saisit par la taille et me soulève comme un fétu de paille avant de me poser les fesses sur le dessus de la machine à laver face à lui.Tandis qu’il m’embrasse à pleine bouche en me plaquant contre lui d’une main, il défait sa salopette de travail qui glisse à ses pieds. Il ne porte rien dessous !Le voici maintenant qui lance la fonction « Essorage » et pointe son gland contre ma chatte après avoir rapidement écarté le tissu de mon string. Je suis aussitôt prise de tremblements dans mes fesses au même rythme que la machine. Une fois que son sexe bandé est en moi, il plaque ses deux mains dans mon dos et m’attire bien contre lui. Il me dit— Je commence par tester à petite vitesse d’essorage mais après on va augmenter.Je ferme les yeux et j’apprécie ses puissants coups de queue qui se conjuguent aux secousses de la machine. C’est délicieusement bon !Lorsqu’il bascule sur la plus grande vitesse d’essorage, j’ai déjà la chatte en feu et le ventre parcouru de longs spasmes de plaisir. Quelle découverte !Lorsqu’il se déverse dans ma chatte en longs jets, je suis déjà dans un état second et je ne contrôle plus les ondes de plaisir qui remontent de mes fesses partout dans mon corps. L’homme est déjà reparti que j’en suis encore à essuyer les gouttes de foutre qui perlent de mon sexe et coulent le long de mes jambes. Quel début prometteur ! Une fois remise de mes émotions et après une rapide toilette intime, je consulte de nouveau ma feuille de route où je lis « 10h00-11h00 – Glamour Lingerie, 34 avenue Mozart – BCBG ». Ouf, ce n’est pas très loin et je ne vais pas être obligée de prendre les transports en commun.Dix minutes plus tard, vêtue d’un petit tailleur Coco Chanel, j’entre dans le magasin. Une femme d’une soixantaine d’années, tirée à quatre épingles, m’accueille d’un chaleureux— Bonjour très chère Hélène. Veuillez me suivre dans l’arrière boutique, mon mari vous attendait avec impatience.Je suis la gérante qui me conduit dans une petite pièce à l’arrière de la boutique. Il y a là un homme, lui aussi la soixantaine, calé dans un fauteuil derrière son bureau. Il est un peignoir et on peut voir qu’il ne porte rien dessous. La femme lui dit— Chéri, voici Hélène qui va te détendre pendant que tu termines les comptes du mois.Aussitôt après elle sort, me laissant seule avec son mari. Ce dernier recule son siège, ouvre les pans de son peignoir et me dit— Votre mari nous a tant vanté vos talents de fellatrice que je suis impatient d’en profiter. Mais d’abord, faites moi un beau strip-tease. Pendant l’heure qui suit, je me comporte comme l’hôtesse d’un cabaret de Pigalle. Je m’effeuille lentement, dévoilant toute mon anatomie à ce vieux monsieur qui bande comme un âne. Je ne sais pas si c’était prévu dans ma feuille de route par François, mais je le laisse me caresser, m’embrasser les seins, me sentir la chatte, me lécher de partout. Lorsque je suis entièrement nue, perchée sur mes talons hauts, il me demande de prendre une pose indécente sur un petit tabouret, les jambes grandes ouvertes, et de me caresser le sexe. Je m’exécute et j’en deviens vite toute mouillée.A son excitation, je comprends qu’il est temps que je m’occupe de lui. Je me mets à genoux devant lui, prends sa queue en bouche et le pompe avec application. Alors que je suis à l’ouvrage, la porte s’ouvre et sa femme entre puis s’approche de nous deux. Elle passe derrière son mari, sort une fine chaîne de sa poche et dit à son mari— Je vais te mettre ta pince à seins, je suis sûr que tu jouiras bien mieux avec cela !L’homme a maintenant la chaîne suspendue à ses tétons et je note qu’il bande bien plus. Sa femme me dit— Pompez et videz le bien Hélène ! Quand vous aurez terminé, je lui remettrai sa cage de chasteté et il sait très bien que ce n’est pas de sitôt qu’il pourra se faire sucer.Je me dis que j’ai affaire là à un couple bien étrange ! Mais qu’importe, je m’applique. Je malaxe les grosses couilles, je le branle avec lenteur tout en lui tétant bien le gland. Je sais qu’il essaye de se retenir le plus longtemps possible mais il va bientôt voir que je suis vraiment une experte.Je me décide maintenant à le branler plus vite en augmentant la pression autour sa hampe. Je le décalotte bien à chaque aller-retour et je le prends en fond de gorge à chaque fois. Son bas-ventre se crispe, il jette le corps en arrière et pousse un long râle. Son foutre se déverse dans ma bouche et je n’en perds pas une seule goutte.Je ne suis pas encore rhabillée que sa femme lui remet déjà sa cage. Puis elle me raccompagne jusqu’à la porte de la boutique et me remercie. Pendant la suite de la journée, je vais me déplacer en fonction des consignes fixées par François. « 12h00-14h00 – Restaurant L’évasion Place Saint Augustin – Robe légère ». Là, je suis invitée à déjeuner par deux jeunes cadres commerciaux, la trentaine, costard-cravate. Installés à une petite table, ils