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La bourgeoise et la putain

Chapitre 2

Trash
***Présent***

Retrouvons Olga à son domicile. Il s’agit d’une minuscule pièce située au cinquième étage d’un immeuble qui n’a pas eu droit à un ravalement de façade depuis des dizaines d’années. D’un espace de cinq mètres carrés, l’insalubrité en est au dernier degré : les murs sont couverts de fissures et le plafond lui tombe petit à petit sur la tête. Son mobilier est des plus spartiate : un matelas puant et moisi lui sert de lit. Ou plutôt de paillasse, la literie crevée de toute part a été rembourrée de foin. À côté de la paillasse, un pot où elle fait ses besoins. Elle va vider, chaque matin, ses excréments dans des toilettes publiques, parcourant ainsi cinq étages en tenant à bout de bras son caca dans un pot. En dehors de ces deux meubles, la pièce est complètement vide. Elle y reste peu de temps, elle commence sa journée de racolage à six heures du matin et prend sa dernière dose de sperme vers dix heures du soir. Puis, elle attend que son Mac vienne lui rendre visite. Ce dernier n’étant pas très ponctuel, elle doit souvent prendre son mal en patience. Aujourd’hui, elle attend depuis déjà une heure. Cela peut sembler peu, mais elle doit attendre agenouillée, la tête contre le sol, le cul relevé face à la porte. Si son Mac entrait et ne la trouvait pas dans cette position, elle recevrait une punition dont son postérieur se souviendrait quelques semaines.
Finalement, après une heure et demie, la porte s’ouvre. Elle sent des chaussures lui taper le cul, son Mac lui a expliqué que sa première tâche était de se rendre plus utile qu’un paillasson. Pour cela elle doit offrir son cul pour que les visiteurs essuient leurs grolles en entrant. Les chaussures de son Mac ayant bien tamponné ses fesses, Olga se retourna et passa la langue sur les semelles pour qu’il ne reste pas de saletés sur les chaussures. Il faut dire que son Mac est peu précautionneux, marchant sur toutes les cochonneries qui trainent dans la rue.
Cette fois il semble avoir marché en forêt tant ses chaussures sont crottées. Olga lèche méticuleusement l’humus, ce n’est pas qu’elle aime ça. Au contraire, avaler cette terre lui fait faire des grimaces effroyables. À mesure qu’elle mâche des morceaux de terre et avale la boue collée à la semelle elle sent son estomac se révolter, même les importantes quantités de sperme qu’elle avale chaque jour sont loin de lui inspirer autant de dégoût. Mais elle sait qu’une paillasse ne saurait jamais nettoyer une chaussure comme elle le fait, avec ses habiles coups de langue, et elle éprouve une belle fierté à ce travail bien fait. Finalement les chaussures brillent après cinq minutes de besogne.
C’est le moment où elle informe son Mac des résultats de la journée :
— Julien, j’ai fait que quatre cent vingt euros aujourd’hui...
— Quatre cents... Tu te fous de moi !
— Non, je suis désolé ! J’ai sucé cinq clients pour 140 euros, et on m’a baisé quatre fois. Deux groupes de cinq qui m’ont niqué dans tous les sens, mais ils ont utilisé des préservatifs. Ils n’ont payé que 180 euros.
— Montre-moi les préservatifs.
Olga sortit les préservatifs de son sac. Elle savait que Julien ne voulait pas les toucher. Alors elle les sortait un à un, et déversait le contenu sur son matelas. Julien la soupçonnait de ramasser des préservatifs usagés par terre pour faire croire qu’elle avait couché avec plus de clients qu’elle ne le disait. Aussi fallait-il que le sperme encore frais du jour coule facilement du préservatif et soit absorbé par le matelas.
Elle versa donc tout le foutre sur son lit. Olga avait répandu tellement de litres de sperme sur le matelas qu’une couche de liquide séminal lui tenait lieu de couverture. Lorsqu’elle se levait le matin des croutes de sperme lui collaient souvent à la peau.Julien récupéra les trois cent vingt euros.
