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La bourgeoise et la putain

Chapitre 1

Trash
Souvent la vie nous semble injuste, certains naissent beaux, riches et chanceux et se révèlent des ordures. Tandis que d’autres, la bonté incarnée, passent leur vie dans la pauvreté
Mais peut-être que le bonheur ne se résume pas à quelques qualités et défauts superficiels, et parfois contre toute probabilité l’indigent est plus heureux que le riche. C’est ce que l’histoire d’Olga et d’Eleanor pourrait nous apprendre. Qui sont ces deux femmes ? Rejoignons d’abord Olga, elle se trouve une voiture à l’arrêt situé dans une petite ruelle sombre. Vous ne la voyez pas ? Regardez mieux et vous apercevrez la mignonne tête brune d’Olga monter et descendre avec un bon rythme.
Et regardez le conducteur, il affiche un sourire béat. D’ailleurs il ne tient pas le volant, mais la tête d’Olga. Celle-ci à la tête embouchée sur le sexe du conducteur, une bonne grosse tige de chair bien dressée, lorsqu’on n’aperçoit plus la tête d’Olga par la portière, c’est qu’elle a pris le mandrin tout en entier dans sa bouche. Cette pratique exige de sa part de la bonne volonté, mais elle est souvent récompensée par un pourboire de quelques euros. Elle est loin de vouloir négliger cette contribution à son train de vie. Et au fil des mois la gorge d’Olga en a gouté des bites, et si au début elle avait bien du mal à y faire entrer tout le morceau, elle est maintenant expérimentée et y reçoit de longs bâtons sans rechigner.
Le conducteur est un homme marié d’une soixante d’année, ça faisait plusieurs fois qu’Olga le suçait. Il faut dire que sa femme met peu d’entrain à leur vie sexuelle, elle n’accepte même pas de prodiguer une fellation. Pratique que lui adore. Il avait découvert le plaisir procuré par ce traitement avec Olga. Elle suçait aussi avec une application des plus professionnelles, et elle savait parfaitement quand accélérer le mouvement avant la décharge de sauce. Les clients raffolaient de sentir leur sexe en pleine action au moment de giclé dans une bouche chaude et gourmande. Les fellations d’Olga étaient brèves, mais inoubliables.
À ce moment, la langue astiquait le chibre faisant bien attention de prendre soin de son gland. Quand elle sentit que le membre gonflait, elle engloba rapidement le sexe entièrement dans sa bouche, le gland lui pénétra jusqu’à l’entrée de la gorge. Quand le sexagénaire lâcha la purée, Olga sentit le gros gourdin se vider dans sa bouche et se transformer progressivement en brindille. En professionnelle, elle garda la bite en bouche pendant toute l’éjaculation.
Il semblait que son client n’avait pas baisé sa femme depuis une bonne semaine vu la quantité de sperme qui lui coulait dans l’œsophage. Le sperme lui tapissait les parois gastriques quand il eut fini de se vider en elle. Olga attendit encore deux minutes. Les clients appréciaient que leur pute garde précieusement en elle leur trique. Ils avaient ainsi l’impression qu’Olga avait une passion pour la bite que seul leur chibre était à même de satisfaire.
En tout cas, c’était comme ça qu’une bonne pute devait se comporter selon Olga, et elle était fière de se considérer comme telle. Lorsque le membre de son client se fut bien reposé au chaud dans sa bouche, elle fit glisser le pénis hors de ses lèvres. Elle sourit au client ouvrant bien la bouche pour montrer qu’elle avait absorbé jusqu’à la moindre goutte de foutre. Un tel sourire ne pouvait que montrer son bonheur à servir de décharge à foutre publique. Elle compléta quand même sa performance en gratifiant son client de quelques mots de remerciements :
-J’adore ton sperme, monsieur, j’en boirais tout la journée du si bon !
L’homme remonta son pantalon, il sortit ensuite trente euros de son portefeuille. C’était dix de plus de ce qu’elle demandait pour une pipe. Olga sourit de toutes ses dents alors que le client lui tapotait les joues. Son Mac serait content aussi.

