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La bourgeoise et le puceau.

Chapitre 14

En club avec mes deux hommes...

Avec plusieurs hommes
Depuis notre récente sortie au bois de Boulogne où je me suis bien faite baiser par des transsexuelles, mon mari François et notre neveu Florian sont devenus très complices. Je pense que François a trouvé en Florian l’instrument de sa perversion. Mon mari a une grande imagination et de grosses envies lubriques mais ce qu’il aime surtout c’est me mettre en scène dans des situations libertines et débridées. Il est en général plus spectateur qu’acteur, il est en quelque sorte le metteur en scène de ma débauche. Il a donc trouvé en son neveu l’acteur qu’il lui fallait pour jouer les scènes avec moi. Cela excite mon mari, cela ravit notre neveu et cela me convient parfaitement.
En ce samedi après-midi, François a décidé que nous allons faire un tour dans un club libertin d’Argenteuil dont il a trouvé l’adresse sur internet. Les critiques sont élogieuses et il se dit qu’il y a matière à y réaliser un scénario débridé comme il raffole. Nous partons tous les trois en voiture mais, une fois arrivés sur place, François demande à Florian d’y entrer seul et nous le suivrons une dizaine de minutes plus tard sans montrer que nous nous connaissons.
Un quart d’heure plus tard, nous nous retrouvons tous dans l’établissement. Nous voyons que Florian est installé seul à une table et est en train de boire un verre. Nous nous asseyons à une table voisine et commandons un verre à notre tour. François se décide alors à me faire faire le tour des lieux. Au sous-sol, il y a un petit sauna mais ce n’est pas trop notre truc car je préfère rester habillée, au moins en lingerie. Au rez-de-chaussée, où nous étions assis, il a donc les tables avec fauteuils et canapés, une petite piste de danse, un grand lit bas et le coin WC. Le premier étage est accessible par deux petits escaliers, l’un situé à chaque bout du rez-de-chaussée. Nous trouvons là-haut plusieurs petits salons privés, une sorte de chambre noire et une pièce fermant à clé avec un lit et une baie vitrée donnant sur le couloir qui dessert tout l’étage. Nous revenons au rez-de-chaussée et nous reprenons nos places en continuant à boire nos drinks. Le gérant a mis une musique douce, une vieille chanson de Demis Roussos, particulièrement lascive. Quatre ou cinq hommes nous regardent, me matent avec attention mais pour l’instant aucun ne prend l’initiative. Après un échange de clin d’œil entre mon mari et Florian, ce dernier s’avance jusqu’à notre table et demande à François— Pardon Monsieur, m’autorisez-vous à faire danser votre charmante épouse ?— Bien sûr ! Je suis un piètre danseur et je suis certaine qu’Hélène sera ravie de faire quelques pas avec vous.répond-il.
Me voilà donc bien enlacée en train d’évoluer dans les bras de Florian sur la petite piste de danse. Bien vite, Florian joue le rôle que lui a assigné mon mari, me caresse le dos et m’embrasse dans le cou. Ses mains descendent ensuite sur mon dos et se positionnent sur mes fesses. Encore quelques tours de piste et le voilà qui m’embrasse sur la bouche avec passion. Les mateurs n’en perdent pas une miette et, comme l’escomptait François, ils comprennent vite que je ne suis pas là pour faire de la figuration. A la fin de la chanson, Florian me raccompagne galamment à ma place puis rejoint seul sa table. Pendant le quart d’heure qui va suivre, je vais danser avec plusieurs hommes qui, à l’instar de mon neveu et avec la bénédiction de mon mari, vont me coller de près, me tripoter, me caresser, m’embrasser et me convoiter au fil des différents slows. Mais pour l’instant, ils ont bien compris que ce n’était que le tour de chauffe et qu’il convenait d’attendre la suite de la soirée pour tenter sa chance plus intimement.
Avant que François nous commande une seconde boisson, il me dit— Tu devrais aller te remettre du rouge à lèvres et revenir ici en passant tranquillement par le premier étage. Je comprends que la soirée va bientôt entrer dans sa seconde phase et cela n’est pas pour me déplaire. Je vais donc aux toilettes me remaquiller un peu, puis emprunte le petit escalier pour monter à l’étage qui est dans la pénombre. J’avance dans le couloir et découvre Florian qui m’y attendait. Il me colle contre la paroi, m’embrasse à pleine bouche et se met à genoux devant moi. Ses mains se posent sur mes chevilles puis remontent lentement le long de mes jambes. Je porte une robe assez légère et il n’a aucun mal à engouffrer son visage entre mes cuisses. Son souffle chaud