— Quatre cents euros ! Je ne devrais rien te donner… mais je suis trop bon.

Il sortit de sa mallette un sac plastique dont il versa le contenu dans une gamelle.
— Ce sont les restes de ce que les chiens de mon patron n’ont pas voulu, je les ai récupérés il y a quelques jours. Je pensais les jeter et te trouver quelque chose de mieux à manger, mais pour trois cents euros… Je ne vais pas quand même pas faire des efforts pour une salope qui n’arrive même pas à se faire péter le cul. Si tu es faignante au travail, ne compte pas sur moi pour te trouver des douceurs à grignoter.
Olga observa ce que contenait la gamelle : des morceaux de viande à moitié mangés par des chiens et de la pâtée peu appétissante. Sans même se rapprocher, elle pouvait sentir une puanteur qui indiquait que la nourriture avait depuis longtemps passé la date limite de consommation. Olga regrettait de ne pas avoir gagné dans les cinq cents euros, elle avait alors souvent droit à un morceau d’hamburger et quelques frites.
Son Mac refusait qu’elle utilise ses mains pour manger. Ça lui apprenait à mieux laper et mieux sucer, lui avait-il expliqué. Elle allait entamer son repas quand Julien fit claquer ses doigts.
— Attends ton complément alimentaire avant de commencer.
Il avait défait son pantalon, et mit un préservatif. Olga se retourna toujours à quatre pattes et leva son cul bien haut. La tradition voulait qu’avant de manger elle se fasse remplir le trou du cul. Elle y était maintenant accoutumée, et cette sodomie avait pour habitude de lui ouvrir l’appétit. La bite coulissait facilement dans son conduit anal. Julien lui tirait les cheveux, la fessait. Il ne faisait montre d’aucun sentiment la traitant comme un trou. Quand il eut fini, Olga se retourna vivement, et retira le préservatif de la queue de Julien. Elle ne devait pas le vider sur son lit, mais en boire le sperme. Quand elle eut ingurgité le liquide en pressant bien le caoutchouc pour être bien sûr d’en absorber la dernière goutte, elle dit en souriant :
— Merci pour ce merveilleux repas, mon maitre.
Elle reçut une grosse claque. Elle continua à sourire de toutes ses dents.
— Tu as oublié quelque chose putain, lui reprocha Julien.
— Oups, pardon, merci pour ce merveilleux repas de FOUTRE, mon maitre. »
— Tu peux manger ta pâtée pour chien maintenant, pauvre conne.
Elle se précipita dessus, le museau dans la gamelle, en quelques bouchées elle engloutie le repas nauséabond. Son ventre laissa entendre un gémissement de plaisir. Elle se mit ensuite à genoux et ouvrit la bouche.
Julien finissait d’envoyer un SMS. Sa bite était encore sortie. Il finit son message, puis prenant sa bite à la main, il envoya un jet d’urine dans la bouche d’Olga. Celle-ci en avalait le contenu avec gourmandise. En dehors du sperme de ses clients qu’elle ingurgitait dans la journée, et celui de Julien avant le repas, l’urine de son Mac était le seul liquide qu’elle absorbait. Au début, quand elle avait été mise sur le trottoir, elle avait du mal à passer la journée sans boire. Mais maintenant elle y arrivait plus facilement. Mais c’était toujours un moment privilégié de la journée quand elle pouvait boire l’urine fraiche. Et elle était maintenant bien plus efficace qu’avant… elle réussissait à presque tout avaler sans en laisser couler.
Cette fois-ci cependant distraite par un morceau de pâté qui lui restait dans le gosier, elle loupa une bonne quantité de liquide quand Julien dévia un peu le jet. Il se secoua son sexe pour faire tomber les dernières gouttes. Olga se précipita sous sa bite pour ne pas laisser échapper le liquide jaunâtre.
