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La bourgeoise et le marabout

Chapitre 80

Jour de marché à Yaoundé ...

Hétéro
J’ai dû m’endormir après m’être offerte au jeune Awa et à son oncle Abdoulaye car il est près de 11h30 lorsque je me réveille en entendant la porte de la chambre s’ouvrir. C’est François qui rentre de sa matinée de travail avec le directeur du musée national de Yaoundé. Aussitôt il s’écrit— Mais ça sent le sexe et le foutre à plein nez dans cette chambre. Tu n’es vraiment qu’une salope. Aussitôt que j’ai le dos tourné, tu en profites pour te faire sauter.Je comprends qu’il soit un peu énervé mais cela devrait lui passer. Mon mari est comme ça, il adore que je joue à la salope mais il voudrait que ce soit seulement quand lui le décide. Me sortir, m’exhiber, m’offrir, me partager, ça il aime ! Mais que je me fasse baiser quand il n’est pas là, ça il n’aime pas trop ! Depuis le temps que nous sommes mariés, il sait pourtant que j’aime de temps en temps m’émanciper de sa tutelle libertine. Mais il a beau savoir, il a du mal à s’y faire !Je me lève du lit et quelques filets de foutre s’écoulent de ma chatte et de mon cul. C’est la gravité, mais c’est celle de Newton donc ce n’est pas si grave que cela !François me dit— Tu n’as pas le temps de prendre une douche, un chauffeur nous attend pour nous amener déjeuner. Tant pis pour toi, tu va sentir le foutre tout l’après-midi. Nul doute que cela va exciter tous ces mâles blacks mais je serai là pour te surveiller !Je ne lui réponds rien mais, le connaissant bien, je suis certaine qu’il va vouloir se venger de mon comportement matinal. J’enfile rapidement un string et passe une robe longue légère en coton écru. C’est élégant mais pas provocant ! Une fois dans la voiture, le chauffeur démarre et nous voici paris. Nous longeons le terrain de golfe de la capitale camerounaise puis entamons l’ascension d’une colline. François me dit que nous allons déjeuner au restaurant de l’hôtel du Mont Fébé. Dans un français parfait mais aux accents exotiques, le conducteur de l’ambassade nous explique que c’est l’un des sommets qui entourent la capitale et qui lui ont donné le nom de ville des sept collines.Lorsque nous arrivons au restaurant de l’hôtel, une table nous est réservée en terrasse avec vue imprenable sur la monastère érigé sur la colline. Nous déjeunons en tête à tête, François me racontant dans le détail ses travaux de la matinée. Il semble avoir oublié mon comportement de la matinée mais je suis certaine qu’il a toujours cela en tête.Alors que nous prenons le café après le dessert, il me dit— Nous allons nous promener un peu dans le parc du monastère puis nous irons faire quelques emplettes en ville. Nous rentrons sur Paris demain en début d’après-midi et j’ai deux ou trois souvenirs à acheter pour des collègues du ministère. Nous voici maintenant dans le parc du monastère où nous déambulons tous les deux à l’ombre d’arbres majestueux. De longues lianes pendant de la ramure de certains d’entre eux et nous nous amusons à nous faufiler entre elles comme si nous étions deux explorateurs. Soudain François m’attrape par le bras. Je comprends que le démon qui est en lui, qu’il a réussit à calmer depuis qu’il m’a découverte nue dans la chambre, a besoin de satisfaire ses envies.Il me plaque le dos contre un arbre, se colle à moi et m’embrasse à pleine bouche en jouant de sa langue. Ses lèvres toujours soudées aux miennes, il ouvre sa braguette, extirpe sa queue de son pantalon et se frotte à moi. Je n’ai pas besoin qu’il me parle. Je retrousse ma robe et j’écarte le tissu de mon string. D’un violent coup de bassin, il me pénètre et s’active en moi. Awa m’a tellement bien ouverte ce matin avec sa grosse queue d’ébène que la bite de mon mari coulisse en moi sans me faire grand effet. Je décide pourtant de jouer le jeu pour ne pas le frustrer.Il se met à me mordiller la nuque et je peux enfin jouer mon rôle d’épouse comblée en ondulant du bas-ventre. Je l’encourage de la voix— Oui chéri, prends moi fort. Tu es mon maître, baise moi !— J’adore ta queue dans ma chatte. Défonce moi bien !