**Six mois plus tôt, à cinq kilomètres de là, au manoir Clorivau**

Eleanor a tout juste vingt ans, fille unique et dernière descendante de la noble et fortunée lignée des marquis de Clorivau. Et elle râle comme à son habitude :
-Tu me casses les pieds avec ton aspirateur, Julien. Finis le ménage au balai, et en silence.
-Bien mademoiselle, comme vous voudrez.-Et vraiment, rase-toi un peu mieux… je reçois des copines, et tu imagines ce qu’elles diraient si toute ma domesticité se laissait aller comme toi. Je demanderais à mon père de revoir tes gages pour la peine.
Julien détestait Eleanor, une garce dans tous les sens du terme. Odieuse, elle tutoyait tout le monde, mais exigeait qu’on la vouvoie. Pouffiasse, elle s’habillait de manière affriolante, ce qui, combiné à son physique de blonde à la poitrine généreuse et aux fesses à croquer obligeait tous les domestiques à accomplir leur travail la queue dressée. Mais pas question d’y toucher… un jour, un domestique avait effleuré ses fesses et depuis il était au chômage. Avec une mauvaise recommandation du marquis de Clorivau, son seul espoir de gagner à nouveau des sous serait de pratiquer la manche.
-Où ai-je mis ma robe Dior ? Celle avec une fente tout du long ?
-Je n’en suis pas sûr, Mademoiselle, mais peut-être devriez-vous regarder dans votre armoire « Dior », là vous fouillez dans votre armoire « Gucci »
-Ta gueule bouffon, je sais très bien où je regarde, dit-elle en se dirigeant vers l’armoire « Dior ».
Mais qu’Eleanor soit une garce mal-élève n’empêchait pas Julien de fantasmer sur elle. De s’imaginer comment il lui défoncerait le cul ; comme il la ferait supplier de lui enfourner sa queue au plus profond de ses entrailles. Comme il déchargerait son sperme en plein sur sa gueule de connasse. Comment il fesserait le cul de cette mal-baisée, pour qu’elle supplie qu’il lui bourre la chatte de sa grosse bite.
Mais il savait bien que ses fantasmes n’avaient aucune chance de se réaliser. Eleanor avait déjà prévu son mariage avec un grand bourgeois. Ces mariages arrangés lui donnaient envie de vomir. En attendant, il prit le balai et commença à balayer pour la réception des copines de Mademoiselle.