Ensuite elle lécha la pisse qui avait coulé à terre. Elle n’aimait pas ça, il y avait de la poussière et cela lui donnait un peu soif. Mais elle absorba la petite flaque rapidement. « Une bonne pute doit tenir sa maison propre » lui avait expliqué Julien, et lécher l’urine c’était ce qu’y avait de plus efficace pour qu’elle retienne la leçon.
Finalement, elle embrassa les chaussures de Julien, et celui-ci partit avec les quatre cent vingt euros. Il ne restait plus à Olga qu’a passée une courte nuit de sommeil sur son lit couvert de foutre.

***un mois plus tôt, à l’hôpital***

Un soir, Julien décida de passer à la l’hôpital ; sa conscience était tourmentée. Non pas par le croque en jambe qui avait provoqué la chute d’Eleanor, mais par le crime qu’il envisageait d’accomplir… Eleanor devait disparaitre, non seulement pour l’empêché de raconter qu’il était la cause de sa dégringolade dans l’escalier, mais pour supprimer de la terre le plus gros tas de fumier vivant. Les quelques semaines qu’il avait passées sans sa compagnie lui avaient semblé paradisiaques, et il souhaitait continuer ce rêve éveillé.
Et pour cela il fallait accomplir son geste meurtrier avant qu’elle ne soit déplacée en clinique privée où la sécurité serait bien plus resserrée.
Une fois la comateuse installée en clinique, la chambre serait sous vidéo-surveillance et tout forfait meurtrier bien plus complexe à mettre en œuvre. C’est pourquoi la nuit venue, Julien se trouvait devant le lit de sa patronne, un long couteau dans la poche. Mais la procédure le faisait hésiter : devait-il utiliser la lame aiguisée pour lui trancher le cou, ou tout simplement l’étouffer avec un oreiller ? Ou bien devait-il l’assassiner rapidement... ou la violer auparavant pour se venger de toutes les réprimandes qu’elle lui avait fait subir ?
Il restait là, à s’interroger sur la meilleure façon d’accomplir son crime. Quand, comme si le destin lui jouait un tour pervers, ce fût le moment que choisit Eleanor pour ouvrir les yeux et reprendre ses esprits.
— Où suis-je ?
— Vous… Vous êtes réveillé ?
— Que… Oui… où suis-je, est-ce que je vous connais ?
— Je suis Julien, vous êtes à l’hôpital.
— L’hôpital ? Qu’est-ce qui m’est arrivée ?
— De quoi vous vous souvenez ?
Julien s’inquiétait, se souvenait-elle des circonstances de l’accident ?
— De euh… de rien ! Je ne me souviens de rien ! cria-t-elle paniqué.
— Eh bien… Vous voyez…
— Tout de suite ! Je veux savoir tout ce qui s’est passé tout de suite !
Julien eut un frisson dans le dos. Elle allait revenir au manoir, refaire de sa vie un enfer… Ou il pouvait la tuer, ou… Il eut une autre idée.
— Tais-toi ! hurla-t-il sur la pauvre malade
Eleanor se tut immédiatement. Elle ne se rappelait pas son passé, mais le ton employé contre elle lui semblait contraire à ce qui devait être. Elle ne savait pas comment réagir, elle était inquiète.
— Il faut partir d’ici, ajouta Julien, maintenant... Tu es en danger. Lève-toi tout de suite !
Eleanor, dérouté, obéi à ces ordres. Elle se demanda si elle avait bien raison de le faire... mais si cet homme était à son chevet la veillant pendant qu’elle était dans le coma il devait y avoir une raison. Peut-être s’inquiétait-il pour sa santé ? En tout cas il lui voulait certainement que du bien. Elle sortit du lit, et malgré des muscles douloureux, parvint à suivre Julien jusqu’à sa voiture. Ils ne croisèrent qu’une infirmière dans les couloirs, celle-ci était tellement débordée qu’elle ne leur prêta aucune attention.
