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La bourgeoise et le marabout

Chapitre 78

Avec mon mari à Yaoundé ...

Avec plusieurs hommes
En ce vendredi soir de début septembre, François rentre tout excité de son travail. A peine a-t-il enlevé sa veste et sa cravate qu’il sort deux verres du bar ainsi que deux bouteilles. Il me dit— Assieds-toi chérie. J’ai une excellente nouvelle !Je m’installe sur le canapé tandis qu’il se pose dans l’un des fauteuils. Il me sert un verre de Baileys puis se verse une bonne dose de whisky. Puis il m’annonce— Mon chef de service me charge d’aller passer 4 jours à Yaoundé. Je dois établir, en liaison avec le directeur du service de coopération et d’action culturelle de notre ambassade, une convention pour faciliter le prêt d’œuvres d’art entre le musée national du Cameroun et le musée du quai Branly de Paris.Je lui réponds un peu sèchement— Oui je vois. La bonne nouvelle c’est que tu pars en voyage pendant que je reste à la maison.Il se lève, vient vers moi et m’embrasse sur la bouche avant de me dire— Mais non chérie. La bonne nouvelle c’est que je suis autorisé à t’emmener avec moi. Bien sûr tu ne pourras pas me suivre partout mais tu vas pouvoir te changer les idées après nos trois semaines de vacances pluvieuses en Bretagne.Il porte alors son verre à ses lèvres et boit une bonne rasade de whisky. Je savoure une bonne gorgée de Baileys. A peine a-t-il terminé son verre qu’il m’oblige à me mettre à genoux sur le tapis du salon, le ventre bien calé contre l’assise du canapé. Il vient derrière moi, trousse ma jupe et se colle à moi. Je lui dis— Ce séjour au Cameroun te donne des idées coquines ? Tu rêves déjà de trousser quelques jolies africaines aux seins lourds et à la croupe callipyge ?J’ouvre grand les jambes, il écarte le fin tissu de mon string et frotte son gland contre ma fente. Alors que sa queue commence à me pénétrer, il me répond enfin— Ce n’est pas exclu ! Prendre une belle gazelle aux jolies fesses ne pourrait me faire que du bien.Il est maintenant bien planté en moi et me besogne avec vigueur. Ses mains se sont glissées dans mon chemisier et il me travaille les tétons de ses doigts. Le coquin, il connaît mes points faibles ! Je tends la croupe en arrière pour accompagner chacun de ses coups de boutoir. Il poursuit— Je pense aussi que ce petit séjour va te faire le plus grand bien ! Depuis que tu consultes monsieur Sissoko, je sais qu’il t’a convertie aux grosses queues d’ébène. Tu as été très sage ces derniers mois, je ne doute pas que tu vas pouvoir te rattraper !Il est vrai que mon marabout m’a fait découvrir de nouveaux plaisirs et qu’une belle queue black peut produire de sacrés effets.Lorsque François se vide en moi, j’ai les yeux fermés et je pense à ces quelques expériences que j’ai eu à Paris avec des blacks. A chaque fois, j’ai atteint des sommets d’extase. A cet instant la queue de mon mari me semble bien riquiqui ! Le jeudi suivant, il est 13h00 lorsque notre Boeing 777 quitte l’aéroport de Roissy-Charles de Gaulle. Le ministère ne lésine pas sur les moyens car nous sommes installés en classe business ; grand confort ! François est déjà plongé dans ses documents de travail ; je feuillette un guide touristique sur Yaoundé pour découvrir les trésors cachés de la capitale du Cameroun.Après avoir savouré le plateau repas d’Air France, je somnole un peu. Mon esprit vagabonde dans les rues de Yaoundé où de nombreux mâles me jettent des regards appuyés. J’imagine que l’on m’entraîne dans l’arrière salle d’un bar où je dois me mettre nue. Mon entrejambes est déjà moite ; vite je me lève de mon siège et fonce aux toilettes. Aussi la porte refermée derrière moi, je glisse ma main sur ma fente et me masturbe énergiquement. Cela me fait du bien !Lorsque je reviens près de François, il remarque que je suis un peu rouge et transpirante. Il me demande— Ca ne va pas ?Je lui réponds— Non chéri tout va bien ! Juste un petit coup de chaud.
