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Bourgeoise qui se fait « salope »

Chapitre 2

Mes premiers « clients »

Erotique
Me voilà devenue une « femme cougar ». J’ai acquis cette réputation dans le voisinage. J’ai commencé lors de mes 43 ans. J’étais une belle femme, très attirante. Encore aujourd’hui. Je m’habille toujours en jupe cuir et talons avec des bas résilles et porte-jarretelles. Toujours un beau décolleté pour mettre ma poitrine généreuse en avant. Je sors essentiellement en boîte de nuit avec Vesna et des copines plutôt chaudes. Je me suis rapidement aperçu que les jeunes hommes me tournaient autour. En rigolant, une copine m’a dit un jour : « vas-y, fais toi plaisir, tape toi un jeunot de 20 ans ». J’ai suivi son conseil sans même hésiter. Un jeune homme m’a proposé un verre et j’ai accepté. Je lui ai proposé de partir de la discothèque et de terminer la nuit chez moi. Sur le trajet, c’est moi qui conduisait. Le pauvre garçon était déjà bien alcoolisé. Pendant qu’on roulait, je le sentais qui matait mes jambes. Je portais des bas nylon et une jupe en cuir assez courte, ça devait l’exciter.
J’ai commencé à lui toucher la queue. Il bandait déjà comme un malade. J’ai sorti sa verge de son pantalon pour mieux la caresser. J’étais très excitée. Cela devenait de plus en plus difficile de conduire. Je me suis arrêtée sur le bord de la route dans un chemin à l’abri des regards indiscrets. Je lui taillé une pipe dans la voiture. Il n’a pas résisté longtemps à cracher le fruit de sa jeunesse. Je le regardais, le sperme dégouliner de ma bouche. Il s’est excusé de n’avoir pu se retenir. Nous sommes sortis de la voiture, je me suis adossée à un arbre, j’ai soulevé ma jupe et l’ai invité à me baiser comme une salope. Plein de vigueur, il me prenait énergiquement. J’ai glissé ma main le long de mon ventre, me suis emparé de sa queue et l’ai introduite. A partir de ce moment jusqu’aujourd’hui, je suis devenue une « femme cougar ». Je n’ai de relation qu’avec des garçons de 18 à 21 ans environ. Je suis devenue un véritable objet sexuel.
Je réponds à la définition de la « femme cougar » selon laquelle « une cougar est une femme qui affectionne tout particulièrement la compagnie des hommes plus jeunes qu’elle, que ce soit pour une relation longue durée, une rencontre coquine d’un seul soir ou tout simplement un bon plan cul. » Pour moi, ce sont les garçons du quartier. Pour les draguer, il y a un accessoire féminin qui fait tourner la tête des garçons, c’est la mini-jupe. Ce petit morceau de tissu sexy qui ne descend pas plus bas que 10 cm sous les fesses fait partie intégrante de ma garde-robe. Symbole de la femme libérée hier, la mini-jupe est aujourd’hui le vêtement préférée de la femme séductrice moderne. Cuir ou tissu, portée avec des bas ou collants et des talons, il va de soi qu’aucun homme ne saura résister à la mini-jupette.
Je ne m’intéresse qu’aux garçons qui ont entre 20 et 25 ans de moins que moi, même plus de différence parfois. Pour les draguer, je me fais sexy et glamour avec une touche « salope », façon « pute saint Denis ». Je suis au top de ma féminité pour attirer les jeunes mâles non pas dans mon lit, mais plus exactement sur un futon posé dans notre séjour, derrière un paravent en papier japonais. Quand je drague, je me fais mystérieuse. J’ai des formes qui inspirent confiance et un tatouage très particulier, placé tout près de mon sexe, c’est une bouche aux lèvres épaisses, vraiment très rouge, entr’ouverte de laquelle dégouline du sperme.
