Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 274 J'aime
  • 5 Commentaires

La bourgeoise et le puceau.

Chapitre 7

Enfin...

Erotique
Demain soir, François devait m’accompagner à une soirée dansante programmée de longue date mais il vient de m’annoncer, lors du dîner, que ce ne sera pas possible car il rentrera tard en raison de contraintes professionnelles au ministère. Il se rend compte de ma déception, alors, s’adressant à Florian assis à sa droite à table, il lui dit
— Florian, ta mère m’a souvent dit que tu étais un bon danseur car tu as pris des cours de danses de salon à Bordeaux. Cela t’embêterait-il d’accompagner ta tante à cette soirée ???
Même si cette solution ne serait pas pour me déplaire, je fais semblant d’être gênée et je rétorque à mon mari
— Voyons François, Florian a peut-être déjà quelque chose de prévu demain soir et, même si ce n’est pas le cas, cela ne lui dit peut-être rien.
S’adressant alors à nous deux, Florian intervient
— Non je n’ai rien de prévu. Si cela peut vous rendre service à tous les deux, je veux bien accompagner Hélène à cette soirée. J’espère ne pas avoir oublié les pas des différentes danses.
François remercie alors vivement son neveu puis, s’adressant à moi, m’interroge
— Je crois que c’est une soirée à thème, il faut être costumé ?— Oui, le thème de la soirée c’est « Ambiance cabaret ». Je chercherai quelques accessoires dans tes affaires pour que Florian soit dans l’esprit de la soirée. En ce qui me concerne, j’ai ce qu’il faut.
Le lendemain soir, je dîne en tête à tête avec Florian en l’absence de mon mari. Une fois la table desservie, je dis à Florian que nous partirons en taxi vers 20h30 et qu’il a donc largement le temps de se préparer. Puis j’ajoute que je vais lui apporter les quelques accessoires de mode dans sa chambre pour qu’il puisse essayer tout cela.En ce qui me concerne, je sais déjà la tenue que je vais mettre car j’ai envie d’être super sexy pour affoler mon neveu. Dans ma garde-robe, je choisis une petite robe lamée noire ultra courte avec un décolleté très profond. Comme lingerie, je prends un petit bustier pigeonnant demi bonnet qui remonte bien mes seins tout en laissant apparent une bonne partie. Puis, dans le tiroir de ma commode, je prends un large porte-jarretelles à six jarretières, un petit string ivoire et des bas noirs ultras fins. Pour parfaire ma tenue de danseuse de cabaret, je prends un boa à plumes blanches et des escarpins argentés à hauts talons. Enfin, une fois maquillée de près, je noue un petit turban dans mes cheveux avec une plume de paon. Ainsi transformée, je trouve que j’ai le look d’une fille du Moulin Rouge.Ainsi habillée, je vais frapper à la chambre de Florian et j’entre avant qu’il ne me dise d’entrer. Il est nu et, pour montrer que je ne suis pas choquée, je lui dis
— Je suis désolée Florian mais, même si j’apprécie tout particulièrement ta tenue, elle n’est pas appropriée pour notre sortie de ce soir.
Il me fait un grand sourire et, sans même chercher à cacher son sexe, il me répond
— Vous êtes très élégante Hélène, presque provocante. Vous allez être l’attraction de la soirée.
Je m’approche de lui et lui tends les quelques objets qui devraient lui aller.
— Je crois que tu as déjà un pantalon noir dans tes affaires. Je t’ai donc apporté une chemise blanche, un petit gilet fantaisie, un nœud papillon et un haut-de-forme. Avec cela, tu seras dans l’esprit de la soirée et nous sommes parfaitement assortis.