**le 07 avril 2015, dans une ruelle sombre de la même ville **

Olga est entre deux poubelles où elle se fait ramoner de fond en comble, un groupe de pote s’est cotisé pour la défoncer. Il était cinq heures, elle était à deux cents mètres du lycée Mont Rouge. Son Mac insistait pour qu’elle aille tapiner à la fin des cours. Et pour cent euros elle proposait un tarif de groupe, gang-bang jusqu’à cinq mâles en rut et dix euros de plus par participant.
Ce n’était pas son moment préféré de la journée, ça payait peu et elle se faisait violemment tronché par des jeunes surexcités et plein de vigueur. Au départ quand il y avait des puceaux l’affaire était finie en une minute, mais depuis qu’elle trainait dans le coin, les puceaux s’étaient transformés en clients réguliers qui cherchaient à rentabiliser leur « investissement baise ».
Les deux premiers du groupe lui était déjà passé dessus, le troisième la prenait par-derrière. Elle avait les mains contre un mur de briques. Sa mini-jupe recourbée sur son cul. Bien que les deux premiers clients l’aient déjà bien fatigué, elle se considérait comme professionnel et fit les efforts nécessaires pour montrer au lycéen qu’il était une bête de sexe.
-Oh, ta grosse bite, rentre-la-moi ! Oui ! Oh ! Que c’est bon ! »
Non, seulement cela faisait plaisir au lycéen de savoir qu’il baisait merveilleusement bien, mais cela l’encourageait à décharger son foutre plus vite.
-Vas-y, je la sens qui me remplit la chatte ! Oh oui ! Baise-moi comme une salope !
Le garçon, encouragé, lui rentrait violemment dedans, il déchargeât dans un préservatif.
-Oh, que c’était bon, j’adore quand tu me fourres la chatte, on recommence bientôt, hein ? Et donne-moi ta capote, que je profite bien de ton jus.
Elle gardait les préservatifs. Vu qu’elle devait diminuer le tarif quand elle se faisait niquer avec ; elle devait les montrer à son Mac pour justifier ses comptes. Elle avait un petit sac à main où elles les mettaient. Ses clients trouvaient ça bizarre au début, mais vu l’enthousiasme qu’elle mettait à se faire défoncer ou à avaler du sperme lors des pipes, ils finissaient par penser que conserver les préservatifs était une pratique peu étonnante d’une aussi grosse salope qu’elle.
Certains jours quand son sac était bourré à ras bord de capotes remplies de foutre, bien qu’elle se considère comme une pute experte, l’odeur de tout ce sperme frais finissait par l’écœurer un peu. Bien sûr, elle gardait ce petit secret pour elle, et ne ratait jamais une occasion pour affirmer son goût du foutre. Quand son Mac lui posait des questions dessus, elle disait qu’elle adorait transporter tout ce sperme avec elle ; que son seul regret était qu’elle ne pouvait pas se gaver de la précieuse semence des clients, ou qu’elle était un peu déçue qu’ils préfèrent se vider dans du plastique plutôt que dans ses trous à bite si accueillants.
Après avoir retiré la capote de la bite du troisième lycéen, un quatrième prit place.
Il était immense, des bras d’haltérophile, et une matraque qui lui servait de bite. Olga fut soulevée du sol, et le sportif l’empala sur son gourdin. Elle sentit sa chatte s’ouvrir comme la mer rouge devant Moïse. Il la maintenait en l’air comme si elle ne pesait pas plus qu’une plume. Le lycéen par d’amples coups de bassins lui remplissait l’abdomen. Normalement elle aurait ouvert la bouche pour s’exclamer sur la chance qu’elle avait de se faire remplir par une grosse bite. Mais elle en avait le souffle coupé et ne parvenait qu’à gémir.
Finalement il finit par jouir, la quantité de sperme qu’il éjecta dans son ventre était proportionnelle à sa taille, alors qu’elle était encore suspendue dans l’air, le sperme commença à déborder de sa chatte, à lui couler le long des jambes. Lorsque l’athlète la déposa au sol, ses jambes se dérobèrent sous elle, elle se retrouva la chatte sur le trottoir. Le sperme continuait à couler et rapidement un bon tas de foutre se forma sous elle.
Le cinquième et dernier lycéen n’attendit pas qu’elle se relève.
-Vazy montre ton cul que j’tencule pétasse !
Olga releva le cul. Elle ne savait pas trop s’il payerait le suppléant pour lui défoncer le cul. Avec le grand athlète, elle préférait ne pas faire d’esclandres.
-Oh, oui, mon cul. J’adore tellement me faire enculer.
-Ah ouais ? demanda étonné l’haltérophile.
-Ouuuui ! Quand j’ai une bite dans le cul c’est là que je jouis le plus. Je ne m’en lasse pas, si je ne me retenais pas je m’enfoncerais tout le temps des bâtons dans le cul.
L’athlète fut dégouté d’entendre Olga réclamer son coup de pine dans le cul aussi servilement. Mais voulant savoir jusqu’où elle était prête à aller pour les satisfaire il tenta de la provoquer :
-Hey salope, lèche mon sperme. C’est du sperme de sportif de niveau mondial, t’en auras pas toujours d’aussi bonne qualité.
Olga hésita un instant, elle voulait toujours satisfaire au mieux ses clients. Mais lécher le sperme à même le sol… dans une rue où les gens mettaient leurs ordures. Rien que d’y songer, elle grimaça avec répulsion. Mais tout de suite après, elle pensa à son Mac, au fait qu’il puisse être mécontent d’elle, elle choisit d’obéir.
Entre les deux poubelles, là où la petite marre de sperme était étalé elle commença à léché le sol.
-Put… J’y crois pas ! Cette sale pute le fait vraiment !
-Nan, mais l’absence de dignité de la meuf. C’est ouf.
Elle léchait le sperme, pendant le lycéen lui donnait enfonçait son pieu dans le cul. Elle se sentit une soudaine envie de révolte contre sa situation. Elle allait se relever, engueuler ces morveux qui lui imposaient des actes aussi dégradants.
Puis elle se rappela qu’elle devait être une bonne pute, donner le meilleur d’elle-même. Et qu’elle devait se montrer reconnaissante de lécher du foutre sur le trottoir.
-Le bon foutre, il à peine touché le sol ! Dire que j’ai failli laisser perdre ça. Je me régale vraiment !
Les quatre lycéens regardèrent consterné la plantureuse pute laper le sperme sur la chaussée. Elle semblait vraiment s’enthousiasmer à absorber le liquide séminal étalé entre les poubelles. Le cinquième lycéen, lui était trop occupé à s’enfoncer dans son conduit anal pour s’hébéter de ces lapements.
Alors qu’elle finissait de bien récurer les dernières traces de foutre qui salissait le trottoir. Le jeune homme dégorgea le poireau lui étalant son sperme dans les entrailles.
-Merci de vos coups de queue, j’en reprendrais des comme ça toute la journée si je pouvais.
Le groupe dégouté de sa bassesse fit tomber cent euros par terre et s’en alla. Olga ramassa rapidement l’argent sur la voirie. Elle avait encore du sperme qui lui gouttait du cul qu’elle repartit vers les grilles du lycée pour essayer de recruter un nouveau groupe qui la baiserait en gang-bang.