Vers 18h00 nous atterrissons à l’aéroport international de Nsimalen au sud-ouest de la capitale. A 19h00, un chauffeur de l’ambassade, venu nous récupérer, nous dépose à l’hôtel Hilton où une chambre nous est réservée. Je ne tarde pas à me coucher pour être en forme le lendemain. Vendredi matin, une chape de plomb s’abat sur nous dès que nous sortons du Hilton. Le contraste est saisissant entre l’air climatisé de l’hôtel et la chaleur matinale qui écrase déjà les rues. Heureusement je ne porte qu’une légère robe d’été en coton blanc mais j’ai l’impression que la moiteur fait coller le tissu à mon corps comme une seconde peau. A notre arrivée au musée national dans la quartier du lac, le directeur est là à nous attendre. François étant le représentant de la ministre de la culture française, nous avons droit à tous les honneurs : photo officielle devant l’une des superbes statues de bronze trônant à l’extérieur, café d’accueil dans l’une des salle, visite guidée des plus belles collections nationales, … Je suis emballée par la qualité et la variété des œuvres exposées et j’avoue que la collection de masques tribaux m’a fort impressionnée. Je note aussi que j’ai dû impressionner quelques uns de nos accompagnateurs locaux car certains m’ont adressée de longs sourires complices lorsque je suis resté en admiration devant une belle collection de phallus en bois et de fétiches de la fertilité et de la fécondité.Après le déjeuner constitué de mets traditionnels – ndolé, poulet DG et autre koki – un chauffeur me ramène à l’hôtel car François est retenu tout l’après-midi par ses travaux avec le directeur du musée. Fatiguée par le voyage de la veille et les longues heures de la matinée passées à arpenter les salles du musée, je décide de m’accorder un peu de détente. A la réception, on m’indique qu’une salle de bien-être avec spa, jacuzzi, sauna et quelques appareils de fitness est installée au sous-sol de l’établissement. Je monte rapidement dans notre chambre, prend un petit sac avec maillot de bain et serviette puis redescend par l’ascenseur. Lorsque je pousse la porte vitrée de l’espace bien-être, j’ai l’impression de pénétrer dans une oasis de fraîcheur. Une jeune camerounaise m’accueille avec un large sourire puis me demande le numéro de ma chambre tout en me tendant la clé d’un vestiaire. Après lui avoir précisé que c’est la chambre 69, elle me répond— Madame de Saint Jouy, toutes nos installations sont à votre disposition. Il y a un coin bar au fond à droite juste après le vestiaire.Je la remercie puis pars me mettre en maillot de bain. Quelques secondes plus tard, je suis installé dans le jacuzzi. Je semble être la seule, c’est reposant.Au bout d’une heure, après avoir profité successivement des diverses installations de détente, je me dirige vers le bar pour prendre un café. La serveuse, un joli brin de fille, me sert puis me dit— Si vous le souhaitez, vous pouvez maintenant profiter d’un bon massage dans l’une des cabines individuelles.Je savoure mon café puis je lui dis— Oui, je crois que je vais me laisser tenter par un bon massage.Elle me donne une serviette blanche toute propre et me répond— Prenez la cabine 3 et mettez vous nue. Dès que vous serez installée, on vient s’occuper de vous. Quelques minutes plus tard, me voici allongée nue sur la table de massage dans la cabine numéro 3. La porte s’ouvre et j’entends une douce voie féminine à l’accent local me dire— Bonjour madame de Saint Jouy. Je suis Coumba et je vais préparer votre corps pour le massage.Elle retire délicatement la serviette qui me recouvre les fesses et le bas du dos puis commence à m’enduire le corps d’une huile grasse qui sent l’amande. Ses mains fines et douces glissent sur tout mon corps, de la tête aux pieds et me voici maintenant bien huilée de partout. Puis Coumba me dit avant de quitter la pièce— Voilà, vous êtes prête ! Awa