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La bourgeoise et le marabout

Chapitre 79

Eveil aux plaisirs africains ...

Avec plusieurs hommes
La nuit dans notre chambre du Hilton a Yaoundé a été des plus reposantes et j’ai bien récupéré de cette folle première journée dans la capitale camerounaise. Ce matin, j’ai entendu François se lever et se préparer pour aller poursuivre ses travaux avec le directeur du musée National. Il a ensuite pris son petit déjeuner et est venu m’embrasser avant de quitter la chambre. Mais je n’ai pas bronché, j’ai fait semblant d’être encore endormie et plongée dans un profond sommeil. Cela ne l’a nullement inquiété !Mon mari est maintenant parti depuis une dizaine de minutes et la chambre est toujours dans l’obscurité grâce aux épais rideaux qui obturent les fenêtres. Soudain, j’entends la porte qui s’ouvre lentement et je comprends que le jeune Awa doit avoir un passe lui permettant d’accéder à toutes les chambres comme le reste du personnel de l’hôtel. Aux pas sur le sol, je devine qu’il n’est pas seul. Je résiste à l’envie d’ouvrir les yeux mais c’est si excitant de jouer à la belle endormie. Aux froissements de vêtements, je devine maintenant que l’on est en train de se déshabiller et voilà que l’on se glisse sous le drap de chaque côté de moi. Une voix, que je reconnais comme celle d’Awa, me dit— Bonjour madame de Saint Jouy. Mon oncle Abdoulaye et moi-même sommes ravis de venir partager votre réveil. Les yeux toujours fermés, je me laisse aller à ce réveil des plus sensuels. Les mains d’Awa, que je reconnais puisqu’il m’a bien massée hier après-midi, sont fines et douces ; les autres, donc celles de son oncle, sont grosses et bien calleuses. Mais cette exploration de mon corps à quatre mains est oh combien agréable. On me touche les cheveux, on me malaxe les épaules, on me caresse les seins, on me malaxe les fesses et je m’abandonne. Puis les doigts se font plus pressants sur mes seins et sur la pointe de mes tétons qui durcissent. Enfin, on me force à bien écarter les pieds, on remonte de mes chevilles à mes genoux, on poursuit jusqu’à mes cuisses et on effleure mon sexe facilement accessible sous ma courte nuisette.Je devine un corps qui s’allonge entre mes jambes et aussitôt une bouche aux lèvres charnues se plaque sur ma chatte. Une langue râpeuse s’insinue à l’intérieur de mon intimité et s’agite avec frénésie. Cela suffit à me faire mouiller comme une jeune vierge et j’ouvre encore plus grand le compas de mes cuisses pour que l’on me fouille toujours plus profondément. Puis c’est un gland circoncis qui s’approche de mon visage et vient me caresser en de lents allers-retours sur les lèvres. Tout naturellement, j’ouvre grand la bouche et aussitôt le mandrin d’ébène s’y glisse. Tout en ondulant du bas-ventre pour inviter mon lécheur à poursuivre son action, j’aspire avec avidité la queue qui grossit sous mes jeux de langue. Au bout d’une dizaine de minutes de ces jeux buccaux, mes deux visiteurs comprennent que je suis bien réveillée et prête à subir leurs assauts. On me retire ma nuisette et on me soulève comme une plume. Abdoulaye s’allonge sur le lit et me voici empalée sur sa grosse queue qui m’ouvre en deux comme si j’étais prise par un énorme concombre. Je ressens une violente douleur et je me colle à lui pour bouger mon bas-ventre de manière à mieux l’absorber. C’est un peu comme un accouchement à l’envers ! Je respire par à-coups et je pousse comme on l’enseigne aux femmes enceintes. Mes chairs intimes se distendent, mon sexe s’agrandit et l’énorme monstre d’ébène peut se déployer en moi. Même à Paris, avec mon marabout qui est tout de même monté comme un âne, je n’ai jamais ressenti cette impression d’écartèlement. Devant le rictus qui se dessine sur mon visage, Awa me dit en me tutoyant pour la première fois— Tu vois, je t’avais dit hier que je t’apporterais une surprise ce matin !puis il poursuit— Abdoulaye a une très grosse queue et beaucoup de femmes refusent de faire l’amour avec lui. Elles ont peur de se faire ouvrir de la chatte au cul !et il conclut avec un grand rire— En te baisant hier dans le salon de massage, j’ai tout de suite vu que tu ferais son affaire !Salope et fière comme je suis, je vais leur montrer ce que je peux encaisser. Oubliant la douleur qui continue à irradier dans mon ventre, je me colle tout contre Abdoulaye et je lui susurre à l’oreille— Oui prends moi bien. Mets moi ta grosse bite bien profond, j’aime ça !L’homme passe alors ses deux bras puissants autour ma taille puis m’attire tout contre lui. Ainsi immobilisée, je ne peux pas bouger. Il commence alors à me donner de violents coups de queue en décollant ses fesses du lit. Pour m’empêcher de crier, il glisse sa langue dans