**Quatre mois plus tôt, au manoir Clorivau **

-C’est toi ma puce ? demanda le père d’Eleanor
-Oui, je rentre de chez les Gaston-Bourton, leur nouvelle domestique est vraiment horrible.
-Vraiment ?
-Oui, elle parlait au téléphone très fort alors que j’étais en grande conversation avec Nicole ! Un sans-gêne pareil, on a du mal à le croire !
-Ce n’est pas très grave ma chérie.
-Peut-être, mais ce qui est grave, c’est qu’elle avait un rhume ! Elle n’arrêtait pas d’éternuer. Toute la soirée je me suis dit que j’allais respirer des germes de cette domestique ! Tu imagines, des microbes d’une fille de j’sais pas où ! Et ses microbes qui ont pu me toucher !
-Ma pauvre !
-Il faut immédiatement que j’aille me laver. Il me faut un bain d’une heure, non deux heures au moins pour me purifier ! Et mes vêtements ! Il faut les laver tout de suite !
-Bien sûr ne t’inqui…
-Non les laver ce n’est pas suffisant ! Il faut les donner. Ou… non, on ne peut pas donner des vêtements avec des germes de domestiques dessus, il faut les bruler. Julien, tu bruleras ma robe dès que je serais sorti du bain.
-Bruler ? Une robe Dior ?
-T’es sourd en plus d’être plouc ? Oui tu la bruleras, avec du feu, tu sais ?
-M-Mais, elle vaut plus de deux mille euros !
-Mais tu te prends pour qui pour discuter mes désirs ? Papa, tu réduiras le salaire de Julien, tu l’as entendu comme il rechigne à faire ce que je lui dis.
-D’accord chérie. Julien, cette année, vous n’aurez pas de treizième mois.
-Et papa, pour l’autre domestique, la morveuse. Celle qui m’a presque contaminé… Elle s’appelle Olga Vachnouille ou Wachnoui. Tu pourras appeler le service de l’immigration pour qu’ils la renvoient ?
-Je ne peux pas faire ça Pitchoune, les Gaston-Bourton n’apprécieraient pas que les services d’émigration leur demandent des comptes.
-S’il te plait papa, elle se mouchait ! Devant nous ! Tu te rends compte ? Allez, renvois là dans son pays !
-Très bien mon cœur, si c’est vraiment ce que tu veux…
-Merci Papa, t’es le meilleur. Cette Olga était un vrai dépôt de merde tu sais…
-Eleanor !
-Pardon papa… tu sais bien que je ne dis jamais de grossièretés… Mais il y a de ces gens, où rien que de parler d’eux ; ça salit la langue.
-Ne parle pas de ces gens alors.
-Tu as raison, je me retrouve à dire des saletés, vraiment… Voilà ou ça me conduit de fréquenter des domestiques étrangers, on est contaminé rien qu’en les fréquentant. Dit-elle en riant
Julien avait envie de vomir. Entre les vêtements hors de prix à bruler, le fait de renvoyer quelqu’un d’un pays juste à cause d’un éternuement... Il se sentait le besoin de se venger sur quelqu’un, peu importe qui, de se sentir lui aussi tout puissant.