arrive tout de suite pour le massage.Je suis toujours allongée nue sur le ventre et je ne peux donc pas me retourner pour voir qui entre. On retire de nouveau la serviette et deux mains se posent sur mes épaules. Pas de doute, ce ne sont plus des mains de femme ; celles-ci sont douces mais bien plus larges. Je ne dis rien et me laisse aller.On me masse les épaules et la nuque puis c’est le dos et le bas des reins. Les mains glissent sur ma peau qui absorbe lentement l’huile d’amande. On me masse maintenant la plante des pieds et les chevilles puis on remonte le long de mes mollets pour atteindre mes cuisses. Puis ce sont mes fesses que l’on prend à pleines mains et que l’on malaxe délicatement. Enfin, on me dit— Vous pouvez maintenant vous mettre sur le dos madame de Saint Jouy. Je vais poursuivre votre massage.Je me retourne et découvre qu’Awa est un jeune black de vingt-cinq ou trente ans. Il est drapé dans un peignoir blanc qui fait ressortir le noir de sa peau. Il me fait un grand sourire, je m’allonge sur le dos et lui offre à contempler la blancheur de ma peau. Il faut dire que je n’ai pas bronzé beaucoup en Bretagne. Je ferme les yeux et m’abandonne à mon masseur qui reprend le flacon d’huile d’amande et m’en enduit copieusement le corps. Ses mains reprennent ensuite leur ouvrage et je note que le jeune homme s’attarde un peu plus longuement sur les parties qui l’intéressent. Il décrit de longs ronds concentriques sur mes seins avant de me pétrir longuement les cuisses en veillant à m’obliger à écarter de plus en plus les jambes. Puis, le voici qui incline le buste vers moi et me dit à l’oreille— Maintenant je vais bien vous détendre comme il faut. Laissez-vous aller, les européennes adorent ce massage « black and white ».Et tandis que ses lèvres charnues se posent sur les miennes, l’une de ses mains m’excite délicieusement les tétons qui roulent entre ses doigts agiles. Mes seins gonflent, mes tétons se dressent, mon ventre ondule, ma chatte devient moite, la femelle qui sommeille en moi vient de se réveiller et je ne doute pas que ce jeune mâle l’a deviné.Awa libère alors ma bouche et se déplace vers mes pieds. Le voici qui actionne un levier caché sous la table ; cette dernière s’ouvre comme un ciseau jusqu’au niveau de mon entrejambes. Je suis là devant ce jeune black, impudique, les jambes grandes ouvertes, le sexe brillant et moite. Il laisse tomber son peignoir à ses pieds et avance entre les deux parties de la table sur lesquelles reposent mes jambes. Je sens déjà son sexe se frotter à ma fente ; je suis à lui ! Une fois qu’il est bien calé dans le compas de mes jambes, il me saisit par la taille et commence à me besogner avec lenteur. Son sexe ressemble à un gros serpent dont la tête serait un énorme champignon ; ce n’est pas une queue mais un vrai gourdin.Lentement, mes chairs se distendent et le champignon progresse dans ma chatte. Je respire par saccades, comme si je me noyais. Le monstre pénètre un peu plus loin, je chavire dans un état second. Lorsque la tête du serpent cogne au fond de ma matrice, je sombre dans le plaisir. La seule sensation d’être ainsi possédée entièrement suffit à me faire jouir. Awa ne bouge pas, il me laisse retrouver un second souffle.Dès que c’est fait, j’ondule du bas-ventre et mon masseur comprend qu’il peut se laisser aller. Me tenant toujours fermement par les hanches, il me besogne à grands coups, se retirant entièrement de moi pour mieux reprendre possession des lieux. Lorsqu’il considère que je suis bien ouverte et suffisamment lubrifiée, il soulève mes jambes et les pose sur ses épaules. Ses couilles claquent contre mes fesses, il me baise avec fougue. Je pense que cela fait un certain temps qu’une belle bourgeoise blanche ne sait pas offerte à lui.Lorsqu’il se penche vers l’avant et commence à me mordiller les seins, je comprends qu’il est sur le point de m’ensemencer.Il se bloque dans le compas de mes jambes et se vide de tout son foutre. Je lui exprime mon plaisir d’être sa salope— Oh oui, vide toi bien dans ma chatte.