Alors que Julien conduisait sans trop savoir où aller. Eleanor l’houspillait de questions sur son identité, et sur ce qu’elle faisait à l’hôpital. Julien en eut vite marre. Les quelques semaines qu’il avait passées sans entendre les jérémiades et ordres d’Eleanor les lui rendaient maintenant intolérables. Il lui décrocha une grosse baffe.
— Ta gueule grosse pute !
Il beugla cette phrase relâchant des années de frustrations. La suite coula de source. Il pensa à toutes les humiliations qu’elle lui avait infligées, aux victimes des caprices de la bourgeoise, au sort d’Olga, cette domestique qui s’était mouchée et dont Eleanor avait demandé l’expulsion pour cette simple raison. C’est pourquoi il lui déclara de but en blanc :
— Tu es Olga, tu viens d’Ukrounistan.
— D-D’où ? Pourquoi tu m’as frappé ?
— L’Ukrounistan, c’est un pays gouverné par un dictateur fou, là-bas les gens crèvent de faim. Ils ont de la chance s’ils peuvent manger un radis dans la journée. Mais ils ont un programme d’échange, les jeunes femmes contre de la nourriture. Et ces jeunes femmes n’ont pas de droit à l’étranger, enfin pas ici. Et tu m’as été vendu par tes parents contre des germes de soja et une caisse de carotte. Maintenant tu m’appartiens, alors tu dois m’appeler maitre. Compris ?
— Moi ! Mais, je devrais avoir droit à...
Elle reçut une nouvelle baffe.
— Tu es ma chose, d’accord ? Un tas de chair à ma libre disposition. À la moindre contrariété, je te renvoie en Ukrounistan. Et les filles qui reviennent dans ce pays servent de bête de somme. Elles sont nues, couchent avec les bêtes pour se réchauffer. Il fait souvent des températures de moins vingt ou moins trente la nuit.
— Je comprends…
— Compris qui ?
— Je comprends maitre…
— Bien, et donc les filles d’Ukrounistan, travaille comme pute ici. Elles donnent leur argent à leur maitre. Tu suis ?
— Oui maitre.
— Très bien, alors suce-moi pendant que je continue.
— Euuuh.
Elle reçut de nouveau une baffe, sa joue était rouge, ses yeux pleuraient. Au départ simple réaction aux claques qu’elle recevait, elle pleurait maintenant en apprenant le triste sort qui était le sien. Elle avait du mal à comprendre… du mal à s’imprégner des implications des paroles de Julien. Il lui semblait qu’elle devait être autre chose, n’importe quoi, mais pas une pute. Hélas pour elle, la porte de ses souvenirs était close. Mais elle réalisait peu à peu ce que lui réservait son déplorable avenir. Lorsque le dard de Julien fut exposé à ses yeux, elle posa ses lèvres dessus et commença à sucer sans faire d’histoire.
— Et tu t’es trouvé à l’hôpital, parce que… avant de partir, tu as volé de l’argent. Et la police te recherche pour te renvoyer là-bas. Donc tu dois éviter la police d’accord ?
Eleanor, arrêta de sucer la bite un instant pour affirmer son accord à son maitre.
Julien avait du mal à croire à ce qui arrivait. L’emmerdeuse de ses journées et qui le faisait cauchemarder la nuit était en train de le pomper. Et il imaginait sans mal les outrages qu’il allait lui faire subir ensuite. Oh oui, après tout, il avait déjà fantasmé sur les sévices qu’il rêvait de lui infliger de nombreuses années. Lui péter le cul, la mettre sur le trottoir, lui faire avaler son sperme... Son cerveau fonctionnait à plein régime pour retrouver tous les fantasmes qu’il pouvait enfin accomplir. Comme sa vengeance lui paraissait douce.