C’est à ce moment que je constate que ma tenue doit lui faire de l’effet car son sexe s’est bien redressé depuis mon arrivée dans la chambre et il pointe maintenant fièrement vers le ciel.A 20h30 nous embarquons tous les deux à l’arrière du taxi et je remarque que Florian me mate discrètement les jambes. Il faut dire que même avec mon petit manteau léger, on voit parfaitement la lisière de mes bas et les jarretières qui les retiennent. Moins de vingt minutes plus tard nous arrivons au Menphis, une petite discothèque en plein cœur de Paris, où se tient la soirée. Nous passons aux vestiaires puis nous voici dans l’une des deux salles de l’établissement. Comme je connais les lieux, puisque nous venons parfois y danser le dimanche après-midi avec François, j’entraîne Florian dans un coin tranquille un peu éloigné de la sono et nous nous installons côte à côte à une petite table face à la piste de danse. Histoire de nous mettre dans l’ambiance, nous regardons les deux ou trois couples qui dansent un charleston. Tout le monde est en tenue appropriée mais je remarque que de nombreuses femmes ont opté pour des robes longues largement fendues sur le côté. En fonction de leurs mouvements, on voit par intermittence une belle jambe gainée de soie noire ou blanche.
La salle est maintenant bien remplie alors je me penche vers Florian et lui glisse à l’oreille
— Florian, si cela ne t’ennuie pas, j’aimerais que l’on fasse comme si nous sommes vraiment ensemble. Ne me quitte pas car sinon je vais être rapidement harcelée par de gros lourdauds qui vont vouloir me tripoter tout en dansant.
Florian me regarde avec un grand sourire puis me répond
— Pas de souci Hélène, nous allons faire somme si nous sommes en couple. Je vais essayer d’être à la hauteur.
Bien vite, il me montre qu’il est un excellent danseur et que le paso-doble, le tango, le twist, la valse et autres danses de salon n’ont aucun secret pour lui. A chaque danse, il me colle tout contre lui, me caresse le dos, m’embrasse dans le cou et ne cesse de me dire que c’est vraiment une superbe soirée. A plusieurs reprises, des hommes tentent de m’inviter à danser mais à chaque fois Florian procède de la même manière. Il pose ostensiblement l’une de ses mains sur le haut de ma cuisse, précise qu’il a réservé toutes mes danses puis m’attire à lui et m’embrasse sur la bouche. Evidemment les hommes doivent penser que nous sommes amants et ils n’insistent pas. Je n’en reviens pas du comportement de Florian qui a vraiment pris les affaires en main. Devant l’insistance de ces messieurs, il se penche vers moi et me glisse à l’oreille
— Je suis vraiment désolé de devoir me comporter ainsi mais je dois tenir le rôle que vous m’avez confié. Vous êtes si sexy que tous les hommes ont envie de danser avec vous.
A peine sommes-nous repartis dans une valse viennoise que je lui chuchote, bien nichée dans ses bras
— J’espère que le rôle ne vous déplaît pas. En ce qui me concerne, j’ai rarement eu un cavalier aussi attentionné.
Florian me regarde droit dans les yeux et me répond
— J’espère que vous saurez me le prouver une fois de retour à la maison.
Alors que nous dansons un slow bien langoureux sur une chanson de Michel Sardou, Florian m’embrasse longuement sur la bouche en jouant de sa langue avec la mienne. Tandis qu’il me guide sur la piste de sa main droite, sa main gauche descend dans le creux de mes reins et glisse jusque sur mes fesses. Il me plaque tout contre lui et, à travers le fin tissu de ma robe, je devine son sexe bandé. Dans la foulée, l’orchestre enchaîne avec une lambada et c’est encore plus serrés l’un contre l’autre que nous évoluons sur le parquet. Bien emboîtés l’un dans l’autre, en suivant le tempo latino de la musique, nous nous déhanchons comme des fous. Son sexe est encore plus gros et une onde de chaleur s’empare de mon bas-ventre. Cette fois-ci, c’est moi qui prends l’initiative et donne ma bouche à Florian. Nous nous comportons vraiment comme deux amants passionnés et quelques hommes regardent mon neveu avec envie.Il est un peu plus de deux heures lorsque nous reprenons place dans un taxi. A peine sommes-nous installés que Florian m’attire à lui et m’embrasse avec passion tout en glissant une main sous ma robe. Sa langue m’embrase tandis que ses doigts remontent jusqu’en haut de mes cuisses. Heureusement qu’il fait sombre dans la partie arrière de l’habitacle de la voiture car Florian est en train de me retirer mon string. Une fois que c’est fait, il le respire puis le porte à mes narines.
