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Bourgeoise qui se fait « salope »

Chapitre 1

Mise place de la question

Erotique
Je suis une esthéticienne de 47 ans, je vis seule avec Vesna, 19 ans, que j’ai eue d’un amant d’une nuit que je n’ai jamais revu, apprentie-esthéticienne à mon salon. Nous sommes toutes les deux très « fusionnelles ». Je vous raconte ici un autre aspect de ma personnalité, mon côté « salope »/exhibitionniste. Je vais vous expliquer mon plaisir à me faire salope.
Nous vivons dans un immeuble d’une résidence dans laquelle il y a des jeunes, de nombreux jeunes.
Mon jeu est assez simple : attirer des jeunes du quartier, qui ont environ 20 à 25 ans de moins que moi. Prendre un rendez-vous par SMS uniquement, leur proposer de venir chez nous, m’occuper d’eux et jouer avec eux. Pour attirer un jeune, quand on est une femme mûre, il faut d’abord, et exclusivement, soigner sa tenue. Pour moi, je porte toujours une jupe, des bas, des talons hauts ou vertigineux, un chemisier blanc. Ma jupe est toujours une jupe en cuir noire, assez courte (mi-cuisses, voire le plus souvent à peine mi-cuisses), de forme « trapèze », c’est-à-dire légèrement évasée tout en moulant bien mes fesses. Cette jupe se balance légèrement de droite à gauche en marchant. Dans un escalier, derrière moi, l’évasement de ma jupe est juste suffisant pour apercevoir mon « entrefesses », c’est-à-dire ma raie « culière », à l’odeur et au goût musqué. Évidemment, dire qu’on aperçoit mon « entrefesses » signifie qu’il est à l’air libre, donc je suis sans culotte, sans slip.
Si je m’assieds, elle remonte assez haut pour découvrir quasiment la totalité de mes cuisses, j’ai alors un geste caractéristique consistant à tirer sur ma jupe avec une moue à la Justine Putet qui s’agace de cette mode des jupes courtes. Mon chemisier est blanc, un rien transparent, les deux boutons du haut sont défaits. Je porte toujours des bas couture ou résilles avec des porte-jarretelles. Assise ma jupe remonte toujours assez haut pour découvrir la fixation de mes porte-jarretelles. Le lieu que je préfère c’est le tabouret haut au comptoir d’un brasserie, bar ou café. Les clients ne peuvent pas s’empêcher de fixer leur regard sur mes cuisses un rien « jamboneuses ».
Parfois il m’arrive de me vêtir d’un pantalon en cuir accompagné de la veste assortie de la même couleur donc ensemble « pantalon-veste », on pourrait penser à un relâchement de ma part mais le chemisier type « crop top » porté dissipe très vite cette idée, il est en mousseline, beige clair, transparent à souhait, je tente vainement durant la journée entière qu’il ne soit pas remarqué sous la veste. Comme il est impossible de conserver un pantalon cuir très serré boutonné à l’intérieur par pure correction, je me résigne à afficher certains détails attractifs comme mon nombril, visible aux yeux du monde, ce que permet le crop top par définition qu’on peut appeler en français « chemisier nombril dégagé », mais aussi et surtout, le soutien-gorge qui porte ma poitrine libre habituellement, aujourd’hui, point de liberté mais la pression du satin blanc bordé de dentelle noire sur la partie supérieur du balconnet.
Par dessus, je porte vêtement un incontournable : le ciré en vinyl noir des années soixante. Il est de l’ordre du travestissement. Il convient de noter que dans le travestisme, très souvent, le vêtement utilisé a une consonance fétichiste et déclenche une excitation, il est observé, touché, palpé, adoré ou appréhendé avant d’être porté. Le travestissement peut s’interpréter de différentes manières sans vraiment recevoir de réponses satisfaisantes. Une autre interprétation invite à voir le sujet travesti se défendant de la castration par le travestissement en lançant deux messages : un premier à « l’agent » de la castration, « je suis une fille, je n’en ai pas, donc il n’y a rien à enlever » et un second message, jubilatoire, adressé à lui-même dans un processus d’identification à la mère : « je suis femme, je suis la Mère ». On ne sait pas grand’chose sur le fétichisme de matière, du ciré en vinyl noir en l’occurence, sinon qu’il est complexe et peu étudié..