— Tu as fait de moi ta femelle. J’adore !Awa se retire de ma chatte d’où s’écoulent de longs filets blanchâtres. Son serpent dégonflé pend entre ses jambes. Même dans cet état, c’est impressionnant !Il m’aide à me relever et, alors que je quitte la cabine de massage, il me retient de la main et me dit— Demain matin, traînez un peu au lit madame de Saint Jouy. J’aurai une surprise pour vous ! Lorsque François rentre, je suis déjà prête pour aller dîner au restaurant de l’hôtel. Nous sommes à table lorsqu’il me demande si je ne me suis pas trop ennuyée l’après-midi pendant qu’il travaillait. Je lui raconte ma séance de massage avec moult détails. Cela l’excite et il m’ordonne— Va au toilettes et reviens après  avoir retiré ton string. Une salope comme toi doit toujours avoir la chatte et le cul à l’air.Je le regarde droit dans les yeux et passe sensuellement la langue sur mes lèvres. Cela l’excite et il ajoute— J’ai vu monsieur Sissoko avant notre départ. Il m’a dit que tu allais avoir un succès fou avec les gars d’ici. Selon lui, les blanches comme toi, bourgeoise et sexy, sont très appréciées par les africains. Cela les change de leur grosse mama !Je me lève et me dirige vers les toilettes. Je sens les regards fixés sur moi et j’en ai la chatte toute moite. Une fois aux toilettes, je retire mon string et le tiens serré dans le creux de ma main car je n’ai pas de poche. Lors de mon retour vers notre table, les regards sont de nouveau braqués sur moi. Auraient-ils deviné que je suis nue sous ma robe ? Une fois assise, François récupère mon string, le porte à ses narines et en respire les effluves. Il me dit— Hum, tu sens la chienne ! Je suis certain que tu as envie de te faire baiser de nouveau.Alors que nous allons quitter la table après le dessert, François appelle le jeune serveur black et lui glisse quelque chose dans la main tout en lui disant quelques mots à l’oreille.Nous allons ensuite vers le bar où nous passons une bonne demi-heure à papoter avec quelques expatriés. Soudain François regarde sa montre et dit — Oh chérie, vite ! Nous allons rater notre rendez-vous skype avec les enfants.Je suis surprise mais n’en montre rien. Nous quittons le bar mais au lieu de monter à notre chambre, François m’entraîne dans le parc arboré de l’hôtel. Tout en me racontant les activités qu’il doit avoir le lendemain, François me guide vers un petit bassin d’eau bordé de hauts bosquets d’arbustes odorants. Nous nous faufilons entre les arbres en suivant en petit sentier ; on en oublierait presque être dans la capitale pour se croire au milieu de la forêt tropicale.Soudain, j’entends des pas derrière nous. Je veux me retourner mais François m’en empêche en m’attirant contre lui. Ainsi immobilisée, je ne peux pas m’opposer aux deux mains qui se posent sur mes fesses et me malaxent. A ce moment là, une main noire se plaque sur mon visage et me fait respirer un bout de tissu. A l’odeur, je me doute que c’est mon string dont le jeune serveur noir a hérité de François à la fin du dîner. Une voix africaine me dit— Patronne, tu sens bon la femelle. Je suis sûr que tu as envie d’une belle queue black !Répondant pour moi, François lui dit en m’obligeant à m’appuyer des deux mains contre l’un des arbres— Ma femme s’est faite baisée cet après-midi dans le sauna par l’un de tes collègues. Pour la punir, je te demande de bien l’enculer !En un tour de main, le jeune homme fait glisser ma robe à terre. Il se colle à moi, s’empare de mes deux seins qu’il caresse fougueusement puis presse son sexe contre mon petit œillet.Soucieux de ne pas me casser, mon amant du soir dit à François— J’ai une très grosse queue ! Je ne voudrais pas casser le cul de ta