**Présent, Boulevard Saint-Michel**

Il était neuf heures du soir. Olga se rendit sur le boulevard périphérique. C’était là que la plupart des prostituées pratiquaient leur art. Elles étaient souvent liées à des mafias, et ces mafias voyaient d’un mauvais œil qu’Olga leur prenne des clients.
Heureusement son Mac était parvenu à un accord avec eux.
— Hey les filles, c’est Olga ! dit la première prostituée qui la remarqua.
-Chouette, je commençais à avoir envie, dit une autre
Olga salua les prostituées, avec un grand sourire. Puis elle s’agenouilla. La première prostituée, une grande noire retira sa culotte et s’assit sur une souche d’arbre. Olga s’avança et plaça sa tête entre les cuisses de la pute, elle commença à enfoncer sa langue dans la chatte.
Cette dernière avait eu une soirée bien occupée, et avait la chatte remplie de jus d’une demi-douzaine d’hommes. La langue d’Olga se mit sérieusement au travail, raclant dans les coins, et faisant bien attention à ne pas laisser de foutre trainer dans l’outil de travail de sa collègue.
Déjà la péripatéticienne se levait, il avait fallu à Olga à peine deux minutes pour bien nettoyer une chatte de pute. Elle s’améliorait.
C’était l’accord qu’avait obtenu son Mac avec les proxénètes du coin. Ils laissaient Olga faire ses petites affaires. Mais chaque soir elle devait se présenter Boulevard Saint-Michel pour pratiquer la toilette intime des putes de la ville.
« Merci de me laisser vous lécher la chatte, et de récupérer tout ce bon sperme rien que pour moi, Madame. »
La grande noire donna une gifle à Olga, puis lui cracha au visage. C’était une tradition qu’avaient instaurée les arpenteuses du boulevard. Une des putes avait trouvé qu’elle s’en tirait à bon compte ; avoir le droit d’exercer sans être affilié à leur groupe. Une bonne baffe était bien méritée en échange. Quant aux crachas, cela permettait aux professionnelles du coin de bien faire la différence entre elles, qui pratiquait la prostitution honnête et Olga, qui n’était qu’une salope à peine bonne à servir de réservoir à foutre ambulant.
Une deuxième pute attendait, Olga lui vida la grotte de tout résidu de sauce blanche, la pute lui présenta alors son cul. Olga, enfonça sa langue dans l’anus malodorant de la professionnelle. Elle n’aimait pas trop quand ses consœurs se faisaient enculer. Non seulement elle devait aussi y récupérer le sperme, mais il arrivait qu’il y ait d’autres résidus à nettoyer gratis. Celle-ci n’en avait que peu, mais elle lâcha une grosse caisse alors qu’Olga avait la bouche collée à son cul.
Les putes assemblées autour d’elles se mirent à rire
-Cette conne ! Elle s’est pris un vent !
-Oui c’est un pété pour un rendu ! Ahahaha !
Puis elle reçut à nouveau une claque et un glaviot. Des larmes se mettaient à se mélanger aux crachats des putes. Souvent à ce moment de la journée, quand elle servait de vidoir à sperme pour pute, elle se mettait à pleurer. Elle pensait que sa vie aurait pu la destiner à un sort plus enviable. Mais elle gardait ce rêve fou bien profondément enfoui en elle. La frimousse pleine de salive, elle remercia avec un grand sourire la pute qui l’avait utilisé comme crachoir :
« Madame , je vous suis infiniment reconnaissante que vous m’ayez laissé vous lécher la chatte, et vous polir le cul. J’ai pu me rassasier de ce foutre que vous m’avez gardé bien au chaud. »
Une troisième prostituée retira sa culotte, dans l’heure qui suivait c’était le sperme amassé par une vingtaine de putes qu’elle allait gober.