Comment envouter les garçons, c’est facile. La première fois, je suis descendue jusqu’au rez-de-chaussée chercher mon courrier dans la boîte à lettres, pas à n’importe quel moment, mais lorsque j’ai vu et entendu dans la cage d’escalier un groupe de 4 à 5 jeunes discutant devant les boîtes à lettres. Je me suis habillée de façon hyper sexy, à savoir une jupe en vinyl noire très courte, fendue sur les côtés, pas moulante et un crop top hyper court et ultra tendance auprès des jeunes filles. Le mien avait la particularité d’avoir une coupe courte située au-dessus du nombril juste en dessous de ma poitrine et d’être transparent. Habituellement porté particulièrement par des jeunes filles qui osent adopter ce look laissant apparaître leur ventre publiquement, j’avais un modèle large donc non-moulant, avec des manches courtes. Sa spécificité réside donc tout simplement dans sa taille, au niveau de la longueur.
Au-delà d’un simple haut laissant le nombril visible, je l’adopte comme symbole fort pour les jeunes filles, à travers cette façon de m’habiller, je revendique une féminité et liberté de jeune fille, voire même d’adolescente. Mon crop top qui tombe juste au-dessus ou autour du nombril, exposant la section du ventre. est un symbole de ma sexualité car je le porte pour attirer l’attention sur certains aspects de la partie médiane de mon ventre, de mon nombril. Quant à ma jupe très courte en vinyl noir, c’est l’attirance fétichiste de quelques matières comme le caoutchouc, le latex, le plastique, le PVC. Le fétichisme du PVC est étroitement lié au fétichisme du caoutchouc, le premier faisant référence aux vêtements brillants en plastique synthétique polychlorure de vinyle (PVC) et le second aux vêtements en caoutchouc, qui est généralement plus épais, moins brillant et plus mat que le latex.
Le PVC est parfois confondu avec le cuir verni tout aussi brillant, qui est aussi un matériau fétiche. L’une des raisons pour lesquelles le latex ou d’autres tissus serrés et brillants peuvent être fétichisés est peut-être que le vêtement forme une « seconde peau » qui agit comme un substitut fétichiste de la propre peau du porteur. Ainsi, les porteurs de vêtements moulants en latex ou en PVC peuvent être perçus par le spectateur comme étant nus, ou simplement enduits d’une substance brillante comme de la peinture. Le latex et le PVC peuvent également être polis pour être brillants et peuvent également être produits dans des couleurs vives, ajoutant un stimulus visuel érotique supplémentaire pour ajouter aux sensations physiques produites par le matériau dont l’étanchéité est considérée comme une sorte de servitude sexuelle.
L’odeur du latex de caoutchouc est également très excitante pour certains fétichistes du caoutchouc. Évidemment, me voir habillée ainsi fait travailler l’imagination. Devant les boîtes à lettres, l’espace est tellement exigü qu’à 4 garçons plus moi nous étions très serrés. Je profitais de cette situation pour me faire sexy et audacieuse. Cela m’excitait encore plus. Un garçon, très jeune du nom de Richard a osé laisser traîner sa main sur mes fesses à travers ma jupe. Je me retourne aussitôt et en lui donnant une claque sur la main je me fais choquée en disant « dis donc ! tu me prends pour une “pute” ? ». Un autre garçon qui a la répartie fulgurante dit aussitôt « c’est combien ? ». En tant que femme expérimentée grâce à mon vécu et à mon expérience de la vie, connaissant bien les rapports entre les hommes et les femmes je savais comprendre que je leur plaisais. Je réplique « combien as-tu dans tes poches ? » et « si tu n’as rien, n’insiste pas lourdement ». Toutes les femmes détestent ça et ce, quel que soit leur âge. Le harcèlement donne envie de fuir. Si le garçon ne me plaît pas, tant pis.
J’aime les garçons courtois et poli car on ne sait jamais. En effet, j’aime chasser seule avec sans copines. Donc, si ça ne fonctionne pas avec moi, je leur fais comprendre de passer à la suivante. J’aime les garçons assez subtils pour ne pas avoir l’air d’être en train de faire leur marché parce que ce n’est jamais très flatteur d’être un deuxième choix, voire un troisième ou plus.
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