ne se sont pas gênés pour me caresser les jambes sans vergogne sous les regards des autres clients. Alors que nous en étions au café, j’ai dû descendre au toilettes avec l’un deux. Il m’a besogné rapidement sans même me retirer mon string. Une fois son affaire terminée, c’est son copain qui prend la suite. Au moment de quitter le restaurant, ils me lancent de concert— Très chère Hélène, nous avons vraiment été ravis de partager ce déjeuner avec vous. Etape suivante : « 14h00-17h00 – Club Le Provence – Lingerie ». Lorsque j’arrive au Provence, Thierry le patron m’embrasse sur les deux joues et me dit— Bonjour très chère Hélène, je suis ravi de vous revoir ici. Suivez moi, François votre mari m’a demandé de vous préparer une petite tenue sexy.Lorsque je reviens du vestiaire, je porte un soutien gorge redresse seins qui me fait une poitrine digne d’une star du X. Un porte jarretelles à longues jarretières retient mes fins bas noirs et un string fendu - devant et derrière – complète ma tenue.Pendant trois heures, je vais passer de main en main et de bite en bite. Je ne sais nullement si Thierry avait annoncé ma venue mais Dieu qu’il y a du monde !Que ce soit au bar de l’établissement, dans le grand salon avec la télé, dans le sauna, dans les petits salons coquins, je suce, je tète, on me prend par où l’on veut, je donne du plaisir, on se sert de moi, je suis un jouet.Je ne sais nullement si Thierry a la bénédiction de François pour m’utiliser comme il le souhaite, mais le coquin ne se gêne pas ! Le clou du spectacle est lorsqu’il m’emmène dans la pièce où trône une grande croix de Saint André à laquelle il m’attache, bras et jambes bien écartés. Pendant une petite heure, les hommes se succèdent et me baisent ou m’enculent, parfois les deux en même temps. Thierry fait quelques photos, j’imagine qu’il les envoie aussitôt à François.Lorsqu’il me détache, le foutre sort de ma chatte et de mes fesses et coule le long de mes cuisses. Thierry m’accompagne à la douche et me prend à son tour, quel coquin ! Il me besogne longuement tandis que l’eau coule sur moi. C’est bon ! Lorsque je quitte Le Provence, ceux qui me croisent dans la rue ne peuvent imaginer que je viens de me faire prendre par de nombreux mâles. Me voici de retour à l’appartement comme l’exige la feuille de route« 17h30-19h00 – Chez nous– Collier de cuir et body noir ouvert ». Je vais dans la chambre et me déshabille. J’enfile le body noir, je sais qu’il plait beaucoup à François ! Il est en cuir, me colle à la peau et possède deux larges ouvertures pour les seins. Il est également largement ouvert entre les jambes et laisse ainsi libre accès à mes orifices. Je mets également, comme demandé, le collier de cuir que François m’a offert il y a déjà bien longtemps lorsque nous avions participé à une soirée pour soumises.Soudain on sonne, je me demande quel genre d’homme est convié pour la suite de cette journée. Mais c’est avec surprise que j’ouvre la porte à une belle jeune femme d’une trentaine d’années, style gothique très sophistiquée, tenant un gros chien en laisse. Elle me dit la formule magique avec un grand sourire car j’imagine qu’elle sait très bien quels horizons cela lui ouvre— Bonjour très chère Hélène. Je suis Zohra et voici mon chien Dragster.Ils entrent et je les invite à me suivre au salon. Zohra s’installe dans le canapé et le chien se couche sagement à ses pieds. Je regarde la jeune femme ; sportive, beurette je pense, cheveux noirs avec des mèches rougeâtres, des piercings aux sourcils et aux oreilles, de nombreux tatouages, belle fille dans son style !Elle me dit— Dragster est un jeune mâle rottweiler de trois ans. Il est très doux malgré son tempérament de feu.Je regarde l’animal. Il a vraiment une bonne tête et son pelage noir avec des taches de couleurs fauves est superbe. Zohra poursuit— C’est l’une des plus anciennes races de chien. Il était utilisé autrefois pour surveiller les troupeaux dans la région de Rottweil en Allemagne car c’est un chien de garde exceptionnel. Mais aujourd’hui, ce sont essentiellement les polices allemande et autrichiennes qui l’utilisent. Puis elle me dit avec un grand sourire— Et en plus, il est très joueur. Je vais vous montrer ! Elle caresse le chien entre les deux oreilles puis lui dit— Allez Dragster, cherche le bonbon !Le chien se met aussitôt sur ses pattes, hume l’air, contourne la table basse du salon et se dirige vers moi. Il me sent les pieds puis sa truffe remonte le long de mes jambes. Zohra me rassure— N’ayez crainte, il est très affectueux et je l’ai dressé pour ce jeu. Laissez-vous faire !Le chien a maintenant la tête entre mes genoux et il continue de remonter. Soudain, sa truffe froide arrive à la hauteur de ma chatte. Il me sent et remue la queue ; puis sa langue s’insinue un peu plus loin que sa truffe. Là encore sa maîtresse le guide avec bienveillance— C’est bien Dragster, tu