**Trois mois plus tôt, au manoir Clorivau**

Eleanor courrait. Son fiancé venait de se présenter à l’entrée du manoir. Elle avait appris qu’il lui avait obtenu un siège au conseil d’administration de l’entreprise de son père. C’était une rente de près de dix mille euros par mois. On aurait pu donc croire qu’elle se précipitait pour remercier ce jeune homme lui ayant trouvé une place aussi bien rémunéré. Mais non, si Eleanor courrait, c’était pour enguirlander le fiancé.
Julien l’avait entendu tempêter lorsqu’elle avait été avisée de la nouvelle, la discussion avec son père avait été assez explosive :
-Quoi ? Une place dans un conseil d’administration ! C’est tout ce qu’il a pu trouver ? Mais il faudrait que je me rende sur place une fois par mois ! Il croit que je n’ai que ça à faire ! Comment a-t-il pu se mettre en tête que je pourrais trouver le temps ? Rien que cette semaine, j’ai été tellement débordé que je n’ai pas pu me rendre chez l’esthéticienne ! Et il croit que j’aurais le temps d’aller à son conseil d’administration puant ?! Il est devenu fou!
-Mais chérie, ce n’est qu’une fois par mois…
-Et c’est bien trop ! Je ferais l’effort une fois… Et je leur demanderais de vendre l’entreprise, de la délocaliser en Chine ou ailleurs, et puis on placera la plus en value dans l’immobilier. Oui, c’est bien plus raisonnable.
-Mais mon ange, c’est une vieille entreprise et elle embauche plus d’une centaine de…
-Je m’en fiche bien ! Je la ferais vendre le plus tôt possible, un point c’est tout
Et là voilà qui courrait pour reprocher le manque de tact de son fiancé. Elle cavalait bien vite et Julien avait un balai dans ses mains. Il poussa la frange sous les pieds de la marquise. Celle-ci trébucha en haut des escaliers, les dégringola se cognant la tête à plusieurs reprises et finit ventre à terre au rez-de-chaussée. Du sang coulait.
Le fiancé voyant sa dulcinée la tête ensanglantée composa le numéro des urgences. Le SAMU faisant son office amena la douce jeune fille à l’hôpital. Heureusement les nouvelles étaient rassurantes, sa vie n’était pas en danger, et elle n’aurait pas de séquelles physiques.
Cependant elle restait dans le coma, mais sans doute se réveillerait-elle bientôt. Pendant une semaine Julien eut une vie de rêve, l’enquiquineuse en chef était kaput, et le père était trop triste pour lui faire des remarques sur son travail. Mais au fil des jours il sentit une épée de Damoclès se rapprocher de sa tête. Eleanor l’avait-elle vu déplacer le balai pour la faire tomber ? Que se passerait-il à sa sortie du coma ?
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