ma bouche. Au bout de quatre ou cinq minutes de ce vigoureux traitement, il dit à Awa— C’est bon, je crois qu’elle est domptée. Prends ta place petit ! Awa vient se positionner derrière moi et commence à frotter son gland contre mes fesses. Je comprends aussitôt qu’il veut m’enculer pendant que son oncle me baise. Je m’écrie— Non, pas vous deux en même temps ! L’un après l’autre je vous en prie, vous allez me faire mal !Les deux hommes se mettent à rire à gorge déployée tandis que le gland d’Awa commence déjà à m’entrouvrir. Ils se moquent bien de ce que je peux dire !Abdoulaye dit à son neveu— Tu vois Awa, ces bourgeoises blanches sont toutes pareilles. On veut leur faire plaisir et elles ne sont pas contentes.La bite d’Awa est déjà à moitié entrée et je sais qu’il ne va pas s’arrêter avant d’être planté tout en moi. Son oncle poursuit— Mais tu verras tout à l’heure. Elle nous remerciera de ne pas l’avoir écoutée.Heureusement que le jeune homme a une queue bien plus fine que son oncle car, dans le cas contraire, je ne sais pas comment j’aurais pu absorber ces deux phallus noirs.Abdoulaye continue de me besogner mais avec des mouvements bien plus lents que précédemment. Maintenant que mon étroit sillon est lui aussi bien préparé, Awa prend plaisir à faire cogner ses bourses contre mes fesses à chaque introduction. Puis, lentement, il se retire entièrement et remet cela. Le petit vicieux doit sans nul doute apprécier que mon petit cul bien serré lui enserre la hampe. Il dit à son oncle— Je crois bien que c’est la plus salope des européennes que nous ayons eu l’occasion de rencontrer. Son mari ne doit pas s’ennuyer avec elle !Son oncle lui répond— Ne crois pas cela ! Les talents de ces femmes là sont souvent inconnus de leurs maris. C’est avec d’autres hommes qu’elles se révèlent ! Les puissantes mains d’Abdoulaye se sont maintenant déplacées de ma taille à mon postérieur. Ses doigts sont comme incrustés dans mes fesses dont il veille à bien séparer les deux globes pour que son neveu puisse encore mieux profiter de ma croupe.Les mains d’Awa se sont emparées de mes seins qu’il malaxe avec dextérité. Le bout de ses doigts roule sur mes tétons qui sont de plus en plus durs. Les deux hommes semblent habitués à œuvrer ensemble car ils n’ont pas besoin d’échanger de paroles pour coordonner leurs mouvements. Je suis quasiment certaine que le jeune employé de l’hôtel joue en quelque sorte le rabatteur pour son oncle. Il masse les femmes, les baisent ensuite puis les partage avec son oncle. Une affaire de famille en quelque sorte !De mon bas-ventre et du bas de mes reins irradient maintenant deux ondes de chaleur qui m’enflamment tout le corps. Je ferme les yeux pour que mon esprit se concentre encore plus sur l’extase que je ressens. J’ai l’impression de n’être plus qu’un objet de plaisir entre les mains de ces deux mâles qui usent de moi comme ils le feraient d’une poupée gonflable. Je ne doute pas que je ne suis, pour eux deux, que le catalyseur de leurs envies et bientôt le déversoir de tout leur plaisir.Awa se crispe dans mon dos, me pince encore plus fort les seins, me mordille la nuque et se répand en moi en poussant un long feulement. Avant qu’il ait le temps de se retirer, c’est Abdoulaye qui m’embrasse sur la bouche, me plaque contre son ventre et se vide à son tour en de puissants jets de foutre. Cinq minutes plus tard, aussi discrètement qu’ils sont venus, ils quittent la chambre. Je gis sur le lit, incapable de faire le moindre mouvement. Après avoir été possédée par ces deux queues, j’ai comme une impression de vide en moi. Je n’ose pas me regarder dans un miroir car je redoute de voir ma chatte et mon cul rester béants après de telles étreintes. Je sens des coulées de foutre qui s’échappent de mes deux orifices, coulent sur mes cuisses et mes fesses avant de s’étaler en larges taches sur les draps.Je n’en reviens toujours pas d’avoir réussi à prendre en moi leurs deux bites, surtout celle de l’oncle qui est certainement la plus grosse queue qui ne m’ait jamais visitée. J’avoue être fière de moi et je ne doute pas que les deux hommes vont longuement parler de leurs exploits, et donc des miens, dans les couloirs de l’hôtel. Comme le dit un proverbe local béti, « Le bruit de la rivière augmente par les rochers, le renom d’une fille augmente par ses amants ».Eprouvée et exténuée par ces longues et vigoureuses saillies matinales, je m’endors alors que le réveil affiche dix heures. François doit revenir à l’hôtel vers midi pour que nous allions déjeuner ensemble avant de visiter les quartiers populaires de la ville. J’imagine déjà son regard posé sur mon corps endormi dans les draps tachés du fruit de ma luxure …
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