— Oui, plus fort. Arrose-moi bien !La situation l’excite, il ahane et commence à transpirer ; il faut dire qu’il fait relativement chaud malgré la fraîcheur des arbres. Soudain il s’immobilise, son bas-ventre soudé au mien, et jouit en criant— Oh salope, je mêle mon foutre à celui des blacks qui t’ont baisée ce matin à l’hôtel.Puis, une fois qu’il s’est retiré, il poursuit— Tu aimes la queue black chérie, alors tu ne vas pas être déçue ! Une heure plus tard, le chauffeur nous dépose cette fois-ci en plein centre ville de Yaoundé à l’entrée du marché Mokolo. Le secteur est noir de monde, au propre et au figuré ! François me prend par le bras et m’entraîne derrière lui ; nous slalomons au milieu d’une foule bruyante et multicolore. Tout le monde est en boubou à l’exception de quelques africains en costume-cravate – certainement des fonctionnaires de l’administration locale – et de quelques touristes.Après avoir acheté deux ou trois statuettes en bois à un étal, François s’arrête devant l’entrée d’une boutique où l’on vend de superbes poteries d’argile. Nous entrons et un vieil homme vient aussitôt vers nous. Devant l’intérêt de François, il lui explique que ces poteries viennent du village Mbeugo de la chefferie de Bazou et qu’elles sont exclusivement réalisées par des femmes qui se transmettent de mère en fille ce savoir-faire ancestral. Il y a vraiment de superbes pièces que François veut acquérir pour quelques amis parisiens. Un long dialogue de marchands de tapis s’engage alors entre mon mari et le vendeur pour convenir du prix. Cela se compte en milliers de francs CFA et je n’y comprends rien. Le vieil africain, qui semble avoir du mal à trouver un terrain d’entente avec François, commence alors à me regarder avec instance et je vois ses yeux qui brillent d’un regard lubrique. Puis il dit à François— 200 000, c’est mon dernier prix !François, qui a vu lui aussi combien l’homme me détaillait des pieds à la tête, lui dit— 150 000 et ma femme t’aide à emballer les poteries dans ton arrière boutique.Il donne aussitôt les billets à l’intéressé qui les empoche rapidement et me dit— Viens avec moi jolie madame, tu vas m’aider pendant que ton homme boit une bière bien fraîche.Il donne une canette de bière sortie d’une glacière à François et me prend par la main pour me guider entre les rayons de sa boutique. Une fois parvenu dans une petite pièce où sont entreposées diverses marchandises, il soulève son boubou et prend en main sa bite qui pend entre ses jambes comme un tuyau de caoutchouc. Je m’approche et m’assoie devant lui sur un ballot de vêtements. En prenant sa bite en bouche, j’ai un haut le cœur car elle sent la sueur et la pisse. Mais tant pis, je vais m’appliquer pour que cela ne dure pas une éternité. A peine ai-je commencé à la sucer que la queue d’ébène grossit dans ma bouche et atteint rapidement des proportions intéressantes.La situation m’excite et, tout en suçant le vieil homme, je glisse une main entre mes jambes pour masturber mon petit bourgeon. J’ai encore le foutre de François en moi et mes doigts sont vite tout poisseux de sperme et de mouille. Le vendeur a quant à lui passer sa paume derrière ma nuque et m’oblige à le prendre entièrement en bouche. Je dois rapidement faire en sorte de reprendre la situation en main pour qu’il ne m’étouffe pas !Je réussis à me redresser, lui tourne le dos et tombe ma robe de coton. Je me mets à genoux sur le vieux tapis et me cale le ventre contre le ballot de vêtements. J’ouvre grand les jambes et écarte mon string ; l’homme comprend vite ce que j’attends de lui. Aussitôt, d’un coup sec, il m’enfile de sa queue bien lubrifiée par ma salive. Même si François m’a bien baisée tout à l’heure, la bite du vieil homme me déchire les chairs tellement son gland est gros. Mais quel bonheur de sentir cet engin me ramoner avec vigueur. J’accompagne du bas-ventre ses mouvements de bassin ; pour un vieillard, il est encore bien vert ! Lorsqu’il se vide en moi, je sens ses jets de foutre qui cognent au fond de ma matrice. Encore un nouvel orgasme, cette journée de sexe, commencée au lit à l’hôtel, est vraiment des plus chaudes. Lorsque nous revenons tous les deux dans la pièce principale de la boutique, François avale la dernière gorgée de bière. A la mine réjouie du vieil africain, il comprend vite que l’intéressé ne regrette pas le rabais accordé pour l’achat de poteries. Alors que nous nous apprêtons à sortir, le vendeur nous lance un joyeux— Au revoir ! Et n’hésitez pas à revenir à ma boutique si vous souhaitez autre chose…Vingt minutes plus tard, vers 17h00, nous sommes de retour à notre chambre d’hôtel. François me dit— Nous allons prendre en peu de repos car nous ressortons vers 22h00.Je suis surprise et je lui demande— Et nous irons où ?Avec un grand sourire, il me répond— Nous irons danser. L’un des adjoints du conservateur du musée m’a recommandé une excellente boîte de nuit. Il parait que l’ambiance y est très chaude….Je ne réponds pas car j’imagine déjà l’ambiance débridée et lubrique de la discothèque dans laquelle il va m’emmener. Je ne doute pas que c’est là bas qu’il a décidé de se venger de l’affront que je lui ai fait subir ce matin en me faisant baiser au réveil. Qu’à cela ne tienne, je vais faire en sorte qu’il apprécie sa vengeance….
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