Une femme en ciré n’est-elle pas toujours désirable ? À l’écart des regards, mais sans quitter leurs imperméables. Il s’agit d’un fétichisme clandestin de la femme mûre. Il existe bel et bien un fétichisme d’objet et de matière chez la femme. Nul doute que la consonance érotique, si elle n’est pas évoquée, est bien présente. Je porte ce ciré en vinyl noir de deux façons : soit ouvert montrant donc ma jupe en cuir, soit noué très serré. Noué très serré, le ciré moule parfaitement mon corps : en haut ma poitrine, en bas mes hanches et mes fesses. En marchant le ciré se plisse de façon très érotique, mettant bien en valeur mes seins, mes hanches, mes cuisses, mes jambes.
Cette tenue est un parfait mélange de rigueur et d’invitation. La RIGUEUR, à cause de la jupe bien enveloppante, les bas, les talons, le ciré noué et boutonné de façon stricte, conventionnelle. L’INVITATION crée une indécision à cause de l’imperméable fétichiste. Le ciré conserve son pouvoir érotique, pour la catégorie des fétichistes qui se voient ainsi, ils penchent pour la subordination et la soumission. À cause de cela, j’entends des réflexions à mon sujet quand je croise des jeunes, quand des jeunes me suivent, qui sont autant des réflexions sur mon style très class que sur un style faisant penser à une « pute » car le ciré noir en vinyl est assi l’uniforme des femmes de la rue Saint-Denis. J’entends « elle est bien foutue » autant que des termes comme « pute », « salope », « sale pute ». Par exemple, « mate un peu la femme, on sait pas si c’est une femme classieuse ou une salope, on hésite entre les deux ».
Ce qui est encore plus intriguant dans ce fétichisme est le sens à donner au vêtement : certains adeptes de ce fétichisme ne savent pas déterminer pour eux-mêmes si l’émotion érotique rattachée au ciré vinyl est due à un facteur d’autorité ou de subordination. C’est à dire qu’il y a chez beaucoup d’entre eux une incertitude de la source érotique dans le facteur excitant du ciré : le fait qu’il soit sensuel au toucher, qu’il soit lisse, d’aspect froid. A savoir si ce dernier confère à celui qui le porte un facteur d’autorité en tant que représentant d’un pouvoir, ou si celle qui le porte est de fait soumis à autorité. La conséquence est que des garçons n’arrivent pas à résister à aller au contact de la matière.
Un attrait irrésistible consiste à me suivre de près pour « goûter » des yeux mon ciré, mes fesses et cuisses au plus près. Pour les plus entreprenants, il m’arrive fréquemment d’être suivie dans les escaliers. L’individu simule une bousculade non voulue en arrivant à l’étage où j’habite de façon à être au contact. Je sens une main glisser sur mon cul, comme par inadvertance. Le contact avec moi en imperméable vinyl est hautement érogène. Mon ciré est comme une « seconde peau ». Certains laissent traîner leur main ou restent au contact de mon cul pendant qu’ils demandent des excuses. Une longue phrase comme « excusez-moi madame, je suis vraiment désolé, j’espère ne pas avoir été malpoli, ne pas vous avoir troublé... etc.. etc. » leur permet de prolonger la situation. J’aime beaucoup ce genre de garçon. Je me fais « réceptive », « accueillante » dans ce genre de situation pour conserver le contact.
Au moment de la bousculade, je fais semblant de trébucher et je me rattrape en m’agrippant au garçon par son bras, son épaule ou sa main. Je le remercie de m’avoir retenue. Pour le remercier je l’invite à prendre un café chez moi. Pour passer la porte, je m’arrange pour l’ouvrir à moitié de sorte que je suis obligée de me placer contre lui à cause du peu d’espace libre. Il sent mon ciré glisser sur ses mains. Le fétichisme des vêtements étant le plus fréquent et constitue l’essentiel de la littérature. Si on se fie à cette littérature et à l’expression fétichiste, parmi les sous-vêtements figurent en bonne place les porte-jarretelles, les bas, les culottes, les strings, les bodys, les soutiens-gorge, les corsets, les gaines et les guêpières. En moindre fréquence les jupons et combinaisons (question d’époque certainement).