as trouvé ! C’est bien mon chien.Je ferme les yeux et écarte un peu plus les jambes pour mieux profiter de ce cunnilingus animal. — Allez Dragster, dévore le bonbon. Vois comme Hélène aime ça !lui dit-elle.Mes jambes sont maintenant grandes ouvertes, je suis alanguie dans mon fauteuil avec les talons hauts posés sur la table basse. Le chien est bien installé dans le compas de mes jambes, la tête bien engagée contre mon bas-ventre et il me lape la chatte à grands coups de langue. Mon Dieu, quel bonheur ! Même si j’ai déjà pratiqué avec un chien, cela remonte à de longs mois et je ne me souvenais pas que ce fût aussi bon. Zohra décide de passer aux choses sérieuses car elle me dit d’une voix un peu autoritaire— Allez Hélène, maintenant en position. Dragster veut sa récompense !Je comprends vite où elle veut en venir et je me mets aussitôt à quatre pattes, la tête dans les coussins du canapé. Dans le miroir situé sur le mur de gauche, je vois Dragster se camper sur ses pattes de derrière, lever les pattes de devant et se dresser pour les poser sur mon dos. De nouveau Zohra l’encourage— Vas-y mon chien. Regarde cette belle chienne, elle n’attend que ça !Je sens la bite de Dragster chercher son chemin, son gland cogner jusqu’à mon nombril mais il rectifie le tir et engouffre enfin sa queue dans ma chatte dégoulinante de ma mouille et de sa salive.Le voici maintenant bien collé à moi et il me donne de puissants et rapides coups de bite. Sa tige remonte vraiment loin en moi, j’ai rarement eu cette impression d’être fouillée au plus profond de moi-même. — Vas-y Dragster, fais en ta chienne ! Monte la bien et fais la couiner de plaisir.Je mords mes lèvres pour ne pas trop gémir de plaisir sous les coups de l’animal. Soudain, une grosseur enfle dans ma vulve comme un ballon de baudruche que l’on gonfle en moi. Il est en train de se verrouiller et je sais que cela risque de durer.Une fois bien bloqué en moi, Dragster se déverse et son sperme bien chaud se répand dans mes entrailles. J’ai l’impression que cela ne va pas s’arrêter. Zohra me lance— Oui, Dragster est en manque et il en a plein les bourses. Quand ton mari m’a contactée la semaine dernière, il m’a dit de mettre le chien à l’abstinence pour te réserver tout son foutre.Lorsque enfin Dragster se retire, ma chatte émet comme un bruit de lavabo que l’on vide et du foutre s’échappe de ma chatte. Le chien se met à me lécher avec avidité comme s’il voulait effacer toute trace de notre copulation bestiale. Je relève haut la croupe pour que sa langue me fouille toujours plus profondément ; un nouvel orgasme me terrasse et je m’écroule sur le tapis du salon. La feuille de route me précise ensuite « Soirée - Chez nous- Tenue sans importance ». Je décide donc de rester en body noir avec mon collier de soumise et François me trouve ainsi au salon lorsqu’il rentre vers 20h00. Il apporte avec lui quelques toasts et me dit— Pour célébrer cette belle journée, nous allons prendre un petit apéritif dînatoire. Mes invités arrivent d’ici quinze minutes.Lorsque monsieur Coulibadou arrive accompagné de son assistant Ahmed et de deux autres hommes, je suis obligée de rester assise en face d’eux les jambes bien écartées. Tandis que François leur montre les différentes photos de la journée, ils discutent tous les cinq en me lançant de longs regards concupiscents. Au bout d’un moment, François décide qu’il est temps de passer aux choses sérieuses.Pendant les deux ou trois heures qui suivent, je vais être offerte par mon mari à ces quatre mâles. C’est nue qu’ils me transportent dans la chambre, m’allonge sur le lit et vont longuement profiter de moi. Sous les yeux de François bien calé dans son fauteuil de voyeur, mon corps va être caressé, embrassé, léché et dévoré de partout. Lorsque je suis suffisamment excitée et mouillée, les quatre mâles vont se relayer dans mes différents orifices et je ne suis rapidement plus qu’une poupée gonflable dont on use sans modération. Je n’ai pas à faire le moindre effort car, lorsqu’ils veulent que je change de position, ils me soulèvent et me positionnent comme ils le souhaitent. Lorsque monsieur Sissoko s’allonge sur le lit, la bite tendue vers le ciel, ils me soulèvent de nouveau et c’est eux qui me déposent sur le marabout en veillant à ce que je m’empale bien sur lui.Lorsqu’ils quittent l’appartement vers 23h00, j’ai le corps et l’esprit apaisés par les longues fellations que je viens de pratiquer, les multiples saillies dont je viens de faire l’objet et les nombreuses sodomies qu’ils ont tout particulièrement appréciées. Lorsque je me couche après une bonne douche, François me dit— Maintenant on peut vraiment dire que tu es déconfinée et que tu as repris ta vie d’avant !Je lui réponds— Oui chéri, c’est bon de reprendre une vie normale après ces longs mois de distanciation sociale……
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