excite ma chatte et il décide de faire descendre mon string le long de mes jambes. Sa langue se glisse dans ma fente et il joue quelques minutes à bien me lécher la chatte. Il me retire finalement mon string qu’il glisse dans sa poche, se relève et m’embrasse de nouveau à pleine bouche pour me faire partager le goût de mon intimité. Je redescends rejoindre François tandis que Florian fait à son tour une pause aux WC. Puis, en revenant, il vient voir François et lui tend mon string en lui disant— Je crois que votre épouse a égaré son string à l’étage.François prend le léger morceau de tissu, le respire puis le pose sur la table en répondant— Il est déjà tout moite. Je pense qu’il n’est pas nécessaire qu’elle le remette.D’où les autres hommes sont placés, ils ont une vue directe sur mon entrejambes. Les boutons du bas de ma robe sont défaits et nul doute qu’ils ont une vue imprenable sur ma chatte.
François se lève et va vers le bar. Florian en profite alors pour venir vers moi, me prendre par la main et m’entraîne vers l’escalier qui conduit à l’étage. Aussitôt, un groupe de cinq ou six hommes se met à nous suivre. Nous entrons dans le salon avec la baie vitrée et Florian ferme à clé derrière nous. Il défait les derniers boutons de ma robe et me voici simplement en bas, porte-jarretelles et escarpins. Il me fait monter sur le lit et se débraguette. Bien vite, je le pompe avec délectation ; derrière la vitre, les voyeurs se branlent en profitant du spectacle. Je me mets alors en levrette de telle sorte que mon visage soit face à la vitre. Florian se positionne derrière moi et se glisse dans ma chatte. Il commence à me besogner tandis que j’excite les voyeurs en passant lentement ma langue sur mes lèvres. Au bout d’une dizaine de minutes, Florian se retire et me dit de ne pas bouger et qu’il va passer le relais à un autre. Il déverrouille la porte, fait entrer un homme, lui dit quelques mots et sort. L’homme verrouille à son tour la porte et me dit— Alors petite dame, on a envie de tester toutes les queues présentes ce soir ?Sans attendre la réponse, il me saisit par la taille et me prend. Comme Florian, il me besogne une bonne dizaine de minutes puis passe le relais à son tour. Pendant l’heure qui suit, je vais ainsi m’offrir rapidement à sept ou huit queues. Quelques éjaculateurs précoces, certains trop excités par l’attente, ne peuvent se retenir et jouissent avant la fin des dix minutes offertes par Florian. C’est toujours en porte-jarretelles et bas que je descends rejoindre François au rez-de-chaussée. Florian est cette fois-ci installé à notre table. François m’oblige à rester assise ainsi, les jambes bien écartées pour que tous puissent voir combien ma chatte est grande ouverte après ces nombreuses saillies.
Après deux ou trois coupes de champagne, François sort un bandeau noir de sa poche, me bande les yeux et demande à Florian de me guider jusqu’au grand lit près de la piste de danse. Une fois là, il me fait allonger sur le dos et je devine qu’il fait signe aux autres hommes qu’ils peuvent se joindre à lui. Aussitôt, voilà que des mains parcourent mon corps, des queues se succèdent dans ma bouche et des bouches s’activent sur mes seins. Je devine qu’un homme se positionne entre mes jambes car une queue me prend. Pendant une nouvelle heure de luxure et de débauche, je vais être la salope de l’établissement. On me baise de partout et je ne compte plus les queues qui se vident en moi. J’ai la chatte et le cul poisseux de tout ce sperme ingurgité. Petit à petit, il y a de moins en moins d’hommes à s’occuper de moi. Vidés, ils retournent à leurs places mais continuent à regarder le spectacle. Florian me retire enfin le bandeau et il me baise à son tour en me disant— Hélène, je vous baiserai de nouveau demain matin au réveil car là vous êtes vraiment trop ouverte.Le coquin n’a cependant aucun scrupule à bien se vider en moi, mélangeant ainsi son foutre à celui te tous les autres mâles qui m’ont honorée ce soir.
Lorsque nous sommes de retour à la maison et que Florian est couché, François me dit qu’il a passé une superbe soirée et qu’il a pris plaisir à me voir aussi salope. Je l’embrasse sur la bouche puis lui fait une longue fellation. Ensuite, il me fait allonger sur le ventre et m’encule sans aucun préparatif ; ce passage aussi est bien ouvert ! Lorsqu’il jouit, il me mordille la nuque et me traite de bourgeoise délurée, de salope et de petite pute. Je lui réponds— Je suis ce que tu as fait de moi. J’espère que tu ne regrettes pas ????
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