— Alors pour te faire comprendre qu’il ne faut pas voler, ou me mentir… je t’ai mis dans ce sale état, c’est pourquoi tu étais à l’hôpital. J’espère que je n’aurais pas besoin de recommencer…
Julien sentit qu’il jouissait. Il maintint la tête d’Eleanor emmanché sur sa bite pendant qu’il lui expulsait son foutre dans la bouche. Lorsqu’il constata qu’elle avalait le tout, il lâcha la tête. Elle grimaçait, dégoutée par le sperme qu’elle avait dû boire. Elle pensa qu’elle ne s’habituerait jamais à ce goût...
Julien donna une double gifle. Ses joues commençaient à gonfler sous les tapes de son maitre.
— Quand tu as fini d’avaler le foutre d’un mec, tu dois sourire et dire « j’adore ton sperme, Monsieur. »
—…
— Et bien, dis-le !
— J’adore ton sperme, Monsieur, dit-elle en souriant. Mais devant afficher ce sourire forcé, ses glandes lacrymales lâchèrent et commencèrent à inonder son visage.
— Bien et pour moi, tu dois dire « Merci pour ce merveilleux repas de foutre, mon maitre », mais on y reviendra.
Julien réfléchit. Il était logé au manoir Clorivau, et il ne pouvait évidemment y ramener Eleanor. Mais il savait qu’il existait une pièce de stockage dans un immeuble d’un ami. La pièce était vide, car jugée trop insalubre pour y entreposer quoi que ce soit. Ce serait l’endroit parfait pour y emmener Eleanor et l’y loger.
— Je te conduis chez toi. Tu verras t’auras droit au grand luxe, en plus d’un toit tu auras un lit et même un pot de chambre.

**Présent**

Olga se réveilla à cinq heures. Julien lui avait laissé une tenue, elle l’enfila. Des bas résille, une jupette fendue sur le côté, pas de culotte, et un corset en cuir qui lui remontait les seins. Elle sortit, sans refermer derrière elle. Elle n’avait pas les clefs et de toute façon il n’y avait rien à voler. Elle regarda dans la rue : aucun flic. Elle limitait le plus possible les contacts en dehors des relations tarifées de peur qu’on ne la signale à la police.
Julien avait été surtout inquiet lors des premières semaines où elle avait commencé son travail de pute. Elle avait entendu à la radio qu’une fille d’un grand bourgeois s’était fait enlever, et les flics patrouillaient dans la ville. Julien lui avait dit qu’elles se ressemblaient un peu, alors il lui avait teint les cheveux en blond pour qu’on ne la reconnaisse pas. Elle avait aussi dû raser sa chatte, Julien disait que les flics vérifiaient aussi en bas.
En tout cas, elle avait été très prudente et leur avait échappé… Olga trouvait ça drôle qu’une marquise puisse ressembler à une pute. Julien s’était vite rassuré, il lui avait dit que la bourgeoise s’habillait en Dior et Gucci, tandis qu’elle, avec sa micro-jupe en cuir, ses seins bien exposés et son maquillage de voiture volée... les flics devraient y regarder à deux fois pour trouver une correspondance entre la bourgeoise Eleanor et la putain Olga.
En tout cas elle n’avait aucune envie de retourner en Ukrounistan, Julien lui avait dépeint la vie là-bas et elle ne pouvait y imaginer y survivre une semaine. Elle avait bien de la chance de sa nouvelle vie en France.
Pendant qu’elle rêvassait à la chance qu’elle avait de vivre en France ; un premier client se montra, elle lui fit aussitôt du gringue. Soulevant sa jupette pour montrer sa chatte toute rasée, elle lui dit :
— Trente euros pour baiser monsieur. Je suis une super pute, très gourmande... vous ne le regretterez pas.
— Je ne sais pas… hésita le client.
— Allez monsieur, défoncez-moi la chatte, venez m’enfoncer votre pieu au plus profond de mon cul, susurra Eleanor, j’adore tellement les bites vous ne voudriez pas me priver de votre engin...
FIN
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