On s’aperçoit rapidement qu’il y a principalement deux types de fétiches dans le vêtement féminin, il y a le ciré vinyl « enveloppant » qui cache le corps ou une partie du corps et il y a l’« attachant », que le fétichiste va percevoir comme une contrainte imposée au corps de la femme, à la partie du corps concernant le fétiche. Avec mon ciré, j’arrive à alterner l’un et l’autre quand je veux. En le portant noué très serré, il est ’« attachant », et je peux l’ouvrir quand je veux d’un mouvement rapide, furtif, il devient « enveloppant ». Le plus universel, le plus admis des fétiches dans la société contemporaine occidentale demeure les bas et porte-jarretelles. Ce dernier a la caractéristique de laisser bien en vue la culotte (quand on en porte une) qui cache le pubis et préserve encore la réalité de la castration de la femme. Mais il possède également une autre caractéristique, celui de s’attacher sur le corps. À ce titre le porte-jarretelles a une double vocation fétichiste, « enveloppant » par la culotte qu’il met en valeur, et « attachant » par son système de fermeture. C’est peut être la raison de son élection unanime au rang de fétiche universel.
Vous avez certainement compris : je raffole d’un mets de choix, ce sont les jeunes du quartier, adolescents ou en fin d’adolescence, à qui j’offre des prestations. Pour attirer ces jeunes je me fais bourgeoise sexy, mature, cougar très classique avec néanmoins le « sexy détail », la mouche sur la joue ou les lèvres draculiennes rougeoyantes. C’est donc un mélange savant de la femme distinguée, stricte, coincée, rétrograde avec la femme occasionnellement pute, qui opère dans les caves des immeubles, des coins discrets, derrière un bosquet.
Revenons à ce moment avec Richard, ce garçon qui me suivait dans les escaliers. Je le fais entrer chez nous, après l’incident de la bousculade devant notre appartement. Privée de culotte et de soutien-gorge, j’arbore fièrement une jupe en cuir courte accompagnée d’un crop top en nylon fin quasi-transparent, chaussée de bottes en caoutchouc rouge brillant qui s’arrêtent sous le genou. J’ajoute qu’exceptionnellement, j’ai mis un rouge à lèvres particulièrement violent, je commence à être troublée par cette absence de culotte car je sais que Richard l’a remarqué en montant les escaliers, n’osant rien dire, non pas que cela soit étrange en soit, la privation de soutien-gorge est plus difficile, le volume et le poids de mes mamelles font qu’en l’absence de ce soutien-seins que j’aime pigeonnant, ma silhouette s’en trouve affectée.
En me regardant ce matin dans la glace, je ne pouvais que méditer sur l’étroitesse de mon « crop top », en particulier qui dessinait parfaitement mes seins dont la liberté ne pouvait faire aucun doute. J’ai néanmoins apprécié la caresse du nylon fin sur mes mamelons encore sensibles des tripotages de Vesna en regardant une video. Je suis impatiente que Richard voit sa salope sucer sa queue. J’ai choisi Richard, lycéen, parce qu’il est encore gauche, emprunté, timide. Mon objectif est de le faire assoir dans le canapé du séjour, je m’isolerai derrière la paravent en papier japonais transparent pour me mettre à l’aise, c’est-à-dire chemise manches roulées, retenue devant par un seul bouton au niveau de mon entre-seins, sans rien d’autre. Ensuite, le rejoindre, pour l’inviter à venir derrière le paravent pour le sucer en lui glissant à l’oreille « je suis la salope de Richard, je le fais pour lui, laisse toi faire, laisse moi te « léchouiller », te suçoter.
Je pensais dire à Richard des mots doux avec pour signature la marque de mes lèvres dans son cou et, surtout un suçon, ce qu’on appelle couramment la « morsure d’amour ». Je suis une spécialiste de la succion prolongée de la peau du cou par la bouche, avec moi le terme de morsure est approprié : j’aspire le plus profondément possible la plus grande surface possible de la peau du cou, ceci pendant le plus longtemps possible. Quand je relâche on entend comme le bruit d’une chambre à air qui se dégonfle. Sur le coup Richard éprouve une douleur intense. Les jeunes de l’âge de Richard considère le suçon comme une marque malvenue, une chose que l’on cherche à cacher le plus possible. Les miens sont d’une surface imposante et l’ecchymose que je crée demande au moins deux semaines pour disparaître.
J’avoue que ce projet me plaît beaucoup. Parce que je manipule un garçon comme un jouet, je deviens une chienne qui va chercher une branche d’arbre et qui la ramène. Il y a de nombreux garçons dans mon quartier, je vais vous raconter comment je suis devenue une « salope ».
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