— Hélène, j’adore votre parfum de femelle. Cela fait des semaines que je vous désire et je ne peux plus attendre. Ce soir j’ai très envie de vous. me glisse-t-il à l’oreille.Puis il ajoute
— D’ailleurs François m’a envoyé un SMS tout à l’heure tandis que nous dansions.
Il me tend son téléphone et je peux lire sur l’écran
— Florian, merci d’avoir bien voulu prendre ma place pour cette soirée. Hélène est à vous jusqu’à demain matin, sachez en profiter !
Pour bien lui montrer que je suis consentante, j’écarte grand les cuisses et sa main peut vérifier que je suis déjà bien trempée. Je lui réponds
— Oui, François est un mari qui adore parfois me partager et il a des tendances candaulistes. Pour lui faire plaisir, je me plie de bon gré à ses fantaisies sexuelles et cela ne fait que consolider notre couple.
Nous voici arrivés devant notre immeuble et, à peine sommes-nous dans l’ascenseur, que Florian se met à genoux devant moi, soulève la minijupe et me dévore la chatte de sa bouche gourmande. Une fois dans l’appartement, il m’entraîne dans sa chambre ; je retire ma robe tandis qu’il se met nu. Avant de se glisser contre moi, il sort son téléphone portable et je vois qu’il le pose debout appuyé contre un cadre sur la commode. Puis il se jette littéralement sur moi et commence à m’embrasser de la tête jusqu’aux pieds. C’est un régal de se sentir si désirée ; son sexe dressé comme un glaive capte mon attention. Le voici maintenant qui me dévore les seins, me mordille les tétons tout en me caressant les épaules et le dos. Sa bouche descend jusqu’à mon nombril puis glisse jusqu’à ma chatte. De ses deux mains, il me soulève les fesses et peut ainsi me faire un cunnilingus bien profond. Le voici enfin qui remonte, se colle bien à moi et sa bouche se soude à la mienne. Son gland cogne à l’entrée de ma chatte et il lui suffit d’une légère poussée pour s’introduire dans la place.
Il me mordille de nouveau la pointe des seins tout en commençant ses mouvements de va-et-vient. Ce n’est finalement pas lui qui me donne son pucelage, c’est moi qui lui donne tout. Pendant une bonne heure, il me fait prendre diverses positions, sur le côté, en levrette, sur le ventre et me besogne avec fougue. Je ne compte plus les ondes de plaisir qui me parcourent le corps et je pense qu’il prend un malin plaisir à faire durer la chose. Ce n’est pas pour me déplaire ! Il me fait remettre sur le dos, revient sur moi et me dit à l’oreille
— Depuis que je suis hébergé chez vous, je me suis masturbé tous les soirs en pensant à vous. Je vais enfin avoir le plaisir de jouir en vous.
Puis il reprend possession de ma bouche, glisse ses mains sous mes fesses pour bien me coller à lui et il se vide longuement en moi. Pour quelqu’un qui se masturbe tous les soirs, il a tout de même une grande réserve de foutre en lui.La nuit fut courte et, avant que François ne se réveille, je le rejoins dans le lit conjugal. A peine ouvre-t-il les yeux qu’il se colle à moi, se frotte à mes fesses puis me prend dès que son sexe est bandé. Evidemment, il n’a aucun mal à s’introduire et, tout en me besognant, il me dit
— Ta chatte est encore toute trempée et gluante de sperme. Tu es vraiment une adorable petite salope et je suis certain que notre neveu a apprécié les talents de sa tante. C’est bien, il va falloir en profiter pendant son dernier mois de stage.
Et son foutre se mêle à celui de son neveu. Je suis certaine que ce n’est pas la dernière fois...
Diffuse en direct !
Regarder son live