femme !François lui répond— Ne t’inquiète pas ! A Paris elle se fait régulièrement saillir par un marabout et son assistant. Alors tu peux y aller. Heureusement, le jeune homme me prépare délicatement en promenant son gland de ma chatte à mon petit trou. Il n’hésite d’ailleurs pas à pénétrer un peu dans ma chatte pour bien lubrifier sa queue. Rien qu’à sentir son énorme gland me distendre les chairs, je suis déjà dans un état second. Il faut croire que mon massage n’a pas été suffisant pour me calmer. A moins que ce ne soit l’air de Yaoundé qui décuple mes envies.Son gland pointe maintenant entre mes fesses, je respire fort pour bien me détendre et faciliter l’introduction de sa queue dans mon étroit sillon qui n’a pas été visité depuis quelque temps. Je tends la croupe en arrière, je me cambre, j’écarte grand les jambes et je me caresse le clito d’une main pour stimuler mon désir.A notre droite, François a sorti sa queue et se branle en nous regardant. Je reconnais bien là mon mari pervers et candauliste. Savoir que c’est lui qui a décidé de me faire baiser, savoir que c’est lui qui a choisi mon amant et savoir que j’adore ça ne fait qu’augmenter son plaisir.Mon amant black a presque gagné la partie car son gland est maintenant bien engagé dans le passage. Le plus dur est passé ! Au fur et à mesure qu’il accentue ses mouvements de va et vient, j’augmente les ondulations de ma croupe. Ses bourses cognent maintenant entre mes jambes, il me possède entièrement. Pendant un long moment, dans la fraîcheur du parc, je me fais besogner comme une chienne en manque. Le jeune serveur, qui nous dit s’appeler Adama, fait preuve d’une endurance peu commune car il me baise comme un métronome sans changer de rythme.Avec un tel traitement, mon sillon est maintenant bien ouvert et lubrifié. Je peux donc pleinement profiter de ce marteau-piqueur qui me défonce et me fait vibrer de plaisir. Devant mon état second, François me fait changer de position pour que je puisse le sucer tandis que Adama continue son travail de sape.Ayant compris que je suis maintenant dans l’impossibilité de bouger, le jeune black prend plaisir à sortir entièrement sa queue à chacun de ses reculs. Puis, à chaque avancée, il s’engouffre entre mes fesses, perfore mon cul et cogne au fond de mon fondement. Cela se répercute dans tout mon corps et François en profite à chaque fois pour s’enfoncer jusqu’au fond de ma gorge. Heureusement qu’il est bien moins gros que mon fougueux amant car sinon je serais déjà morte étouffée.Les deux hommes se vident presque en même temps. La seule différence c’est que le jet de foutre de Adama est bien plus puissant et fourni que celui de mon mari. Après leur jouissance, les deux hommes restent encore un peu en moi pour bien se vider. Lorsque je me redresse, avec quelques difficultés je l’avoue, Adama a disparu dans l’obscurité aussi rapidement qu’il était apparu. Je réajuste ma robe, François me donne le bras et me dit— Viens chérie, regagnons notre chambre après cette petite escapade vespérale !Une fois dans l’ascenseur avec quelques autres résidents de l’hôtel, je serre bien les jambes pour limiter les fuites de foutre qui s’échappent de mes fesses.Il y a dans la cabine comme une forte odeur de sueur et de stupre ; je fais semblant de rien.Après une bonne douche, je rejoins François qui lit déjà dans le lit. Il me dit— Demain matin je suis de nouveau pris au musée mais je serai libre demain après-midi. Nous en profiterons pour faire une petite visite de la ville.Je lui réponds— Oui, nous visiterons la ville ensemble. Demain matin je me reposerai pour être en forme.puis je poursuis— Ne me réveille pas quand tu pars au musée. Je vais en profiter pour faire une petite grasse matinée.Lorsque je m’endors, je pense déjà à mon réveil….. avec Awa et sa surprise pour moi !
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